Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 21 July. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Seen on 25 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/w37kp7wn3h/
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I JUppen-Inspftktion B. H. O. 1. 1» juillet 1913. Ider 4. Amn». AVIS A 1» suitft de l'attitud» ferm»ïophobr d« 1» popula-I -on lors d* !■- -Hsttttion d'un ourri.r civil par un sj»nt I da!a police alleroanda de cimptgw. la .cciraune de [ Moor£#k© punie d'un* amende de quinze mille «arcs I nar VArmeL'-O^crksmmando 4. I Ceci .-1 l-o:Uà a «•:-:inai»s-v,ci- du |>".b!ic D#r Rtappr.--tn-.pc.a0ur, von Schicfcfus, Général d'infanterie. Bains mixtes I Ce serait peu dire qu'il faisait chaud certains joufï ■ de bs-;..abo; admettons plutôi qu il faisa.t • dont ». ■ Or donc, oour.no Hàùt l'autre, la température enervante K-..oea.e.a«t à me livrer aux plai-ir.s rafraîchissants de ■ la natation, i iecidai d'aller promener mon ossature le BlouET des bords il'ane de nos plus renommées piscines, ■j'eu de la oh ■ ■: ce - tout au moins je le considère ainsi i -a plein dans un jour de bains mixtes . BcrinHV .ik-u -. mes frères, quelie ruche bonrdormante Kquo 4 • iiq'i tri'm select ! Et quel spectacle ! Vrai. aussi ■ ,|?i He ri IV desendu de diligence à Ca-Kntm.., : .i admiré, admiré sans fin, Rfcns t>-êve, san» ^rôsorr Ah ! c'étaient repas friands qu'on offrait à mes [ tour, [magii a-vous — dans la supposition, éyidera-\ "ment, que vous ignores£c£t E'en aquatique' - - iviae-i-I nez-vi'us un énorme bassin rempli d'une onde trauspa-I rente, telle que la rêvent les poètes. L'eau clapotait I ' ivi/è'-emeiit, comme des dents savent claquer. D»ns ce E bas.: » d'vs baign-uisos et des baigneurs, grouillant, Ifj'ébroiiant, gigotant .comme des fourmies géantes dans I une termitière, agitant leurs guibolles. battant l'eau des bras, la faisant écumer, poussant qui des petits cris [ d'effroi, qui des beuglements sonores. Tout cela sous I l'œil paterunl des « sauveteurs » et sous les rayons ar-| dont; du soleil de juillet, de ce beau soleil .... .. .sais qui les choses, Ne seraient pa• ce qu'elles sont. Te ! avoue sans fausse honte : c'était un légal incom-i parable. D'habiles nageurs, fiers de montrer la jeu spontané de leurs mu cle», fendaient l'eau avec grâce, Î\ avec force, arec agilité. La brasse, la coupe, la nage in-y, dienne, les sauts du tremplin, les plongeons savamment combinés donnaient au spectacle uue animat ion corn m 11-t nicative. Il y avait là aussi de graves mamans, accom-f pagnaut d'un air majestueux des ribambelles de filles I en points» d'asperges, de.jolies femmes potelées, savou-I reuses, trempant craintivement dans l'eau claire le bout ■ de leur pied cambré. Il y avait aussi des gens naïfs — ■ j eu étai-; — venus sérieusement pour se décrasser et % non pour le plaisir de taire la trempette en rond, "tu I mili u du bassin» une bonue grosse dame, soufflant à la I f&fon de certain mammifère marin Vieil connu des ex-I (ilorateurs do la mer de glane, avaiL l'air de défier tout le ■ momie. et de dire, du haut do sa grandeur : « Moi seule, ■ etcéta«n! ». Le long des cabines, des gaillards prome- ■ liaient leur noblesse théâtrale, d'un air de mousquetaire ■ désireux de forcar la porte d'un courent. De vieui I messieurs, apportant arec eux une ingénuité de pota-_ I elles en rupture de classe, caressaient du regard le sim-[ pie rétament, peu épais et fort étroit, qui voilait assez imparfaitement la pudeur singulièrement osée de ce<-[ taines de ces dames. On le voyait à leur figure, de eeux-| là, qu'ils n'étaient venus que pour nager entre deux ! eaux. Dais un coin, quelques petites femmes s* faisant mutuellement des compliments sur leur toilette, pour se dékiaer mutuellement cinq minutes après dans un autre clan d'amies. Passez-moi donc la rhubarbe, chère; je rous passerai la séné ! Il y an avait même qui se limitaient i uniquement à se mettre sur nna chaise, et à admirer le bout de leurs orteils, à moins que ce ne fut pour les faire admirer par d'autres, ce qui est également possible. Nom. Le bain nsixte donne à réfléchir aux jeunes filles •t aax philosophas. Je ne suis pas un puritain, et j'a" raue qua la. vue de tant de belles choses