La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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04 December 1918
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s.n. 1918, 04 December. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 28 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/fj29883n75/
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The Newspaper for Belgians LA METROPOLE IflFLGIQUE - DIX» CENTIMES ANGLETERRE S ONE PENNY mlAANDE: VIJF CENT CONTINENT : DIXJ CENTIMES PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Directeur : JULES CLAES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné: Holborn 212 l 3 mois p «Il Abonnements ; - 6 mok: 17 eh | 1 an $3 eh 26« ANNEE MERCREDI 4 DECEMBRE 1918 Registered at ^ G P. O. N ggg m a Newsfafer La libération de la Belgique Mi»r>ifTiOTrHr" ' L'entrée de nos Souverains a Liège L'entrée du Roi à Liège Une réception triomphale liéae 30 novembre. — Il suffit de se rappe-l'histoire de cette ville, toujours jalouse sa liberté qui a toujours défendu avec une re énergie, pour comprendre ce qu a signu-oour Liège te longue occupation alleman-qui vient de prendre fin, et pour compren-e l'impatience avec laquelle la cité ardente tendait l'entrée solennelle de son Roi et des Il n'est pais exagéré de dire que toute la pulation de- Liège était massée dans les es qui étaient gaîment déoorées de dra-au'x, de bannières et d'arcs de triomphe, ème les câbles des tramways étaient ornes un grand nombre de drapelets. Le cortège ise forma à 10 heures et demie. : Roi et la Reine, à chevtall, en prirent l£ te et 'se dirigèrent vers 'la ville, suivis d ui iliant état-major qui comprenait le généra ïman, le héros de Liège, le général Michel défenseur die Namur et des délégation; ançaises et britanniques. Des acclamations tonitruante® éclatèren rsque le Roi passa et lafoule immense fu 1 proie à un enthousiasme indescriptible. Les régiments qui défilèrent étaient ceu; ii défendirent Liège avec la bravoure heroi le qui valut à la ville la croix -de la Legioi honneur. A leur tête marchait le 1er batail n du i2me régiment de ligne. La foule ac ama longuement lorsqu'elle reconnut 1 •ince Léopold de Belgique dans l'umform un simple soldat, portant le fusil et le sa «une ses camarades. Une véritable tempête de fleurs accabla 1 irtège, qui dut s'arrêter fréquemment pou cewoir de's bouquets que les enfants avaien éparés pour les présenter à la Reine. Ce >urs étaient entassées dans une auto 01 •rte qui ressemblait à une énorme corbeills Jamais le héro d'un triomphe 11e reçut sen able accueil. L'enthousiasme était, s il e; jssible, encore plus grand qu'à Bruxelles. Au centrée de la ville le Roi, entouré de so at^major, assista au défilé des troupes coi uites par le général Jacques. Vers 1 heure le couple royal retourna e uto au palais provincial, où il se reposa pei ant quelques instants. _ A 3 heures et demie, le Roi et la Reir irent reçus à l'hôtel de ville par le boun ie9tre qui, dans son d:i -cours, rappela 1 distance désespérée de la ville qui, dit-i ;tarda sensiblement l'avance de l'ennemi _ occupation, qui permit à î'armée françai: e remporter la victoire de la Marne. "Notre territoire, dit-il, éprouva ensui >us les excès de l'oocupation allemande, r ime sauvage de brutalités et d'oppressio 'out fut livré au pillage et à la rapine. L sines et les ateliers furent délibéremme étruits dans l'intention évidente de paralys n formidable rival. "Notre peuple a enduré pendant quatre a: ans faiblir un traitement unique. L'ennei .