Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 07 July. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/4m91835q7m/
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AVIS ■ Ut jury* centraux préTut pâf l'»r(icle J* '* 1,1 ■0 «vril 1890 — 3 juillet 1891 siégeront d«n« le courant U, moi. de )uillet-ao*t el d'.ct.Hre-nore«bre »rock"ln*-l -n candidate de la prorince Flandre-Orientale qui dédient se présentât devant ces jury., d.irent en faire la Emande à M. C D.Zutter, Admin.strat.on proYinclale à ■Oan I, bureau n® 41, tous les jours ouvrables de 9 u h., pour la saison juillet-août du 26 juin au 5 juillet 10:18, pour la session octobre-norembre, du 2» septembre au S oc,»-bre 1918. I 1 iuUlet 1918' u PriMcni, f. /■ Dr. frhr. ton Reitienetein. - Les areiturcs iu Brésil tt ic tu café ce breuvage salutaire ■bd manquait à Tirgite et qa'adorait Voltaire, le café, puisqu'il faut l'appeler par sen nom, • paraît-il, de l'esprit, ou pI.Mt. il f«tja.ll'r, pe lier, diborder l'esprit qu'ont. Plus o. prend du cf. plus on "prit. En doutez-rou, ? On roas citera, » tu.se de ré oL, .'exempta classique de V.ltaire_ Sata pourtant pas croire qu'en buvant beaucoup ie caf. r„?icafo, cela s'entend, et pas du malt - le premier „„„ ,0 sentirait unbeaa jour eapable i ecme une Hen-lade. L'abus du « breuvage salutaire ». eomme 1 a ap-pele je ne sais plus quel poète, peut, au contraire, avoir aussi un effet radicalement opposé. Marat — Ann di peuple - en absorbait jusqu'à 15 tasses par jour .t aurait probablement succombé à sa passion, si le couteau de Charlotte Corday n'en eût prévenu les effets. Maia, trfcvedéconsidérations de ce genre. Si le cafe est ie que d>nciens ont appelé « la boisson intellectuelle », .1 e.t eicore plus un article de commerce, de grand commerce, et c'est à ce dernier point de rue que je voudrais l'examiner aujourd'hui, surtout pour le pays qui en est le plus gros producteur. Ce pays est le Brésil. Le café, comme tous le savez, provient de la baie d un jali arbre,toujours vert, dont les fleurs délicates exhalent un parfum tellement suave qu'on leur a donné le surnom flatteur de jasmin d'Arabie. Cet arbre croit au Brésil, à Java, à Ceylan, aux lies Haïti, au Vénéiuéla. eu Arabie (c'est d'ailleurs de là que provient le fameux Moka) et. depuis quelques années, on l'a acelimaté au Congo avec de réelles chances de succès. Le plus gros {producteur est le Brésil, qui possède surtout deux relions de culture particulièrement importantes : ce sont les terres rouges des environs de Rio de Janeiro et de Santos, dans l'Etat de St-Paul. Ces régions ont parfois ^ donné une production tellement forte qu'elle a sécessité [une intervention des pouvoirs publics. Voici comment : f La culture du café est liee au Brésil à la grande propriété, mode d'exploitation qui exige une classe nombreuse d'ouvriers agricoles. La suppression de l'esclavage eu 1888 obligea les planteurs à ne compter que sur la maiu-d œuvie libre. C'est pourquoi ils organisèrent l'immigration en grand, attirant chez eux, par des offres Ialléchantes, les émigrants irlandais, italiens, espagnols, ■allemands et même belges. Pour garder leurs colons, ils leur donnèrent le droit de faire entre les jeunes ca-feiers, d«scultures int -rcalaires, dont, le rendement reve-r nait totalement aux ouvriers. Ce système, évidemment, n'eut d'autre effei que d'augmenter dans des propor-l tious formidables l'étendue des plantations. Il en résulta d'abord une surproduction, puis iue mévente. Un oura-î gan, un maelstroom, uu typhon, une tornade de plaintes n'élevèrent. Poureviterla ruine complète, le gouvernement interdit radicalement, en 1903, de planter encore | uu seul arbuste. A la suite de cette interdiction, qui ^ s'atteignit pas encore le résultat voulu, il entama réso-[lumeot ce qu'on a appelé depuis lors, la valorisation du icafé. I La valorisation du café brésilien a été une gigaites-[que expérience d'économie politique. Voici eu quoi elle [a consisté: En 1900-1901, le Brésil avait produit, à lui ftoutseul, 15.439.000 de sacs de café de 60 kg. alors que [les autres pays producteurs n'en avaient jeté sur le (marché que 4.471.000. Cette avalanche de balles avait fait baisser les prix à New-York jusque 3.55 cents de [dollar la livre, soit environ 36 