Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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05 February 1914
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s.n. 1914, 05 February. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Seen on 20 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/k35m90333t/
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Jeudi 5 Février tî Franco en Belgique Un an : iS i » » 5 mois : 8 f » » 3 mois : 4 f: Franco en Hollande Un an 22 fi » Union postale » 32 fi On s'abonne qu bureau du Joumt et dans tous les bureaux, de posft ADMINISTRATION TÉLÉPHONE 567 JOURNAL DE LIÉGE Annonces. . □ ta ligne, 26 Réclames. „ 0 . , » 40 Faits divers o . . » » î.îr Réparations judiciaires » 3 fr Informations financières » 3 fr Avis de sociétés i« pe«e 30 < émissions. . . „ „ » 1 fr FEUâLE POLITIQUE LjïïEME E! C0$$sERùÂL£. - FONDEE EH \m BS ifin A ÉTRANGER FRANCE L'atterrissage des aviateu aile Paris, 4. — A la suite de l'enqi par les autorités militaires de L rien de suspect n'ayant été rév charge des officiers aviateurs al le ministre de la guerre a donné favorable à leur départ. Le ministre de l'intérieur a do: sitôt des instructions au préfet d the et Moselle pour que les officii sent regagner leur pays d'origine, reil a été démonté et réexpédié pai ferrés. 1.03 deux officiers allemands quit né ville à 4 heures, regagnant en bil: la frontière. allemagne Le nouveau ministère d'Alcace-Lo ^Strasbourg, 3. — La Chambre des d'Alsace-Lorraine a décidé do susoei travaux jusqu'au 10 février. On Va ce que le nouveau secrétaire d'Et< ce jour-là des déclarations précise exposera la ligne de conduite qu'il suivre. L abbé Wettei lé écrit dans le Noi d AUace-Lorraina « Nous avons passé sans pdaisi l'épreuve de la dictature et des pas: Qn nous menace maintenant d'une des-' principes de la main forte. Al Il n'y aura de notre, part aucutn© cation, mais pas davantage de servi Notre cause est bonne. Elle est Malgré tous le3 obstacles qu'on sè tificiellement sur sa route, elle trion pourvu que nous sachions garder le et la décision de ceux qui espèrent di nir les revanches du droit et de la vé: Le gouvarnement badoic et les socia Berlin, 3. — A la deuxième Chaml doise, le président du, conseil, M. vo: marin, a prononcé un important di au cours duquel il a déclaré que 1 cialistes collaborant dès maintema travail politique, il voulait travailla tous les partis. Procès c!e trahison Berlin, 3. — La cinquième chambr rectiiaiuelie de Bëiim a condamné a dhui le capitaine de frégate en n baron von der Goltz, inculpé, comr sait, do trahison de secrets militai: trois mois de forteresse. Les débats, qui ont duré deux jour eu heu à huis-clos. Us ne sont rede publics que pour la lecture du jus et des considérants. ,r-11 ressort de .ces derniers que le cap von der Çîolîiz, .actuellement au servi la fonderie de canons Erha.rd, de I) aoi-f, a abusé de l'amitié d'un offtci marina en activité, le capitaine de gâte von .Hoffmann, pour obtenir de <■• 1>ien (Iue ce fût ternent défendu, les tables' de tir ei ,Ti°^Cl'Pr'^ du ma{éri(?l d'artillerie. U a été admis c.>mme circonstance nuante que le capitaine von der Golt-Kfi-Sï e3 VUe (,'uo nntérèt de la m À C ,Tfia?rit' ,e 1)i€h de l'en retenu d e^onnage n'a-t-il pâ Pépcnso à. i'Angleterre i»erlin, >. — Au cours de la séance Hf^SIOn u bud^t, l'amiral von giU déclaré que, concernant le côté nique dey affaires de la marine, il n'a â ajouter aux explications qu'il a mes 1 an dernier et qu'il n'a rien non à en retrancher. Il fait ressortir ou 16 u 10 Pr°P°sé' par l'Angle est encore acceptable aujourd'hui,, . ?nUrrH -un^anilée sans CQnstl'Uct mentionnée incidemment dans un dise lcc.or-il, ne peut pas être réalisée. Après avoir présenté d'autres obsi lc~ "îftoïe sujet, le secrétaire d a J Office de la marine expose que iu< présent, on n'a fait à l'Allemagne au SSffiSW i!os$VÔ et <*ue si elle en va.it une, elle 1 examinerait certaine] avec bienveillance. v?,n T'rPitz fournit ensuite renseignements concernant l'accroisse) lue le budget de la marine de dificr* puissances a épuoiwô au cours des aormères années ot il lait remarquer 1 augmentation a été beaucoup plus a étranger qu'en Allemagne. Il ai » sont accrues en magne de oa millions de mark pendan .:T dernières années et que l'Anirlel QUI avait déjà une Hotte deux foi! È foHe que celle de l'Empire allemanc accru ses dépenses navaJes de 216 lions de mark, c'est-à-dire du quatln «ub compter les dépenses complément: de 60 millions auxquelles il faut s'atten il dit en outre que la France a accru dépenses navales de 134 millions c'est-à-du doci.de et que la Russie a augmenta Sfï X? millions, Cest-à^iiïe du flô^lede IaCBalCeU'UnitIUement P°n angleterre Los armements navals I.ondres, 3. -- Dans un discours qu' prononcé ce soir à Manchester, sir Edw ,niIIllslre (ies affaires étrang f ene' '? la question des moments navals. Il a dit tôut d'abord < n avait aucun secret à révéler au sujet budget de la marine britannique de i nee courante Puis, il a analysé les c ses des grandes dépenses qu'occasiom les armements de l'Europe moderne. •> j z 5 .un4e. 5ue^ion internationale, il dit, et c est en cela qu'elle est grave. ».Cest une chose remarquable, a ajc le- ministre, que le grand accroissement programme de constructions navales grandes puissances