©fait a été refoulé maintenant au delà d rentières. Le crime a ainsi été puni, et îelgique est libre." Dans sa réponse, le Roi fit allusion au m [nifique effort de Liège au début de 1a gu< e, à la .ténacité et à l'indomptable moral a garnison qui tenait les forts et à l'héri }ue action du général1 Léman tenant toujot lans le fort de Loncin. La France, qui appi le toujours ce qui est grand et héroïque, lécerné à la ville de Liège la croix de la I 'ion. d'honneur en isigne d'hommage à la r :on chevaleresque qui aivait fat preuve d'1 :oïsme et d'esprit de sacrifice. En réponse aux clameurs du peuple, le F parut au balcon et fut acclamé d'enthousi me. Il assista ensuite à un Te Deum soleni à la cathédrale et quitta ensuite la ville auto qui eut les plus grandes difficultés à frayer un chemin dans la foule. Lorsque le Roi revint par la route de L( cin, où le drapeau belge flotte de nouves l'enthousiasme s'accrut encore. Le peu était fou de joie et parcourut les rues il minées en chantant des airs patriotiques i tour d'orchestres improvisés quii jouaient 1 danses; chaque soldat allié était acolamé h guement. Personne ne dormira dans Lie cette nuit. — Reuter. La démobilisation belge Le gouvernement a décidé le renvoi, à t bref délai, dans leurs foyers, des classes 1899, ïpoo, 1901 et 1902 ;une mes' analogue serait prise 'en faveur des assinv à ces classes et des volontaires âgés de p de trente-six ans. Les militaires qui le <i rent 'seraient provisoirement maintenus. 1 hommes de la classe 1914 qui n'onit pu rép dre à la suite de l'appel fait en septem 1917, la classe de 1915 et les classes, suivar 1 pouvoir continuer aussitôt que possible la li-bérateion des classes qui ont fait le service | de guerre. Une proclamation des syndicats chrétiens et libres Bruxelles, 27 novembre. Voici le texte de la proclamation que les syndicats chrétiens et libres du Père Ruttën ont lancée à l'occasion de la libération de la Patrie : AUX OUVRIERS ET AUX EMPLOYES ! Camarades, La Belgique est délivrée. ! La Liberté est reconquise. Notre joie est sans bornes. Vive le Roi et Vive l'Armée ! Depuis plus de quatre ans notre peuple a 1 fait preuve d'une énergie qui lui a valu l'ad-l miration du monde. Martyr de l'honneur et de te parole donnée i il a tout sacrifié à son idéal' et a montré à l'univens l'exemple de la grandeur morale, t Ce patrimoine moral est notre richesse la t plus pure ; c'est celui que nou's transmettrons à nos enfants comme le bien le plus précieux. : Nous ne permettrons pas qu'on y touche ou qu'on le diminue. 1 Nous l'avons défendu pendiant plus de quatre ans contre llennemi : nous saurons le défendre contre nos propres entraînements. 3 Pas die manifestations violentes contre tes ï biens et contre les personnes. c Nie souillons pas nos mains. Laissons à la Justice constituée le soin d'exercer la vindicte e publique. r Méfions,nous des agents provocateurs d'où t qu'ils viennent. s Restons maîtres de nos groupes et de nos réunions et ne permettons pas à des incon-nus de nous entraîner hors des voies légales. l- Les travailleurs chrétiens n'ont pas voulu ;t et ne veulent ps soulever des questions de politique intérieure aussi longtemps que dure n l'occupation. Il leur 9era aiisé d'établir, qu'au 1- sein de leurs organisations politiques, ils ont demandé depuis longtemps la suppression de n toutes les inégalités en matière de suffrage, i. d'enseignement et de langues. Camarades, e Restons dignes de nos morts glorieux à qu; a nous gardons un souvenir impérissable. 1 Restons dignes des vaillants soldats qui re-;t viennent. je Restons dignes de la Patrie la plus bel®; qui soit au monde. te Restons dignes de nos Alliés qui nous on' alldés à reconquérir 15 'liberté, l'indépendancf -j. et le Bonheur. L'Université libre de Bruxelles er et les intellectuels allemands Les professeurs de l'Université libre d( Bruxelles, réunis opur la première fois de 111 puis l'occupation, oint voté une protestatioi lfs contre le manifeste dtes intellectuels allemand: dont on n'a pas oublié le caractère menson ger vis-à-vis de la Belgique. La protesitiatiloi a" déplore que "des hommes de savoir et d'en T" seignement aient pu plier leur conscience : un pareil acte de servilité, que leur raisoi J1~ ne les ait pas préservés d'une aussi outrageu r,s se vilénie, que leur cœur ne leur ait pas die e" té la moindre rétractation alors que la faut ,a seté de leurs accusations était devenue év: 'e~ den.te et démontrée." La protestation défère Te "manifeste d lc~ 2 octobre 1914 au jugement sévère de l'his , . toire". Loi îS- MM. Koover et Saura, docteur Ie' " honoris causa „ de l'Université - - se de Bruxelles M. Hoover, président de la "Commissio >n~ of Relief in Belgium", et M. Saura, direi