La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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10 February 1917
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s.n. 1917, 10 February. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/jd4pk08157/
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LA MÉTROPOLE Il ONE PENNY I CINQ CEHTIME» «<)«■„.. VIJF CENT DIX CENTIME» PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné : Holborn 212, ABONNEMENTS : 1 mois, 3 sh. ; 3 mois. 9 sh. Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 12 sh. |04me ANNEE SAMEDI 10 FEVRIER 1917 No. 41 LA GRANDE GUERRE M. WILSON ATTEND ernstorff rentre avec sa suite Sur le front de l'Yser ■Suivant le correspondant à Berlin du Lo-York World le peuple allemand n'a L encore abandonné tout espoir d'évi-L |a guerre avec l'Amérique. Des ten-Ives de la dernière heure sont faites, Lit-il, pour rassurer l'Amérique qu'au (nt de vue du gouvernement impérial | guerre sous-marine sans restriction Intache pas l'honneur de l'Amérique. I nouvelle, imprimée en Allemagne et laquelle une large circulation a été Innée, suivant laquelle les navires aj-liands se trouvant dans les ports amé-iains ont été saisis par le gouvernent de Washington est généralement !teptée en Allemagne et y est consi-rée comme le premier acte hostile. Mais le premier acte hostile véritable Été commis par l'Allemagne en refu-nt d'accorder les passeports nécessai-k à M. Gérard jusqu'à ce que tous les I obstacles seraient écartés de la route I comte Bernstorff. Lorsque le départent d'Etat reçut cette nouvelle mar-I soir, elle parut si incroyable-que le |partement refusa d'y ajouter foi aussi fetemps qu'elle ne fut pas confirmée; | avait espérét que la chose aurait pu Ijrranger sans y donner de la publicité, sis Berlin le voulut autrement. Depuis Js le département d'Etat est convaincu l'un vent de folie a passé au-dessus de IWilhelmstrasse et qu'il y souffle en Ipatience. On ne peut encore dire avec certitude le Président considérera le torpillage I California comme un acte hostile qui [forcera à demander au Congrès de fclarer la guerre à l'Allemagne. Mais Ion toute probabilité M. Wilson n'en fa pas un casus belli et il faudra une [rte considérable de vies humaines [ant que le Président n'estime la guer-I inévitable. Pn correspondant du Morning Post Interviewé un personnage américain Ss bien placé pour juger ou interpré-f ce qui se passe dans l'esprit du Préfet, et même dans l'esprit du public léricain. Le président Wilson ne peut pr la guerre, disait-il, parce qu'une "le vie humaine a été perdue. Mais ïérents événements peuvent provo-Ier la guerre. Un renouvellement de fcident du L^usitania sera le premier, l'e Si-Louis ou un autre paquebot léricain est torpillé et des Américains p le pays demandera la guerre comme Pa demandé pour le Maine. Le prési-F MacKinley tenait beaucoup plhs à Ejerla guerre que le président Wilson, pis MacKinley dut céder à la près-Pn de l'opinion publique et le prési-f" Wilson devra en faire autant, autre événement qui entraînera une Rration immédiate de guerre sera un p hostile commis par l'Allemagne F I Atlantique. 11 est très probable des sous-marins apparaîtront dans eaux américaines et détruiront ou es-Font de détruire non seulement des Vlres marchands mais des navires "de Fre- Un acte pareil déclancherait im-' ''tentent la guerre. En tout cas, si «ats-Unis déclarent la guerre ce ra I Allemagne qui la provoquera. dégâts causés aux navires alle-^d5- dans le port de New-York n'ont ï ,'f' exagérés. Les navires ont été "s et rendus absolument impuis-s Par la destruction des machines. ntre temps on apprend que la Fran-rï Angleterre ont accordé un sauf-à l'ambassadeur allemand ain-sa suite de 200 personnes, "qui ^ arqueront à bord d'un vapeur scan-,j.Ve- Quant à M. Gérard il quittera t ln