ne m'a pas fait virar au reuge, comme le papier t.euraesol. Pourtant, je n'ai pu me détendre de faire, in pettof quelques remarques saugrenues. D'aberd — je ne le cache pas — je n'étais pas du fout à moi aise. J'arais peur. Oserais-je confier à cette onde limpide mes pieds sales, fleuris de corset d'ceila de perdrix? Et puis, cette deband».de d'Eves en furie, n'était guère de nature à me tranquilliser. Les femmes fatales ! Diable, elle ont été légion, de-, puis Xanthippe, épouse de Socrate, qui dégoûta résolu-| ment son mari du beau sexe, jusqu'à la comtesse Tar-I nowaka, en passant par la belle Hélène, qui fut la cause i de la guerre de Treic, Circé, Arroide, Pandore avec sa f boite, Messaline, Brunekaut, Marie Tmdor, et qui en-! core, et qui encore? Il y a eu Hercule et Déjanire, il y a eu Saajsen et Dalila, aai>s oublier Cléopatre, au n*x rayai, qui conduisit magistralement Antoine par le bout de son nez républicain. Quand jetais gesse, je me panais parfois d'admira-r tion devant la vitrine d'un magasin de bonneterie, à la B rue d'un bas-àjour enfile sur une jambe artificielle. ■ D autro fois, je n'arrêtais tout rêveur devant le magasin Id'uue corsetière, pour voir tourner sur son axe une belle do.me en cira, outrageusement décolletée. Les goases daujou dhui ne se piéoccupent probablement plus de ••s oho^es-Ià. Ils vont aux bains mixtes. Tout cêla me passait par la tête lorsque, fortuitement, quelqu'un me donna une chiquenaude qui m'envoya bien loin dans l'eau. Là, la fraîcheur me remit d'aplomb. Après quelques brassées, j'en vins à une conception plus froide — c'est le cas de le dire — de la question. Mon Dieu, nos pères et nos mèr s sa baignaient aussi. Us se baignaient en vertu d'un droit antique, légitime, acquis et consacré par un long usage fondé sur les principes les plus élémentaires de la propreté et de l'hygiène. Alors, pouvait-il être question ici de isorale, comme je me l'étais imaginé au début? Depuis longtemps, dans les pays_du Nord, les feniMes et les hommes se baignent e»tre eux. Il «st vrai qu'en ^candina-rie, la beauté phyaique est admirée et appréciée sans aueune arrière-pensée vicieuse. Mais, au demeurant, je •rois que notre morale vaut bien celle des Suédois, des Norvégiens et des Danois. M étant dit cela, je me suis réconcilié arec la situation, et je le déclare ourertement, ma trempette m'a ras-sénéré. D ailleurs, tout concourrait à le faire. Le soleil, qui ne boud it pas, les toilettes claires, le léger rent fiais vous donnaient une vague impression de bain de mer. Avec un peu de boir e volonté — et qui n'est pas obligé de faire des concessions en ces tristes jours ? — je suis même parvenu à m'imaginer que j'étais quelque part à la côte. C'est bien ainsi. A part, évidemment, le Petit rent salé, l'absence d'horizon infini et de gosses qui pèchent des crabes, r'était presque cela. Les bains mixtes sont devenus la « season » des gantois. Et, — si rous ne le saTez pas encorej je T0US l'apprendrai — peur le mosient aette « sefcson » bat son plein. Si le •œur vous en dit, allez-y; rens ne perdrez ni rotre temns, ni les qielques sous que cela rous eoûtera. Pour aroir 1 impression d'être à la mer, il ne faut plus aller à Pert-Arthir ou à la plaine Farman. Nous arons d'autres endroits, bien plus charmants que ce» d*ux déserts. N«*e avons Tolhuis bains-de-mer, nous avons Overzet-Raeul-Gustave.ÉCHOS D'ART A la sal'e Flamme Audition d'élèves de Mlle Duqnesne, pianiste pimanche 14 juillet, à 3h ures. eut lieu uue auditioD ' f^ves priréB de Mlle Rachel Duqnesne, une cotici-°> une, artiste-de grand talent, et professeur au conservatoire royal d'Anrers. Salle comble, parents et famiiie des élèves et quelques Baagyjs*jaggHgiJwurf-tr." J- --- -» ir ^ ~ —— — . ■ - Journal de Gand ÉCHO BBS F'I-.JLI 3 . _ . _ - \ | | ./ Rédaction et Administration : 3, RUE DE FLANDRE, 3, GAND ^bonn.