Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1918, 10 March. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Seen on 28 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/bc3st7gh85/
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Possibilités Havas annonçait celle semaine : « A partir du 15 avril j fonctionnera entre New-York et Washington un _service ; journalier ,1e poste aérienne. Les crédils néce,s.,rc. on j déjà été volés. Pour le moment, on procède fébnlement ; aux installations. » . { 1 La nouvelle vient d'Amérique et, généralement, on a l j ce que , ela signifie. Le bluff est en c f une ,-s M'es fa.- , bbss -s ca:aei'risiîques des.dcar oid * O-r.-Atk» . i tiquc llks port, la plupart du „:nps i exag.r-r au* I et au* oreilles de l'Européen tout c» qui P-"1 ,A'»a "î I (jv. a.,»lc»na«f la supériorité d.-s Etats-Unis. Le Y.m-ke;«uinsi America for over. il confère en que que I sorte comme un devoir national de -! -montrer que c <. I son pays qui possède les plus grands ponts, les maison, | les plus hautes, les express les plus raptdes, et les seuls | hommes qui gagnent 150.000 dollars en restant a Ide I dix h. ures du soir à six heures du malin. Cette fois ci, I pourtant, je crois que nous pouvons ajouter foi a la nou- | veU Elle n'a d'ailleurs rien d'étonnant. L'aviation est, I av le cinéma, une des franches de l'acliv, é humain I que nous avons vu naître sous nos yeux il n y a guère I longtemps et qui, en que.ques année,, a dépassé en rapi- I dité d'expansion tout ce qui s'est jamais fait. Comme nous | semble lointaine, maintenant, l'époque .u Wilbur Wnght L stupéfiait le monde en réussissant un v I de cinq cents ni-- I très à quelques pieds de hauteur I Nous irons, voyageurs étranges, Jusque sous les talons des anges, Décrocher les astres du ciel ! Ainsi chamaille doux poète des Odes Funambulesques, I le héraut de la Sainte Bohème, en un chant prophétique [ qu'il dédiait à sa maîtresse aux temps où les hommes mar- K chaitnt A prôsentils volent, et la prédiction de Théodore I do Banville s'est réalisée. Si les étoiles ne sont pas solidc- I mpnt accrochées, elles n'ont qu'à bien se tenir. \ ' Rappelez-vous les premiers vols des frères Wright, de I Lanser de Kinet, de Blériot, de Paulhan et de tant d au- I ,res précurseurs dont la plupart ont payé de leur vie des | essais aussi courageux que téméraires. Rappelez-vous en- I suite Pégoud, le fougueux Pégoud, le prestigieux Pégoud, [ l'homme qui volait la tête en bas avec le ineme sans gene I que celui qu'il déployait lorsqu'il prenait tranquillement son | bock à la terrasse d'un café. C'est depuis Pégoud que I l'aviation a pa'ssé du critérium des tâtonnements dans celui I (i > l'utilisation pratique. Et, ccmme le negre, Pégoud a K continué, jusqu'au jour où il est tombé en héros. Gloire a I son âme Vous me reprocherez peut-être de nourrir a 1 é- 1 gardde cet homme un sentiment d'admiration excessive. I Que non Je ne raffole pas le moins du monde des cassc- I cou et ce n'est pas pour son audace que j'avais voué à ■ pégoud une espèce de sympathie respectueuse. Mais cet Ë aviateur était pius qu'un individu en chair et en os. C'était i un symbole. En lui s'incarnaient non seulement l'énergie I et la hardiesse de son temps, mais aussi la quintessence I d'une époque qui avait l'ambition de tout chambarder, de I tout renouveler. Enfin, — cl voilà son plus grand mérite — I Pégoud avait une valeur philosophique : c'était l'homme ■ qui, le premier, avait vu le monde à l'envers. I Depuis la guerre, l'aviation a brillamment démontré sa ■ supériorité écrasante sur tous les autres modes de loco-B motion aérienne. La machine volante est devenue l'œil du I cyclope qui s'appelle l'Année. Les distances n'existent I plus. La pratique de la nouvelle arme est le Sésame ouvre-I ioi de l'avancement militaire. Malheureusement, les ailes K de bambou et de toile dont se sert l'homme sont loin | d'être aussi inoffensives que celles dont s'était muni Icare I lorsqu'il s'enfuit du labyrinthe. Pour le moment, elles n'ap-I portent que mort et désolation. Les Américains auront ■ l'honneur de les vouer à une besogne plus humaine. La création du service postal aérien New-York-Wac-E hington me paraît être un indice. Que fera-t-on, après la ■ gu rre, de ces milliers de machines superflues? Les jetterais t-on comme vieux fer? Il me semble qu'en Amérique on a B trouvé le joint. Depuis trois ans,l'aviation a montré ce qu'elle ■ vaut. Une fois la paix conclue, on sera en possession d'un I matériel coûteux,perfectionné,et l'on