de l'Europe a. un e stimulant sur les autres pays. Une dimi tion des niemes dépenses par une p sande ; quelconque n'a pas pour résu d amoindrir les dépenses des autres p sa tces. » Sir Edward Grey, entrant dans le vif la question, djt que si les dépenses na les de la i.raiide-,Bretagne représentent facteur considérable dans les dépei: d armement oe 1 Europe, les facteurs de dépenses sont en réalité hors du conti ae 1 Angleteire. I our leur augmentation dépenses, les autres nations ne tienn pas compte en ce moment des dépenses la Gnuule-Bretragne. Les dreadnoughts que l'Allemagne i en chantier le sont en vertu d'une loi la marine que rien ne réussirait à modi: cette année, quoi que nous fassions. "? !Pa ^ Le ministre é'end cet. argum a/ France, à l'Autriche, à la Russi. lie, en insistant ^ur ce point qu pu'frenee av.aci l'Angleterre nfe motif qui pousse ces nations à < de nouveaux dreadnoughts. rs ~ Si nous annulions complète mands tre programme naval, et si nous iète faite truisions aucun navire cette anné unéville, me 1 année prochaine, je ne crois i ilé à la ^..moment cela provoquerait au< lemands, dnication dans les constructions un avis eJ. a^tres puissances européenne bir Edward Grey ajoute que, -mé aus- conditions, une énorme réductioi e Meur- repenses navales de la part de :rs puis- terre lui courir des risques 1 L'apoa- ^roP ërands. Le ministre, dit que ■ la voie de;:, dreadnoughts est à déplorer nulle part on n'a plus d'qdversic tent Lu- Ançlttrno pour les armements ex< automo- •Lt cûja nua Pas l>arce que l'Ai en souffre plus que les autres natii pas parce que l'effort financier qi gent est plU3 grand eu Angleterre leurs — en réalité il l'est moins parce qu'on est frappé de la sférilit rrainc- dépenses, de la porte d'argent qu'. députés présentent, et qu'on y appréhend îdre ses Qu'elles auront, non seulement sur ttend à dit de l'Angleterre, mais sur celui it fasse r°Pe- auquel tous les pays, aussi s où ii Que puisse être leur situation fin entend sont vivement intéressés. En terminant, sir Edward Grey < ivcllisle ne voit guère de raisons d'optimisn la situation présente, mais qu'il i r par àe défendre de penser que le mom >eports. proche où la pression financière ci reprise les choses et créera une atmosphère lons-y ! ture à rendre les chances d'un acco provo- 4lUC*l entre les nations beaucoup plu lité. t{6s <îu à l'heure actuelle iusotc; La Homo Rule inhera" Glasgow, 4. — Le Glacgow Herald cnlmé u,''a communication dont on n'a u; ■ l'ave présent, confirmation et suiv; ■ité " quelle M. Asquith ferait mardi au ment une déclaration susceptible de ger complètement la situation ipolit.i listes ce qui concerne l'Ulster. I.es conc »re ba- projetées auraient un caractère plu i Bod- du et concerneraient virtuellement t s cours ix>ints en litige sauf l'exclusion de 1 es so- des stipulations du Home Rule Bill. "'avec Lcs euffrag-cttos Glasgow, 4. — Un incendie a écl matin au château d'Aberuchill, p Crieff. Un salon, contenant des ta e cor- des meubles de grand prix, a é iijoar- truit. On attribue ce sinistre aux ; traite gettes. îe on incendie s'est déclaré égalem ■es, à House of Ross, maison actuellement bitée et située dans le môme district, s, ont Des meutbîes de valeur ont été venus dans une maison appartenant au pré mient ?e Ia Li^e anti-sul'fragiste à Saint-I (comté de Perth). itaine Cet incendie est également attrit ce de des suffragettes. ussel- . . .. er de î TÂ] JK [ré; t-a santé du S'ape .Ro,ne' ^ ~ Au sujet des bruits te im C-6UX qui circuIent à l'étranger sur 1.' une . to du Pape, on remarque ici que bie offA f-on etat actucl exiPe de grandes pi ,ï'o Vons- Ple x continue à accorder « : a- diennement des audiences. ai son ipire. Lo Projet concernant s été le mairiage Rome, -i. Tous les journaux com tent la présentation à la Chambre du jet ùc lui stipulant que le mariage le la doit, (précéder le nVariage religieux. Tir- prévoit que cette discussion provoquer tech- délais assez vifs. rien four- PORTUGAL plus e ie La crise ministérielle terre Lisbonne, 3. — La huitième jour mi nais ,î' l^'isc miniistérielle s'est écoulée ions, Qu'aucun pas décisif ait été fait. 11 esl ours dent qu'on attend l'arrivée de M. Be; diiio .Machado,'qui doit débarquer dei irva- matl!I' venant du Brésil. ■Etat Machado trouvera-t-il la solutior <ru'à serait acceptée de tous ? Cela est dif ^une a ^rC: mais 011 l'espère. fece- attondant, le président de Arria nent p.osè Par écrit certaines questions chefs des trois groupes républicains. A des av.°ir consulté leurs amis, ceux-ci on nent ;n^s au C^'J^ de l'Etat leurs réponses mtes l?s «notamment en ce qui concerne la < cinq tion de 1 amnistie et celle de la possil que e f°rmer un ministère de concentra orte Beaucoup d'esprits sont très excité: oute ce moment, et nul ne peut affirmer Vlle^ selon le cours des événements de ces ; les chains jours, quelques politiciens p< erre Ies plus Passioimés ne chercheront p; ussi Pr°voquer un mouvement d'opinion. a Des manifestations analogues à celle mil- ^ semaine dernière sont projetées poui iple main ; elles pourraient être le poin -ires départ de graves conflits, alors que le dre" nérable président de Arriaga aurait oM soin de réfléchir au milieu du calm dire pllls al)Solu- ( les Heureusement, l'indifférence des ma ma- •e.s<' ê"railde et l'on peut espérer , ja l'arrivée de M. Bernardino Machado i nera une Iheureuse détente. L'arrivée de IVL Machado Lisbonne, 4. — M. Affonso Costa et ministres des affaires étrangères, dt marine et de l'instruction publique, se a rendus à bord du paquebot Avon pou.i (cevoir M. Bernard!