centimes le kg. Vou* [voyex d'ici que les planteurs — et, 90 pour cent de la [fortune générale du Brésil était à ce moment engagée [dans des plantations — en étaient réduits, par cette dégringolade monstre, à tirer le diable par sa queue. De ion côté, le gouvernement, qui percevait une taxe d'ex-ipertation proportionnelle à la valeur de la marchandise, rvit fondre ses recettes comme la neige au soleil. Alors Ile gouvernement fit à peu près ce raisonnement : Il est faux que la production mondiale soit trop forte. Mais icette production est irrégulière; il y a, comme naguère, Ides années grasses et des années maigres. Dès lors, pour remédier à la crise, il suffit de mettre de côté l'ex-jeédent des boanes années, et de le livrer au commerce [lors des mauvaises récoltes. Nous entreposerons donc, dans les années de surproduction, une certaine quantité de café, pour un temps indéterminé, de façon à raréfier la marchandise sur le marché international. Cela stabilisera les prix, et nous serons sauvés en même temps que les plaiteurs. : Si l'Etat voulait acheter du café, et l'entreposer, il lui fallait évidemment de l'argent. Comme il n'en avait [pas, il fut forcé d'en emprunter, el plaça dans ce but un emprunt qui fut souscrit à Londres. En même temps, il s'entendit avec les grands marchés étrangers, dont les plus forts négociants lui avancèrent jusqu'à 80 p. c. du prix des cafés achetés par I«i et mis eu lieu sûr dans les entn pôts de ces marchés. Anvers participa dans le temps à ces opérations. Au début, toit alla bien. Mais plus tard, le système Sonia lieu à de nombreux inconvénients. L'Etat brésilien avait, en effet, à payer des intérêts considérables pour le service de ses emprunts de valorisation; les f ais d emmagasinage et d'assuraice engloutissaient des sommes folles. Bref, l'opération, tout en ayant un effet plus ou moins satisfaisant sur les prix, no fut quand »ê*e pas brillante, et l'on peut dire que ce n'est que grâce à un concours de circonstances heureuses, mais i»prévues, qu'elle n'a pas été encore plus mauvaise. Pendant la guerre, la production mondiale a assez fortement oscillé. En 1914-10, sur on rendement total de 18 millions de sacs, le Brésil intervint pour environ 13 millions. En 1915-18, un peu plus de 21 millions de ■acs, dont 16 millions pour compte du Brésil, furent révoltés dans le monde entier. L'année suivante, ce furent respectivement 1« 1/2 millions et 12 1/2 millions. La récolte de cette année est estimée à 22 millions, le Brésil devant intervenir dans ce ch ffre pour 16 à 17 raillions de sacs. Quant aux prix, voici un aperçu des cotes de Rotterdam : 19 '8 environ 23 cents le 1/2 kg. (prix moyen); 1914 551/2 eents; 1915 il 1/2. En 1916. pendant les deux premiers mois de l'année, les prix allèrent jusque 73 cents. Mais au début du mois de mars, le «Neder-landsche Overzee Trust » s'en mêla, et fixa m prix moyen de 47 1/2 cents, qui fut d'environ 50 cents l'an-suivante. Tout cela s'entend évidemment pour la bonne qualité moyenne. Le meis passé, l'opération de valoneatioi — fui a duré *ns — i'#gt terminée, lo gouvernement français lytnt repris, pour son propre compte, les derniers stocke an n°m des négociante di Hâvro, e'est à dire 83.000 balles se trouvant dans ce port, et 64.000 balles emmagasinées à Rio-de-Jaieiro. A peine finie, 'a ques-lon de la valorisation se pose de nouveau, et, dès à lèsent, on travaille déjà au Brésil ei vie de recommencer 1 expérience. Par cuite de la guerre, on n'exporta, en 1W16 et en 1917, que des quantités fortement Suites, et l'on comprend que là-bas, dès qu'il se répand 'e m°iudre bruit de paix, tout le monde s'agite. P >ur P*rt, je ne puis que souhaiter qu^ les planteurs brésiliens se tirent d'affaire, et le plus tôt possible encore, «ait, ma foi, ce l'est pas trop mauvais, évidemment, une boni* tasse de oafe, c'ost aitro ehoao. En sou- Dimanche 7 juiliet 191$ 1§ c®ntiœt* ie-nus»éro 62# aanée — N°* 183-189 Journal de Gand ÊCHOJDSS FJL.AMOBBS Rédaction et Administration : 3, RUE DE FLANDRE, 3, GAND Afeonxemante : DU * ASO VIK9T CINQ PAR TK.IMSiSTR® ta iili.—«e-nar ac; 11 "t.1 * ~rwt i ■ t—1 -■-» ... - -imj- ~ a.. ..r :—r- ————. , g—n—-g,-,,-..