disposera d'une légion ■ d'aviateurs expérimentés. Quoi de plus sensé que d'em- ■ ployer ces gens-là, avec leurs appareils, à un service I qui exige beaucoup de célérité ? Quel service, autre que ■ celui du transport de correspondances et de petits colis K " légers, pourrait-on mieux leur confier ? Au début, la chose ■ présentera évidemment beaucoup de difficultés à cause de ■ l'intervention d'une foule de facteurs désagréables — l'état ■ de l'atmosphère, par exemple — mais cela ne veut pas ■ dire qu'il faudrait renoncer au service en cas de beau ■ temps. Et que d'avantages les jours où le transport se ■ ferait par voie aérienne ; rapidité, distributions doublées ■ ou triplées, peut-être réduction de la taxe, et ainsi de suite. ■ Dieu sait si ce ne serait pas là le moyen de réaliser le H penny postage, la taxe universelle de dix centimes pour B le transport des correspondances, surtout si, une fois la H paix conclue, les hommes d'Etat parvenaient à réaliser | H. pratiquement le principe de la Ligue des Peuples. I II ne faut évidemment pas encore s'emballer. Attendons H voir, comme disait l'autre, ce que donnera l'initia-B tive qu'on vient de prendre à New-York. Mais ce ■ n'est pas une raison pour discréditer a priori les j ■ résultats possibles de la tentative. Il se trouvera tou-B jours des gens pour prétendre que l'aviation est défavora-B ble au commerce des pantoufles et des bonnets grecs. ■ D'un autre côté, heureusement, il s'en trouvera pour s'in-^■téresser à l'entreprise. Et ces derniers, je crois, seront ■ dans le vrai. Si l'affaire réussit, quels nouveaux champs ■ d'action dans le monde entier 1 Tenez, j'ai fait un rêve, un B teut petit rêve. J'ai vu Gand dans quelques années. J'ai B vu partir un avion postal ayant à bord des numéros du B Journal de Gand ; il les déposerait à Ostende et à An-B vers quatre heures avant l'arrivée de l'express qui appor-B tait généralement aux abonnés leur numéro préféré. J'ai ■ vu nos courtiers maritimes, joyeux et exubérants parce ■-que leurs cotes de frets n'étaient plus exposées à rater le ^■départ de la malle Ostende-Douvres. J'ai vu des machines ■ aborder délicatement la plate-forme idéale de l'église St-Michel ; j'ai vu s'engouffrer les colis qu'ils apportaient ■ dans un tube pneumatique reliant directement la tour aux ■ bureaux des postes <lu Marché aux Grains. Et que n'ai-je vu ■ ensuite ? J'ai vu toute l'extension que prenait le service de ■ la poste aérienne dans notre bonne ville. J'ai admiré jus- ■ qu'aux installations de la Compagnie « Ciel et Terre » — ^■société anonyme contre la perte de colis transportés par ■service aérien — nichés dans les locaux du Flandria-Palace ^■auquel les bombes avaient prêté vie. J'ai vu.... Dieu, que ■ n'aurais-je vu encore si je ne m'étais éveillé. Rappelé à la ■ réalité, j'ai froidement envisagé la situation et, ma foi, j'en ■ suis venu à me dire que tout cela n'était peut-être pas tout ■ à fait impossible. Mais pour le réaliser, il faudrait que la ^Ëguerre soit finie. Or, la diplomatie n'est pas encore arrivée ■ au même degré de développement que l'aviation. Elle s'en ■ tient encore toujours à l'ancien système, elle est encore ■ toujours du siècle des frères Montgolfier. Au lieu de se ■ jeter bravement, comme le fait un avion, tout droit vers ■le soleil, elle se borne à lancer de temps en temps un ■ pauvre petit ballon d'essai qui s'en va tristement mourir ■ quelque part au coin du tapis vert, non d'une table, mais ■ d'un vulgaire plancher des vaches. Raoul Gustave. Is-ea wemmansujmeni „ ae uana Depuis la guerre, il s'est institué dans toutes les communes de la Belgique une organisation d'une extrême utilité, appelée communément « Coin de Terre », « Werkmanstuinen », « Volksakker » etc. Ces institutions sont nées du besoin d'utiliser jusqu'au dernier mètre carré de terre disponible, en vue d'une production de cultures pouvant servir au ravitaillement. Il est peu ou point de villes où 1 organisation des < Werkmanstui-nen » ait pris un développement aussi rapide et au«si sérieux au point de vue du rendement qu'à Gand. L œuvre y est présidée par le Bourgmestre et l'échevin Anseele, et confié# à la direction du Service des plantations de la viile. L'institution remonte à 1015, et chaque anuée est veuue ajouter une amélioration à ce qui [Jim inehe 10 mars 1918 10 c ii e j urnér 62* a^née — N08 64-70 Journal de Gand , ojeio jcs jfx.. v • rédaction et Ad htraUon : 3, KUl DE FLAN DUE, b, GAND br; marner ts : "N ? A VINGT CV Q, TSTMMSTR existait l'année précédente. ~ lc:s qu'm 1915 ies < Werkmanstuinen > commençaient modestement avec 225 cultivateurs, au début d.