■. • X X § tfflÉ le nn 21e Année No 270 IKtâitioaa. J\, m LA METROPOLE rue des Feignes, 59 ^ rue des Peignes, 59 i HlilE li ni Dimanche 27 septembre 1014 LA GUERRE | ssmaa v&r mtm vbhm al w Vf Wm ES mm BBS W W fis S Sa ^ J -wm»*— >.m t»-- -»-.1n3 Kiai K*U fe^&sœg Cjî>>^S ;aJ VGa3 BSEMKS «M <KS»I tihN ew»—=-u —=- *•—- —'-^ On Zeppelin en Flandre 8siai!lB très ïlolBlîlB •"'"k russes slns ! icweai bombardemenl .,, r iord-Est ji i , 'is 1 g | j allbe (Service spéoinl do la Métropole) 08 majnes | rétrograde, 27 septembre. — Dans rrAOTAQQlAT! fsPQ 55 l province do Suwalki les Russes prire Anvers, 27 septembre, midi (Officiel). -*■ * * t>OulUIl UCO HblLlsju qu3/tre canon3 et de nombreux priso Les Allemands furieux sans doute dos , "B9A0 À. Ci * niers. Le mouvement des Allemands ve échecs qu'ils ont subis samedi devant Alost. @llïî'6 I ïJiS8 Gï feOlSSOHS ^arsovio est arrêté. Les Allemands se i ont jeté quatre bombes sur Deynae, par un ~ "" plient» Zeppelin, vers minuit. Une des bombes est -jr • • tombée dans une prairie, une deuxième dans |jg 016111©? COFBS Dnifimînl Als-fH KS-Î la rue-du Moulin, près de la porte d entree *■ ■*• ffi/*sInII ?.l wft'a Pli S 1-4 Ê du ooavent St-Vincent. I,a troiaièmo et la al]omaT11l Ga Tp/,nîî0 llfc»JHilWI 0H ÏIIIU (•>! É quatrième sur La boulangerie et sur une salle fwlillCliiMliU Wy i vL'IIC s «««..«««i de malades du dit couvent, lequel est sur- » . , n . j gR HljSSfjS OCClsûBû! Kfilfû monté cependant du drapeau de la Croix- Anvers, 27 septembre - Communies ^*0 SCUOvfcU UUUU|JQISI IVÎEÎIkl Bouge Un vieillard a été légèrement bW ' Borfeau!* S septembre' k 19 h. 30 (Service sPfoial da la M^oVoh.) mais le® dégâta matériels sont asses iraper- i» A notre aile gauche la bataille a con _T f , tant4, tinulS tr6s "iolente le 25 entre la Somme ' j t,îw? ?n D'autre part lea Allemands ont recommen- M l'Oise. En fin de journée nos troupes ^ Przemysl sont captures a,in cé à bombarder Malines, dimanche matin, occupaient le front Dompierro (au Sud ^ 6 1 - en Go^ioio orien a o. où la population était rentrée et s'occupait Ouest de Péronne), Ribecourt. _ ^ à réparer les dégâta produits par les préco défensiveIQeilt |$f£6ÛV"6 SjOHIVllF 8 do nouveau dû abandon- ,. Eintre I'0ise 6t Boissons nos troupes ont ' ' . ' zjz,tszt par un généra a hei» Daruansrae uu îeucous.. do modification importante, mais nous 1 « Enfin on a entendu le canon dans 1» dircc- o. jupons Berry-au-Bac. (Service spécial de la Métropole) tion de Hofstade. 2° Au centre, de Reims à Verdun, situa- tion inchangée. En Woevre, l'ennemi a pu Pétrograde, 26 septembre. — Un génér: a • aÂg* franchir la Meuse dans la région do St- illemand commande Cracovie dont les S PQ fSf* I?1 îîî 8SS1 ffe^Iihiel» mais l'offensive prise par nos bifcamrs son-t partis. Les Russes sont ma e*UCJ Uwlsï «et ui3ii^4i4#u troupes l'a déjà en majeure partie rejeté Lces des Carpathes. On signale d'impo |î« • • r • wf- la rivière. Dans le- Sud de la Woevre tants inouveaiemte eû Pologîie sepfcexitri' niflPlP Q îr^îîîîSIÇ ,10fl attaques n'ont cessé "de progresser; le naie. 5J 8 Mii8a & . è£ 1 ï 1er corps allemand s'est replié après avoir ———- subi de grosses perre3. . « « — 3° A notre aile droite (Lorraine et Vos- i pfl Q P!!^!1?rP?l & a RAmO'mriis ÏVÎI îî ca ^es) I^s effectifs allemands semblent avoir »ww l&y^îjlîw W wfisilJwl Ok! H.lWmaïlKLD IL au. At6 réduits. Les détachements qui avaient 8 . . refoulé sur certains points no3 avant f|gj chissent la Meuse mais ^ r.% £ 18 Miblb® sont déià nartielle- ^ ASismands sa lortifieoî \ \ ^et clu massif entre Lesseu, et BU BOril «f Ml ment repousses. Combats violents sur la Orina TT aa "RnCKIiG flllfnill'mii n IIP - Anvers, 27 septembre. — Communie tes I.,nsses enroulent |, ffa||(,e Przemysl tîilitS S8S prlsonnlsrs Pari?, 23 septembre. — Communiqué é ' ?