-.,.. m I haitant que le temps où noue pourrons de nouveau on \ boire une sans nous ruiier, ne ee fasse pas attendre, je >. crois exprimer les vœux de milliers de mes concitoyens, 1 et encore plus do mes concitoyennes. Raoul Gustave. ! Echos raYitaill«m«mt ie la Bolflqu# «t d* Hord 4e la Fraiee Des personnalités compétentes se soit réunies à La Haye le 2b juin p»ur discuter le problème du ravitaille- I ment do la Belgique et du Nord de la France. On a exposé les mesures prises par les alliés en vue de pourvoir au ravitaillement; il semble qu'on puisse envisager l'avenir avec confiance. Malgré les nombreuses difficultés résultant du manque de tonnage, on pourra envoyer régulièrement do la nourriture en Belgique; il serait même question d'augmenter la ration do pain qui sera peut-être portée de !0n à 350 gr. par jour. « « « Le Comité National tenant eompte des besoins de la population, fait savoir qu'en dehors de la ration habituelle il sera remis pendant le mois de juillet 260 gr. de lard, 260 gr. de saindoux et 100 gr. de savon par personne.Il se confirme qu'au mois d'août la ration de pain sera augmente* de 50 gr. rar jour probablement. Les pronostics pour le ravitaillement pendant l'hiver : prochain sont rassurants. Les Expositions Encore une • rétrospective » à la Salle Taets, et d'uu intérêt archéologique plus sérieux que la précédente. Si quelques attributions sont hasardées il en est, et des plus glorieuses, qui ne peuvent être mises en doute î les amateurs éclairés trouveront là occasion d'eurichir leur collection de quelques pièces de valeur. Signalons, au hasard des souvenirs : une lumineuse marine de Louis v/erboekhoven; un savant portrait de Liévin De Winne; un pimpant paysage de De Bruyc-ker; de curieuses et habiles perspectives de Gand par Boulanger ; une remarquable nature morte attribuée à l'illustre Hondecœtei ; deux ravissautes gouaches italiennes de Panini, l'émule de Car.aletto ; puis des pages de Hunin, de Hess, de Paelinck, de Koekoek, de J. Vernet.etc. L'ensemble est disposé avec goût et donne l'impression d'une petite salle de musée de province, • * » C'est aux vitrines de la Maison d'Art Van Rumbeke, place du Grand Canon qu'il faut chercher, cette semaine, les tableaux modernes. F^rds Willarrt y brille entre tous avec des études d'une couleur savoureuse et d'une facture alerte : son en rée du Château de Laerne est une petite perle. Trealliuj expose une vue de la Lys choisie avec bonheur et reproduite avec éclat et vérité. G. Swarts nous montre un grand paysage tout pénétré de poésie, tout imprégné de vivante lumière et de vaporeuse atmosphère, et des Fleurs traitées avec brio. Miry, rafraîchissant sa palette avec une verve toute juvénile, a brossé quelques pimpantes études, parmi lesquelles le moulin est particulièrement séduisant. Un coin de Quai, clair et pittoresque, par Montobio, un vigoureux Moissonneur ssisau milieu d'une campagne plantureuse, par Matthys, un Cheval de labour, bien campé et crânement peint par Maurice Sys, quelques eaux-fortes et quelques aquarelles complètent cette intéressante exposition O. V. ÉCHOS D'M^T Fêtes de oharité Nous avons annoncé la semaine dernière que l'Œuvre de Secours aux éprouvés de la guerre organise, pour les 15 et 16 juillet, deux fêtes de charité dans le parc du château de M. Ch. Carels, à Mont-St-Amand Cette œuvre présidée par le sympathique philanthrope M Louis Janssens, compte à l'heure actuelle environ 1400 Membres, et est dirigée par un Comité Central de 45 Sociétaires. Elle vient de créer 14 comités de quartier, un par section de police, et un par faubourg. Chacun de ces 14 organismes auxiliaires est représenté par deux délégués au sein du Comité central, et est en contact constant avec ce dernier par l'intervention du Secrétariat permanent établi S, rue basse des Champs, et qui est dirigé par M Georges Verbeke, le tout dévoué Secrétaire Général de l'Œuvre # Los comités de quartier à peine constitués font preuve d'une activité remarquable. Plusieurs d'entre eux organiseront sous peu de brillantes fêtes de bienfaisance au profit de l'Œuvre C'est au 4mo Comité de quartier de Mont-St-Amand,qui se trouvi s»us le haut patronage de M. le Docteur Van Cleemputte H , Bourgmestre de Mont-St-Amand, qui un est le Président d'Honneur, que revient l'initiative de commencer la série de ces entreprises charitables Ce Comité présidé