- 1918. ! nombre des cultivateurs s'élèv » à environ 3250. Le but de l'institution des «Werkma t uin1 s» e ;t de venir eu aide à la partie de la class • ouvrière qui lutte difficilement contre la cherté de la vie. Non seulement elle apporte a eeiie-ei u:i important secours, inah elle est une aide puissante pour :.e ravitaillement de l'ensemble d<i la popuiatioa. 13n effet, tout cultivateur d'ua ter rain prêté par 1. Ville consent ;i la suppression du rationuem'eâten gommes de ter e à raison d'une personne par are. cultivé. IL s'en suit que le t ravail du service dn • v/itailiement est fortement limi nié. Cette année notamment, où h nombre des cultivateurs s'élèvera à 3250, ou peut évaluer la superficie totale des terrains en cul tu r 3 le 112^ à 120 hectares. La production des lots de ter: :..n alloués aux «Werkmanstuinen » est as ez variable selon la nature du sol et surtout selon les soins et les engrais donnés par les cultivât-euro L'année dernière ii a été constaté que certains d'eutr'eux obtenaient comme production plus que le double de ce que révisaient leurs voisins immédiats. Comme i- a été admis que 75°,0 des terrains disponibles sout affectés a la culture des pommes de tc-rre, ii «-a résulte que sur le territoire de ia Ville do Gand, il y aura cette année80 à iiO hectares produisant des punîmes de terre, Il serait assez difficile d'évaluer d'une-façon exact® le nonrbre de'tonues dénommés de taire que cette culture représente. Mais en nepyenant que la production admise par l'autorité allemande, c'est-à-di-c 10.000 kilos à l'hectare, on arrive à une production de 900.000 kilos de pommas de terre, qu'il faudrait trouver ailleurs si, par l'organisation des « W erkmanstuiueii », les consommateurs ne ies produisaient p#s eux-mêmes. C'est bien pour cette raison que le cultivateur, me- i* s'il n'est pas indigent, doit s'efforce: d'obtenir un terrain. K:i le cultivant il allège le tr.-.wil des administrations publiques et il a le grand avantage de pouvoir parer lui-même à ses besoins. Jusqu'ici les différents tonds de secours et l'Ad mini -tration communale ont accordé gratuitement aux cci.'ti-vatours les plants de pommes de terre, de choux et de poireaux, ainsi que les graines nécessaires à la mise en culture. Depuis trois aus que l'institution existe, les cultivateurs, qui s*nt pour ia plupart des artisans ou des ouvriers non accoutumés au travail de la terre, ont appris à connaître beaucoup mieux les légumes. Rien n'a été négligé pour les y aider. L'œuvre des « Werk-manatuinen » a organisé un? longue série de conférences avec txercices et démonstrations pratiques données par des hommes du mri r Ces conférences sont faites de préférence au\ iimtt- s de la viile, dans toutes les directions, là où les auditeurs se trouvent aussi près que possible de leur terrain de cuiture. Les résultats des premières conférences ne se sont d'ailleurs pas fait attendre et un promeneur attentif aura vu eu 1917 une émulation et une amélioration sensible dans les cultures.En réalité 1 artisan cultivateur est devenu un compétiteur dangereux du « Groenselboer » de carrière. Tout fait prévoir qu'après la guerre cet enseignement ne tera pas perdu et que chaque chef de famille aura les quelques ares de potager qui suffisent à l'entretien des siens. Les Expositions Ainsi que nous l'annoncions dans notre précédent numéros, le « Ci mité de Défense des Intérêts de la Petite bourgeoisie » a organisé, au profit de ses protégés, une exposition d'art dans la salle du Nouveau Grand Hôtel, boulevard du Jardin Zoologique. C'est l'une des plus intéressantes manifestations artistiques que nous ayons eues depuis longtemps en notre ville. De nombreux peintres et sculpteurs gantois, et non des moindres, — y ont coopéré ; l'ensemble est d'une tenue extrêmement digne et séduisante. Aux murs des salonnets s'accrochent une centaine de toiles et dessins; au centre est disséminée avec goût une ravissante collection de bustes et statuettes. Le joyau, parmi ceHX-ci, est un portrait de Fillette, en plâtre polychromé, par Frédéric De Smet. L'attitude et l'expression du modèle ont été saisis avec autant de grâce que de vérité ; quant aux colorations elles sont fines, discrètes et harmonieuses : c'est un des plus heureux essais qu'on puisse voir, en ce genre ingrat de la figure poly-chromée.Un second portret de Fillette, non moins charmant, voisine avec celui-là : c'est un marbre sorti de l'excellent ciseau d'Auguste Boute ; l'exposition est aussi redevable à celui-ci d'un beau masque de femme. Parmi les bustes d'homme il en est de tout à fait remarquables : le Paysan flamand, de Gustave Van de Meersche, le Vieillard de Henri Van den Bossche et celui de Sarteel. II y a aussi d'exquises statuettes : le Printemps, de Van de Meersche, — d'une ligne jolie et d'un modelé si souple ; « Fleurs de Mal », d'A. Boute, — un petit groupe plein de piquant et de brio; « Femme au chien », de Fréd. De Smet, une cire d'une délicatesse et d'un mouvement admirables ; « Honte», par Van den Bossche, — une figure très fouillée et bien équilibrée. Il faut noter encore la joviale et solide Paysanne de Volendam, si richement patinée, par Louis Dubar, l'Orateur, de Sarteel, et une série de petits groupes symboliques ou anecdotiques de Cyrille Couvreur, Dubar, Boute, Sarteel, etc. En peinture, les bons morceaux abondent aussi et les perles ne sont pas rares. De ce nombre sont les six Portraits-études, admirablement enlevés, par Prosper Bôss : trois figures d'enfant intitulées « Printemps », « Eté », « Automne », sont d'une incomparable fraîcheur de touche et d'un charme délicieux. Ce sont, dans un autre genre, d'excellents et beaux portraits aussi, que les crayons de Madame Cauterman; celui de Mme ten B, en particulier, est une page savante et d'une rare distinction. Julien Van de Veegaete a peint une « Mère et son enfant » qui séduisent par la grâce des attitudes et pat l'harmonie profonde de la couleur, — qualités qui se retrouvent d'ailleurs dans les petites compositions qui,complètent l'envoi de cet artiste. Quelques paysages retiennent longuement l'attention : ce sont les fines et vaporeuses marines d'Alphonse Cogen où se reflète toute la poétique mélancolie de notre Mer du Nord; ce sont les coins ensoleillés de Henri Van Metle : la chatoyante « Pluie d'or », et le somptueux mur rouge de la « Ferme à Wachtebeke »; c'est le « Calme » canal, aux colorations si sobres et si puissantes, au dessin si précis et serré, à'Achille Vereecken, l'auteur des somptueux « Azalées »; c'est la « Journée de soleil » de Jacques Dezeine, les nerveuses et vigoureuses notations de nature d'Alphonse Dessenis et d'Octave Soudan, les chatoyantes et lumineuses études d'Alphonse De Cuyper, notam ment ses » Nageurs » et sa « Rue de Flandre », dont l'im- ; prcssion.nistne est d'excellent aloi. Nous en oublions, e1 ' des meilleurs, puisque nous n'avons rien dit encore des ' tal ntu. ux artist - iue sont les Callexvaert, les De Vos, ' les De Buck ( font le Mois de mai est d'un1 si prenante r hairînonic ), les De -Bondi, les De Porre, les Montobio, les Trealliw, ies Raph. Robet i, les Pycke (dont la grande ? page déc rati.v « T . . Moisson des pauvres » renferme beau • ;ip de q;:..:i :t guélqu s erreurs), les Hardyns, I los Hosie, \eSjDe Wette, les Roelandt, les Van Durme, { et tutti quanti. Notons tcu'.efois que la contribution fémi- [ : nine à cette exposition est loin 'être négligeable : Madame j Cauterman, à c l . de ses sup rbes portraits, n^us montre \ \ de curieuses vu le « Gand >.. Mil e Aline Acart a peint [ j d'une touche large et avec une entente très sûre de la mise ) 1 en page et du coloris, -les intérieurs d'églises : St-Ja:ques t et St- Nicolas, Mlle B. Colpaert a touché à divers genres j \ et obtenu dans ses « Fleurs » des effets très heureux, £ Enfin, signalons deux bons portraits, d'une grande ; ress:- ' !;.nce, exécutés par M. A. Desomville, l'actif président du Comité de l'exposition : celui de M. M. De Mul-i lier, le président, non moins actif et dévoué, de PAssocia-i tion, -i -lui de M. Rob. Dubois, son spirituel avocat-con-\ s cil ; t profitons en pour féliciter hautement ces mes-^ sieurà et le Comité tout entier notamment son vaillant l secrétaire, M. Du Brulle, de leur généreuse initiative, ainsi i que du talent et de l'éclectisme avec Iequcls il ont mené à bien leur entreprise artistique. On ne pourrait assez en-» courager une œuvre destinée à venir en aide à une classe ■ socia11 intéressante et trop sacrifié-, celle de la petite bourgeoisie, et destinée aussi à faire mieux connaître et goûter nos "artistes. *• * ! Nos bons «typos» nous ont fait, une fois de plus, parler « petit nègre », à propos de l'exposition des œuvres du peintre De Boever. Au dernier paragraphe relatif à cet artiste ii fallait lire «rigoureux anatomiste» et non«vigou-j reux » .t « superbes morceaux de nu » et non de « vue ». | Nos lecteurs auront sans doute rectifié ces coquilles et ; dissipé l'équivoque, surtout en présence des beaux