-io Machado. Les :r _ es du club républicain ont acclamé 1 : Machado qui, très prochainement, rei ludJ[ visite à uM. de Arriaga. :au- russie lent rj . , . ha^jet de posvo aene;ine a-t- Saint-Pétersbourg, 4. — L'Aéro Club perial a sollicité l'autorisation d'orgaii »uté Pn service postal aérien entre Saint-Pél du l)0Urg et les six principales villes qui des jjyn^nt la capitale, • y compris Novgo ffet 0u.trc la franchise ordinaire, les let nu- Pueraient une surtaxe de ôO kopeks jis- Pr°nt de la flotte aérienne nationale. Itat jis- TUROUÏE je , Invitâtic-n à. payer va- . C-onstautinople, 3. — Les chefs des i un |sloris étrangères onl .prié la P.irte de c ses 0l(ll'e ;iu ministère des finances de ces »Jei* ics comptes des fournisseurs étrans ûle i dédommager les étrangers pour de yicvaux, les voitures et les marchand ent recluisitionnés pendant la dernière gue de Pour disperser les officiers en deme-so! ïî, , c°n^::ntinople, -i. — La Porte a infoi ' }es ofnciers mis à la retraite d'office ■ îer Je ministre des finances avait .donné l .ure de payer les pensions de retraite s ^ « 1 s» Jip ! Jl enl wxIa le.ment dans les ^alités où son !.. a i ita- dits officiers. e la con- On dément officiellement les 1 st pas le complot contre certains ministre instruire Les excuses a la Holfat ment no- ConstanUnople, 4 — La Porte ne cons- ??nse xà une 1,ote des cliefs des e, et ml- étran^ères an sujet de l'incident . )as ou'eii oatl0n de Holiande, a présenté d :une mo- scs P0U1' la violation du jardin ( naviles patlon déclaré que les policier; g hles de cette violation seraient sé\ i^le ces -Ld Por^ a exprimé l'espoir qu< l'Antrle ilIstre de Hollande se montrerait i leaucoim tis.fait ^ n'insisterait pas sur la re ^ette èrp P^sonnier Barry Bey, ancien dé] et que <n qu'en 5-es emprunts essifs. Cou,s(anl:nople, 4. — Les pourpar îgleterre le ministre des finances avait engaj )iis, npn une maison allemande au çujet di l'ils exi- ment de 9 inillions de francs de 1 qu'ail- 'l'résor, sont 'interrompUç. Cet an — mais motivé non par la fixation dii tau; é de ces par le fait que ta dite maison e: îlles re- la concession de la navigation dans 2 l'effet de Marmara. le cré- On dit que la Banque agricole cc 3e l'Eu- rait une avaiue de oOO.OOO livres s bonne virnement. meière, Ll' Conseil des ministres a examin tre part une proposition d'un group lit qu'il ricain relative à un emprunt de i ii îe dans de livres sterling. îe peut . ent ap- a l^a,3°n ^ru-pp serait pr angera Paris, 4. — Le correspondant du de na- ^ Gonstantinople céclare apprendre rd mu- source extrêmement jbien informée s gran- d'actifs pourparlers sont engagés ei ministère des finances, le ministère guerre ottoman, d'une part et la i: Krupp de l'autre, .oour une opérât: publie iiancière de grande envergure par le s, jius- la fabrique allemande, en obligeant 1 int la- quie à lui faire de nouvelles cémrr Parle- et en concluant un accord pour le chan- hoursement des' .fournitures non i 3ue en payées, prêterait à la Turquie un c îssions nombre de mUlions, ce qui lui perm > éten- de parer momentO;nément aux dif fi >us les financières que l'ajournement de l'em 'Ulster a rendues de plus en plus grandes. BALKANS a té ce Vers la reconstitution ■ &s de. de l'alliance baSkan bleaux St-Péters'bourg, 3. — La présence f te de- tanée à Saint-Pétersbourg des deux g suffra- ! hommes d'Eiat de la Serbie et de la ( î MM. Pachiich et Venizelos, ramène ?»t à i l'intérêt diplomatique sur la queston nnha- nellerpent délicate et comUiquée des | kaiis. brilles i Pour fortuite que soit la renconti si ient ' MM. Pachilch et Venizelos — M. Pad illant ■ souffrant, a dû retarder son déoart | n'est pas défendu de -penser qu'il 1k-i iué. à convalescence qui lui fournit t'occasic se rencontrer avec M. Venizelos. -Ln tout cas, ces deux hommes d' qui nourrissent de profonds sentiments faction l'un pour l'autre, se s :m ch ndan- ''^^^nent embrassés quand ils se sont l san centres à l'hôtel où tous deux sont i iim: cendus. écauG Venizelos, qui touche nresque moti" î,0,1™0 de sa grande randonnée à tr; 1 Europe, poursuit ses efforts en vue ( reconstitution du bloc balkanique l'aboutissement serait accueilli par 1; civil pbmatie russe avec Nla plus chaude men- pathie. Déjà, on peut affirmer que le: pro- lotions de !a Serbie et de la Grèce civil parfaites,,et voici dissipé le nuage qui On ourcîssait l'horizon balkanique. i des La Bulgarie étant iirécisément. repr( tee en Russie par un de ses chefs non lement les plus émiuents, mais aus=i plus sages, le générai Radko Dimiti on peut dire que Saint-Pétersbour«r es ce moment un vérits&àe centre d'int e de noîkam.que, et on pourrait presque aio sans qu'A eux trois. MM. Venizelos, Pacli évi- et le général Dimitrieff pouiiraient conc •nar- une nouvelle alliance somblable à celle nam *ut- a 1 origine de leur succès de fortune. 5.V' t Sa?,s ,cl';u£n 0it'cf! aller vite en beso cile La I;u!