IU' teur du Comité hispano-néerlandais de pr< 5'e tection et de ravitaillement de la Belgiqu 'u" et du Nord de la France, viennent de reo 1U~ voir le titre de docteur "honoris causa" c les (''Université libre de Bruxelles. >n- •ge Les Luxembourgeois de la Colonie bruxelloise Une information bruxelloise dit que le d manche 17 novembre 1918, les troupes alll r^s mandes toujours présentes en ville, les meii 'bres de la Colonie luxembourgeoise habita: Jre l'agglomération se sont réunis en assembh lés plénière. Après avoir examiné la situatk 'u.s politique du Grand-Duché, ils ont décid r®*" dans un ordre du jour, de rédlamer la ré -es nion du Luxembourg à la mère-patrie, 3n~ Belgique, dont il fu'6 -séparé, malgré lui, < bre 1839. tes Rapatriement Communication officielle Toutes les personnes désirant être rapatriées aux frais du gouvernement britannique et résidant actuellement dans le distridfe métropolitain de Londres peuvent se procurer les formules de demande dans les bureaux de la police métropolitaine, ainsi qu'aux bureaux du War Refugees Committee désignés ci-dessous : Chelsea : Mrs. Erskine Chiiders, Crosby Hall, Chel'sea; Fulham : Miss Newton, 671, Fulham Road, S.W.6; Haipimersmith : Leslie Gordon, Town Hall, Hammersmith ; Ha-mpstead : Miss L. Paine, Town Hall, Hampstead, N.<W-3 ; Poplar, Stepney, Victoria Docks, Silver-town, Plaistow, Canning Town, Dagenham : D. R. Boit, Council Offices, High Street, Poplar ; Sydenham : Walter Mason, Woodfield, Da-cres Road, Forest Hill ; Camberwell : Miss Bower, King Albert's Hostel, 36, Camberwell Green, S.E.5; Ealing : Town. Hall, Eealing ; Finchley : Horace Eckert, Bankside, 13, Western "Road, Fortis Green, Easit Finchley, N.2 ; Tottenham, Edmonton, Wood Green : Miss Tatton, 2, Southside, The Green, Tottenham ; Beckenham : V. B. Crowther-Benyon, Council Offioes, Beckenham, Kent ; Wimbledon, Merton : Miss Richardson Evans, 8, Murray Road, Wiimbledon ; Richmond : A." W. Targett, Town Hall, Ricbmond ; Twickenham : A. W. Holbway, Town Hall, Twickenham. Retours individuels Le Comité d'e rapatriement fait en ce moment des démarches pour obtenir l'établissement d'un servioe régulier de navigation Folkestone-Calais ou Douvres-Ostende. Le Comité espère que dans quelques jours cette question pourra êWre résolue dans un sens favorable.Des mesures seront prises également pour faciliter et simplifier l'accomplissement des formalités. ♦ La grande Belgique Des ambassades près de la Cour de Belgique Les puissances alliées ainsi que les grands Etats neutres représentés près le gouvernement belge par des ministres plénipotentiaires, viennent de décider d'élever leur légation au rang d'ambassade à Bruxelles, qui sera donc sur le même pied que les ambassades de Paris, Londres, Rome et Washington.4 Les Belges à Aix-la-Chapelle Une ville de la principauté de Liège L'envoi des troupes belges à AixJ'a-Cha-; pelle a .été demandé, parait-il, par les autorités militaires allemandes. 1 Une brigade de cavalerie fut envoyée dans ; cette ancienne cité rhénane, qui dépendait autrefois de la .principauté de Liège. 1 On peut voir encore, au fronton de la porte principale du Dôme, les armoiries de la 1 principauté de Liège. 1 <> — Nos dommages matériels Près de 7 milliards ? Bruxelles, 1er décembre.— La première en-a quête faite par le Comité' central industrie :- d'e Belgique estime la valeur du dommag< causé par les opérations militaires et l'enlèvement de machines importantes et de rrnatiè 5 res premières à ^273.000.000 (soit 6 milliard: 1 825.000.000 de francs).