par M. Clément d'Hondt, le mutualiste bien connu, et secondé i par M. M. E. De Fay, Secrétaire et A. De Vos, Commissaire des Fêtes, organisent avec le bienveillant concours de MM Ch. Carels et G. Waterloos et de la Société Gantoise de Musique présidée par M Cooreman, dont la direction est confiée à M. Ch. de Sutter, cette fête d'un cachet si particulier. Jî. Au Théâtre Pat hé vroruj* artisxiqae sympnamque gantois. Le programme de la semaine dernière était très éclectique, pour ne pas dire « trop ». Pour débuter l'amusante Ouverture de JTolin de Mé-hul, aux grandes traditions classiqueo, sur laquelle tranchèrent les deux morcoaux suivants, deux fantaisie* : la première, Btinie de» Bajtdir't, do A.Wormwer, un contemporain français, où les effets combinés de clarinette, flûte et tambour de basque arriveit à dessiner sur un fond d'orientalisme, une ligne serpentine et ondoyante qui charme, la seconde le Preludium de A. Jarnefeld. une page remarquable, d'une orchestration surieuse, finissant de façon bizarre par deux notes de : carillon Une première, sous la direction de l'auteur M. Lo- { neeuw, Un Rêve, sou» la Charmille, fut favorablement ! icceuilli par le public Elle constitue, en somme, une 1 fort jolie romance bien orchestrée et à ce point de vue l'auteur a droit à tous nos éloges Cependant la facture I ine semble trop démodée : son harmonisation rudimen- 1 taire, genre boethoviea, no satisfait plu» au* exigence* j modornee Cela fait l'effet d'un romantisme suranné. M. Leneeuw, par le fait qu'il est instrumentiste à l'orchestre Guillemin, est trop imprégné par la façon de faire des grands maîtres et oublie trop son individualité et son époque C'est un tort évidemment; mais quand on dispose de son inspiration, on peit s'en corriger aisément.Comme toujours le Flirtation de Steck, valse lente, ultra-distinguée, réunit tous les suffrages. C'est 1 apéritif-morceau par excellence. C'est avec plaisir que nous avons réentendu la Symphonie en Sol de Haydn à l'Adagio enjoué, le Largo, si majestueusement par nos violoncelles, le M'nuttto si fin, l'amusante fête champêtre que constitue le Finale. A entendre cette symphonie on se rend compte que Beethoven avait étudié Haydn à fond On retrouve chez l'un comme chez l'autre la même fraîcheur des motifs ; seulement la façon de développer ces thèmes varie essentiellement. Haydn énonce le sien, le présente sous la forme la plus aimable, la plus prenante, puis son inspiration suit son cours et il passe à un autre motif, Beethoven au contraire le développe, le fait passer d'instrument en instrument, dans toutes ses variations possibles; il en extrait le matériel juste nécessaire pour bâtir son édifice qui devient une merveille de stabilité, d'équilibre et de symétrie. A ce concert nous eûmes encore le plaisir d'applaudir Mme Mormesnil dans l'Air des Bijoux de Fausty l'air de Chérubin (1*" acte) des Noces ds Fi aro et surtout dans la Traviata. Mme Mormesnil, dont il est inutile qus je détaille à nouveau les belles qualités vocales, enlève ce morceau, con brio, comme il sied au maître italien. Pour finir la pimpante ouverture de Boiëldieu « Le nouveau Seigneur du village ». o O Quelques considérations au sujet de la mystérieuse maladie espagnole La nouvelle maladie qui s'est d'abord manifestée en Espagne ot qui déjà se répand en Europe et même à Gand depuis quelques jours, attire l'attention des sommités médicales du monde entier. ( J'est à peine si l'on peut admettre qu'au vingtième siècle, alors que l'art de la médecine a réalisé des progrès si considérables. il soit possible qu'une maladie apparaisse dans un pays civilisé d'une façon si mystérieuse qu'on est forcé de croire à un mal nouveau. Cette opinion est pourtant confirmée par les dépêches qui signalent des symptômes ne ressemblant en rien à ceux des maladies connues jusqu'à présent. La rapidité de la contagion ainsi que les manifestations de fièv-es faisaient d'abord songer à une sorte d'influenza. Mais la constatation de troubles intestinaux fit qualifier la maladie de peste. Comme il ne pouvait être question de la dangereuse peste bubonique, on se demanda s'il ne s'agissait pas de la gangrène pu'monaire; mais d'où proviennent alors les troubles intestinaux ? Maintenant on est généralement d'avis qu'il