œent» : UN F-Â.K'C VINOT CIK ft PA» TKIMBSTEB invités- Une trentaine d'élèves se firent entendre à l'au- ! dition. Plusieurs se sont particulièrement distingués. : D'abord dans une partie de Concertos avec accompa- i gnement de quintette, Mlle Nelly Coilin, e» sol de i Meadelssohn, Mlle Hélène Mallcbranckc, en sol de ; Moschelès, ont dépleyé beaucoup de mécanisme; Mlle \ ! Germaine Van Weddingtn, en mi de Chopin, a fait 5 montre<à'u* sentiment remarquable. $ ■ Monsieur Albert Surbech a e»levé avee brio la Hhap- i aodfe hongroise n. î (original) de Lâszt, inerceau de \ i j.andes difficultés, Mlle Christine Rotls, a joué gra-cieusement la Valse brillante en mi bém. de Chopin, 1 Mlle Olga Vobelce a beaucoup plu dans une fantaisie sur « Clair de lune » par Lambert, Mlle Jeanne Coilin a très bien compris la belle Sonate pathétique de Beethoven.Ont été encore très appréciés • M'ie Marie-Antoinette 1 fceeis, dans « (Gazouillement de printemps » de Linding, j Mlle Yvonne Rfsen dans « Kocturne n. 4 » de Franz De Vos, Mlle Je««>i' Roelant, dans le Matin de Grieg, Mlle Yvonh* Hynde)-yckx a exécuté avec entrain une jolie ouverture, œuvre du professeur, « Revelatio* », morceau très applaudi et faisant grand hoineur au i compositeur. M. Raoul Annez a parfaitement joué « Impromptu et variations » de Schubert, M. Paul Verbtkt « Clair de j lune de Wëither » de Massenet et M. Robert Rosstau « Les Patineurs > de Ed. Potjes. Ces elèves, qui font honneur à l'enseignement de leur sympathique professeur, ont. exécuté à huit mains avec une justesse et un ensemble remarquables la magnifique symphonie " Pastorale » de Beethoven. Je ne puis oublier de parler de toua les jeunes élèves qui s'y firent entendre, tous au plus gentils et bien doués A noter surtout : Mlles Lucotte Vtnneman, Ly-dieYerbelce, Simonne Neirinckx, Frrnande De Wtiele, Lily VerhoosHe, Marthe Raye, Jeanne Verhtosele, MM. Riger et Ruu Neirinck, Carlos Van Weddingen, Jules De Waele, qui possèdent des qualités certaines et promettent pour l'avenir; puis encore MM. H nri Ver-hootele et Jacques Verbelce, Mlles Simone Vennemtn et, Suzanne Verbeke, qui également nous ont charmé. Quatre d'entre eux ent joué un huit-mains composée par une des élèves, Mlle G. Van Weddingen, une geetille blueite. qui a fort plu. Mlle Duquesne dont il est superflu de faire l'éloge comme pianiste nous a fait entendre en soliste quelques moreeaux choisis de son répertoire et plusieurs autres de concert avec le quinte» te qui se composait de noms connus et déjà applaudis, Mlle Olga De Maerttlaer, cello, Mlle Dupuis violon. M. G. VanDamme, violon, M. De K zel,alto, M. Landsuteert, basse, et L. Van Schoote, 2* piano. Ajoutons que le programme, gracieusement offert par Mlle Duquesne, fut vendu au profit de l'Œuvre des Eprouvés de la Guerre et des Réquisitionnés à l'Hôpital.* * * Au Théâtre Néerlandais Haensel et Gretel Ce coate musical en 3 actes et 5 tableaux tranehe agréable m en tsurla série ordinaire du répertoire coirant. On cet heureux de s'y baigner enln dans l'onde rétré-natrice de la simplicité loin de toute attache artificielle, de tout «theâtre», que ce fût celui du monde ou celui d' la rampe ! C'est le sentiment pur, la candeur de l'enfance, l'unique vérité par conséquent, telle qu'elle jaillit spontinément de la source humaine. Il n'est donc guère étonnant que le chef-d'œuvre d'Humperdinck ait fait non seulement la conquête de l'Allemagne, mais aussi le tour de la France — ne pas confondre avec l'épreuve sportive — surtout que le texte allemand de Mad. Adelaïde Wette, belle-sœur du eompositeur, a été traduit par Catulle Mendès de manière fort réjouissante et piquaute. Ajoutons ici que la traduction flamand que nons en entendîmes lundi est également tout-à-fait, pittoresque. C'est en novembre 1897, sous la direction éclairée de de la Fuente, que nous fîmes la connaissance de cette œuvre à notre Grand Théâtre (M Maréchal, Mesdames Villa, de la Fuente, Paekbiers,Villette, Arcel et Lozin.) Haensel et Gretel constitue un simple conte, réalisé sur scène en une belle féerie, qui donne, dans sa délicieuse enveloppe musicale, l'extériorisation d'un rêve bleu de l'enfance. Certes le conte en lui-même n'a ni laJégereté, que nous eonnaissens au bon Perrault, ni la profendeur d'un Oiseau bleu de Maeterlinck ; mais cette impression de plaisir renouvelée d'un autre âge, le seul beau du leste, nous enchante par la machina-arrière qu'on fait en soi-même, où l'on découvre malgré tout, toujours, entre toutes sortes de détritus, sa naïvité enfantine primitive Les grands sent motionnas parce-qu'ils se sentent petits et bons. C'est