— Reuter. [Nous ne connaissons par l'organisme ci dessus. Aussi, donnons-nous sous toutes ré n serves la dépêche Reuter. Il est évident :- en effet, qu'il ne peut s'agir là que d'un< >- évaluation partielle, les Allemands eux-me e mes ayant reconnu avoir mené toute la guer re pendant un an rien qu'avec les rapine: ,e opérées en Belgique. On ne parle _ pas ci dessus des réquisitions chez les particuliers non plus que des amendes imposées au pays aux provinces, aux communes, ni de la sai sie de l'encaisse des banques et des gares e des bureaux de poste. Il reste à ajouter : tout cela les dommages occasionnés aux par B" ticuliers par le chômage. Ce sont les plu 1_ considérables.] it ^ La mort d'Edmond Rostand >n Le grand poète Edmond Rostand, l'autel i1" célèbre de Cyrano de Bergerac, est mort lut di, à Paris, à 1 heure 45 de l'après-midi. Malade depuis quelques jours, Edmon Rostand a succombé des suites d'une doub Après l'armistice La commission de l'armistice à Spa Plusieurs correspondants de journaux de passage à Spa, où siège en ce moment la commission de l'armistice, annoncent que l'immeuble qui fut occupé par le Kaiser est actuellement habité par le général Nudant, tandis que le général Haking ocoupe l'ainci-en-ne résidence du général Ludendorff. L'habitation qui avait été réservée au chancelier allemand abrite en oe moment Sir Douglas Haig. Spa, dit le correspondant du Petit Journal, est uHe cité étrange et cosmopolite où Français, Anglais, Belges et Italiens s'entremêlent; avec un certain nombre d'Allemands -constellés de décorations. La commission de l'armistice tient1 habituellement ses séances à l'Hôtel britannique. Chacun des délégués s'exprime dans la langue de son pays, un interprète traduisant ses paroles, qui sont généralement rédigées. Tous les pourparlers ont lieu dans une atmosphère de courtoisie sans que des conversations soient échangées entre les délégués. Les Allemands communiquent avec Berlin par télégraphie sans fil et habitent les étages supérieurs de l'hôtel. Vendredi dernier, un certain nombre d'en-itlre eux apparurent aux fenêtres et assistèrent au spectacle d'une division de cavalerie admirablement équipée et en route vers le Rhin- A cette vue, les officiers allemands frappés comme d'un coup de foudre se raidirent subitement. Un tremblement les agita tous et un major fuit affecté à un tel point qu'il parut menacé d'une attaque d'apoplexie. On vit plusieurs des officiers tendant le poing d'ans un geste de désespoir. 1 ♦ . Les artisans de la victoire à Londres En conférence Malgré qu'aucune réception publique n'avait été organisée, la foule ne fut pas moins enthousiaste lundi que dimanche envers ceux dont la rapide visite à la capitale anglaise n'en aura peut-être été que plus importante. Des centaines de curieux passèrent une partie de lia matinée à Downing Street et, lorsque vers onze heures, arrivèrent successivement M. Clemenceau et le maréchal Foch, des acclamations partirent de tous côtés. Et pendant que là-haut, dans le cabinet de Lloyd George, des personnages illustres discutaient des questions fort graves, la foule continua à acclamer, chantant! la Marseillaise et le God save the King, et les ovations partirent de plus belle lorsque, vers une heure, le maréchal Foch et M. Clemenceau reprirent le chemin de teur hôtel. Dans la soirée eût lieu, à l'ambassade de France, à Londres, une réception pour les membres de la colonie française qui avait réuini 700 invités. Des discours de bienvenue furent prononcés par M. Cambon, le général Corvisart et M. Duchesne, président de la Chambre de commerce française à Londres. Une improvisation d'une chaude éloquence de M. Clemenceau et quelques paroles du glorieux maréchal donnèrent à cette réunion une importance extraordinaire. Les Belges fêtent le grand maréchal Une manifestation charmante eut! lieu dimanche à l'occasion de l'arrivée du maréchal Foch à Londtes. Jugeant avec raison que si les Belges auront bientôt iFoocasiôn de revoir leur pays c'est beaucoup au génie du maréchal Focl: qu'ils 1e doivent. M. Jacques Tokkie eut l'excellente initiative de faire offrir, au nom des Belges réfugiés à Twickenham, une superbe gerbe de roses et de chrysanthèmes. La carte attachée au bouquet qui était au> 1 couleurs belges portait l'inscription suivan te : "Humble hommage de quelques réfugiés ï Richmond et Twickenham, au vaillant e glorieux maréchal Foch, à l'occasion de sî visite à Londres, te 1er décembre 1918." Ouand le train entra à 2 heures 10, dan: la gare de Charing Cross, le maréchal Foch après avoir serré la main de M. Lloyd Geor ge, accepta avec un charmant sourire 1e bou quet des mains de la gracieuse petite ^Jul.ii Thomas, âgée de quafre' ans, et après l'avoi soulevée dans ses