La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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09 December 1917
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LA MÉTROPOLE ONE PENNY .•«OUÏ : CINQ CEirriMtt ÏÛLLAUDE : VIJF CENT COMTIWEHT ! DIX CENTISM PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holborn 212. ABONNEMENTS mois 3 sh. ; 3 jmois, 9 sta. 2 ANNEE DIMANCHE 9 ET LUNDI 10 DECEMBRE 1917 Nos. 343-344 GRANDE GUERRE La situation en Italie Armistice sur le front roumain Les Etats=Unis déclarent la guerre à l'Autriche Sur le front italien, la bataille continue avec une violence extrême sur le plateau des Sept-Communes. Les troupes du feld-maréchal Conrad von Hoetzendorff, exploitant leur suceès de jeudi, ont forcé les Italiens à des corps-à-corps désespérés qui durèrent plusieurs heures, pour leur faire abandonner le mont Sisemol. La nouvelle offensive, commencée à l'ouest de la Brenta dans la direction de Bassano, a pour premier objectif la ville de Valstagna, située parmi les derniers éperons de la chaîne de montagnes, avant que la plaine ne soit atteinte. Suivant le communiqué allemand, l'ennemi a réussi à capturer le mont Sisemol, capturant en même temps sur le plateau des Sept-Communes, environ 15.000 prisonniers. Le communiqué officiel italien, dans le-I quel on ne trouve guère confirmation des succès ennemis, annonce que des groupes ennemis s'avançant dans le val Fren-zala, une vallée tributaire de celle de la Brenta et qui avec le val Gadena donne directement accès à la plaine, a été repoussé en désordre à la suite d'une rafale des mitrailleuses. Dans l'après-midi, après une préparation d'artillerie d'une violence extrême, s'étendant du nord de Iq vallée de Ronchi jusqu'au mont Ka-berlaba, l'ennemi essaya d'opérer une brèche dans la ligne italienne au sud de Gallio, à l'aide de troupes nombreuses. La tentative fut frustrée par les Bersa-glieri, qui, après avoir repoussé l'ennemi à six reprises, permirent aux troupes [ du général Diaz de refaire leur liaison et arrêtèrent l'ennemi au mont Sisemol. Au cours de la bataille de mardi, les Autrichiens semblent avoir livré deux attaques séparées sur des fronts relativement étroits, l'une embrassant le mont Sisemol et le mont Zomo et l'autre contre les pentes orientales du Tondereoar et le côté est du saillant jusqu'au val Gadena. La première attaque échoua, mais les Autrichiens prirent pied sur le mont Tonderecar et mercredi matin, ils semblent avoir été en possession de ce sommet et du sommet avoisinant de Ba-denecche.Ils développèrent alors leur action dans la direction de l'ouest à l'arrière du côté ouest du saillant, rendant la position intenable et coupant une partie des troupes sur le Castel Gamberto et à Fior, qui avaient vaillamment tenu jusqu'au bout. Suivant un communiqué de Vienne, tout le terrain, au nord du val Frenzela, avait été occupé mercredi soir. Le succès des Autrichiens est attribué à deux causes ; en premier lieu, la concentration de forces en nombre supérieur sur de courtes distances du front, que, par suite des difficultés d'un mouvement latéral, il était difficile de contrebalancer et la configuration du front italien, qui a empêché le renforcement par l'arrière du côté est du saillant. Sur le front britannique, les opérations d'infanterie n'ont pas été importantes. Le communiqué officiel britannique signale des rencontres de patrouilles et le bulletin allemand parle d' "entreprises sans importance pour l'amélioration des positions". Le compte rendu britannique ne donne aucune idée que Marcoing, qui formait la pointe du saillant évacué par nos alliés, a été également évacué par eux, bien que le général von Ludendorff, écrive que "Marcoing a été évacué par l'ennemi". Sur le front français, les Allemands essayèrent par deux reprises d'atteindre les tranchées françaises dans la direction de Bezonvaux et Beaumont, sur la rive droite de la Meuse. La nouvelle que les