«nt a leur aile gauche. Les Russes se sor B heures. I 'inhumanité flprmaninstp wnpJar& de Rzeszow sur la voie ferre a notro aile gauche la ba.taille continu!? L {jfcnndflllji!^ conduisant a Cracovie et de deux pos tris violente entre la Somme et l'Oise. AnT6r3i 27 septeffibre. _ La Légalion ^on? fortifiées au nord et au sud de Pr» Entre l'Oise et Boissons nos troupes ont de Franoe nou3 c6mmunioùe: m?sL ?n les Allemands pr légèrement progressé. L ennemi n a tenté De Bordeaux,26 septembre,17 heures 10: ô , • ? ? de Kalisj aucune attaque. L'ambassadeur des Etats-Unis à Paris „Serble- "7 Combats violents autour d Entre Boissons et Reimsnl n y a pas de efc Ie m; n istro plénipotentiaire des Et-aits- Dnna Ma* resu modifications importâmes. Unis, délégué à Bordeaux, ont visité les * Au centre de Réuni et a Verdun, la si- -amps de retranchement de l'Orne et de û8 tuatiori est inchangée. , . , Blaye dans la Gironde, où sont réunis Ijjw Qftf QI?Cîl'îl8 Ei \\oevre, 1 ennemi a pu franchir in groUpea respectifs les Allemands i^- çj&a £,fcp?l^j§I L*9îi dOdilll Meuse dans la région de Samt-Miniel ter nés prisonniers ou blessés. e déf\ en0m^euw oartiePrejeté tTt>UPeS Jf dfUX re.yv6*mt™*? dea Etats-Unis j L'ÉquipaCS 'îriSCI'nîer an i en majeuie pairie lejeie. déclarent que 1 organisation y est parfaite < r « r Sui la rivière au sup de la-woevre,.nos qUe jçg intéressés sont très satisfait? Londres, 27 septembre. — On mande attaques n ont cessé de progresser. traitement et des soins qui leur sont l'Agence Reuter de Varsovie: On annonc A notre aile droite (Lorraine et Vosges^ ^onn^s qu'un Zeppelin est arrivé samedi à 5 heu le* effectifs allemands semblent avoir éU' L'agence Wolff a attribué au corres- rc*'s matin au-dessus de la ville et a lar réduits oondant à Bordeaux du «Corriere d'Ita- cé deux bombes mais les pertes sont insi Pes détachements qui avaient refoule j;aw ]'aff»*rmation que 2.000 bles®é3 aile- unifiantes. sur certains points nos avant-postes ont à Bordeaux seraient laissés sans Ensuite des tireurs russes firent tombe été repoussés par l'entrée en action de no- soins suffisants. Le dit correspondant le Zeppelin près de la forteresse de Mocl réserves. déclare hautement que cette imputation ^ia- ^ équipage a été capturé, «s Russes se ont empares de Rseszow ^ oaiomnieuse et qu'il n'a jamais adres- sur la v°ïe ferrée conduisant à CracovK ^ son joarna] ]a correspondance visée §8nft d'sifliA et de deux positions fortifiées au Nord et nar raCTnee allemande. |j|]8 OalBHiO ÛUOB SOOlBIll! au oud de rrzemyzl. . De nombreux renseignements sur la ma En Posnanie, les Allemands paraissen. nj^re dont I09 Allemand^ ont rrait<s an Une dépêche envoyée de rétrograde, e 6( fortifier au Isord de Aalisz. certain nombre de leurs prisonniers d«- *ate d-u 24 ôepteanbre, à PA^noe Rester t] ' guerre et en particulier les Anglais. nous iaifoi-me comciecit Jaroslav Les alliés avancent loojours Paris, 23 septembre. - Communiqué de sUcantleîiïu ga?e 1 ^ heures. Verviers (Belgique) que les dames de 1? ^eurs milles de la campa<*ne et s'opposèrer L ennemi a attaque sur tout- le front. Croix-Rouge, service, ont protesté de i l'avance de-s Russes avec un fe>u terrible <\ mais partout il a été repoussé* façon la plus énergique et sam* succès canons et mnttraflileuses. I^es Russes ne céd( A notre aile gauche nous progressons. (Havas ) cru P®5 0,1 k 5e icvu," ^ réussinecw à placc v Sur les hauts de la Meuse k situation ' ^urs propres canons en position et maîtrisa re *e stntionnaire 'c-iu l'artillerie ennemie; ils firent une chars En Woevre nous continuons à Ragnor 4 la. baïcmneKe impéru«i« vainquant l'« du terrain. ^ (Havas) J^g pQS||tl@f||0ni0PÎ Les prisonniers autrichiens déclarent qu'i ' -nanq-uèrent de vivres pendant 4 jours er mai L'ennemi se remue beaucoup j8 la cathédra!s de Reims Londres, 28 septembre. — Ls Pressbu- .