La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 21 June. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/tq5r786s3d/
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LA MÉTROPOLE ONE PENNY CFRONT : CINQ CENTIMES ~ ^ à T A\m"DPO V w*r AN m or* -1 • H <\1ki!)rPtl *?. î ABONNEMENT 1 mois 3 th. ; 3 mois, 9 sh. MTINENT : DIX CENTIMES a A "NT"NT L' L' JEUDI 21 JUIN 1917 No. 172 LA GRANDE GUERRE J • J _ 1 Z7 «X /m M /\1 î m <« A L'OPPOSITION DE LA RUSSIE .. . 1! i Les — Les modifications de la situation politique en Grèce, occasionnées par la de- position du roi Constante contmu n avec entrain et montrent une fois; de pta qu'à l'encontre des procédés magne, les pays de l'Entente ne cherchent après tout qu'à rendre au pays la liberté de se développer selon ses tendances naturelles et histonques sans les entraves des intrigues diplomatiques allemandes. M. Jonnart haut-comm.s- saire des Alliés, tretien avec M. Zaïmis, cnei u , au sujet de la restauration de 1 unité grecque et des problèmes qui s y rattachent. Les points principaux qui firent l'objet de la discussion furent lai réor ganisation du cabinet, l'.mcluo" deux ou trois ministres venizelistes convocation de la Chambre, grecque élue le 13 191S et dissoute defaçon anti-constitutionnelle par le roi Constantin. Cette Chambre, si elle est convo-quée, recevrait le serment du roi Alexan dre à la Constitution, voterait quelques mesures urgentes et décréterait les nou-vehes éleetfons pour l'Assemblée natic, nale qui doivent avoir lieu a la hn d l'année. Ces mesures sont généralemen approuvées, mais les détails n ont pa. été fixés. Quant à l'entrée des venizelistes dam la cabinet M- Jonnart a demande à M Zaïmis de se mettre en rapport avec M Repoulis, un des politiciens venizehste les plus capables pour la négociation d< cette question délicate. Tous les minis S! du cabinet son. d'accord pour la,s ser à M. Zaïmis toute liberte d actioi et pour s'abstenir, au cours des nego dations avec M. Repoulis, de le char p-er de toutes sortes die questions ei rapport avec leurs départements respec tifs: en même temps ils ont entrepr, d'accepter toute décision que _ M. Zaï mis pourrait prendre, parce qu une cris ministérielle en ce moment équivaudrai à un désastre. Un journaliste français, M. de Ma: I zîère, écrivant dans le Petit Parisier donne des détails très intéressants a sujet des événements qui se sont passe en Grèce en 1915. Il montre que les goi vernements qui s'y sont succédé etaie fermement résolus à s'opposer a toute les demandes légitimes du général Sa, rail et que le roi Constantin était parei I lement décidé à ne-prêter l'oreille à ai I cune demande faite par les Allies, e 2 novembre le gouvernement français, fi f tigué des notes et des ultimatums ava ■ décidé d'agir énergiquement a la d< 1 mande expresse de Sarrail et une esc: dre navale se trouvant alors a Mi avait reçu des ordres de faire une d ■ monstration à Salamis. M, Guillemu ambassadeur de France, et Sir Franc Ell'iott, ministre de Grande-Bretagn n'avaient fait aucun mystère de cet décision. Le 26 novembre M. Maiziè: vit le prince Demidofï, ambassadei russe, qui lui déclara que l'escadre 1 viendrait pas déguisant,sous un air fi vole, l'attitude que son gouvernement forçait à prendre le prince déclara qu devait obéir à son gouvernement. 1 Russie protégeait donc la Grèce^ et s< roi. Il était démontré ainsi que l'oppo: tion à l'intervention si nécessaire v nait, non pas de la France ni de la Gra de-Bretagne comme on le croyait alor mais du Tsar de Russie, sans doute l'instigation d'un quelconque Raspo tine. , . Les Alliés^ continuent l'occupation^ la Thessalie qui s'étend jusqu'à l'a cienne frontière séparant la province la Grèce; toutes les voies ferrées o été reprises et la ville de Domokos, 1 Constantin s'enfuit en 1897 pour écha per aux Turcs sera aujourd'hui entre 1 mains des Alliés. Une mission diplomatique russe