Probablement dimanche et tra-^era la Suisse et la France, en route ^ Barcelone, où il s'embarquera pour pavane et New-York. "e nouvelle activité s'est manifestée L a Partie britannique du front de la , ^ Les troupes du général Haig Pn.s d'assaut la ferme de Bailles-SUr la route de Beaucourt à Mi- raumont, tandis qu'au sud de l'Ancre une tranchée ennemie fut capturée. Sûr la côte de Sailly-Sallisel une nouvelle hauteur a été capturée au cours de ces opérations; 160 prisonniers ont été ramenés, ainsi que quelques mitrailleuses.Le froid et le gel ont rendu les opérations possibles sur l'Yser en face des lignes belges. Dans la nuit de mercredi à jeudi les Allemands essayèrent de pénétrer dans les lignes belges. Un contingent allemand attaqua nos postes avancés près de Dixmude, mais il fut reçu par les Belges sur une vive fusillade. L'ennemi fut décimé et le reste du groupe fut fait prisonnier. A Het Sas et au sud de ce point, les Allemands ont essayé de pénétrer dans nos lignes. Le terrain y est complètement bouleversé par les projectiles. Les entonnoirs s'y coupent et s'y recoupent. Les eaux gelées de l'Yperlée, mince filet d'eau que les trous d'obus ont transformé en une chapelet de lacs en miniature, sont recouvertes de débris de toutes sortes et de mottès de terre. Des tôles ondulées qui recouvraient les abris ont été projetées au loin : l'une d'elles, percée de plusieurs trous, est restée debout, fichée en terre.Des arbres qui bordent le canal, il ne reste plus guère que , la partie inférieure. Encore les violentes explosions des bombes de tranchée ont-elles dépouillé la plupart de ces chicots de leur écorce : on dirait des arbres fantômes.C'est là que dans la nuit du 29 au 30 après une violente préparation d'artillerie tant sur nos lignes que sur les boyaux de communication des groupes de fantassins allemands sont passés à l'assaut. Malgré le bombardement furieux, nos soldats étaient à leur poste. Les ennemis furent accueillis à coups de fusil, de grenades et de baïonnette. Quelques-uns des nôtres payèrent de leur vie leur héroïsme, au cours du corps-à-corps qui se déroula sur le parapet même des tranchées. Mais les Allemands, décimés, durent fuir et les quelques Boches qui parvinrent à franchir le parapet furent expédiés en un tournemain dans l'autre monde. Comme le niveau de l'inondation subit, suivant le flux ou le reflux, des variations continuelles, la glace se lève ou s'abaisse imperceptiblement avec des craquements insolites qui deviennent sinistres quand tombe l'obscurité. En certains endroits, notamment à proximité des canaux, la couche n'est plus horizontale. On ne peut s'y risquer qu^en rampant. Nos " piottes " sont encore toujours un " peu Jà ". 0—o La Pologne et M. Wiison On lit dans le Bulletin de l'Agence polonaise de Lausanne : Le passage du message de M. Wilson où il est question du postulat de la Pologne unifiée et indépendante a été accueilli avec enthousiasme dans toute la Pologne. A Varsovie, des démonstrations ont eu lieu devant le consulat d'Amérique. Dans la Pologne prussienne, à laquelle les Allemands dénient le droit d'appartenir à l'Etat polonais et qui pourtant est indispensable à cet Etat, car elle lui donne accès à la mer, les paroles de M. Wilson on été un réconfort pour les esprits et les volontés de la population. En Galicie, même la presse qui sympathise avec les Empires centraux a souligné le fait que M. Wilson avait placé sur le même rang le principe de l'unité et celui de l'indépendance. La censure autrichienne a effacé dans les journaux polonais le mot " unifié ". Les dépêches adressées de Berlin à Varsovie et à Poznen (Posen), ont altéré la pensée de M. Wilson en remplaçant la conception " Pologne unifiée " par des expressions vagues telles que Pologne "une" ou "propre". Malgré cela, dans toute la Pologne on sait aujourd'hui que M. Wilson