mode-i lés des deux pages sur lesquelles nous attirons l'attention, j O.V. 3 ÉCHOS D'ART IAu TJiéâtre Néerlandais Keprésentations de Bienfaisano® Panr.i les ciff rents groupes philanthropiques qui, en ' ces temps si durs, se sont révélés le Comité de Secours i ^ aux Eprouvés de la Guerre, organisme officiel et reconnu [ Ipar la Ville, se place au premier plan. Vendredi, 1er mars, cette société avait organisé une représentation de « De Bruid der Zee ». Salle comble et assem 'ée choisie. Succès complet pour les artistes, dont | je n'ai plus à refaire les éloges dans l'œuvre magistrale de j ! nos deux compatriotes De Tière et Blokx. Encore une fois \ ! nos félicitations à tous les interprêtes : Mlle De Vos, De Vis, Boùùaert et Bovy ; MM. Deshayes, Haemelinck, { Reynv«et, De Bouvre et avant tout MM. Roels et De Neef. j * * * , Dalle Hans. Mardi 5 le groupe artistique Caritas avait ' organisé une représentation au profit de la même œuvre, j Encore chambrée complète; parmi les assistants nous avons remarqué des autorités politiques et littéraires, qui depuis le début de la guerre ne s'étaient plus montrées au théâtre. Nous avons eu l'occasion d'entendre leur appréciation : 1 elle est venue consolider la nôtre et était en concordance j ! avec celle d'un public enthousiaste, comme nous l'avons 5 rarement vu. j En tout premier lieu un mot de remercîinent aux artistes \ qui tous y ont prêté leur gracieux et bienveillant concours, ji La soirée a commencé par les Deux Billets, le gentil : lever de rideau de Poise, interprêté con arte par Mlle Bovy, \ MM. Verniers et Haemelinck. Quant à l'œuvre puissante de Fabricius elle a été enle- ç vée de main de maître. Le mot n'est pas exagéré quoique [ nous ayons eu à faire à un groupe uniquement composé jj d'amateurs. Le seul rôle féminin était tenu par Mme Irma Coppitters. g Il faut avoir dans la vie la droiture et l'amour de son pro- \ chain pour interprêter comme elle le rôle de Yolanthe. I Mme Coppiters a un talent incontestable ; elle a en plus du tempérament et du cœur. C'est tout dire. M. Colier extériorisa un Dolle Hans comme je le comprends. Sous son masque impénétrable d'oriental il a caché ses sentiments jusqu'au moment, où telle que la lave, la voix du sang jaillit. II y avait là une gamme sérieusement étudiée; prétendre le contraire est de l'ignorance ou du parti-pris. Figure sévère que celle du major De Weert — M. H. De Gezelle. — Ce rôle, très ingrat, autant que celui de Bronk d'Allerzielen, lui convient absolument. M. De Mey Does — a une prononciation parfaite et une tournure sympathique; M. Van Vlaenderen fut très méritoire en Kees Witte. Une note spéciale pour M. De Clercq, qui, dans son épisode du 3 en Tiemersma, a fait pleurer. M. Sineesters, commandant de la garde, fut très correct. Ensemble parfait, décors et accessoires soignés jusque dans ses moindres détails. Tout le monde réclame une | réédition ! Au nom de nos concitoyens éprouvés, un cor-| dial merci. * * * Au Nouveau Cirque De Vogelhandelaar Décidément, le directeur M. Van Damme a fait un choix heureux en mettant à l'affiche cette opérette d'une fraîcheur et d'une sentimentalité qui en fait spécialement un spectacle de famille. Dire que c'est la troupe Zeemans qui l'interprète est suf- . ■ fisant pour inspirer la confiance au public gantois, qui I jj afflue au Nouveau Cirque. La gentille voix de Mlle De Pes- ; semier fait plaisir dans le rôle de la princesse Marie. Mlle [ \ De Veirman — Christine — comme d'habitude réunit tous * ij les suffrages. Mme Baert a rempli le rôle de la baronne | i Adelaïde sans tomber dans la caricature. Un excellent rôle t ' pour M. De Munnynck est celui d'Adam. Dire que son air ; , du grand-père a été bissé prouve le succès remporté. L'acteur favori du public, M. Moens, a fait sensation \ dans le rôle de Baron Weps. Nous profitons de cette occasion pour le féliciter au sujet de sa soirée de gala. Les gan- l tois n'auront pas manqué d'assister nombreux à cette re- J présentation. M. Dupont, dans le rôle de Stanislas, a été fort goûté. • - Les rôles secondaires ont été tenus avec soin de façon que ' ■{ l'ensemble a été apprécié et sans nul doute les représenta-{ tions de cette semaine seront suivies d'autres. B. \ t I SliPBiiispi fianteisi LES OBJETS à vendre d'occasion pour Pécoulemcn •d squels nos lecteurs ont recours à la publicité de nos petites affiches, peuvent être exposés dans nos bureaux, rue de Flandre, 3, avec indication du prix. MUSIQUES. — P. et A. Beyer, éditeurs de musique, P. Struyf, successeur. Grand choix