e arrivée à Washington et a été reçue p M. Lansing, au milieu d'un grand e H nonulaire. Une mission ; 1 * tendra avec les Etats-Unis au sujet de la politique en Extrême-Orient. La situation militaire est générale ment inchangée. En Champagne la ba taille continue avec violence entre lte: côtes du mont Blond et du mont Cor nillet où le duel d'artillerie reste inten se. Les Allemands ont attaqué vigoureu sement, essayant de recapturer le ter rain perdu la veille, mais sans succès e leur action leur a coûté de nouvelles pet tes inutiles. De leur côté les troupes bri tanniques ont fait des progrès sur 1 front d'Arras, au nord de la Souchez € au sud de la Cojeul et annoncent e outre la capture de quatre nouveaux ce nons- •—o Grimm et Hoffmann ou l'action traditionnelle des naturalisés allemands et fîls d'Allemands A l'ouverture de la séance du Conse national helvétique, mardi matin, le ture a été donnée d'une lettre de Herr Ho1 mann annonçant sa démission de memb du Conseil fédéral et d'une communie tion du Conseil fédéral déclarant que ceh ci n'avait aucune connaissance de l'a tion de M. Hoffmann à Pétrograde. La démission de Herr Hoffmann n : nistre des Affaires étrangères de la Rép - blique helvétique, est la suite attendue d représentations faites à Bertie par l'E 1 tente après la révélation du rôle joué p Herr Hoffmann pour provoquer une pa russo-allemande séparée " dans l'intéi i de la Suisse elle-même pour emploj les termes de l'explication de Herr Ho s mann. Celui-ci dirigea, on le sait, négociations économiques germano-suiss e et franco-suisses, qui conduisirent à c t accords très critiqués. Il faut rappeler encore que Herr Hc mann est citoyen suisse, mais fils d'Ai ., mand. u De même, Herr Robert Grimm est s Suisse naturalisé, Allemand déserteur, cl du parti socialiste suisse et éditeur de t Berner Tagwacht. s Tels sont les auxiliaires de l'Allemag I- o—»— 1- Plus de titres allemands 3 Le roi d'Angleterre vient d'abolir 1 'l décret les titres d'origine allemande dano-allemande que portaient encore ] l~ tolérance royale certains membres de ?_ famille et de mettre /fin à l'accumulat des principats royaux en les réservant e -1' enfants et petits-enfants du souverain J,S en englobant les membres des brancl royales collatérales dans l'aristocrE „ anglaise en les élevant à la pairie. derniers vestiges de l'origine hanovriei 1 de la dynastie disparaissent ainsi et 1 revient à la tradition pré-hanovrienr je Les princesses Louise et Marie-Loi 'il de Schleswig-Holstein s'appelleront dé; ^a mais princesses Hélène-Victoria et Ma )n Louise ; le duc de Teck, les princes Loui ;i- Alexandre de Battenberg deviennent 1} e- quis, et le prince x\lexandre de I( n. comte enfin les duchesses de Saxe at s donnent ce titre. à Les Battenberg deviendront " Moi u- batten Les appellations d'Altesse E aie et d'Altesse Sérénissime cesseï d'être applicables à la descendance n_ leurs porteurs, les titres de " prince ' 3e " princesse " et l'appellation d'" Alt nt Royale " seront désormais exclusivem réservés à la descéndance du souverair p. ligne directe, enfants et petits-enfant es La Chambre des Lords examine d'aï part la suppression des titres angla: st des princes allemands ennemis, le ar d'Albany (duc de Saxe-Cobourg), le n_ de Cumberland et le prince Albert Schleswig-Holstein, petits-fils de Vict d TTT Avis aux militaires belges en instance de licenciement par réforme La Commission permanente de contre-visite, instituée par l'arrêté-loi du 5 avril 1917 et l'arrêté royal du 25 avril 1917, a commencé à fonctionner à Londres.Les militaires belges ayant à faire valoir leurs droits à la pension doivent adresser leur demande au ministre de la Guerre par l'intermédiaire du commandant de la Compagnie des subsistants à Londres. •—o 3 Congo et Angleterre Un éloge significatif A propos d'une polémique engagée sur le régime futur des colonies britanniques :t de la