a nettement posé le principe de la Pologne unifiée et indépendante. Le ravitaillement de la Belgique Le Petit Journal a voulu connaître l'impression provoquée au Havre, dans les milieux officiels belges, par les menaces de blocus de l'Allemagne au point de vue du ravitaillement de la Belgique et du nord de la France! La question, telle qu'elle vient de surgir, n'a pas surpris le gouvernement belge, étant donné l'état précaire des relations diplomatiques entre les Etats-Unis et l'Allemagne. Le gouvernement se préoccupait depuis longtemps déjà de l'éventualité de cette rupture.Voici donc comment apparaît à ses yeux la situation : On pourrait se résoudre à remplacer les agents américains de la Commission pour le ravitaillement par des agents hollandais, espagnols et danois, sous la protection des ministres de Hollande et d'Espagne. Le ravitaillement ne serait donc pas compromis, malgré les difficultés indéniables qu'entraînera le remplacement d'un personnel qui rendit tant de services à la Belgique et dont l'autorité en la matière et l'expérience sont universellement appréciées. Mais il existe un danger plus sérieux. Il réside dans le nouveau règlement du blocus allemand. Jusqu'ici, l'Allemagne accordait, au moins en théorie, l'immunité aux navires de la Commission. Maintenant, elle annonce que dans la zone prohibée, elle leî attaquera comme tous les autres navires. Or, un cinquième des produits sont achetés en Angleterre. De plus, les navires transportant les vivres doivent faire du charbon en Angleterre et passer, par conséquent, par une zone prohibée. Si l'Allemagne applique le blocus dès le 4 février au soir, les navires en route ne pourront être prévenus. Il faut en conclure que si réellement l'Allemagne décide d'appliquer les règles qu'elle annonce, c'est qu'elle est décidée à interrompre le ravitaillement.On espère ici que l'intervention du roi d'Espagne, auquel M. Villalobar a fait un émouvant appel, et celle des autres puissances neutres, pourront conjurer ce danger. Depuis que ces lignes ont été écrites les événements ont mont é que les Allemands sont décidés à violer tous leurs engagements au sujet de ta Commission neutre. Deux de ses navires ont déjà été coulés, dont l'un était muni — comble d'ironie — d'un sauf-conduit allemand ! Une note rassurante A 'la demande de la Commission for Relief in Belgium les journaux anglais publient la note suivante : S'il est vrai que tous les navires du Relief sont retenus dans tous les ports du monde où ils peuvent se trouver jusqu'à ce qu'un arrangement bien défini ait été atteint par lequel ils pourraient avoir un accès sûr de et vers Rotterdam, le travail de secours réel en Belgique et en France se poursuit sans la moindre interruption. Les stocks existants sont suffisants pour donner amplement le temps d'ajuster les difficultés du transport maritime si les autorités allemandes désirent,comme elles l'ont déclaré, que le travail •continue.Le retrait d'Américains des territoires occupés en Belgique et en France, si-cette mesure devenait nécessaire, ne causerait aucune interruption du travail de secours, comme leurs placer seraient prises par d'autres neutres. o—o Avant le départ L'autonomie des Flandres (?) Amsterdam, 8 février. — D'après les journaux allemands, un comité (officiel allemand) a été formé à Bruxelles dans le but d'étudier les mesures pour accorder une pleine autonomie au peuple flamand. — Reuter. 