un réveil d'oiseau qui longtemps s'était tt. Quant à la musique de M. Humperdinck elle est d'une nchessc polyihonique admirable. Disciple fervent de Rich. Wagner, il a des affinités évidentes avec celles du grand maître de Bayreuth. N'était-il pas à Paris, vers 84-86, un des intimes du « Petit Bayreuth », pour lequel il avait fait pour petit orchestre des transcriptions de diverses pièces et notamment de parties importantes de Parsifal ? Il va done de soi qu'on sent l'influence du maître, surtout dans les dialogues qui rappellent les Maîtres Chanteurs. Il ne pouvait en être autrement. Mais cela ne dépare nullement l'œuvre. C'tte similitude n'est pas une copie, ni même une : décalque. L'auteur, malgré tout, reste lui-même par ses finisses, se? trouvailles harmoniques, par la couleur et l'ampleur de l'orchestration. A ce dernier point de vue on pourrait même alléguer qu'il a dépassé parfois le cadre de ses petits « Epinal » naïfs. Ainsi, en fermant les yeux et en savourant uniquement la majestueuse ampleur de l'orchestre à la fin dn 2* tableau du 2° acte, r.e croirait-on à une apothéose des dieux de l'Olympe, plutôt qu'à des anges descendant l'escalier lumineux « l'échelle de Jacob » — bien machiné», ma foi —, qui viennent se placer, en gardiens, auprès des enfants endoimis ? Mais encore ici ne nous plaignons pas; eette page constitue avec les différents préludes merveilleusement l développés de véritables perles symphoniques. < Une autre qualité transcendante de cette partition, ( est que, ce qui vibre en l'artiste, est l'émanation de l'âme populaire. Il est tout bonnement délicieux de jouir de >a simplicité émue de ces « lieder». puisés au trésor du « folklore »! Humperdinck a fait chez lui, ce i que p. ex. Charpentier ou Leroux firent en France, • Gri g en Scandinavie, Blockx ou Jongen eu Belgique. I ' A ce point de vue on peut citer la chansonnette de ! Gretol — détaillée sobremont, dans la note voulue, par \ I Mlle De Vos — « Au bois un petit homme se tient seulet » qui possède la simplicité de la complainte popu- j : aire; la chanson. « C'est moi l'homme au sable... » d'um acture sckumauienne, et où l'organe puissant et étoff< le Mlle Fr. Wynea s'est fait apprecier à son avantage >*lle du petit homme do la rosee par Mlle Van dei iossche, qui manquait tout au moins de sûreté; au 2 a prière des enfants avant de s'endormir, bien proehi )arente, il me semble, de la chanson popalaire flaasande t s' Avouds ala ik slapen g a... ». (tfte avec émotion pa Mlles De Vos et Bovy et d'autres, Ii faudrait citer jus qu'aux couplets comiques du lr acte ; valsants du 3 'amusantescène du coucou entre les deux enfants, lor le la tombée de la nuit, avec imitation de deux note le chant de l'oiseau à l'orchestre, au 2. Nous n'avons qu'à décerner des louanges au sujet d< 'interprétation. Bien entendu 1 achèvement complet 11 -»eut s'acqui-rir lors d'une premier» surtout, dans le :enditiona où notre troupe doit étudier et répéter ; mai -ont indique qu'on s'y achemine. Mlles De Vos et 8ovy ont fait un petit ceuple d jaasbins parfaitement « nature ». La dernière mérit ine mention spéciale en son travesti de Hiinsel; voil; 111 gamin, tout-à-fait ...gamin, déluré en diable, si natu el, qu'on dirait que l'espièglerie.. . Passons. Le Père, M. De Bourre, qui avait réclamé l'indul *euce du pablic et sa douce moitié - Mlle Caluwaert — ne sembl ient pas dispeser de la plénitude de leur libyens. Quand actuellement le micrebe s'introdui ians une famille... Une autre mention échoit incontestablement à Mil De Vis, en Ogresse. Voilà un tempérament remarqua t)le. réussissant aussi parfaitement dans le tragique qu ians le cocasse. Et cependant voilà un rôle difficile bénir vocalement et scéniquement. Finir des ricanement sur un si naturel, chanter continuellement à contre temps, tout cela n'est pas chese aisée et toutefois so « Bokus, Pokus » fut dit, drôlatiquement, avec aisance 8a mimique caractéristique, soutenue jnsqu'à son Pèrt Lachaise anticipé et improvisé, sa danse échevelée d sabbat, la façon enfin de comprendre dans son ensembl ce rôle de caricatnre, tenu à Paris 'par la fameuse Mil Delna, prouvent la conception exacte que cette artist se forme de son personnage. Félicitons encore l'infatigable M. Roels pour sen in tiative et pour son orchestre à la hauteur de sa lourd +âche. Quel profit en temps normal un directeur intell gent ne pourrait-il tirer de cette «livre montée av€ des décors nouveaux ! 