côte occidentale d'Afrique, Sir Harry Johnston, l'ancien commissaire de l'Ougan-i- da, écrit dans une lettre ouverte aux membres e du Parlement : :t ...J'ai*déjà signalé que, s'il n'y avait n pas eu la réforme du Congo, le Congo belge, 1- au lieu d'être le pays parfaitement (tho-roughly) bien gouverné, tranquille et satisfait qu'il est actuellement et qui fournit, pour combattre la menace allemande, une armée indigène nombreuse et loyale, aurait saisi l'occasion pour se révolter contre les administrateurs belges et ainsi considérablement fortifié le; moyens de nuire de l'Allemagne en Afri que. .. Sir Harry Johnston est l'une des personna lités coloniales les plus éminentes de l'Angle 9.' terre. u- Ce fut lui qui naguère critiqua sevère r€ ment la politique congolaise de la Belgique c_ Le suffrage des femmes en Angleterre Après une longue discussion, compre [es nant rien moins que dix-huit discours, 1 n_ Chambre des communes a émis mardi soi ,ar un nouveau vote en faveur du suffrage de ,jx femmes. -êt En faveur du vote féminin . . 385 voi ,er Contre le „ 55 V01 les Majorité favorable .. .. 330 voi -es Les "irréductibles" comprenaient 4 les conservateurs et n libéraux, dont deu ministres, Sir Edward Carson et M. Auste Chamberlain. Ile- •—; La débâcle du crédit allemand un Chaque jour nous apporte la nouvelle d'ui hef accentuation de la baisse du mark dans 1 la pays neutres, et particulièrement en Suiss Dès lors, une question assez intéressante ne pose : les banquiers neutres ne vont-ils p; essayer de spéculer sur cette baisse et ach ter au cours actuel du papier allemand, ( escomptant son relèvement futur ? Une enquête officielle a été menée à sujet en Suisse : elle a abouti à cette const par tation formelle : les neutres ne cherche! ou en aucune façon à effectuer sur le mark ui 3ar opération fructueuse. Pourquoi cela ? . ' Un grand banquier de Bâle en a dit lon raison : c'est qu'à ses yeux la débâcle fina LUX cière de l'Allemagne est irrémédiable, et que jamais son crédit ne pourra se rétablir < ties coup formidable qui lui a été porté. Ltie Ce témoignage autorisé et désintéres Les méritait d'être relevé, me o—o on Une cérémonie militaire au camp de Harderwijk ilse c ;or- Pour la premiere fois, le camp d mteri • belges de Hardewijck, en Hollande, a été " théâtre d'une cérémonie militaire partie s lièrement émouvante : la décoration d' iar" interné pour sa conduite devant l'ennei îck, Les soldats belges se trouvaient en orc >an- de parade sur le terrain des sports, sous commandement du capitaine-commands int- Finet, qui fait ouvrir le ban quand arrive • ov_ général-major commandant le camp. " J, Devant le front le soldat R. L. J. Celseu ()" des chasseurs à pied, reçut la croix de-tel , valier de l'ordre de Léopold H et la croix guerre, que le colonel Coppens épingla sur esse poitrine. ient Puis, s'adressant à tout le front, le colo 1 en Coppens prononça une allocution vibrai s. dans laquelle il rappela les rudes comb ]lTp des premiers jours de la guerre, et conclut ■ ; disant que la décoration du chasseur Celse a le prouvait que le Gouvernement n'oubli pas les internés. duc Les troupes défilèrent enfin devant de soldat décoré, que de nombreux offic: oria hollandais et belges qui assistaient à ^érpmnnip vinrfMrh fplio.iter. L'Amérique à la Belgique La mission belge à Washington Washington, 19 juin. — M. Lansing, secrétaire d'Etat, a accompagné hier la mission belge à la Maison Blanche, où M. Moncheur, chef de la mission, remit au président Wilson une lettre autographe du roi Albert et exprima également la gratitude de la Belgique pour 1 aide des Etats-Unis. Le président Wilson, en réponse, déclara que l'œuvre à laquelle les Américains avaient participé leur avait été aussi avantageuse qu'à la population civile innocente de la Belgique. " Le peuple américain, continua-t-il, a été à même de comprendre et de glorifier l'inflexible héroïsme