s'agit d'une influença particulièrement nuisible. On sait que chaque année, au printemps, se manifestent, toutes sortes de maladies qui étaient qualifiées de grippe jusqu'en 1892, année où l'on découvrit le bacille de l'infiuenza Au début, cette dernière était considérée comme un mal sans gravité, mais bientôt on constata qn'elle pouvait avoir des conséquences assez desagréables, voire même dangereuses. Pour être sincère, nous devons avouer que, jusqu'à présent, on n'a pas trouvé de remède efficace contre ce mal. Au contraire, on doit se borner à traiter séparément les affections par rapport aux organes atteints. Dans le public, on est enclin en général à qualifier d'influenza les indispositions vagues provenant de catarrhes et de refroidissements; d'ailleurs, d'autres maladies encore présentent, en même temps que la fièvre, les mêmes symptôme^ que l'infiuenza. C'est pourquoi on ne devrait se servir de ce nom qu'après avoir trouvé les bacilles de la maladie au cours d'une analyse bactériologique. Et alors encore on rencontre dans la pratique de grandes difficultés, attendu que les bacilles, corps très délicats, présentent peu de résistance ; au microscope, ils apparaissent sous forme de petits bâtons immobiles. Qiiconque a été atteint de l'infiuenza, sait quo la maladie se manifeste d'abord par de l'abattement et de la faiblesse ; le corps tout entier est affecté. En même temps que des frissons apparaissent la fièvre, les maux de tête, la lassitude ainsi qu'une eertaine courbature dans le dos et dans les reins; à cela viennent s'ajouter des douleurs dans les muscles, dans les articilations des ; membres, dans les yeux, principalement loisqu'on fait ; mouvoir ceux-ci. De plus le malade a souvent les poumons attaqué?; le mal dégénère facilement en pneumonie surtout s'il existe d'autres germes do maladies. En général, il n'est pas un seul organe qui ne soit atteint. Un convalescent n'est pas préservé d'une rechute; lo Mal peut Même le frapper peu de temps après la première atteinte. Tout comme dans le typhus, il arrive qu'un convalescent porte en lui, pendant plusieurs années les germes du mal, de sorte qne toute apparition de la maladie ne doit pas être attribuée à une nouvelle infection. La forte contagion de la maladie s'explique par le fait que les bacilles pénètrent dans le corps par les voies respirafoires. Un petit nombre de bacilles peuvent infecter un milieu, de sorte qu'en cas d'épidémie, il faut se garder d'approcher des malades. En toussant, en se mouchant et eu éternuant, ceux-ci répandent dans l'air ! des bacilles qui sont absorbés par un autre individu ou ' s'attachent à des grains de poussière et atteignent ainsi des personnes même éloignées. A ce propos,remarquons l'opportunité d'une campagne contre les mouchoirs de poche en étoffe, dans lesquels les impuretés de la bouche et du nez se dessèchent et se réduisent en poussière de sorte que les bacilles se répan-deut de nouveau dans l'air. Après la guerre, les pouvoirs publies devraient s'oceupor sérieusement do cette question d'hygiène et défendre même, sous peine d'amende, de cracher sur le sol. Actuellement on no peut évidemment songer à introduire l'usage du mouchoir en papier. Enfin pour la maladie espagnole, on accuse les moustiques de repandre la contagion ; ils jouent le rôle d'inter- j médiaires, comme cela arrive s »uvent dans les mala Mes infectieuses. Néanmoins les tjiscioles d'Escu'ape restent perp exes devaut cette nouvelle manifestation. Malgré tous les piogrès que la science médicale a faits dans les dernières années, il apparaît chaque jour que le domaine de l'inconnu est encore immense et il y a tout lieu de oroire que i'avonir noua réservera encore bien des sur. prises. ëhKiskgiiB MUSIQUES. — p. et A. Beyer, éditeurs de musique, P. Struyf, succeooeur. Grand choix de musiques belges et ; étrangères. Lutherie artistique. Cordes farantics justes ! sonores. Acceoooireo divere. VÊTEMIiNTS. — On annonce un arrivage important i de vêtements pour le Comité national de Secours et d'Ali-i mentatien dans le courant du mois d'octobre. La popula-tion recevra des cartes spéciales aussitôt que la distribu-! tion pourra commencer. CONFISERIE eheeel. Bd. De Vynck, r. 3t-Georgos,22. PRÊTS.Achat, vente propriétés.Minnaert, b*Béguin.21. PAIN. A