1$. o » ee t #-**■'• s> 1»a » n cj Les Expositions La SociétéEntomologique des Fieadres a repris, poi une quinzaine, possession de la Salle Taets,y ramenai] ses chatoyants essaims de papillons, de scarabées et de libellules, et offrant à ses concitoyens un enseignemeis aussi fécond qu'attrayant. Grâce aux fiches multiples et précises, grâce aux crc quis et diagrammes, grâce surtout à l'inlassable obli geanee des premoteurs de la Société, et de leurs jeune disciples, une visite à cette exposition est un plaisi pour l'esprit en même temps qu'un régal peur les yem La salle du rez de chaussée est occupée par les colle< (ions d'insectes, et par les ouvrages théoriques; l'étage est une salle de démonstration et d'expériences C'est là que l'on peut saisir sur le vif le travail de 1 ruche et celui de la feurmiiière, que l'on pent voi évoluer dans leur milieu les insectes aquatiques e s'initier aux secrets de cette science entomologique, î jeune encere et si prodigiensement intéressante. Le Comité provincial de secours et d'aHmentation On nous communique le rappert présenté par le Cense 3'Adminisfratien à l'assemblée générale de la Société coc Déralive en date du 15 juillet 1918. Nous y trouvons quan ité de renseignements intéressants qui montrent que l'act fité déployée par le Comité devient de plus en plus grand -t que les services qu'il rend à la population sont de plu ïn plus considérables. Voici d'abord quelques détails au sujet des affaires trai ées par le département Alimentation : la valeur des vivre ichetés du lr novembre. 1917 au 30 avril 1918 s'élève r. 132.994.125,88 ; d'autre part les ventes ont atteint 1 somme de 139.206.501,51 fr.; cela représente un mouve nent général "de fr. 272.200.627,39 ou un mouvemer eurnalier moyen de fr. 1.512.225,71. Depuis le début des opérations, le Comité provincial ait des achats pour une valeur totalede fr. 483.172.551,4E es ventes s'élèvent à fr. 515.862.997,68, ce qui représent lit mouvement général d'affaires de fr. 999.035.549,13 0 in mouvement jeurnalier de fr. 812.224,02. Quelques chiffres ïx-ront l'importance dea opération effectuées par le département Secours : le total des se ;ours distribués depuis le lr novembre 1917 jusqu'au 3 avril 1918 est de 5é.377.500 fr., ce qui correspond à un "épartition hebdomadaire d'environ 2.170.000 fr. Le chiffr otal des subsides distribués depuis le début des opération se monte à 272.300.000 fr. environ De pareilles sommes peuvent se passer de commentaire nême dans un temps où l'on s'est habitué à jongler ave es millions. fShrogulipg MUSIQUES. — P. et A. Beyer, éditeurs de musique P. Struyf, successeur. Grand choix de musiques belges c Stv^ngères. Lutherie artistique. Cordes garanties juste sonores. Accessoires divers. BUREAU de change Jules Dossche, 27, dig. de Brabanl LES QUALITÉS incontestables de la poudre à lave tHARDERWIJK», en ont fait une lessive de l'ordre rempli ;ant efficacement le savon mou hors de prix. Pour le gros !0, Quai de la Liève, Gand. Brosses à rues, à recurer, :irage etc.; pâtes à chaussures, etc., etc. BISCUITS. — 4° vente. — La vente se fait sur préaen ation de la earte du Comité National et de la nouvell :arte brune. Ration, 2 biscuits par personne au prix d 1.20 fr. pièce. Lundi 22 juillet, de 9 à 10 heures, n. 56801 à 47100 ; d 0 à 11 h., n. 47101 à 47500 ; de 11 à 12 h., n. 47501 17900 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 47901 à 48300 ; de 4 1/2 1 1/2 n. 48301 à 48650. Mardi 23 juillet.de 9 à 10 h., n. 48651 à 49800 ; d 0 à 11 li., n. 49301 à 50203 ; de 11 à 12 h., n. 50201 i06C0 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 50601 à 51000 ; de 4 1/2 1 1/2 h., n. 51001 à 51350. Mercredi 24 juillet,.;de 9 à L0 h., n.- 51351 à 51650 ; d .0 à 11 h., n. 51651 à 52050 ; de 11 à 12 h., n. 52051 ï s i 52450 ; de 3 1/2 0 4 1/2 h., n. 52451 à 52850 ; de 4 1/2 à i j i 1/2 h., n. 52851 à 53200. ; j Jeudi 25 juillet, de 9 à 10 heures, n. 53201 à 53500 ; de ) ï 10 à 11 h., n. 53501 à 63900 ; de 11 à 12 h., n. 53901 à I 54300 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h.