£ane zapde cnc«re, Je sentin d avoir été vaincue, ilais le fait ou'elle ^a a 'ait. ooja moins haineuse et moins vi aux cativc- est un grand point d'acquis près I.e général Radko .Dirait,-ie'ff et avec , re- les plus influente homme? poljtiqu.es cci'1— «ares, est un i&a.rtisan convaincu de [Ues- nécessité d un rapprochement avec la ulité me, et un rapprochement avec la Se on hî£ h'ï.en "rf's <l t"-re la reconstitution ; en bloc balkanique. que, On croit d'ailleurs savoir que la Se !!f;,.Se , n!^"i-reraj't pas absolument réf s à ty r- „ vif8 . rectification de fi ticic-û, quelle pourrait accorder contre , ^rontiiç : appui en Albanie ou < ^de 1 Autriche, le cas échéant, par exeni de" ajournement Uu Parlement Sor vé" ?e'&n"le, y _ £a Skoupcht.ina, qui be- ™i. se i-eunir aujourd'hui après avoir i 3 le ses yicances de Noël, s'est ajournée au îevner. que ^"'é'V^cuation cîe l Aloanie mè- Z.01112' A propos, de la comnn cation des décisions' deë nu'issances à VI nés, le lJopol<> liomano écrit : La tri alliance demande que l'évacuation de i les Si !f intervienne entre le premier et la f,1 **'a1"3 •••'ins prorogation. possible et < 3ont la, G,rèce P°ur le Prerr . re. --i- is le tiace de la frontière Albanaise em- 5 . ;u • a.1T<jté. à Florence ;.ar les d' \i &ués .eemuques dès puissances. ^ Ufîo_ opinion bulgare Sofia, i. _ L'Echo de Bulgarie appre avue: séver.te .les bruits mis en circulât mil iÏrT et- rolaUfs à. des proposai; que .c, Bulgarie aurait formulées en > im Lv,;^eriteiUe serbo-^ulgaie, cette ente iser HtàviaUUr ,,our 1)(lse urie coa:cession 1 .wo v!« ■'K e 'lUQ sonsentiraii la ,Sei-l>ie. ^en dit' vf .î'3 fr^fc Pa« mécontcr r.» rn;. U!t0,d': Bulgarie, de détacher, de : ' :m^se ■butin un petit morceau a&, nii r<.,';V • 10mr 011 rcste e» sécurité, niais au Wuga^ se recueille. I, heure d'élève-voix .a a pas encore sonné pour les Bu) iKotch-i^ " e?t pas Ia eession d'Istip et fioteflana qui pourrait modifier la condi :■***'*■ f'Seo par ies événements. ni?- P?3 0çe do Grèce à Bucharec °JÏ Ô ' -V e.st' /k ~ Lû -D^doqii!© est arr t \ heures. Il a été reçu à la g; fers par .e prince héritier, les membres du o< le s ve nement et le ministre de Grèce à Bucî ises rc-st. rre. I^o Diadoque a éfté ensuite conçluit au I lais Royal où il est l'hôte du Roi. ae Serbie et les instituteur^ m<^ bulgfar îue i Belgrade, 4. — Le bruit a couru à l'étn pi" I SOl\ (IU-n Ies ^.stitutews bulgares étau eu- , contraints, avant de pouvoir enseigner d-a 1 ' « ** * * ii ' nés les les nouvelles régions, à suivre de Belgrade. iruits de En réalité, un cours a été institi: ge de ces maîtres^ afin de leur 'de de compléter leurs coninaissance , en ré- sionnelles jugées insuffisantes missions - ia fin de ce cours, des postej le la lé- &eux seront confiés à ces institu Ps ,€X(^" ^ . Espoirs s»*ec3 le la lu- Paris, i — Le correspondant d > coupa- a Saint-Pétersbourg, qui a inter\ erement Venizelos, a retiré de sa conveiat . i» mi pression que la question d'Epire . le mi- glee en tenant compte de la rect SSi t Irontiere demandée par la Grèi mioe uu Le corresponda.nt ' ajoute : Ou; )ute de îles, les puissances, semble-t-il, pas tout u fait d'accord au moins «aujourd'hui sur les garanties à di ers que Ja Grèce pour Ohio et Mytilène. L ;és avec j J.l0;i balkanique reste basée sur 1 i place- | {lons amicales de la. Serbie et de i •ans du {eôquelxes deviennent' -ié plus" en pli 'cté est tes- Boni- le 'gouvernement grec mai;-. P°:;r '«a Serbie, l'orientation polit» Nigeria ii L-alkaniotoês alriis doit 'être - la mer ^cr ^'0jours la porte ouverte à un éventuel da la Bulgarie si cette c msenti- puissance désire quelque jour se r« u gou- sc's voisins. A Athènes comme à Be on ne croit pas à l'éventualité d'une é d'au- niais seulement à une possibilité e amé- lure. îiflions E.-.tre Grecs et Albanat: Athènes, 4. —■ On mande de Coril iteur les troupes expédiées pour repous: Terfips Albanais sont arrivées avec des sold d'une iGS:ons sacrées jusque Vakoufskor que cu;r,e Par ba/ndes albanaises e itre le Près uu vif engagement elles ont de la a repousser ies Albanais qui ont s îaison grosses pertes. Le village de Kess on fi- centré de la résistance', des Albanais quelle bombardé par les Grecs. Les Alban; i Tur- Pt£3 la fuite en désordre. Quatre : andes 5recs ont été blessés. La marche en. rem- «es Grec-j continue "/ictorieusemen ;nqore soldats sacrés de Coritza combatten ertain laminent aux côtés des troupes grec îttrait Selon des informations venues dt cultés fpura, un combat est engagé près c prunt !aS° de Zeppovo entre les Albanais j troupes grecques. On en ignore le ré ETATS- US1S j i»'impoirtatïon des armes iqye j au fVîcx imul- • Washington, 3. - Une proclamation rarids pu1 j liée ce soir par lu Maison-Blanchc iièce, terutes de, laquelle l'embargo mis p tout président Tait sur les armes à destii éter- du Mexique est levé. Bal- /Gela signifie que fédéraux aussi bie révolutionnaires' pourront s'approvisi e de également de munitiorn do guerre litch, L ta i-.:-Unis. _ ii A cette proclamation est jointe un lit la claration disant que M/>Taft avait p. u de njé cet enib-argu pour d^'ecurager- le • yoment_ lévoiucionnaire qui commei Etat, • Aujourd'hui il n'existe pas de gouv d'af- ; nient constitutionnel au Mexique, et .ileu- ; c°nsequent l'embargo ne fait que n ren- obsticKe à la poîiiûqae américame, des- consiste ià laisser le Mexique libre d glor ses propres affaires et d'établir £ au lot que possible un gouvernement su; ivers }:,ases constitutionnelles. le la est manifeste que ce sont les c< dont tutiomalistes du nord- qui! (bénéficie Cïi- GaîlG Ia pi us large mesure, de cette >ym— j S10îi-.. ; >e- j -2î- "future convention sont : américano-calombie obs- i (Washington, 3. — On croit savoir dans sa forme actuelle, la convention sen- se négocie entr<i lés Etats-Unis et la seu- lomJjie prévoit ; les i- L'acquisition par Je gouvernement ieff. Ltats-Umis de stations de charbon su t en cùie de Colombie ; érêt La concession aux Etats-Unis du < uter exclusif de construire en territoire co itch bien un canal reliant l'Atlantique au I lure : qui r- i'e paiement à la Colombie d'une eur me s'éicivant, dit-ctn,, à ,125 millions francs. Sft > La Participation du Japon ii , ''Exposition de Sar,-Franci3 ndï" , Toki"' 3- — 0,1 annonce aujourd'hui le gouvernement japonais a décidé de Vit friper officiellement à l'exposition de : 'V Francisco. 0l|'" Deux croiseurs seront en outre env •f aux fêtes de l'inauguration du cana ^Panama. "bie du mexique ibie j L'effet de l'ordonnance *ac" . américa °n" j. Mexico, 4. — M. 0' Shanglinessy, ch; :er- d affaires des Etats-Unis, a fait cornu; on- indirectement à tous les étrangers l'or< ?ie. nance concernant le commerce des an be grand nombre de ces étrangers se de_ parent à partir. iris Pi(rsi^ent Huerta a annoncé qu'il 14 donnerait pas ses passe-ports à M. b.ianghnessy. Il a ajouté que l'ordonna américaine ne modifierait aucunement attitude à l'égard des Etats-Unis ou des mi- toyens américains habitant le Mexique hè- Nouvelle-Orléans, 4. — Après la pron pie S'a t ion de l'ordonnance rétablissant la Al. berté du commerce des armes ave^le M le que, on a appris que 15 millions de cl lue ges d'artillerie, 14.000 fusils, 4 miti ier 'c'llses et Où revolvers ont été emniagasi ici a la Aouvelle-Orléans et dans 'es villages ;Jé- voisinage jusqu'à ce qu'ils puissent é ipasses en contrebande sur le territoire Mexique. to AittliKiatiK Dl; SUD ins . —l?e rûvoîution au Fôrou ue Nevv-\ ork, 4. — Une dépêche de Li •ite /aîlî,1;.;h;e <i}-'une révolution militaire er- 6c-atc: ,^ïma. et que le président de La ivepublK}ue, M. Guill'erme E. Billingtou :te, cs^. iombé aux mains des révolutionnai ion ^ni avaient attaqué le Palais et qui étai de S0U3 ie;s ordres du. colonel Bcna.vidos. -Ja Ci général Varela, premier ministre, sa été tué au cours du combat qui a su ?a- . Auguste Durand, ancien chef du p de ^ Révolutionnan-e, qui est actuellement ite possession du Palais, formera le nouve gouverneïhent. fvé AFïlUJUE C ENTE. AIE ire Les chcmsns de fer siisma.^ )u- , '^a Gazette dé iAllemagne dv -Nord ia- h lie un nouvel article sur les chemins fer allemands on, Afrique, — article : >a- ieqael il convient d'appeler l'attention tous ceux qui s'intéreâsent à l'avenir Congo. En voici un extrait : Le trajet de Dar-ès-BaJam. 'à KigO' équivaut à celui de Berlin à Milan. Il i n- lait autrefois 42 jours pour franchir ce ■ •t dîsiajnce ; aujourd'hui. 48 heures suffise ns La construction de la ligne devait être, V Alil# UE LA SAUVE] à cours à Ion les traités avec les entreprem vée au 1er avril 1915 ; elle l'a é à l'usa- 1er février 1914. jermettre Oh sait que le chemin de fer s proies- montant la rivière Loukuga ser vers le milieu de 1914. La ligne avanta- prolongée par cette ligne belge teurs. voie fluviale Kabalo-Bukuma, con nouvelle voie d'accès par l'est ch i Temjjs »ion minière du Katanga âewé M. Cette voie d'accès par l'est a, s' ion l'im- ^>ai" nord mi-fiuviale, mi-ferré' sera ré- tnSe d'être moins longue, d'exig ification $c trqjisbordeman.ts et d'.ètre pluj ;c. toute saison. D'autre part, la \ mt aux ^ès par le sud du chemin de fer ne sont aôsie> passant par Salisbury, E jusqu'à et Br;=kenhi!!, est égaleinent plu* >nner à J-a seule ligne qui puisse donc < a coali- concurrence avec le chemin de fer îs rela- ÇS .au Tainganyka e.^t la li a Grèce da;::ale qui p^ij t de Lub^to Bay eï < is étroi- ^igne sous le nom de chemin de comme J^r!SMela. Elle se prolonge par rue des "»-Iïu*.Ve. mais cette xoncurreni le lais- ra possible que lorsque ce chemii retour sera achevé. Or. il est encore loin < ernière Jl -e saurait être terminé au i :unir à .a-»ant trois ou quatre ans La 1 Igrade, Bengue'la n'est, en effet arrivée guerre qu'au kilomètre 520. 11 faudra p< d'aven- ^-ore 780 kilomètres de rails pour f IHioJo. Pour le moment donc, c'est-à-d; 7i âne , lis'"e 'lu Benguela ai'aura nv iZ dlfié ,Ia situation; la nouvelle lig ' f ^ mande devra accaparer une part d ats des des voyageurs et des marchand k ' ou'a cendant du Katanga ou v montant 'X«i „ Possédant la ligine de Dar-ès-Sa ubi"de et le contrôle de la îjgm arâk" ,Il<'B1a3' ?" l'Allemagne a été S de< dCUX "°rteS Cl" Co lis ont t® afrique DIT sud Les La déportation des agitat. ^aP> 3. — On considère mai'i ïtît« STf, pou '1>rès ce'tain que l'opj ! KliSr officielle votera iy»ur ie gouvernemej m ii» wnST îéfinitir en seconde lect mit'af Sut Sent 11 CXOn£i"e'- lo La minorité se composera probat de seize ou dix-sept membres, dont î vaiilistes, une demi-douzaine de 11 '«•«o unionistes eén<fal IIerb^ 1' aat« U- Cl:csvve". chef du parti travail] il ie Pétition demandant l'a: lation ouvriers déportés.d6S défens<:u''s 1 oue dema' .''é 'a lecture immédiate -ner ■ ffi'Tson "Isi^ Après une nouvelle discussion la e dé- chain. 