la suite d'un arrivage important de farine, i le Comité National fera distribuer pendant une quinzaine j de jours du pain de froment. Le prix est ixé à fr. 0,72 par pain de 10S0 gr. La ration n'est pas changée. L'ONGCÏENT Pédiphile guérit pour toujours cors aux ; pieds, eeils de perdrix, durillons. Une seule application suffit. Se eoneerve des années sans perdre de sa valeur. • Gacons, pharmacien, rue de l'Eglise, 34, Ledeberg. FONDS publics. — Gillet, rue longue des Violettes, 37. SEMELLES et TALONS de CHAUSSURES en «OMEGA ». Plus solides et meilleurs marché que le cuir. Maison Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. BUREAUX DE VENTE du Comité Urbain de Secours et d'Alimentation. A partir du 15 juillet le bureau de vente n. 21 sera réuni avec le n.8 et établiVieille r. porte du Sas, 95. A partir de cette date, la répartition des cartes de ménage se fera comme suit : Lundi, exclusivement pour les bateliers; mardi n. 6000 à 9999; mercredi n. 6000 à 5999; jeudi n. 4159 à 4999; vendredi n. 4000 à 4149; samedi n. 3250 à 3999; lundi n. 3000 à 3249; mardi n. 2200 à 2999; mercredi n. 2000 à 2199; jeudi n. 1200 à 1999; vendredi n. 1000 à 1199. U. LAURENT, aveiue di Grand Maraie, 211. — Transport. Camionnage en ville, à l'heure. BEURRE. — Commission locale de ravitaillement.— Lundi 8 juillet, les 4 premières séries de la première section Se munir de la nouvelle carte P.B.C.. Ration 100 gr. au prix de fr. 0,65. La poudre SANA supprime les inconvénients de la transpiration, 1,25 fr. EN TOUTE BONNE PHARMACIE. ACHÈTE Antiquités. — Petite Turquie, 15. CARTES P. B C. — Les instituts et les maisons de logement sont priés de retirer au bureau, rue de Bruges, 26, les eartes qui seront à leur disposition les 8, 9, 10 et 11 juillet. Sans cette carte il ne sera pas remis de chicorée, de beurre, ni d'autres denrées. CHLORUREde chaux. Ragghé.r.d. Plaisanee,159,Gand. LA BANQUE l'Union du Crédit de Gand, Société Ano-; lyme, foidée en 1855, Siège Social, Place St-Michel, lé, lureau Auxiliaire, rue de Flandre 32 à Gand, a l'honneur de porter à la eoasaiwanee dn public qu'elle a ouvert un Bureau Auxiliaire, à l'avenue Elisabeth 19 à Gand. Le bureau est ouvert le matin de t heures à midi, et l'après-midi de 2 1/2 à 5 1/2 heures, le samedi après-midi excepté. BISCUITS. — 4* vente. Ration, 2 biscuits par personne au prix de 6.20 fr. pièce. La vente se fait sur présentation de la carte de ménage du Comité National et de la nouvelle carte de charbon (carte brune). Lundi 8 juillet, de f à 10 heures, n. 23401 à 23800 ; de 1« à 11 h., n. 23801 à 24209 ; de 11 à 12 h., n. 24201 à 25400 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 2Î401 à 25900 ; de 4 1/2 à 5 1/2 n. 25901 à 26300. Mardi 9 juillet, de 9 à 10 h., n. 26301 à 26700 ; de 1® à 11 h., n. 26701 à 27100 ; de 11 à 12 h., n. 27101 à 275C0 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 27501 à 27850 ; de 4 1/2 à 5 1/2 h., n. 27851 à 28200. Mercredi 10 juillet, de 9 à 10 h., n. 28201 à 28600 ; de 19 à 11 h., n. 28601 à 29000 ; de 11 à 12 h., n. 29001 à 29400 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 29401 à 29750 ; de 4 1/2 à 5 1/2 h., n. 29751 à 30100. Vendredi 12 juillet, de 9 à 10 h., n. 30101 à 30500 ; de 10 à 11 h., n. 30501 à 30900 ; de 11 à 12 h., n. 30901 à 31300 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 31301 à 32700 ; de 4 1/2 à 5 1/2 h., n. 32701 à 33100. Samedi 13 juillet, de 9 à 18 h., n. 33101 à 33500 ; de 10 à 11 h., n. 33501 à 33900 ; de 11 à 12 h., n. 33901 à ; 34300 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 34301 à 34650 ; de 4 1/2 | à 5 1/2 h., n. 34651 à 35000. MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Champs, 32.Vente et location de pianos par mois, pour soirées et concerts. MAGASIN COMMUNAL n. 1. — 8* série, 8 juillet» 9*, 9 juillet ; 10», 10 juillet ; 11\ 12 juillet; 12», 13 juillet. BUREAU de change Jules Dossche, 27, dig. de Brabant. PAPIERS et sachets, Van den Breen, b*dc l'Abattoir, 17. COKES. — Commission locale de ravitaillement. — Lundi 8 juillet, n. 4301 à 5200. La vente se fait à l'usine à gar de 8 1/2 à 11 1/2 h. sur présentation de la partie A/B de la nouvelle carte brune (carte de charbon). Le prix est fixé à 3 fr. 50 par ration de 50 kg. GUÉRISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir et Uniment Heyidrickx. Pharmacien Heyndrickx, chauesée de Bri*e*e8, 2, L«deberg-9a«d. ALPH. DE TAEYE, r. de Courtrai, 6, Meubles. Literies. G. WTTERWULGHE. Ag. de change, agréé, 59, Coupure, r. g. Nég. fonds publics, coup.