bras, if l'embrassa sur le: i deux joues. ♦ 5 Le service normal des paquebots a repris entre l'Angleterre et l'Amerique r Le paquebot Mauretania, ayant à bord u 1- nombre important de passagers, a quitté ai jourd'hui Liverpool pour New-York, d Ce départ marque la reprise du service r< le gulier du temps de paix entre lia Grande-Br< ta£»ne et l'Amérique. Pour les enfants pauvres d'Anvers Les étrennes de la victoire Nous -avons pris la résolution, d'ouvrir, celtlte année encore notre souscription traditionnelle en faveur des étrennes des enfants pauvres d'Anvers. L'armistice, en effet, n'apporte aucune aide pratique aux malheureux. La satisfaction morale n'apporte pas un morceau de pai.n à ceux qui en manquent. C'est pourquoi nous osons espérer que notre souscription sera au moins aussi élevée que la précédente. Nous avons reçu à ce jour : SEPTIEME Ï.TSTE Report jQ 104.16.10 M. Jules Baells ... ... ... 2. 2. o A d. W., Bouchoutulez-Anvers 5. o A l'occasion de l'heureux retour de notre cher papa et de notre cher ondle Jos., Denise et Mary 5. o D'un groupe de Belges réuni à Canonbury ... ... ...^ 5. o De M. et Mme Jos. Bastin, pour que tous les Anversois songent à leurs petits citoyens malheureux ... ... ... ... 10. o Groupes E. J., 5 sh. ; A. D. C., S sh. ; A. B., 5 sh. ; E. V., 5 sh.; J. C., S sh.; J. J. P., 5 sh. ; L. V., s sh. ; C. D., 5 sh. ; G. B., 5 sh. ; A. D., 6 sh. ... 2.11. o MM, S. S., 2 sh. ; E. Jans, 2 sh. ; G. Leçon, 5 sh. ... ... 9. o Total -/T TTT. S rn ♦ L'espionnage à Bruxelles La Gazette de Bruxelles, dit que les services allemands d'espionnage continuent à fonctionner pluis que jamais d!ans la ville et dans les faubourgs de Bruxelles où la police arrêta deux soldats allemands déguisés en femme et porteurs d'appareils photographiques, qui prenaient des vues du passage des troupes française?. ♦ Au congrès de Washington Le président Wilson et la paix Prenant lundi dernier la parole à la session réunie du Congrès, le président Wilson fit part! de son ferme espoir de voir la signature du traité de paix vers 1e printemps. Il endossa 1e nouveau programme des Etats-Unis à une politique mondiale future qui n'est pas encore déterminée. Les sénateurs démocrates se levèrent et acclamèrent de faç6n formidable lorsque 1e président annonça soin intention d'assister à la conférence de la paix. Les républicains gardèrent le silence. Le président se^tut après avoir parlé durant près de trois quarts d'heure. Malgré les craintes exprimées à ce sujet, les républicains .ne l'interrompirent pas. Le président et Mme Wilson, ainsi que tes personnes de teur suite ont pris passage lundi à bord du George Washington. Le navire a été entièrement décoré. Une compagnie de marins servira de garde d'honneur à M. et Mme Wilson, qui occuperont les appartement impériaux et royaux du navire, qui porte un équipage d'environ mille hommes. Le George Washington est attendu à Brest pour 1e 10 décembre. , 4 Conférence inter-alliée de Londres De la Daily Chronicle : La France et l'Italie ont des aspirations territoriales qui. soulèvent des problèmes épineux. Il suffit de se rappeler 1e traité Dou-mergue (rive gauche du Rhin), dans un cas et dans l'autre, les exigences contradictoires des Italiens et des Slaves du Sud à Fiume et en Dal'matie. Il y a aussi à considérer tes questions d'indemnités demandées à l'Allemagne et à l'Autriche-Hongrie, bien que cette dernière ait cessé d'être même une ex-. pression géographique. Pour oe qui concerne l'empire britannique, ' il est question de dommages immenses causés à lia flotte marchande par les sous-ma-> rins. ♦ ; Un obus dans un feu de joie à Bruxelles i Huit enfants tués et vingt-et-un blessés Bruxelles, i-er décembre.— Alors qu'ur groupe d'enfants faisaient un feu de joie i Schaerbeck, ils alimentèrent 1e feu avec ur panier vide qui avait contenu des obus. Mal n heureusement, un obus était resté dans 1< [. fond ; il fit explosion, tuant huit enfants e en blessant vingt-et-uns. Des explosions accidentelles ont eu lieu ; divers endroits dans lesquelles il y a eu de mort's et des blessés.— Reuter.

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