0 d'étudier la .-pétition jeu< |o\t fi;?" ^ ?ul,!i'- rë"¥tù du d'amné irait d:l,'"'"deinn,;.y biU». Ce Mit exonè err.el îî '' 1 ' ;!on'®nt on ce qui . c®rne Ics mesures nrises dans les r. Jiï Z'é^ Cie si^e e"st <« vfeueufmo dui CJre,pn ce <FU1 concerne celles ar.ol e 'é- Sine \ n,trTit?irei,d.<! n'nio" su' ussi. l;'1M.e, .1 partir a'u 8 janvier, c'est- ' des siègo>U1'S avant la Pfoc'ajnation de IV .nsti- mjf. vi.®e Ie souverneur général l'ont, îres ■ 11 sanctionne la uéportatio déci- envoyés en Angleterre, ce motuf qu ils ont provoqué des tlésc parmi les salaries de l'Union, en dép nne l,'T''S,t',m 'M1* "riscs Pour l'ex que, ior!nuUr."'r " UeS ffriefs <fu'i,s avai SP lt™1 aus?'' «Hfoute le bill, ifomen Co- conflit entre salariés et employeurs, Lf. saloraés et causé des troubles pi des qui eurent oour résultai des désordre' r la ouerelles, des actes illégaux et la cess ivoit f,?. .t'l'arai1- ,Les hommes déportés c. Ôm ÏÏÎffi ,nar le,"'s acts' e; leur condni 'aS" rnooriA. -'""1"" ,po;"' '«» Personnes e aci- piopnétes sur le territoire de l'Unioi ;7e japon Le scandale naval lokio 3. — Le gouvernement aller co iefuse d autoriser la communication ,-tiip a'utontes japonaises des photographie; ivir documents volés à la maison Sien Par- Scnucker par son ex-employé Bichter cuments qui furent vendus par celui n,x, f. Pooley, correspondant de l'Agence rit teia..t°kio, qui les détruisit avant soi ue rest',;it;on. Une commission d'enquête, comr d amiraux, qui va s'occuper de cettt laire, n est pas prise au sérieux L'effervescence continue. Bn appre i ne 1 arrestation de son mari, Mme Pc Li^é T(>u,ut s? suicider ; mais comme les <tre surCs <P1 elle s'infligea sont insignifia Ion- °lî 4e,st P?rté a croiie que sa tentative ncs Plutôt theatrale. ■r^ chine ne La dictature s'accentue nee ~ Un édit du président 1 son S • -K/ni ?uPPrime toutes les autorités ci- nnnistratives autonomes des provinces qu à la réforme des assemblées iprovinc ■ parce que, d'après les déclarations de * • ques gouverneurs, ces assemblées ont pvî" leurs attributions, violé les loi eA. tolère des abus. oiV i L'élection des députés devant faire p. nés n ^.e^mission chargée de modifie Constitution ne pourra, d'après de , tre .^Iammc établi, avoir lieu que dans 5 m a lM- > ^ la rst Berlin, 4. Dans la discussion du ] res Sec de la marine, à la Commission 3nt nuaget du Bcichstag, on a i^arlé des i tions de l'Allemaghe avec l'Angleterre a sujet de la question de la flott^aérienr vi. Le secrétaire d Etat aux affaires ét ar. gères, M. de Jagow, a" dit que ces i en tions pïDuyaifent être considérées cor au très satisfaisantes. La détente et le rap chôment font des progrès. Les rapp entre les deux cabinets sont inspirés une très grande confiance. En ce qui regarde la question d'une pension temporaire des constructions )u- va les, M. de Jagow constate que des de positions dans ce sens ne sont pas pa sur nues au gouvernement allemand, de 11 me paraît difficile, ajoute-t-il, de t au ver un moyen d'appliquer la proposi de M. Churchill, laquelle, d'ailleurs na tant que je sache, n'a pas trouvé un al- eue il bien empressé en Angleterre niêm ae Le secrétaire d'Etat, amiral ven Tirj nt. répond à quekfues questions abordées se- les orateurs précédents. VIERR 25 surs, ache- U dit qu'en ce qui concerne h été dès le des calibres, l'Allemagne a suivi d'autres natiops qui se sont efforc belge re- menter les calibres en diminuàn i terminé bre de canons et de rester à la allemande trême des déplacements. et par la Au sujet du refus du gouVerm stitue une lemand de participer à l'expositiai ins la ré- Francisco, le secrétaire d'Etat à 1' affaires étrangères déclare que soi ir la voie a été dictée exclusivement par de î, l'avan- d ordre économique. er moins .A une autre question, le sécrétai sûre en riposte qu'il ne peut être pris ac oie d'ac- eision au sujet du maintien de l'es de Bho- l;l Méditerranée. Cela dépendra de uluwyao nure que prendra par la suite la ; longue, politique, chose qu'il n'est pas enc intrer en sible de prévoir. de Dar. „ Le secrétaire d'Etat. amii;al von ïiie.o,«-ci- lalL ressortir que sain; là propor ju'on dé- ! iorces navales, telle qu'elle a reçu ■ fer, du pressioij' dpns la loi çùr l'a flqtte,, la ligne . serait vraisemblablement pas prot 'e ne ;-e- ■ orientation vers de meilleures i i de fer avec 1 Angleterre. Nous, avons don le l'Ctrc. ; de nous en tenir à notre loi sur I dus tôt <ï|li a hiit ses preuves. igne du Le secrétaire d'Etat affirme enc encore ^0,s (lue l'Allemagne n'a jamais d >ser en- lle donnera jamais l'exemple en tteindre concerne les plus grands déplacen les plus gros calibres-re tant A la suite de ces déclarations, le kis mu- trc tmitement du secrétaire d'Et ie 'aile- adopté. u trafic ,, . , . * es des- . Pans. f — Le juge chargé de 1' tion de l'affaire (Chérif Pacha a si| !am au j°urd'hui une ordonnance de non-: (iR L,... faveur de Iskender bey. détient .. * nrr0 su- Chartres, 4. — L aviateur Garaix . le record de la hauteur détenu par mand Sablating en. s'élevant à 2.250 câvec cinq passagers. 