< ,,, ,r .. jessèrent leur.publication à Lubln et les noi rea'u annonce qu'il y a eu beaucoup d'ac- 11 S 616 SySlGMIHtitjlld veUes de guerre sont annoncées par uni criec tivité de la part de l'ennemi sur toute la public. Que^J,e® contre-attaque Anvers, 27 septembre. — Communica- w 1 1 i® ont été.repoussoes aveo des pertes constde tioh de la Légation de France. SACt Q f^PilîMIFAÇ rable. infligées a 1 ennemi. De Bordeaux,le 26 septembre, à 19 h. 30. LlVO ULlUl lUllUHl) » (Reuter s iel. Cy.) Cathédrale de Reims. — T^e gouverne- - « ment allemand ayant déclaré officielle- llPil1f Ils recommencent ! ,m<Snî à divers gouvernements que le bom- îîUl M 1/1 IIIS bardement de cet édifice n avait eu heu Paris, 25 septembre. — Une dépêche ar qu'en raison de l'établissement d'un poste (Service spécial de la Métropole) rivée ici de Reims dit que les Allemand-- d'observation sur la basilique, j'ai l'hon- Londres, 27 septembre. — La bataill ont recommencé hier à bombarder la ca neur de ^ous adresser ci-après et à toutes sur la Drina continue avec des alternat! theurale. fins Utiles, copie du télégramme très net 'res de succès et d'insuccès. Le6 Autrî (Reuter) Que le général Joffre vient d'adresser au chienr ont reçu du renfort. ministre de la guerre à ce sujet: ^oe^' I pn f5p-'p4nf is"^emb"tmaai0.T^L'écLuhg MM belps en Frase Lut) UUjJfrullUU. ■ WiCii lluEu ëïmét; toutes deux déclarent n'avoir pla- Paris, 27 septembre. — La Banque d • aucun poste observation cathédrale France se charge de l'échange des billet On nous informe que les dépêches subi- mbardement systématique a commencé d© banque belges au pair, l'échange es sent en oe moment do forts retards do-ns k< 1'^ ^ ^ consenti seulement aux réfugiés belges f transnua>ioii, (S.) Générai 4OFFRE.» Irour leurs besoins réels*, Jfci êmhnm Leur activité. — Quatre d'ei tre eux survolent à la fol 1 Bruxslies. — L'un d'eux eï (•fectue \3 voyage Anvers lilarchs et retour. } Un communiqué do source officieuse rendu un hommage mérité à nos aviatci l>elges, a v.anté leur courage et leur p sévéranoe. Mais si nous pouvons lui fai un léger reproche, c'est de ne pas ave appuyé oec hommago par des faits, permettraient au public de se rend compte de la bravoure de no3 «airmeo comme le fait par exemple le Preseburct 23 de Londres. ! Il est en effet très difficile au pub] de se rendre compte de l'activité do n ^ aviateurs. Ceux-ci font prequ'exclusivement d raids vers la région envahie du pays doi e! vers le Sud, et comme leur point de cl p rfc est situé précisément au Sud de l'a glomération, ils effectuent presque tout leurs opérations sans survoler la vill sans se montrer. De sorte qu'on arrive ù ce résultat p radoxal, que l'Anversois contemple exel' sivement des Taube ennemis et peut la demander ce que font nos aviateurs, pui :it qu'il ne les voit pas voler et que personi n- ne lui apprend ce qu'ils font! rs La modestie qui caractérise tous n< e- militaires, est certes une très belle chos mais il ne faut pas cependant qu'elle so poussée jusqu'à faire douter de l'activil dos nôtres en présence des incursions c v' l'ennemi. v Aussi oroyons-roua intéressant de mo H trer par des faits que l'activité des avi; Si teurs allemands est infinitésimale au r gard de celle de nos hommes de l'air. En effet, la- dernière incursion d'u Taube sur Anvers date du 17 senbembr ^ En 10 jours, un aéroplane allemand ai donc survolé