0—0 Albert Wagifler Le Bund de Berne annonce qu'un individu du nom d'Albert Wagner vient d'être arrêté à Berne pour espionnage. On se souvient qu'Albert Wagner fut mêlé à l'affaire de l'Alsacien Charles Steiger, qui fut, il y a quelques mois, condamné à mort par un conseil die guerre allemand et fusillé à Strasbourg. On disait couramment, en Suisse, que le malheureux Alsacien avait été dénoncé par Albert Wagner aux autorités germaniques. L'avance de l'heure Unifions ! L'Académie des sciences de Paris a discuté dans sa séance de lundi dernier la question de l'heure d'été. Toutes sortes de p 'opositions plus ou moins hétéroclites ont été présentées. En fin de compte, l'éminent mathématicien M. Gaston Darboux a fait une proposition réellement pratique. Il importe à son avis, déclara-t-il, que l'avance concorde chez tous les Alliés : en temps de guerre, il y aurait de graves inconvénients à ce qu'il n'en fût point ainsi. M. Appell, qui présidait la séance, fit alors adopter par l'Académie une motion tendant à demander aux pouvoirs publics que la sage mesure proposée par M. Darboux fût prise en considération. Il est à espérer que ce conseil sera suivi. L'an "dernier, l'imbroglio qui se présenta lors de l'introduction de l'heure d'été, à des dates différentes, dans les pays alliés, était plus ou moins excusable par le fait que le délai laissé pour la discussion de la mesure prise à la suite de l'exemple des Centraux était fort court. Mais cette année, un manque de concordance serait* impardonnable et ferait très mauvaise imp-ession. " Si les Alliés, dirait-on non sans raison, ne réussissent pas à s'entendre sur une aussi petite chose, comment pourront-ils arriver à un effort commun dans les grandes ?" o—o La Conférence parlementaire internationale Son programme Les travaux de la troisième assemblée plénière de la Conférence parlementaire internationale du commerce commenceront à Rome le 12 avril prochain, sous la présidence de M. Tittoni, ministre d'Etat, ancien président du Conseil des ministres. Tous les parlementaires alliés y seront représentés, comme ils le furent à la Conférence de Paris. Voici le programme qui a été élaboré par le bureau international. Jeudi 12 ajril, 14 h. 30. I. — Echange de vues sur l'opportunité de la constitution d'une Ligue angkvconti-nentale ayant pour bases une série de conventions internationales relatives au transport des marchandises et un cartel interallié des marines marchandes. II. — Principes uniformes à inscrire dans les lois relatives à la fausse désignation des marchandises. - M. Marc Réville, député du Doubs, président de la commission des douanes, ancien ministre du Commerce. Annexe. — Mesures à prendre pour la répression des fausses indications de provenance. — M. Leganez, président de l'Union nationale française intersyndicale de marques collectives. Vendredi 13 avril, 14 h. 3p. III. —■ Rapport sur la question des marines marchandes. — M. Brindeau, sénateur de la Seine-Inférieure. Annexe. — Mesures à prendre pour favoriser après la guerre des ententes et trusts . entre les compagnies de navigation des pays alliés. —- M. Georges Ancel, député de la Seine-Inférieure, membre de la commission de la marine marchande. IV. — Unification du mode de taxation douanière. — M. le duc de la Trémoïlle, député de la Gironde, vice-président de la commission des douanes. Annexe. — Unification de la nomenclature douanière. — M. Pralon, vice-président de l'Association de l'Industrie et de l'Agriculture française. Samedi 14 avril, 14 h. 30. Y- — L'arbitrage en matière commerciale. — M. le bâtonnier Théodor, député de Bruxelles. VI. — Unification des poids et mesures. — M. A. Pavia, député de Varèse, ancien sous-secrétaire d'Etat du Trésor. Annexe. — L'unification des systèmes de poids, mesures et monnaies. — M. Jules Niclausse, président du Syndicat des mécaniciens, chaudronniers et fondeurs de France. VIII. — Internationalisation des lois relatives à la réparation des dommages de guerre. — M. Haudos, député de la Marne. Annexe. — Divers projets de loi. Espérons que tous les Alliés — et leurs amis — prendront une part active à cette importante conférence et voteront des résolutions les engageant d'une façon bien définie. Le Chili en 1916 (Correspondance de la