3uï*3 Munich, i.. — Un sous-officier à" itenant est tom'bé d'une hauteur de 200 mè osition s'est tué. it dans -X- ire du Saïgon, 4. — Renouvelant un act ire de .e.n ayril 1913, dos malfaiteurs < | cendié une plantation d'Iiéveas, d lement ! r^oion dé Bien-Hoà, 65.555 arbres < es tra- | détruits. Une enquête administrative linisté- '• instruction oint été ouvertes. lelques , ^ édition due! est donc ee mysii chefs j iiiC ^ ^ de sa ! Noils lisons dans V Exprès s d'hier s fait . „ Le journal d;• Liège et La M eu, ; annoncé que l'alliance libérale étai r- a™- nitivement conclue entre l'Association ■i pro- , raie et l'Association Progressiste po- élections législatives prochaines. SâSgn : C'est là une erreur. re les 1 Le Comité de FAssocidti^n Progre con- ■■ interprétant d'une manière précise l igions ; nico- ordre du jour de l'Association lii; is en- ; avait écrit au Comité de cette Assoc quees ; pour lui dire en quels termes il si i-atri- iiait au SUS(iit ordre du jour. a-enre | La réponse du Comité de l'Assoc ta.t ele ; Libérale n'est pas suffisamment clair , , I Lu tout cas, la décision du Comi et .es ; l'Association Progressiste sera soum V . i l'assemblée générale de cette Associ; ,?i ,m i ^ui aura l'eu le 15 février prochain jures i c'est seulement alors que l'on conr t «es ( ]a solution définitive de cette imnoi amen i question. » emt à Ce démenti nous surprend. Voici, e é un ; fet, tout ce quo nous avons écrit à c îxcité ! jet et qui reste parfaitement exact : îblics i r ... des i " 0 cormte, après s'être associé aux à tion ! tin}ents si éloquemment exprimés pài >nsti- : président, a reçu communication de e un ! ci0'r4, cî? comité progressiste sur le t les i Ht or.cil'(r du jour voté le 25 janviei I Association Libérale sur la propos de son comité. Cette nouvelle sera .favorablement cueillie par les libéraux de l'arronc ment et du pays tout entier. » nand aux : ŒD"— — — S En Belgicju Bcu- Il I(fl TT i ar- La question des langues tosée L'accueil fait par les flamingants au ! af- vote par la Chambre, les imprécation! Vandeperre, des Van Cauwelaert et a: nant Henderickx, qui ont retenti dans ua: •oley cent meeting, 4 Anvers, se traduiront bles- par une déclaration de guerre au goi ntes, nement, lors du second vote de la loi : fut laire ! Les noms de MM. YVoeste, Poullet, gers ont été hués, M. de Meester trait irai tre et M. Nobel s gnossiè rement ins Et après ? Toute cette parade aura-r son épilogue ? Un amendement ne ser uan pas présenté au second vote pour m ad- les droitiers d'accord en sacrifiant le? jus- terets de la Wallonie, en proscrivant l'é Laies du irançais en l*landre ! Prenons gai fuel- et souvenons-nous. Lors de la réorgai de- tion de la garde-civique, il n'avait été s et lement question, au premier vote, des 1 mandements en flamand ; toutefois, vrtie disposition adroite y avait été introd r la permettant au second vote le dénot pro- amendement. Dis. M. Ileuvelmans le déposa au nom flamingants et le fit voter subrepticen II est certain qu'il faut s'attendre à nouvelle manœuvre de ce genre si par fissure du règlement, le texte peut pa: Avec des gaillards comme les Henderi '9S » jn Cauwelaert et consorts, plus f t^iies dans leur flamingantisme outré ne 1 était M. Ileuvelmans, l'on ne sai trop se tenir en défiance. jUd- .. Le meeting d'Anvers a démontré du i union à droite était plus que fragile t eit- aes courtiers habiles ne tenteront au de la cimenter, d'en mascruer les creva e. en sacrifiant les droits des Wallons " "an- Ions... l e Handclsblad ayant insinué que s mie gouvernement a combattu les amendem 91.?' «^^ants du projet scolaire, Ja. faut* •>us est a 1 intervention du Roi, le XXç S/ Par répond rpie l'information est complèten inexacte et ajoute que le Roi n'a nas 1 sus- bitude d'intervenir dans les débats ps na- mentaires. L attitùde qu'on lui prête est ?M.°" i sol u ment contraire à son caractère. ,I! ost certain qu il s'efforce toujours gir comme le faisait Léopold 1er dans mi i^specf do son rôle de monarque const ■ion tionnel. au- Toutefois, à diverses reprises, le Ro ac- formulé des vœux en faveur du main e. intégral de l'unité nationale que les an '!1Z' e^nts flamingants mettaient en péri pa» bils ressuscitent d'une façon ou de 1 t.ro OO enro 1., T „ TÉLÉPHONE 91Ï : question aurait tort de fléchir, car il déchirerail éefd£u£ blemSt dWait t le nom- limite ex- Ministres d'Etat D une façon formelle, des feuilles cat ;ment al- Jljues annoncent que M. Frédéric Delva; i de San- ,«?,ud Anvers, sera nommé minis ûffice des »T en remplacement de feu M Xav l attitude NeUjean. s raisons , Jn sait que M. Delvaux, après M M lendorff est le doyen de la Chambre, re d'Etat vétéran du libéralisme lui a rendu de no cune dé- J?reux services et grâce à son tact, à s cadre de doigte et a sa diplomatie, que de fois il la tour- empêche des divisions entre libéraux situation Aimrs.