du peuple belge et de son souverain, et il n'est personne parmi nous qui ne saisisse aujourd'hui l'occasion de vous exprimer notre sympathie et notre amitié cordiales, et notre détermination solennelle que, le jour inévitable de la victoire, la Belgique sera restaurée à la place qu'elle a si richement gagnée parmi les nations respectables et respectées de la terre." Les membres de la mission ont assisté à un dîner spécial donné le soir à la Maison Blanche. — Reuter. ^ , t 0 0 Belgique et Roumanie Les sympathies pour notre pays Dans une allocution prononcée au Grand-Théâtre du Havre, 1e 2 juin 1917: au cours d'une soirée de gala donnée ai bénéfice de la Croix-Rouge roumaine Son Excellence M. T.-G- Djuvara, 1( distingué ministre de Roumanie près di gouvernement belge, a exprimé en ce: termes sa sympathie pour la Belgique Je ne puis résister â la tentation de fixe quelques-unes des impressions que j'ai res senties, depuis le moment mémorable 01 a l'Allemagne, désormais déshonorée dan r l'Histoire, est tombée, comme un oiseau d proie, sur la faible Belgique, dont le sei ; tort éfàit d'avoir, pendant 75 années, donn l'exemple du respect des traités internatic x naux. X J'ai eu, à Bruxelles, ma part d'émotior du brutal ultimatum de l'Allemagne : je m x suis senti profondément attendri, dans cetl a séance historique où Sa Majesté le roi A x bert, entouré des représentants de la Be _ gique, proclama la fière décision de ne pé laisser souiller impunément le sol de la p: trie ; depuis ce moment, personnellemen je ne fus plus neutre; après un siège c sept semaines, je me suis embarqué à Ai vers sur ce Pieter-de-Conninch, qui porta ie sur lui la fortune politique de la Belgiqi îs meurtrie; enfin, à Ostende, sur ce mên e. bateau, j'ai vu les patriotes belges, dign< 5e dians leur navrante douleur, quitter les riv: is ges sacrés de leur cher pays pour venir o e- ganiser ici la résistance et préparer le r :n tour triomphal au foyer. Quand on a passé ces moments vraimei ;e inoubliables, on éprouve le besoin de fai 1- partager aux autres l'admiration que méri ît le peuple belge, parce que son action loya le devra éternellement servir d'exemple à toi , ceux qui ont le culte de l'honneur. En pr senoe de cette grandeur morale, que sigr la fie dorénavant le triste axiome allemane a- " La Force prime le Droit ",? et Non, c'est le droit seul qui est la force : lu vingtième siècle ; ce sera la morale de cel j guerre mondiale. L'Allemagne a eu be; sé préparer son agression pendant un den siècle : le Droit a groupé, peu à peu, te tes les forces éparpillées sur la terre, et (s n jourd'hui dans le camp des Alliés il y ia n seulement le Droit mais aussi la Force, châtiment atteint déjà le criminel et ri désormais ne saurait le sauver. L'Evang lés dit : " Celui qui tirera l'épée périra \ le l'épée." Un proverbe populaire roum: ;u- dit ; " Ne lève pas le bâton, car le bât i^n a (îeux bouts." Les Allemands croyaii ni. bien tenir un de ces bouts, mais déjà Ire champions de la justice ont pris 1 au le bout. Maintenant qu'ils se voient mena' ,nt par la levée de boucliers de tous les peup le civilisés, nos ennemis parlent mielleusem< d'une paix louche, sans annexions. Il ser .le, inconcevable que les forces alliées rebro ie- sassent chemin devant le port même de de lut, pour aller poursuivre sur une mer sa connue des utopies décevantes. 