„n. 54301 à 54700 ; de 4 1/2 à • I 5 1/2 h., n. 54701 à 56000. Vendredi 25 juillet, de f à 10 h., n. 16001 à Sé300 ; de r 10 à 11 h., n. 56301 à Ï6700 ; de 11 à 12 h., n. 56701 à . 57100 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 57101 à 57Ï00 ; de 4 1/2 à fc 1/2 h., n. 57501 à 57850. i Samedi27 juillet, de 9 à 10 b., n. 57851 à 51110 ; de s 10 i 11 h., n. 58151 à 59150 ; de 11 à 12 h., n. 59151 à 1 59550 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 59651. à 59950 ; de 4 1/2 1 i 5 l/2h., n. 59951 à 60300. ? .JEAN JOSKI, rue du Peivre, 14-16, Feurnitures géné-i raies pour Eau, Gaz, Electricité. 1 t MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Chamjis, 82.Vente ; et Iocatian de pianes par mois, peur soirées et cencerts. GUÉRISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir et ^ Uniment Heyndrickx. Pharmacie* Heyndrickx, eh«uesée ■ ■ de Bruxelles, 2, Ledeberg-Gand. , BRIQUETTES.—: P. B. C.— Aux jours indiqués ci-des-j sous, les numéros suitents de la carte P. B. C. pourront s = prendre un bon pour des briquettes, rue de Bruges, 26, de l j 9 à 11 1/2 h. et de 2 à 4 1/2 h. Lundi 22 juillet, n. 4701 à \ 5150 ; mardi 23 juil'et, n. 5151 à 6700 ; mercredi 24 juillet, n. 5701 à 6151 ; jeudi 25 juillet, n. 6151 à 6600. La ration est de 10 kg. par personne, avec un minimum de ^ 25 kg. et un maximum de 150 kg. par ménage. i, L'ONGUENT Pédiphile guérit pour toujours cers aux J 9 i pieds, «ils de perdrix, dnrillens. Une seule applicatien . jj suffit. Se conserve des années aans perdre de sa valeur. ! jj Gaeens, pharmacien, rue de l'Eglise, 34, Ledeberg. ALPH. BE TAEYE, r. de Ceurtrai, 6, Meubles. Literies. a I VAN frEN ROGAERT, m. au Beurre, 10, ag. de change. COKES. P. B. C. — La vente se fait à l'Usine à gaz e sur présentation de la partie A/B de la carte brune. Ration e 50 kg. au prix de 3,50 fr. Lundi 22, de S 1/2 à 11 h., n. 18901 à 19700; de 2 1/2 à 5 h. n. 19701 à 21500; Mardi l- 21, de 8 1,2 à 11 h. n. 21501 à 22300 ; de 2 1/2 à 5 h. n. e 22301 à 23200. c f PAPIERS et sachets, Van den Breen, b*de l'Abattoir, 17. j PRÊTS.Achat, vente propriétés. Minnaert, b*Béguin.21. MAGASIN communal n. 1. — 19* série le 22; 20® le 23; l 21° et 22° le 24; 23c je 25; 24« le 26; 25« le 27. HORLOGERIE suisseBehaegel-Mees,chaussée deCour-r l trai, 128, et chaussée d'Anvers, 54, Gand. g 1 AU VERGER VERT. — Nous avertissons le public que t ;; le concert artistique organisé par M. J. Beyls, au profit : des nécessiteux de Tronchiennes, aura lieu le dimanche ' 28 juillet. . : CONFISERIE ckceel. Ed. De Vynck, r. St-Georges,22. 1 PONDS publics. Gillet, rue longue des Violettes, 37. r ; . . s G. WTTERWULGHE. Ag. de change, agréé, 59, Cou- | pure, r. g. Nég. fonds publics, coup.-ckèq., monn. étrang. LAIT. A partir du lundi 22 juillet la ration de lait sera • distribuée dans les locaux. Le lait devra être pris par les '*■ habitants inscrits dans les locaux (voir les affiches) : 1° et r 10* sections le lundi, 2e st 3* sections le mardi, 4# et 7# \ sections le mercredi, 11* et 6* sections le jeudi, 5e et 8° 1 sections le vendredi, 9® section et Ledeberg le samedi, ; Gendbrugge et Mont-St-Amand le dimanche de chaque j semaine. Les lecaux seront ouverts en semaine de 9 à 6 h. et de 8 à 3 h. le dimanche. La ration sera de 1/4 litre pour le lait écrémé et le lait battu. Lorsque les arrivages le permettront, la ratien sera doublée. j Le lait sera vendu : a) pour Gand (ville) sur présentation de la carte P. B. C. et de la carte de lait ; b) pour les faubourgs, sur présentation de la carte du Cemité National et de la carte de lait. La ration de lait battu et de lait écrémé se vendra au prix de 0 fr. 20 cemme auparavant. Les ménages sont priés d'apporter la monnaie exacte. SONNERIES ÉLECTRIQUES, «eniets, 14, r. Brabaut. 