deux fois notre position fo tifiée. Or, daos le mômo temps, plus de 20 c nos aéroplanes ont été so montrer au Bruxellois 1 Qu'on le sache bien: il ne se passe pre* que pas de jour où nos aviateurs n'effet y? tuent des randonnées à grand rayon su î| la région e«nvah:e de notre pays, randor nées qui durent quelquefois jusqu' QUATRE HEURES, et dont ils rappoj tent les renseignements les plus précieu> il Presqu'à chaque fois, nos aéroplanes pa; i- sent par dessus la capitale et les Bruxei i- lois^ voient donc plus souvent df c- engins aériens belges que nou3 n'aporc* )- vons de Taube allemandb i Un des jours de la semaine passée pa exemple, rien moins que QUATRE aére „ planes belges ont survolé Bruxelles où il f étaient arrivés par des chemins difft ^ rente. L'un d'eux a lancé avec succès dos bon bes et des paquets de fléchettes sur 1 champ d'aviation de Berehem-Saint< Agathe, devant les hangars ennemis. Un autre a mitraillé tous les carreau: du hangar à dirigeables de la plain 7 d'Etterbeek que les Allemands s'occupen ^ paraît-il, à prolonger, sans doute pour ; loger un Zeppelin. Un troisième a contraint à une deocent L_ précipitée un aviateur allemand qu s'ô ait lancé à sa poursuite! q Ajoutons que nos aviateurs ne font pa des «promenades de santé» à 2500 mètre (et non 800 mètres) comme le pilote aile t mand qui a passé samedi sur notre ville € A cette altitude, un avion est pratique ment invulnérable, et il faui un coup d chance pour l'atteindre: mais, en revan che, il ne peut faire aucune observatioi utile. e Nos hommes, au contraire, volent sou vent plus bas. Us sont donc plu-» exp<-?c aux mitrailleuses et aux canons spéciauj contre le tir des engins aériens dont dis posent les lAlemands, mais aussi, leur, posent les Allemands, mais aussi, leur La semaine passée, un de3 avions parti de la plaine de Wilryck est allé jusqu'; Marche, dans le Luxembourg et a rap . porti plus de cinquante clichés photogra 1 phiques de cette magnifique randonnée B Pendant presque tout le trajet ,il a ét< accueilli par des balles et des shrapnells Il nous a paru que, quelle que fût U modestie de nos aviaieurs et la discrétior do leurs excellents chefs, tout cela méri r tait — pour une fois — d'être-dit. . Duel aérien au-dessus ! de Bruxelîes c Un Taube descendu t ' rr • i_ Denderleeuw, 25 septembre. — Hici soir à 5 heures j'assistai à Bruxelles à ur t duel aérien entre un biplan belge qui ef e fectuait une reconnaissance et un aéro plane Taube allemand qui poursuivait l< * biplan. '' Les deux machines volaient à une gran de altitude et se canardèrent mutuelle ment à courte distance. s Tout à coup le Taube s'arrêta et s'abat i- tit. e Le biplan retourna vers Anvers. (l^xcliangc) 1 Eeddition allemande en Afrique occidenîala Pretoria, 24 septembre. — On annonce officiellement que le poste allemand è j Schuckmansburg près du Zambczo s'esl 1' rendu sans résistance lundi à un détachement de police de la Rhodésie. Le résident allemand et un sous-offi- 2 cier ont été envoyés à Liyingstoné. Schuckmannsburg est en Afrique allemande du Sud-Ouest. Le cUtachement an glais était commandé par le major F. C. Capel. p! Par contre, à Rietfonteiri, les forces de ^ police britanniques comprenant un vice-^ inspecteur et neuf hommes ont été surpris s et capturés par 200 Allemands samedi, t Tous le3 Sud-Africains avaient quitté le fc poste, avec leurs chameau r et leurs chevaux, avant l'arrivée doa Allemand». La vie à Bruxelle: s La Beîg+qi-s tombeau des Aliemanc Nous avons eu le plaisir de rencontrer u personne-, venant des environs de BruxeliU a Voici qnelqties rcnsoigneinents tfu'elilo rs oien voum nous communiquer. r- 1x35 habitants de Bruxe4.tas et de