troupes russes se trouvant sur le front de Roumanie ont suspendu les hostilités et que nous avions reproduite d'après le Temps, est confirmée. Les opérations furent suspendues mercredi à huit heures sur tout le front. Les troupes roumaines, ajoute 'e communiqué officiel roumain, gardèrent une attitude réservée et digne et rejetèrent toute tentative de fraternisation. Suivant l'Agence télégraphique (maximalis- te) de Pétrograde, l'initiative des pourparlers a été prise par le général Tcher-batcheff, général-en-second sur le front roumain. De Stockholm, on annonce qu'un ministre roumain a déclaré que la Roumanie n'a pas l'intention d'entrer en pourparlers de paix et que, quoique la situation soit grave, la Roumanie ne trahira jamais ses alliés, mais leur restera fidèle jusqu'à son dernier soupir. Dans une proclamation officielle, M. Braunstein (alias "Trotsky") renouvelle ses efforts pour amener les Alliés à la conclusion d'une paix démocratique et donne l'assurance que l'armistice ne sera signé que sous la condition que les troupes ne soient pas envoyées d'un front à l'autre. Il rappelle ensuite les détails des négociations que nous connaissons déjà. Les hostilités .ont été suspendues pour une semaine, de sorte qu'il y a une période d'un mois entre la date du décret du 8 novembre et la reprise des négociations de paix le 12 décembre et cette période, ajoute Trotsky, est suffisante p>our permettre aux gouvernements des Alliés de définir leur attitude au sujet de la paix. Nous avons annoncé que l'Amérique se préparait à déclarer la guerre aux alliés de l'Allemagne. Le comité des Affaires étrangères du Sénat et de la Cham- _ bre a déposé son rapport et une résolution déclarant la guerre à l'Autriche-Hon-grie. Le président du comité, M. Flood, déclara à la Chambre que le président demanderait au Congrès de déclarer la guerre à la Turquie et à la Bulgarie plus tard s'il l'estimait utile, mais qu'il considérait cette action comme peu sage pour le moment. Après la déclaration de M. Flood, la Chambre s'ajourna pour reprendre la discussion en vue du passage immédiat de la résolution. Le rapport du Comité que la résolution n'implique qu'un rajustement minime dans les affaires des Etats-Unis et de l'Autriche-Hongrie, parce que l'état de guerre existe virtuellement depuis des mois., "Les déprédations contre la vie et les droits d'Américains par les forces navales de l'Autriche ont été petites en comparaison de celles de l'Allemagne, dit le rapport; mais elles ont été suffisantes pour justifier l'état de guerre. A la suite de 'a situation sur le front italien, qui est une menace pour la cause alliée, qui est celle des Etats-Unis, les Alliés ont envoyé à la hâte des secours, à l'Italie; les Etats-Unis envoyent des navires, de l'argent, des vivres et probablement, sous peu, des troupes qui se trouveront en face de soldats autrichiens ! Après la séance à la Chambre, M. Flood, au cours d'une interview, a fait savoir que la déclaration de guerre de l'Amérique à la Turquie et à la Bulgarie a été remise à plus tard, parce que d'après des informations en sa possession, les relations entre l'Allemagne et la Turquie étaient fortement tendues et menaçaient une rupture. D'après un télégramme de Washington du 7 décembre, le Sénat et la Chambre ont voté la résolution et le président a signé le décret déclarant la guerre à l'Autriche-Hongrie. o—o—— Eloge allemand de l'armée belge Aveu mélancolique de la Frankfurter Zeitung dans un article sur La Belgique cosidérée comme base militaire (rto. du 21 novembre 1917, 1ère feuille du matin) : "Notre offensive en Belgique nous a coûté des fleuves de sang; chaque pas en avant sur le sol belge a été chèrement ! acheté. " Cet aveu est le plus bel éloge qui puis- ' se être fait par l'ennemi de l'efficacité de la résistance opposée par l'armée belge à l'envahisseur de 1914. 