de musiques belges et étrangères. Lutherie artistique. Cordes garanties justes sonores. Accessoires divers. VIVRES. — Comité National de Secours et d'Alimentation. Rationnement de la quinzaine du 10 au 23 mars : La.ci, 250 grammes par personne, 1,25 fr. la ration pour le salé, 1,35 fr. pour le fumé ; Saindoux, 250 gr. par personne, 1,25 fr. la ration ; Farine de riz. 175 gr. par personne, 0,25 fr. la ration ; Farine de maïs, 175 gr. par personne, 0,16 fr. la ration ; Fèves, 175 gr. par personne, 0,27 fr. la ration ; Café, 50 gr. par personne, 0,40 fr. la ration ; Hareng, 1 par personne, 0,40 fr. pièce ; Vinaigre, 1 dê.ilitre par personne, 0,03 fr.le décilitre ; Allumettes, 1 boîte par personne, 0,10 fr. la boîte ; Sel, 100 gr. pour les assistés des soupes, 0,03 fr. par ration, et 200 gr. par personne pour les non assistés, 0,06 fr. la ration ; Vente libre de cubes à bouillon, 0,07 fr. personne. BUREAU de change Jules Dossche, 27, dig. de Brabant. BANQUE l'Union du Crédit de Gand.- Fondée en 1855. — Siège social : Place St-Michel, 16. Bureau auxiliaire : A. Vanderstraeten, rue de Flandre, 32. — Taux actuel en comptes de quinzaine : 2 1/4 °/0. Fonds publics : coupons, changes, toutes opérations de banque. (1638) NEGOCIATION de monnaies étrangères, chèques, coupons, fonds publics, 11, Quai Oignons, ROD. DE JONGHE. LE COMITÉ CENTRAL des œuvres d'Alimentation a décidé que la 5e distribution gratuite (du 10 au 23 mars) aux participants des soupes (soupes communales et can-tir. es bourgeoises) comprendra 400 grammes de princesses par personne, et la ration de un hareng, 175 gr. de farine de riz, un décilitre vinaigre et une boîte d'allumettes par personne. JEAN JOSKI, rue du Poivre, 14-16, Fournitures générales pour Eau, Gaz, Electricité. DEMANDEZ partout savon Espéranto; le meilleur; adoucit la peau. ÉLECTRICITÉ, Geniets, 14, rue Brabant. COMITÉ National de Secours et d'Alimention. — Il résulte d'une information de la Commission for Relief in Belgiun: » que cet organisme rencontre de grandes difficultés à acheter en Amérique, les quantités de lard et de saindoux nécessaires au ravitaillement de la Belgique. Cette situation oblige, à certains moments, à remplacer le saindoux par des graisses végétales ou à mélanger pareilles graisses au saindoux qu'eiie a pu se procurer. La graisse ainsi débitée, au lieu d'être complètement blanche comme le saindoux, est légèrement jaunâtre, mais ne le cède en rien au dernier produit ni au point de vue alimentaire, ni au point de vue hygiénique. GUÉRISSEZ rhumatisme, goutte par tisane, elixir et Uniment Heyndrickx. Pharmacien Heyndrickx, chaussée de Bruxelles, 2, Ledeberg-Gand. MAISON B. Van Hyfte, rue basse des Champs, 32.Vente et location de pianos par mois, pour soirées et concerts. L'ONGUENT Pédiphile guérir pour toujours cors aux pieds, œils de perdrix, durillons. Une seule application suffit. Se conserve des années sans perdre de sa valeur. Gacons, pharmacien, rue de l'Eglise, 34, Ledeberg. SAUCISSONS DE FOIE. — Vente de saucissons frais au marché couvert de 9 à 12 et de 2 à 4 h. — Prix 3 fr. 50 le kg. Ration environ 200 gr. par personne. Lundi 11 mars, bureau de vente n. 5; mardi 12, n. 4 ; mercredi 13, n. 3 ; jeudi 14, n. 2; vendredi 15, n. 1. La carte d'identité et la carte de ménage seront exigées. LUNA, Pudding Powder. En vente partout. FOUR à PAIN « LE MERVEILLEUX ». Cuit le pain, la viande, la pâtisserie. Sèche les légumes, les fruits, sur feu à gaz et ordinaire. MAISON DUTRY-COLSON, Rue des Champs, 12, Gand. ALPH. DE TAEYE, r. de Courtrai, 6, Meubles. Literies. SERVICE communal du pain. — Vente de biscuits. — Les numéros appelés sont ceux de la carte jaune (carte de charbon). — Les intéressés sont priés de prendre note de ce qui suit : 1) La vente se fait dans les magasins du service, rue du Jambon, 8, aux jours et heures fixés ci-dessous et uniquement pour les numéros appelés. 2) Chaque ménage doit apporter 2 cartes, celle du Comité national (magasins américains) et la carte jaune (carte de charbon). Une même personne peut se charger de plusieurs achats à condition que les numéros en question soient appelés ce jour et qu'elle soit en possession des deux cartes. 3) La ration est de 2 biscuits par tête, au prix de 0,25 fr. pièce. La quantité disponible permet de servir toute la population sur cette base. La distribution complète se fera en 6 semaines consécutives. 4) On est prié d'apporter la monnaie exacte à fin d'accé-lerer le service. 