l'aiglon re ration souffrent cerUis de la présence ci jr Atboches, quoiqu'ils ne maiftritentt pensoni u- c'est-à-dire qu'ils ne tuant pas, n'incendie pas comme ailleurs. Cela n'cmpêciie que c personniûs bien «cuMvées» ne se gênent p "> pour s'inetaiier chez nous, ei qu'ils réclame tout oe qu'ils désirent, souvent cantine paj ment. ic Cependant, La population est plus à & os aise que tas Alkmands, parmi Lesquels il y a qui disent tout haut : « La Belgique devie oa notre iomlxiau ! n Les Belges et les Angle îC sont trop boraacés pour les vaincre ! Beafiico , d'ei>tne eux maudissent l'empereur et ne c {'~ mandent fxis m^ieux que de s t nfuir. 11 y en 0 " quii offrent ioo, 200, 300 francs pour un cc -s .urne bourgeois afin de pouvoir dëguerp e, Un soir dans un des halles du Cinquan^ena; hommes manquaient à l'appel. 1- Un officier s'e-ss "k>?é une Ixi.lîe dans ta t^ f. au bord d'un étang, après avoir écrit u iett.ro à sa femme, disant qu'ii voulait < finir, la mort le menaçant quand même p? ^ tout. 1€ D'un étang proeho du premier on a reti les corps die neuf Bavarois, eit au bord uc >3 iettre signée de leur mcLn disant qu'ils : -, voulaéeriit pas se battre contre les Belges. : t Un sous-officier de réserve avoua't qu ^ avait été appelé sous les armes dans la pr ie mi/ère semaine de juillet. Voici le jugement d'un Allemand sur l soldats Belges : Ce sont de très bons tireur Lis n'om pas peur; quand, ils tirent les Al! l~ mands tombent comme l'herbe que l'< coupe ! A l'arrivée des prisonniers - français à u gare d'Etterbeeck des civiis apportaient d e. victua.iilSes. l^es Bavarois passaient en disan a Nous donnerons tout à nos frères français. f. I>ans une bataille entre Prussiens et Bav rois il y a eu 17 morts. is 75 Bavarois omt été fusillés parce qu'i ^ ciisaiônt no pas vouîois* se battre contre L s Belges. I^s nouvelles arrivent encore réguliièremei ■' à Bruxelles mailgi'é toute la surveillance d- officiers allemands. r Inutile die vous expliquer comment le se _ vice fonictïorhne. Dans que!qi?es jours, cuar k-s Albochcs seront partis nous révèieroj tout. Agitation extrême s Depuis vendredi. matin, on se demande ( nui se pa^so ou ce qui va se passer. T/animi tion parmi les Allemands, est extrême ; cl r autos innombrables ne cessent de "circuler. s Oommsnî Ses Ailemanîls se pré parent à recevoir !e choc d e nos troupes. Nous avons déjà signalé quo le3 Aliemanc ç ont réquisitionné tous les tonneaux vid< e disponibles dans l'agglomération bruxelloise , Ils se servent do ces tonneaux, non seule 1 ment pour édifier des retranchements, mai 7 pour mettre leurs retranchements à l'abi d'un assaut. Voici comment ils opèrent: i ? creusent toute l'étendue de terrain qui s'< i tend immédiatement- devant leurs tranchées nuis ik enfouissent les tonneaux en y plaça c - clo vieilles baïonnettes j ils disposent ensuit s de légères lattes de bois sur le haut des tor iieaux qu'ils ont préalablement défoncés e ils recouvrent enfin le ton!, d'une mine • couche de terre. On voit d'ici dans nuel " «trous de loups» iraient donner nos soldai î et nos cavaliers en se lançant, clans l-'assau - final, sur un terrain qui. tout à coup, céd* i rait sous eux. Mais les Allemands en seron pour leurs frais: la mèche a été éventée! No _ braves troupiers, prévenus, ne se laisseron , pas prendre. Les AiSsmands réquisitionne!! des armes 1 Les AÏÏomnîTdbi ont réquisitionné contre U' reçu chez M. M., armurier, boulevard di Hainaut, toutes les armes qui se trouvaien en magasin. ILs les ont jetées pêle-mêle dan î une auto qui stationnait devant la porte d . la maison. Prisonniers de guerre Nous avons mentionné que les Allemand surveillent très sévèrement; la