Métropole). Valparaiso, 4 janvier 1917. Des diverses publications qui à l'occasion du 1er janvier 1917 ont été consacrées au Chili aux différentes activités de ce pays durant l'année 1916, il résulte avant tout que cette année aura marque pour la République 'une période d'assez grande prospérité économique et financière. Durant les quatre derniers mois de 1916, le trafic des nitrates a atteint une intensité qui n'avait pas encore été égalée. Si la guerre a considérablement réduit le commerce (l'importation, cette circonstance même a été un stimulant pour la production nationale. Le cours du change s'est élevé. Quant à l'exportation, surtout des produits agricoles, elle a diminué à cause du fret dont le prix s'est élevé par suite de la guerre. La réouverture du canal de Panama l'a toutefois fait de nouveau baisser. L'exp1oitation du cuivre et de l'étain a donné de brillants résultats. L'étain, qui le 30 juin 1914 se cotait à raison de £ 133 et le 31 décembre 1915 à ï67-i5, en vaut aujourd'hui 180.07 et en mai a atteint une valeur de £ 200. Le cuivre, qui avant la guerre se cotait à £ 57*15 et à £ 90 au commencement de s'est élevé à plus de £ 150 et en vaut actuellement £ 138.10. L'ensemble des fabriques et ateliers du pays, au nombre de plus de 7.000, occupe 85 à 90.000 ouvriers des deux sexes. La réorganisation de l'escadre est à l'ordre du jour. Décidée en principe par la loi de 1910, un grand cuirassé du type superdreadnought et quatre destroyers déjà construits en Angleterre et destinés à la flotte chilienne furent au début de la guerre, et conformément aux termes d'une convention préalable entre les deux pays, réquisitionnés par le gouvernement anglais et incorporés à sa flotte. A .titre de compensation, et à la suite des démarches du ministre chilien à Londres, l'Angleterre a offert au Chili cinq sous-marins qui présentement sont en construction aux Etats-Unis. Le fait le plus brillant de l'histoire navale du Chili est l'expédition entreprise par le bateau Yelcho, pour secourir les compagnons (Je Shackleton, entreprise qui exigea de la part du grand explorateur et du pilote Pardo, commandant de l'embarcation, les efforts les plus énergiques et fut couronnée par la plus complète réussite. Au point de vue tant de la politique intérieure que des relations avec les Etats voisins, le Chili a joui pendant toute l'année d'une inaltérable tranquillité.Il est regrettable que le mouvement intellectuel n'ait point au Chili la même intensité que dans la République Argentine ou dans certains .autres pays sud-américains dont le progrès matériel a été plus lent que le sien, par exemple le Vénézuela et la Colombie. Tant il est vrai que la supériorité d'une nation dans l'ordre <jles lettres et des arts est totalement indépendante de son plus ou moins de développement dans l'ordre industriel, commercial ou politique. Cependant ^l'enseignement moyen et supérieur est au Chili parfaitement organise et a donné cette année notamment des résultats très satisfaisants. La fin de 1916 a été marquée par la mort d'une personnalité politique émi-nente, Don German Riesco, qui avait exercé de 1901 à 1906 les fonctions de président de la République. Le Chili se prépare à célébrer le centenaire de la bataille de Chacabrico, gagnée en 1817, le 12 février, par les patriotes chiliens et argentins sur les Espagnols, victoire qui consolida l'indépendance des Etats de la Plata et marqua pour le Chili le commencement d'une ère de liberté dont il n'a, depuis lors, pas cessé de jouir. X. o—o Pour se concilier le Japon Le gouvernement américain a prié l'Etat d'Idaho de différer le vote de la législation contre les étrangers, qui blesse profondément le Japon. Le gouvernement américain a fait savoir qu'il voulait avoir les mains libres dans ce moment critique

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