5) On est prié de prendre soin des cartes, les cartes perdues ne sont pas remplacées. Lundi 11 mars, de 9 à 10 h., n. 5201 à 5500 ; de 10 à 11 h., n. 5501 à 5800 ; de 11 à 12 h., n. 5801 à 6200 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 6201 à 6550 ; de 3 1/2 à 4 1/2 n. 6551 à 6900. Mardi 12 mars, de 9 à 10 h., n. 6901 à 7200 ; de 10 à 11 h., n. 7201 à 7500 ; de 11 à 12 h., n. 7501 à 7900 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 7901 à 8250 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 8251 à 8700. Mercredi 13 mars, de 9 à 10 h., n. 8701 à 9000; de 10 à 11 h., n. 9001 à 9300 ; de 11 à 12 h., n. 9301 à 9700; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 9701 à 10050 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 10051 à 10400. Jeudi 14 mars, de 9 à 10 heures, n. 10.401 à 10.700; de 10 à 11 h., n. 10.701 à 11.000; de 11 à 12 h., n. 11.001 à 11.400; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n.11.401 à 11.750 ; de 3 1/2 4 1/2 h., n. 11.751 à 12.100. Vendredi 15 mars, de 9 à 10 h., n. 12.101 à 12.400 ; de 10 à 11 h., n. 12.401 à 12 700 ; de 11 à 12 h., n. 12.701 à 13.100 ; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 13.101 à 13.450 ; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 13.451 à 13.800. Samedi 16 mars, de 9 à 10 h., n. 13.801 à 15.000 ; de 10 à 11 h., n. 15001 à 15200 ; de 11 à 12 h., n. 15201 à 15.500; de 2 1/2 à 3 1/2 h., n. 15.501 à 15.850; de 3 1/2 à 4 1/2 h., n. 15.851 à 16.200. SAVON toilette Victoria dépasse tout. LE RAVITAILLEMENT. — Un de nos abonnés nous adresse la lettre suivante. Nous l'insérons volontiers, car les idées qui y sont exposées nous paraissent mériter un examen sérieux. Monsieur le Directeur, De nombreux organismes s'occupent à Gand du ravitaillement de la population et rivalisent d'activité. Le inc-ment ne vous paraît-il pas venu de concentrer tous ces efforts, par la centralisation des services ? Dans la situation actuelle nos ménagères ont le constant souci de courir aux I quatre coins de la ville pour se procurer 1 %s différentes 'nar.chandisss.inisis en vente par Ls nombreux organis" mes qui s'occupent du ravitaillement ; en outre elles sent en possession d'une série de cartes dont la perte les expose à de cruels ennuis. En concentrant la vente des denrées alimentaires, on réaliserait probablement une grande économie sur les frais généraux tant en diminuant la paperasserie auquel le système actuel doit donner lieu, et il en résulterait une notable économie qui pourrait avoir une influence heureuse sur le prix des marchandises. Permettez-moi de citer un exemple : la distribution des biscuits hollandais se fait pour tout le Grand-Gand dans l'unique bureau de la rue du Jambon. Elle peut être qualifiée de laborieuse, étant donné que pour ce seul article il faudra au moins six semaines avant que tout le monde soit desservi, et elle exige du public qu'il se présente à des jours et heures déterminés. N'aurait-on pas, en cette occasion, pu faire appel à l'intervention du Comité national ? La vente du biscuit hollandais n'aurait-clle pu 6e faire dans les magasins hispano-hollandais (dits américains) sans encombrement et en quelques jours de temps ? Même facilité pour d'autres denrées comme le sucre, le beurre, le saucisson de foie, le carbonate de soude, la chicorée, le lait, les pommes de terre, la viande, etc. En acquérant des magasins spacieux et en les faisant desservir par un personnel nombreux et expérimenté on réussirait à accorder au public la facilité d'être desservi dans son quartier. La centralisation de la vente couperait court à plus d'un abus et mettrait fin à mainte récrimination. Quelle joie pour les ménagères, si en simplifiant le rouage bien compliqué des nombreux comités de ravitaillement actuels on pouvait leur annoncer que désormais elles n'auront plus besoin que d'une seule carte de ménage leur permettant de faire leurs emplettes dans un bureau de vente proche de leur domicile I Poser la question n'est pas la résoudre, mais comme elle est d'une réelle importance, je crois qu'elle mérite d'être étudiée avec le désir d'aboutir à une solution avantageuse pour le public. Agréez, etc. w. MODERN PALACE. — Jusqu'au 14 mars. « Le journal de Collin », grande comédie dramatique en 4 parties jouée par Ellen Richter. « Vie pour Vie », tragédie sensationnelle en 4 parties, jouée par les célèbres artistes Ellen Richter et Lu Syng. Etc., etc./etc. n CHARBON. — 8° vente. Le 2° groupe pourra sous peu commencer à servir ses clients. II comprend les commerçants suivants : De Vos-De Buck Aug., chaussée d'Hun-; delgem à Ledeberg; Eeckman Th., rue de l'Ecole Normale, 13; Van Autrève H., rue longue des Casernes, 27; Van Reckem J., rue de Maltebrugge, 219. Toutes les prescriptions publiées antérieurement restent en vigueur. Le prix est fixé à 4 fr. 25 par sac de 50 kg. et les frais de transport à 0,75 fr. maximum par ration. L c public est prié de préparer à l'avance la carte jaune et la monnaie exacte. VAN DEN BOGAERT, m. au Beurre, 10, ag. de change. PAPIERS et sachets, Van den Breen, bd de l'Abattoir, 17, LE 3° GROUPE des commerçants de charbon pourra servir sous peu ses clients,c.