^ ore pos- ■ • Frédéric Delvaux est un libéral de nuance du regretté Xavier Neujean et il Tirpitz, prononcé à diverses reprises à ïa Cliamb tion des lles discours inspirés par la, conviction son ex- PilIS cnaleurcuse. il ne se { ?OU1,' Place laissée libre dans les co: luit une fyVÎl la Couronne ' ]>-r la mort de ^ estions | au' Jarioon, on a parlé de M. Edmon ■ raison Picard: i flotte, . Ce ne serait pas a lopjîosition qu'eli mut donc et celle-ci , ne compterait qu ire une deux ministres d'Etat, ' MM. Louis Huv: jnné et mans et Frédéric I)elva,ux. ce qui C'est M. Pani Hymans qui devrait suc icnts et c'édev a M. Paul Janson. Nous disons que la nomination de M chapi- Edniond Picard n'aurait rien à voir ave at est la Gauche. Il suffit d'avoir lu les plus ré cents articles de Paneien sénateur socia hste pour s'en convaincre. Jistruc- N a-t-il pas décoché ses plus aimable: mé au- brocards à là minorité à propos de la lo iieu en scolaire qu'il a appuyée de toute la forc< de ses périodes grandiloquentes. M. Ettmond Picard finit sa carrière dam i battu la peau d'un parfait catholique, redevenu l'Aile- l'enfant soumis de l'Eglise. C'est son droit, mètres mais pourquoi ecrit-il encore dans les colonnes d'un journal libéral ? Le respectable néophyte va se faire mettre à l'index. tres^et exploitation Kursaal d'OstendG Le Conseil communal d'Ostende a ap-5 com- Prouvé par 17 voix (cointre huit à M. Bette), mt in- Ja soumission présentée par M. le comte uns la de Pellan, qui payera 69(1.425 francs par an mt été P°ur chacune des années, li)l4. 1915 et 1916. et une ^,ar une lettre annexée à sa soumission, M. de Pellan s'était engagé à construire à Ostende une plaine des sports, qiii coûte-233WEW rait 2(X).000 francs. La soumission de M. de Pellan atteignait donc, en réalité, 753.091 Jifl francs par an. \T ^ ce^,. i i-. .. ECHOS ' fléii- ^ ECHOS :Sde'r- EPHEUE1UDE érale, Dans les Annales qi&Vqu'yni nous iation de ctminc futurisie, de ihle.ts de sole au » pal- rhuvi flambé, à la mousse Chantilly et au jus ae tomate. C'est là une plaisanterie, ation certes, de mauvais goût: Nous avons nous ï. aussi, invente jadis des recettes révolu-lé de tioiuiaircs, telle ce hareng à la vanille : ise à (< Prenez un roiniops vivant ; coupez-lui ition, tes pattes en ayant soin de ne pas entamer Vallumette, etc., etc. » aï tra c^ft là du faux futurisme que les amis tante (lc Mannetti, les nôtres', rejetteront comme pure camelote. La cuisine futuriste ne veut ni sole ni n et- rhum, m mousse, ni Chantilly. Plus' de e su- ces cadavres de Oetes habituées par ata-vim.e aux marmites, aux sauces et aux sen- SUCs Uaslr}Q.ues. lJius d'épiées dégénérées ■ son VC% siccles de sur production. l'ac- • VCs v?ulo& choisir librement, dans les texte 1ar.dlns du monde, les bêtes et les plantas nar 'lY' '■°"s conv^nenl, chercher dans la ition aiT^n-!f,tSels ™u?ca™' X'oits avons assez des oa leur-s s aie es et sucrée,, nous repovs-sons cette dieu,ion des mets en. deux seu-Iisse- / C(Ue0°riCs'-' *ou$ répudions ta viande ,lfnahnCC f f^ui'-VetU « pClii, dut dénaturer notre force. La cuisine futuriste nous donnera, jjeut-etre, a manger de ïpruith.oringue, de ligua- enc, des insectes cl des fleurs. .\ous l'al-tj.iidons mcç confiance. Il esl temps, J lurhni TUJCr- ■' Içs hùuies, le Uu bol, le pre-salé, le fdel jardinière; lt celen « la moelle, la poularde du Mans ou je caneton de Rouen, lu salade, la >jlace texte ,,„r,t HH17; rru cumm""s «'<•' marmitons des âêkuic fj i* P pdU'L's- exaspèrent des depuis hop longtemps ucs faims el nos ' rf nS?s rvS el "°S bes0'"s lU: voluptés fver- louie '" aT? asse~ aussi dc l'arehéo- en* ^ s des conventions surannées sco- des jameux « amateurs >». s Sé. Compère Guilleri. é de pour éviter le truquage des couvres d'art, ■ëïfe pre«»Urir "W W Îî'h1] r P°.Ur reil,dre lé procédé pratique, il suf- ottie firait que les artistes fissent le dénôt de m- leurs empreintes digitales. De-cL martel ti officielles on tirerait des épreuves photo- de... giaphiques qui, réunies en catalogue se- nsa- i aiem en possession de tous les marchands "J collectilonneurs. Us authentique- -om- i aient vite, par comparaison, l'œuvre oui une leur semblerait douteuse. qui aite, Pour les statues de bronze, le sculpteur un appliquerai! son empreinte sur le socle après avoir, au préalable, enduit son doigt des de poudre dor. Ce « sceau » verni serait ent. indélébile. Pour les statues de marb?e, une 1 empreinte, colorée de cinabre ou de ver- une millon, serait apposée dans une encoche >ser. de la pierre. Pour la terre cuite, la ma- ckx, flore même la supporterait. ma- Restent les gra^res que les aquafor- que t-istes marqueraient aisément au verso. rait Sa.ns ,cfoute des falsificateurs impénitents tenteraient-ils. à l'aide de quelconque ques tampons ou autres procédés, d'imiter nais le .< bertillonniage » de certaines œuvres d art, mais ils se voueraient à l'échec. Les sses empreintes sont innimitables, u'arce que /cil- différentes pour chaque individu, et d'une finesse, d'une netteté telles que le plus i le plus habile et le nlus patient graveur ne ents" saurait clrsepo rud aJlat c rs8 sdrémf hdé : en saurait les reproduire avec exactitude. écle La garantie serait avantageuse pour les lent artistes, pour les collectionneurs, pour les 'ha- négociants probes... Les autres maudiront rie- îe système, puis ils feront faillite, et ce ab- sqra tant mieux. » Ainsi parla le professeur Bordas, inven- d'a- teur de cet ingénieux système. ; le o o o itu- la culotte de sport interdite aux Aile-mandes.i a Le Derliner Tageblatt publie une longue ien lettre émanant d'habitants de la région du lèn- Rhin qui se plaignent de la tenue indécente 1. des femmes qui pratiquent les sports d'hi- au- ver. Le costume adopté par ces sportswo-

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This item is a publication of the title Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire belonging to the category Liberale pers, published in Anvers from 1832 to 1940.

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