5 MAISON DANGOTTE. Grand arrivage de verres mous-^ seline pour Cafés-Brasseries. i BEURRE. — P. B C. — Vente pour la sixième section: I , Lundi séries 21 et 22, mardi séries 23 et 24. j Cacae sucre « MARGOT », Café mélange «LEXTRA», 1 Amidon compoaé « LE LIS», Pudding Powder«PAX». ; Vente en gros, LÉON ROTSAERT, 7, rue Poudrière, 2 (près Boulev. St-Liévin). CORRESPONDANCE. — Nous recevons la lettre suivant : Comme suite à l'article paru dans votre dernier n* sens ^ le titre «Chambre Syndicale de l'industrie alimentaire», j'ai l'bonneur de vous infermer que personne n'a reçu mandat e pour représenter le Syndical des Hôteliers dana ce nouvel g jj organisme. Notre Syndical ne peut donc pas être compris i parmi les asseciatiens locales qui viennent de fonder la |chambre*ayndicale de l'industrie alimentaire. Je vous serais trèc ebligé de bien vouleir noter cette petite rectificatien et vous prie d'agréer, Monsieur le Rédacteur, mes salutations distinguées. | Un membre de l'Union Syndicale des Hôteliers-Restau-rateura et cafetiers de la Piandre-Orientalc. HÉMORRHOiDES I ! — R. Baetslé, 56, rue Charles Quint. — Alb Baetslé, 48, avenue Elisabeth, Gand. t BUREAU de Bienfaisance et Œuvre d'assistance Mater-s nelle. — Le local des consultations gratuites pour nouris-sons est transféré depuis le 15 courant du Fossé d'Othon à la rue courte des Violettes, n. 8. La consultation a li ; a les lundi, jeudi et samedi de 6 à 8 r heures de relevée et le mercredi de 8 à 9 heures du matin. • I ECONOMISEZ vos CHAUSSURES par l'emploi dea i 1 Protecteurs « DUC » peur charssures d'hommes, dames ;j et enfants. Légers - Solides - Pratiques - Elégants. Maiaen jj Dutry-Colson, rue dea Champs, 12, GAND. , L. BALLIU, me de la Bienfaisanoe, 48. 6«ogè«ss. 5 MINARD. — Vu le grand succèï de « La fille de Madame Angot », il sera encore donnée cinq représentations : 1 dimanche 21 à 3 et à 7 1 2 h., lundi 22, mardi 23 et jeudi i • 25 à 7 1/2 h. • Di manche 28, première de « La Veuve Joyeuse » avec ji M. E. De Bouvre. SEMELLES et TALONS de CHAUSSURES en «OME-GA ». Plus aolid e et meilleurs marché que le enir. Maison Dutry-Colsoa, rue des Champs, 12, GAND. : UNION Pharmaceutique des Plandrea. - Pharmaciens à j de service le dimanche après dîner, 21 courant : pour Gand 1 (Deck-Perte d'Anvers) et Mont-St-Amand, M. VIenrinck, rne d'Anvers, 73; pour Ledeberg et Gendbrugge, M. Gaeens, rue de l'Eglise, 33, Ledeberg. OUD-GEND. — Jusqu'au 25 juillet 1911. « Quand survint l'avalanche f... » « Flammea Eternellea ». Deux grandea neuveantéa. ASSORTIMENT COMPLET d'OUTILS peur SAIO-TIERS. Qualité supérieure. Maison Datry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. CERCLE PHILAHTHROPIQE : Le Sans Nom non Sans Cceur ». — Anonyme, fr. 125. CHANGEMENT de propriétaire. — A partir du lr août l'HOTEL DU COMMERCE, rue de Flandre, 79, (an coin de la petite rue de la station) aéra repria par M. Pierre Bogaerte. Par la reprise de cet hôtel M. Pierre Bo gaertc envisage de grands projets pour l'avenir, e-à-d. pour le temps de paix. POUR A PAIN « LE MERVEILLEUX ». Cuit le pain, la viande, la patiaserie. Sèche les légumes, les fruits, sur feu à gai et erdinaire. Maison Dutry-C*ls§n, rue dee Champs, 12, SAND. MODERN PALACE. — Jusqu'au 25 juillet 1918. « Poing du Géant». — 2* série. — Grande comédie sentimentale en 4 parties, jouée par Henny Porten. Pour la 1" fois en Belgique : «La Coupe empoisonnée,», grand film Cow-boy en 4 parties, joué par Harry, le célèbre Cew-boy. Etc., etc. etc. «EEN SLACHTOFFER DER BURGERLIEFDE»grande opérette gantoise en3 actes,sera jeuée Dimanche 28 juillet, à 5 1/2 h. dans la salle du Café du Parc, PI. S* Pierre, 46. Cartes de 1.75 et 1.25 fr. ainsi qne numérotage à la Mai-aon Cnudde, rue du Hainaut, Ibis. THÉÂTRE PATHÉ. — Jusqu'au 25 Juillet. La belle E. Nissen dana «Sang Princier», drame social en 4 actea. — Série d'or. « Qui m'embrasse ? », comédie-vaudeville en 3 actes. — Succès. Bulletin Financier Bourse» officieuses de Gand des 17-19 juillet. De mémoire des plus anciens de la Bourse, en n'a encere asaiaté à des mouvementtPaussi intenses, aussi accentués que ceux qui se sont produits cette semaine; mais n'anticipons paa et cemmençens par les banques. Banque de Flandre reste demendée à 1420, offerte 1425; Banque de Qand teujours 870 en attendant son tour de monter; Banque du Travail de 825 monte à 835; Union du Crédit 610 A. Banque d'Outremer eferte à 900. Mais c'est aux tramways que revient la palme. Après qu'on fait 122 en cap., 52 en div. et 61 en fond. Anvers, puis 850 fr. en div. Braxellais on en arrive aux Trams de Gand; le mercredi lea capital et les dividendes sont