0-0 ieI M. Kerensky décoré par de! S soldats en Un corps d'armée du Caucase a décidé ul- conférer à M. Kerensky, ministre de ait Guerre, la croix de Sâint-Georges, en récc pense de son action pour faire pénétrer d; le les cœurs la sainte flamme de l'offensive ers Les délégués de ce corps d'armée s la arrivés à Pétrograde afin de remettre ce ! décoration à M. Kerensky. Belgique et Luxembourg M. Louis Piérard, le socialiste borain bien connu, écrit de La Haye au Petit Journal : Il y a des neutres, aidés de quelques Belges à idées fixes,qui ne cessent de partir en guerre contre... la Belgqiue. Depuis la mort de la Belgique indépendante, suivie de celte, tragique, de son directeur, tes sots bavardages relatifs à l'annexionnisme belge avaient cessé en Hollande. Tout au plus voyait-on, de temps en temps, 1e Socialiste belge, organe personnel de M. Camille Huys-mans, dénoncer les sombres plans impérialistes d'un certain nombre de ses compatriotes, mais nul n'y faisait plus attention, car on savait que, pour ee jourhal, il y avait là un moyen facile de se composer une attitude et de faire oublier certaines campagnes fâcheuses en faveur de la réconciliation avec tes Boches. Le paravent était tout trouvé. Mais voici qu'une nouvelle campagne semble s'esquisser. Au moment où, plus que jamais, 1e pusillanime chancelier, tiraillé entre tes pangermanistes et la so-zial-demokratie, est invité à se prononcer sur les buts de guerre de l'Allemagne, on veut reparler de nos buts à nous ! Une agence de La Haye envoyait récemment aux journaux hollandais la dépêche que voici ; « Zurich, 11 mai. — L'Agence de presse télégraphique suisse apprend de source diplomatique digne de foi que le président du Conseil belge, de Broqueville, fait des ef-fcrts pour obtenir l'appui de l'Angleterre 1 et de la France en vue des négociations sur la question des bouches de l'Escaut. Il con-; sidère comme inévitable un règlement de , cette question préjudiciable à la Hollande. Inutile d'insister sur le caractère vagué et inconsistant de cette information, r qu'heureusement peu de journaux onl publiée. Quelle est cette " source dipk> i matique belge digne de foi "? La dé s pêche -ci-dessus ressemble fort à un at e trape-nigauds. C'est M. de Bethmann Hollweg et non M. de Broqueville qu t est interrogé en ce moment sur des but: de guerre, puisque la Belgique n'est en s trée dans la guerre qu'à son corps dé e fendant. Pour nous, qui ne demandon e qu'à conserver des relations de bon voi 1- sinage et d'amitié avec la Hollande nous nous souvenons qu'il y a 50 an lS que le grand-duché de Luxembourg été déclaré indépendant et neutre. Nou ^ savons ce qu'il faut penser de cette neu tralité et de cette indépendance. Cett ;t province, arrachée brutalement à 1 ie Belgique en 1839 contre le vœu de se 1e habitants, est sous la coupe de l'Aile îs magne qui la tient par 1e Zollverein, 1e 1_ chemins de fer, la défense d'entreteni r" une armée ou des forteresses. Dès le 1e £~ août 1914, tes Allemands, venus e lt trains blindés, occupaient la ville grane: re ducale. Y a-t-il des gens assez benê! te exu assez aveugles pour croire que 1 le France et la Belgique vont laisser sut js sister à leur flanc cette menace, cett é- " Einfallstor pour parler comme 1 chancelier. ' : Ayons les yeux fixés sur ce point ei la carte d'Europe et ne tes laissons p 1 te détourner par des fantaisies, comme ce JU te dépêche de Zurich, dont nos am hollandais feront bien de se défier, u- o—a "n Les pirates trop humains ! Le en Dans la Woche, le plus répandu des jou île naux illustrés allemands, un certain profe iar sor Flamm reproche aux commandants d lin sous-marins de se montrer trop humains pn de prendre trop de soin de sauver les pass :nt gers des navires coulés, même des navir les neutres. Plus il y aura de victimes, éci tre le professeur, plus grande sera la terreur q :és détournera les matelots et les voyageurs - les naviguer dans la zone interdite ; ce sera :nt meilleur moyen d'épargner des vies hum; ait nés. lis- - ■»■■■■■■■■■■■! in- 'Jusqu'au bout! J'aime mon pays. Est-ce pour cela, > dira-t-on, que vous voulez le voir détrui re ? Je répondrai qu'aimer son pays, c'est avant tout le vouloir libre. IJn de peuple, s'il a la volonté d'être libre la et supporte tout pour le rester, ne meurt iiji- jamais. lns Louis de Brouckere. Discours aux militants de'l'I.L.P., 3nt 25 janvier 1917. !tte

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