-à-d. les membres des 6 premières sections de la société Volksbelang. PRETS.Achat, vente propriétés. Minnaert, bdBégujn.21. DEMANDEZ partout le savon toilette Eurêka. LE 4° GROUPE des commerçants de charbon pourra servir sons peu ses clients. II comprend les commerçants suivants: Branquaer-Van Nevele G., passage de la Coupure, 3 ; Dick-Masure, Coupure, 74 ; Proot J., quai aux Tilleuls, 11; De Pauw, Boulevard du Gazomètre 174; De Rechter-Bracke A., boulevard du Gazomètre, 187; Vanden Bossche G., boulevard du Gazomètre, 157; Duthoi A., rue de l'Etoile d'or, 28; Everaert Ch., Allée-Verte, 116. E SAVON sans Rival ne contient pas matières nuisibles. g COKES. — La vente continuera aux jours indiqués de f 9 à 11 h. à l'Usine à Gaz, sur présentation de la partie A/B ! Ia carte jaune et exclusivement pour les numéros appe- Ilés. Le prix est fixé à 3 fr. par ration de 50 kg. Lundi 11 mars nM 20901 à 21400 ; mardi 12 mars, nos 21401 à 21900. BOIS DE CHAUFFAGE. — Pour prix et renseigne-jj ments s'adresser Avenue de l'Exposition, 37. jj MANUFACTURE de cigares et cigarettes. Ed. De Loore, « rue du Fuchsia, 104-106. POUSSIÈRE DE COKES. — La vente continuera aux ji jours indiqués de 2 à 4 1/2 h. à l'Usine à Gaz, sur présen-jj talion de la partie A/B de la carte jaune et exclusivement jj pour les numéros appelés. Le prix est fixé à 1 fr. par ! ration de 50 kg. Lundi 11 mars, n08 10601 à 11600; mardi 12 mars, nos 11601 à 12600. I HORLOGERIEsuisseBehaegel-Mees,chaussée deCour-j trai, 128 et chaussée d'Anvers, 54, Gand. i L. BALLIU, rue de la Bienfaisance, 48. Gazogènes. I CONFISERIE chocol. Ed. De Vynck, r. St-Georges,22. t LA COMMISSION locale de ravitaillement rte à la t connaissance de ses nombreux clients que le magasin de f légumes et de poissons établi rue de Bruges, 26, sera : transféré rue Jean Breydel, l'ouverture est fixée au Samedi \ 9 courant. Le dimanche 10 mars, le magasin établi rue de ; l'Ange a Mont St-Amand (Sacré Cœur) sera transféré \ chaussée de Termonde, 143, Gand, HORLOGERIE Kaeschagen, r. Borluut,3. L'heure juste. COMMISSION locale de ravitaillement. — A partir du 15 mars les bureaux établis, rue de Bruges, 26, seront l ouverts de 9 à 12 h. et de 2 à 4 1/2 h. j LE PLUS GRAND stock de meubles anciens se trouve r à la maison d'art. Ad. Dangoite. r LA RECONNAISSANCE est chose rare, dit-on. En tout ji cas il semble cependant qu'elle soit encore de ce monde. ; Nous recevons en effet une lettre de remerciements d'un \ abonné qui a suivi le conseil que nous avons donné ré- : cemment, de s'adresser à la firme U. Laurent, avenue du j; Grand Marais, 212, pour les transports vers Bruxelles, vil- ■ les belges, et pays neutres. EPICERIES «TroisEtoiles» en vente partout.Exig. lamarque, \ UN AVERTISSEUR d'incendie est placé à la disposition f du public, à la première annexe du « Flandria-Palace », f boulevard Albert (en face de la maison n° 76). A L'OUD GEND. — Nous apprenons que mercredi prochain, 13 mars, aura lieu au Vieux Gand, au profit de l'Œuvre de Secours aux Eprouvés de la Guerre, la parodie j gantoise de Paul et Virginie, exécutée par la troupe du l Minard; encore au programme une partie musicale choisie \ et cinématographique. \ HEUREUSE NOUVELLE. — Le dimanche 3 mars on a fondé en notre ville une société qui a pour but de favoriser, ' dans la mesure de ses moyens, les arts, le commerce et l'industrie..Les personnes qui portent de l'intérêt à cette œuvre sont priées de se faire inscrire. Les inscriptions peuvent être envoyées à l'adresse suivante : Sociéié Apollon, local Nouveau Théâtre, rue du pont Madou, 13, Gand. OUD-GEND. —Jusqu'au 15 mars. « Vengée », grande nouveauté. « Déinonios », film détective joué par Nick Winter. Etc., etc. i

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This item is a publication of the title Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire belonging to the category Liberale pers, published in Gand from 1856 to 1923.

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