ramassées, les premières à 185, les secondes qu'on avait laissé vendredi à 115 ouvrent à 117 1/2 et clôturent 122 1/2. Ces cours provoquaient le vendredi des prises de bénélcec ( d'ailleurs bien naturelles; ensuite des tentatives sent faites par des baissiers; bref on commence à 120, 125, recule à i 122 1/2 et saute à 125, 127 1/2, 130, 132 1/2, 135 III La capital ne pouvait rester en arrière, fait un bond de 185 à 200 fr.; la jouissance 130. C'est par paquets que des titres ont été traités, et la demande n'est pas encore satisfaite. Une erreur typographique a dénaturé notre tableau de dimanche dernier ; au lieu de 6.865.000, ce n'est que 2.865.000 fr. le capital de Gand à rémunérer à 4 •/,; pour ' plus de clarté nous reproduisons le tableau suivant : « —4 o 2 2 o 3 k ^ o ii *-« I lO J N Oî t~- ^ CO £ -H OO £ O» : M n 2 t ' ss , S S 1 •o .10 e0. 3 s s • o « - d ® •4) £ Q. !n ° S c c œ. œ » S g. I » J 3' « g 3 "■ " VO T-* O O O v ^2 fO 2 « g r: os . r- 5 ^ » ° t S 1-4 1 00' 2° rr <2 o — CO S c N 10 OS 5 « O <=! <= CO 0 <N CO f -S W ^ OO* -• 2 c* r- E c *2 1 C\ ^ 2 x> J2 — S M ^ c r- g-o. « » n g t o t> •- X <c G _ o o o \s « o o o n ~ o o >0 cil 2- | s N "5 W [ « «o CO o O o> o, co O V© u» M V • •> S S o ï •» •> > q G e 2 « < cû O On demande encere toujours le coupon de l'exercice courant à 6 fr. sans vendeurs, et pour cause. On est également ferme en Textiles la Gantoise est demandée à 1650 offerte 1675. Liève 1125 A. 1175 P. Lys 1650 à 1675. Nouvelle Linière du Canal un tantinet plus faible à 125 1/4. On a fait la Colonial Rubber de 52 1/2 à 55. A Bruxelles. Prise dans son ensemble la bourse a été plutôt faible pendant la huitaine qui vient de s'écouler. Cependant les Banques ont été bien tenues; la Banque de Bruxelles de 980 hausse à 1060; Outremer de S50 à 900; la Société Générale de 6650 à 6950, par contre, le Crédit Nat. Ind. tombe de 895 à 840. La Banque de Charlerêi vient de décider l'augmentation de son capital de 3 millions. Ckemins 4© ter délaissés; les Grands-lacs font iu-[ valablement 308; les Voies ferrées capital à 390 et 291, sont très intéressantes à ces prix. Canadian Pacific, la recette brute de la 1° semaine de juillet est de 2.787.000 doll. 1 en diminutien de 314.000 sur 1917; les Chem. de fer dt l'Etat Néerlandais émettront sous peu un emprunt 5 p. c. de 14 millions de florins. L'Anglo-Argentine Railw. Cy a reçu pour la 26® semaine liv. 56.754 en augmentation de liv. 2639; depuis le 1* janvier cette augmentation s'élève à liv. 87.974. Le Prince Henri publie ses recettes d'avril, elles s'élèvent à 772.838 en augmentation de 10 075 fr., du . lr janvier au 30 avril cette dernière est de 40.801 fr. Sud-Ouest de Bahia, les obligations cotent 360; les recettes de mai sont en diminution de 15.000 milreis, ce qui fait7O.OO0 inilreis de diminution depuis le lr janvier; le CanaldeSuez a reçu pour le lr semestre de 1918 39.67 millions contre 30.54 millions pendant la période correspondante de 1917. Rien en tramways. C'est toujours la même répétition des cours Argentine Railw. 55; a reçu peur la 26* semaine liv. 3710 en augmentation de liv. 630, ce qui constitue liv. 64.990 d'augmentation. Mexico tram a haussé un jour sur une hausse sensationnelle à Londres, et qui n'était qu'une faute de transmission. Sans bruit, le mouvement de hausse en métallurgie se produit lentement, mais sûrement; sans doute le public commence à réfléchir et à croire que tout aléa a été escompté dans les cours actuels. Aumetz la Paix : on estime les bénéfices du lr semestre de 1918 à 10 p. c. Il est i porté à la connaissance du public qu'à l'échéance du coupon des obligations 4 1/2 p. c. Aumetz la Paix, soit au 1» avril prochain, on procédera au remboursement de toutes les obligations. Le rapport annu 1 de la Chambre de Commerce Luxembourgeoise publie, que le traitement du minerais en 1917 a fortement diminuée 4509150 T contre 6752207 T en 1916; les prix ont pourtant haussés de 3,41 i: 4,17 fr ; le nombre de travailleurs ; 4686 est descendu i 3970. Citons quelques cours pris au hasard à huit jours de I distance. Alliance 900-1060. Angleur 607-635. Alitas &00- ;/-'inï.he 21 juillet 1»1* H «eati** leijàuMéro i2* *wnée •—N* 197-203

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