0—0 — Les nouveaux taux de paiements des soldats de l'armée britannique entrent en vi- 1 gueur avant la Noël de cette année. Histoires Le Courrier de la Meuse, que nous sommes — et p>our cause — obligés d'introduire auprès de nos lecteurs, est un journal né de la guerre, qui s'imprimait, il y a quelque temps encore,à Maestricht, sur un format de papier à lettres. Aujourd'hui, le Courrier de la Meuse a pris, dans ce pays de Hollande saturé de journaux belges, l'envergure (papier s'entend) du Temps. Ce sont là choses assez communes en temps de guerre, malgré la cherté du papier, l'absence de lecteurs et d'annonces, et nous pourrions aussi, si nous le voulions seulement, avoir ce format-là... Et, bien entendu, nous ne songerions pas à nous étonner même de l'extraordinaire amplification de ce journal si ce n'était qu'il nous prête, ainsi que quelques autres et, du reste, tout gratuitement, à propos de l'incident de Broque-ville, des choses que nous n'avons ni dites ni pensées. C'est étonnant ce qu'il y a de- gens chez nous qui né savent pas lire et qui se mêlent d'écrire. Le Courrier de la Meuse explique ainsi nos intentions : M. de Broqueville ne serait-jl pas l'homme de certaines visées ; peut-être même le chef du 'cabinet ne serait-il pas aux yeux du "groupe de Londres" assez empressé à accepter toutes les vues des autres chancelleries. C'est assez que pour leur plaire nous n'ayons pas répondu au Pape. Nous ne demanderons pas au Courrier de la Meuse, mais bien à nos lecteurs, où nous avons dit quoi que ce soit qui pourrait leur faire croire que M. de Broqueville n'est pas l'homme du "groupe de Londres" ! Nous avons relaté le fait assez important, croyons-nous, de l'offre allemande. Fallait-il n'en rien dire? Pourquoi cette nouvelle devrait-elle nécessairement entraîner la chute de M. de Broqueville? Il y a là une relation que le Courrier de la Meuse ne nous donne pas. Nous ne voyons pas non plus en quoi un "groupe de Londres" pourrait être rendu responsable des conséquences d'une démarche faite auprès de notre ministre des Affaires étrangères. Est-ce que, par "groupe de Londres", le journal de Maestricht entendrait. les autres membres du cabinet? Car c'est bien la première fois que nous entendons parler d'un "groupe de Londres". Mais l'indiscret Courrier de la Meuse nous apprend que M. de Broqueville n'a pas répondu au Pape, pour faire plaisir aux autres chancelleries. Voilà une accusation nette, assez en opposition avec celle qui consiste à dire que M. de Broqueville ne serait pas assez empressé à adopter toutes les vues des autres chancelleries. Nous notons sans plus. Et pour le reste des imprécations du Courrier de la Meuse, qui dit au gouvernement "qu'il peut compter sur lui", nous ne nous y arrêterions pas si vraiment il y avait là une incorrection de plus, car tout gouvernement belge, que nous sachions, peut compter sur tous les Belges. Cela n'empêchera cependant pas ceux-ci d'exprimer leur manière de voir, à moins que le grand Courrier de la Meuse n'exige que l'on sollicite d'abord son approbatur ! o—o A nos lecteurs et amis En moins d'une minute, hier, nous avons été témoin du refus de cinq numéros dç la Métropole en un endroit du centre de Londres. Nous recevons, d'autre part, des plaintes de vendeurs nous disant que depuis irès de deux ans ils ont essayé vainement d'obtenir la Métropole avec régu-arité ! Il y a là, on en conviendra, un état de ;hoses singulier qui ne s'explique certainement pas par le refus de gagner de 'argent. Mais il nous justifie auprès de 10s lecteurs du reproche de n'avoir pas toujours eu la Métropole en vente là où ls auraient désiré qu'elle le fût. Pouvons-nous demander à nos lecteurs ie nous dire et de dire à leurs amis où ls se procurent le journal? Celui-ci, en ïffet, à part quelques rares exceptions, îchappe à notre contrôle une fois qu'il ;st remis aux grandes agences. Nous nous ferons un devoir d'annon-:er où on peut trouver la Métropole. o—o — Une exposition commémorative des œu-res du sculpteur Auguste a été organisé