-ehèq., monn. étrang. POUSSIÈRE DE COKES. — Commission locale de ravitaillement. — Lundi 8 juillet, n. 17001 à 17500, mardi 9 juillet, n. 17501 à 18000. La vente se fait à l'usine à gaz de 2 à 5 h. sur présentation de la partie A/B de la nouvelle carte brune (carte de charbon). Le prix est fixé à 2 fr. par ration double de 100 kg. FOUR A PAIN « LE MERVEILLEUX ». Çtiltlt pain, la viande, la pâtisserie. Sèche les légumes, les fruits, sur feu à gaz et ordinaire. Maison Dutry-Colsên, rue des Champs, 12, GAND. SONNERIES ÉLECTRIQUES. Geniets, 14, r. Brabant. SALLE TAETS.— Nous apprenons de première source que le « Cercle entomologique des Flandres » prépare une nouvelle exposition d'insectes à la salle Taets. On se souvient du succès des précédentes expositions. Nous savons dès aujourd'hui que la salle du premier étage sera réservée à la biologie. Aquarium, fourmilliêre, ru.:hes d'abeilles, etc. L'exposition s'ouvrira le 14 juillet. ASSORTIMENT COMPLET d'OUTILS pour SABO-, TIERS. Qualité supérieure. Maison Dutry-Colson, rue j doo Champs, 12, GAND. MAISON DANGOTTE. Grand arrivage de verres moui seline pour Cafés-Brasseries. UNION Pharmaceutique des Flandres. — Pharmaciens de service le dimanche après dîner, 7 courant : pour Gand (Dock-Porte d'Anvers) et Mont-St-Amand, M. Van Bockx-staele, rue d'Anvers, 10; pour Ledeberg et Qendbrugge, Pharmacie Leyman, rue Eggermont, Ledeberg, , ^ ECONOMISEZ vos CHAUSSURES par l'emploi des Protecteurs « DUC » pour chaussures d'hommes, dames et enfants. Légers - Solides - Pratiques - Elégants. Maison Dutry-Colson, rue des Champs, 12, GAND. HÉMORRHOiDES 1 ! — R. Baetslé, 56, rue Charles Quint. — Alb Baetslé, 48, avenue Elisabeth, Gand. BRIQUETTES. - Commission locale de ravitaille-ment. — Aux jours indiqués ci-dessous, les numéros suivants de la carte P. B. C. peuvent prendre contre paiement, un bon pour des briquettes, rue de Bruges, 26, de 9 à 11 1/2 h. et de 2 à 4 1/2 h. Lundi 8 juillet n. 791 à 1129; mardi 9 juillet n. 1130 à 1468; mercredi 10 juillet n. 1469 à 1807; jeudi 11 juillet n. 1808 à 2146; vendredi 12 juillet n. 2147 à 2397; samedi 13 juillet, n. 2398 à 2648; lundi 15 juillet n. 2649 à 2899; mardi 16 juillet n. 2900 à 3150; mercredi 17 juillet n. 3151 à 3450; jeudi 18 juillet n. 3451 à 3800. La ration est fixée à 10 kg. par personne avec un minimum de 25 kg. par personne et un maximum de 150 kg. par ménage. Les instituts et les maisons de logement ne sont provisoirement pas servis. Les numéros appelés sont ceux appelés sur la carte P. B. C. LES PENSIONS militaires seront payées le 10 courant. VAN D5N BOGAERT, m. au Beurre, 10, ag. de change. LIGUE du Commerce et de l'Industrie. — Le Comité central a rendu hommage à son très estimé président, M. Ch. De Waegenaere, en lui offrant, à l'occasion du 25* anniversaire de sa nomination comme administrateur, une adresse richement enluminée, due au talent si apprécié de l'artiste M. de Tracy. HORLOGERIE suisse Behaegel-Mees,ehaussée de Courtrai, 128, et chaussée d'Anvers, 54, Gand. IL- VIENT DE S'OUVRIR aujourd'hui à Gand une salle d'art dans les magasins de la maison Provoyeur, rue basse des Champs, 47. L'ensemble des objets exposés et destinés à la vente engageront les amateurs à visiter la salle d'art où ils pourront aussi admirer quelques-unes des dernières oeuvres de notre concitoyen, le peintre J. F. De Boever. JEAN JOSKI, rue du Poivre, 14-16, Fournitures générales pour Eau, Gaz, Electricité. AVIS AUX BRASSEURS. — Une importante société de brasseurs est fondée à Gand pour la fabrication des bières à fermentations haute et basse. Le comité se réunit tous les mardis à 3 heures chez M. Van de Wiele, Grand Hôtel, boulevard du Jardin Zoologique à Gand; les brasseurs intéressés de l'arrondissement de Gand et même des Flandres sont invités à ces réunions en vue d'y recevoir tous les renseignements nécessaires. KROONBITTER apéritif. Seul dépositaire : De Koning, rue des Remouleurs, 24. OUD-GEND. —Jusqu'au 11 juillet 1918. 1 « Pages éparpillées ». 