au Victoria and Albert Muséum (cast hall). Notre nouveau consul à Rotterdam M. Van der Heyde On annonce le nomination de M. Van der Heyde, qui, au moment de la déclaration de guerre, était consul général de Belgique à Hambourg, comme consul général à Rotterdam. Le gouvernement a mis le right man in the right place. En effet, M. Van der Heyde est non seulement un fonctionnaire des plus capables, c'est encore un homme plein de tact et de courtoisie et nous sommes persuadés que nos nombreux compatriotes qui passent par Rotterdam n'auront qu'à se louer des rapports qu'ils auront avec le consulat général.Nous ajouterons que M. Van der Heyde possède aussi parfaitement le flamand que le français. Depuis trois ans, M. Van der Heyde s'était spécialement occupé de l'Œuvre des vacances du soldat, où M. W. Ser-ruys lui succédera comme secrétaire général.o—o Les documents secrets russes Offres allemandes de paix aux Alliés Pétrograde, 4 décembre.— La partie des documents secrets publiés aujourd'hui par Lénine comprend un télégramme de M. Nabokoff, chargé d'affaires de Russie à Londres à Terestchenko, alors ministre des Affaires étrangères de Russie : Le document débute par les mots : "Extra secret; pour le ministre seulement" et porte la date du mois d'octobre ainsi que le numéro 803. Dans le télégramme, tel qu'il est publié, M. Nabokoff fait comprendre que M. Balfour (?) avait fait savoir à une conférence spéciale des ambassadeurs de France, d'Italie, des Etats-Unis et du Japon qu'il venait de recevoir des informations de Madrid suivant lesquelles un personnage haut placé de Berlin avait exprimé à l'ambassadeur espagnol dans cette ville, le vœu d'entamer des négociations de paix. Le gouvernement espagnol, toutefois, ne pouvait prendre sur lui aucune médiation et se bornait à mentionner le fait. Après avoir reçu cette nouvelle, le gouvernement britannique se trouvait devant cette alternative, ou de laisser la demande allemande sans réponse, ou de répondre très prudemment. Ne pas répondre aurait donné à l'Allemagne l'occasion de faire usage d'une pareille action comme d'un moyen d'encourager le moral du peuple allemand et de renforcer la position de l'Allemagne, tout en augmentant" l'agitation en Russie. Pour cette raison, le gouvernement britannique ferait la réponse suivante : "Le gouvernement de Sa Majesté serait prêt à recevoir la communication que le gouvernement allemand croyait pouvoir faire concernant la paix et considérerait la question en conjonction avec les Alliés." La réponse du gouvernement britannique devait être brève parce que l'Allemagne est toujours prête à tourner les mots et les principes à son profit. Les ambassadeurs, discutant la question avec M. Balfour, ainsi continuait le télégramme de M. Nabokoff, arrivèrent à la conclusion que c'était là une nouvelle tentative de von Kiihlmann d'attirer les Alliés dans un filet. Il fut décidé qu'en aucune circonstance, un des Alliés ne négocierait, du moins jusqu'au jour où la question pourrait être discutée collectivement. Jamais l'union entre les Alliés ne fut aussi nécessaire qu'en ce moment. La dépêche continuait : A la suite des victoires récentes en Mésopotamie et sur le front ouest, la Grande-Bretagne a maintenant l'influence domfnante. Toutes les' im-formations montrent que le moral allemand faiblit à mesure que celui de la Grande-Bre-tagne augmente. M. Nabokoff disait que la Russie appuyait cette action et qu'en vue de l'importance de la question, il informa M. Balfour qu'il transmettrait le message au ministre des Affaires étrangères de Russie de la façon la plus secrète. La Russie, observait encore M. Nabokoff, a, plus que jamais, besoin de l'appui et de l'assistance des Alliés.