2. « La Flèche empoisonnée. Grandes nouveautés. Vendredi prochain : « La Vengeance de la Terre I » (Exclusivité). Cacao sucre « MARGOT », Café mélange «LEXTRA», Amidon composé « LE LIS», Pudding Powder«PAX». Vente en gros, LÉON ROTSAERT, 7, rue Poudrière, (près Boulev. St-Liévin). MODERN PALACE. — Jusqu'au 11 juillet 1918. Pour la première fois en Belgique. Exclusivité du Modem Palace : ... « Et ne nous laissez point tomber en tentation... », grande comédie sentimentale en 5 parties, jouée par Ellen Richter et Rich. Loos. « Rigadin candidat député », comédie jouée par Prince, en 2 parties. Etc., etc., etc. DEMANDEZ partout savon Espéranto; le meilleur; adoucit la peau. AU MINARD. — Vue l'énorme succès il sera encore donné cinq représentations de « Eva », dimanche 7, lundi 8, mardi 9 et jeudi 11 juillet. Dimanche matinée à 3 heures. Prochainement « La Mascotte ». L. BALLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogène». THÉÂTRE PATHÉ. —Jusqu'au 11 juillet. « Poing de Géant ». Grand drame en 5 actes. Série d'or 1918, joué par Henny Porten, lr« Partie. DONS de M. Emile Van Ceulebroeck à la mémoire de Mad.Van Ceulebroeck : Sans nom non sans cœur 1000 fr.; Œuvre des crèches 500 fr.; Œuvre des éprouvés de guerre 1000 fr.; Cercle du Rabot 500 fr.; Bureau de bienfaisance (pour les vieux conjoints) 3000 fr. Bulletin Financier Bourses ofâoieuses de Gand des 1-3-5 juillet. C'est toujours la fermeté qui domine à la Bourse de Gand. La Banque de Flandre continue sa marche ascendante à 1420-1425. Banque de Gand attend son tour à 870-875. Banque Belge du Travail,• nous basant sur les bilans publiés, ainsi que sur les dividendes distribués, nous avions dit prévoir une plus-value sur ce titre; dès lundi on fait 775 à 785, vendredi on décroche le cours de 800 et reste demandé en clôture à 810. Les Banques d'Outremer cotent 840 environ. Que dire des Tramways Electriques de Gand; c'est une véritable marche triomphante I Les capital sont vainement demandées ; les jouissances font 100; quant à la dividende, elle a été cause d'une petite manifestation en Bourse, quand mercredi dernier elle décrochait le cours rond de 100 fr.; comme toujours, ce cours était considéré comme une barrière ; ce n'a pas été le cas : en un clin d'oeil tous les titres sont absorbés, 102 1/2 est fait et refait, et vendredi, 105 est fait et on reste demandé. Nos renseignements, qui sont de sources sûres, nous permettent de dire que la valeur intrinsèque de ces titres est de beaucoup supérieure à ces cours 1 Clouteries et Trefîleries des Flandres demandées respectivement à 800 et 500 les capital et les dividendes. Textiles fermes sans affaires Gantoise 1600, Liève 1100, Lys 1650, Filatures et Tissages Réunis 82 1 2 A, Nouvelle Filature du Canal 126 1/4. La Colonial Rubber demandée à 52 1/2 offerte à 55. Nous ne pouvons donner tous les titres qui ont été traités, citons en passant les capital Buenos-Ayres à 73 et 75; divid. Bangkok à fr. 50 fond. Intertropical à 180, Barce-lona Traction à 108, Brasseries de l'Etoile à 140 etc. A Biuxelles la Bourse est calme, très calme, les cours ne varient guère, mais on sent le désir de réalisation. Banque d'Outremer 835-837 1/2. Caisse de Reports 1420. Chemins de fer Alx-Maestricht. On avait haussé sur le bruit que cette société avait vendu des concessions de charbons. Or, ces mines elle ne les a qu'en location et même en 1915 elle avait dû les rendre au gouvernement Hollandais sans indemnité. Le gouvernement Hollandais vient de faire même une proposition d'abandonner cette location de 2 millions de florins, ce qui certes ne sera pas accepté. Blaton Ath (canal de) les résultats de 1917 permettent le tirage de 98 obligations à rembourser à 300 fr., et de payer le coupon bleu N° 47 par fr. 6,00. Brazll Railways le Brazil Railwavs a vendu la partie de sa concession située en Uruguay dans des bonnes conditions ; elle emploie le produit de cette vente à lever ses obligations 5 °/0 convrrt'bles, ainsi que ses obligations Brazil land, Cattle et Packing C°quVlle avait déposé en gages. Canadian Pacific. Us recettes de la 2m° semaine de juin s'élèvent à 2.914.000 doli. en diminution de 253.000 doll. sur la période correspondante de 1917. Flandre Ocetden-

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