— Times. ——o—o Lexicologie Le Telegraaf d'Amsterdam propose à ses lecteurs quelques "expressions de guerre". Voici quelques exemples de verbes nouveaux que la gazette hollandaise voudrait faire adopter : Incendier une ville : Manteuffelen, en souvenir de la destruction de Louvain ; Tuer des femmes et des enfants : Zeppe. litien. Le Noël des petits pauvres d'Anvers Physiologiquement, nos enfants se meurent de faim. Dr. SCHUYTEN. Chef du Service pédologique de la ville d'Anvers. Les sommes recueillies seront réparties entre les enfants pauvres d'Anvers, sans aucune distinction de parti ou de religion. DIX-HUITIEME LISTE Report £ 202 16 9 Fr. aïo Mrs. Gardener, 2sh 6d. ; B. Bevar, 6d. ; Mrs. H. Rickards, 3sh. ; J. Stockoe, ish. ; Mrs. J. L. Black, 2sh. 6d. ; Bevar, 6d. ; S., 6d. ; Mme Kockerols, 2sh. 6d. ; S.B.A., 6d. ; E.A.A., 6d. ; D. Hudwinter, 2sh. ; R. N. Rositer, 2sh. 6d. ; M. Chap-man, ish. ; N.G.W., ish. ; K. S. Balhatchet, 2sh. 6d. ; E.A.B., 6d. ; E. Feltham, losh. ; Eff D., 6d. ; B.R., 2sh. 6d. ; J.F., 2sh. ; E. Baker, 2sh. ; K. Jon, ish. ; K. V. Jones, 5sh. ; Mme Brees, 2sh. 6d. ; Léontine Brees, 2sh. 6d. ; Van Ie-backer, 2sh. 6d. ; Thonon, 2sh. ; J. V. Jones, 6d. ; Dereere, 2sh. ; MM. Verdyck, ish. ; Tonne, ish. ; Crauwels, ish. ; Soetermans, ish. ; Van de Weghe, 2sh. ; Mmes Ver-brugghe, 6d. ; Cool, ish. ; F. Vanden Abeele, 4sh. ; Anonyme, 2sh. 6d. ; Anonyme, ish. ; Anonyme, ish. ; MM. de Mentock, ish. ; Dessain, 2sh. ; Anonyme, 2sh. 6d. ; A. B. Verschueren, ish. ; J. Van Hoof, ish. ; Some Friends, Knowle, ish. 6d. ; De Poortere, ish. ; J. De Poortere, ish. ; Mme Joris, 6d. ; M. Devos, 2sh. 6d. ; les Belges "de Goodeve Road, iod. ; Mary Ward, 2sh. 6d. ; Ed. Buysaert, ish. ; Mlles M. T. Goethals, 4sh. ; M. Vercruys-se, 4sh. ; Par l'inter. de Mme Jules Van Heurik de l'Anglo-Belge Meat Cie, £ 1 7sh. ; Pour le rapatriement de notre cher papa, 2sh. 6d. ; M. Ward, 2sh. ; M. Hilborn, ish. ; Mme Louis Van de Velde, £1 ; Gui Bassino, ish. ; N. Van Dieren, 6d. ; Proctor, 6d. ; M. Stinissen, 6d. ; G. de Clercq, ish. ; F. M. Georges, 6d. ; B. M. Willems, ish. ; Maertens, 6d. ; Kimpe, 6d. ; E.L., 6d. ; Tanche, 6d. ; Kitty Gillander, English, 6d. ; Cassiers, 6d. ; Ver-meer9ch, 6d. ; G. Kayenberg, 6d. ; Leclercq, 6d. ; M. Van der Biest, 6d. ; B. Pavot, 6d. ; J. Moiseef, 6d. ; E. Wouters, 6d. ; C. Soetewey, ish. ; M. Gryspeerdt, ish. ; A. De Maecher, 6d. ; Anonyme, 6d. ; P. Wright, ish. ; Bogaerts, 6d. ; Lewis, 6d. ; Eagles, 6d. ; Glous-kin, 6d. ; Van Spoor, ish. ; Bouc-quey, ish. ; Ma., ish. ; Beatrix Musschoot, ish. ; Une partie de bridge à New-Malden, 3sh. 5d. ; Marthe, 2sh. 6d. ; Anonyme, ish. ; Li-na, ssh.; René de Thier, ssh. Report £ 212 19 6 Fr. 210 o—o La poste allemande avec l'Argentine Buenos-Ayres, 25 octobre (par lettre).— Un télégramme de Londres publié ici ce matin déclare que le bruit court à Londres qu'une ligne de sous-marins est organisée entre un port allemand et une base au large de la côte allemande dans le seul but de maintenir la transmission de communications par lettre. Il est possible que quelque lumière soit jetée sur ce moyen de communication par un cas porté à la connaissance de votre correspondant après l'arrivée à Buenos-Ayres du dernier bateau espagnol. Une couple de jours après l'arrivée de (te bateau, une lettre fut remise par porteur au bureau d'un certain X..., à Buenos-Ayres. Une taxe de deux dollars (10 francs) fut demandée à la délivraison et comme X... était sorti à ce moment, elle fut payée par l'employé qui reçut le messager. L'enveloppe ne portait aucune marque postale; elle était affranchie d'un timbre allemand oblitéré à la main et le verso portait un endossement, fait avec un timbre en caoutchouc, disant que si l'on désirait répondre en Allemagne "par la même voie", des instructions seraient fournies sur demande à un numéro de téléphone, qui coïncide avec celui indiqué dans le guide à côté du nom de la Chambre de commerce alleman-de.— Times. o—o — Un projet de loi a été élaboré aux Etats-Unis permettant aux femmes de s'engager et de conquérir des grades dans la section d'aviation du corps de signalisation.

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