sortie de Bru xelles et ont fait descendre du tram d'En ghien notamment, avant-hier, tous les voya goura,, après les avoir minutieusement foui] lés. i On nous apprend aujourd'hui que les Aile i mands ont arrêté et expédié en Allemagne tous ceux de ces voyageurs qui étaient âgé de 20. à 30 ans : ils les considèrent, paraît-il comme des prisonniers de guerre et les fon travailler à la moisson et à des ouvrages d< défend ! Au pays wallon Voici quelques nouvelles des diverses ré gions du Luxembourg que nous adresse un. personne très heureuse de pouvoir faire plaisi 1 des compatriotes. Houffalize Cette-local Lté est épargnée, mais... •iufesKé-d'Allemands. Il y fait calme. Bastogna Le bourgmestre <*st gardé comme otage olusieurs fois la menace d'être fusillé a ét< ?usperiduQ sur sa tête. Il y fait à peu prè 1 calme. Laroche Les Allemands sont venait ils ont réqui «itionnée, ils sont partis. Dans les environ: il y a eu quelques personnes fusillées, U pays est en général moins éprouvé oue le: autres régions envahies. L'absence totale dr nouvelles est la plus grande de privation. Va dernier journal vendu le 14 août a été cédx k 16 francs. Ortho A Ortho est établi 1e quartier-général de f \Homnnds. L'aimable correspondante qui nous adressées notes serait elle-même heureuse> d'être renseignée au sujet de M. Jacques Liégeois L-arochet .car J# v.oix de not re journal. 's. a Machines pour la fa&ricat t_ des briques et tuiles es A la suite de la lettre que nous a J2' publiée dans notre numéro du 18 coui ai sous le titre: «Machines pour la fabriw des briques et tuiles», nous sommes info ai que la Société anonyme des établissen Rl Edouard do Saint-Hubert à Oi^-lc-G e-s'occupe de ht construction do ces mael et, depuis do nombreuses années, en fait ^ spécialités ^ Cette adresse pourrait donc êtro notée n' les personnes que la chose intéresse et ^ pourraient entrer en relations a^c cette *P me dès que les circonstances le permetti a Tubes coudes niekeîcs "5_" Une firme nous demande des adresses f; ge3, françaises ou anglaises pouvant foi '' cet article do fabrication alfemando. 10 Voitures, joue s, ie Reçu une lettre sous la su3cription «joui r- Avis à l'intéressé. Tanneries îe Les tanneries sont informées que la ma ie Gustave Van de Wyer et Oo, 17, rue Ha ... à Anvers a la spécialité do la construc des appareils pour l'extrait de Quebra exploitation qu'on croyait exclusivement _ lemando. ^ Pour laver les étoffes e~ On nous demande des adresses do fabri >n qui peuvent fabriquer ou qui fabriquent produit pour le lavage des étoffes do la la fourni par les Allemands. Nous possédon 36 échantillon à la disposition d'un intéresî L'Importation des chsrbc anglais ^ L'importation des charbons anglais, < parée à celle des charbons allemands, < v, jusqu'ici relativement réduite. En ré ^c'étaient les charbons allemands qui éta employés couramment, aussi bien par la r dustries quo pour les foyers domestiques j Syndicat allemand avait du reste étab LS Anvers une filiale de son trust, qui souî nom belge, très probablement dans le bu pouvoir profiter de tous les avantages ac dés aux sociétés anonymes belges, mais tenue par des capitaux allemands et dir par des administrateurs allemands, régis le marché belge et principalement le ma :e d'Anvors et des environs. I>e3 conditions draconiennes étaient* » posées aux négociants et consommateur ce trust avait certainement un but d'à parement. !- Par suite de la guerre-ces Messieurs on très forts intérêts exposés, et il se fait qu' g do sauvegarder leur position ils yeulent m tenant se rejeter sur les charbons anglais non contents d'en faire l'importation j leur usage immédiat, nous voyons se dess ig dès maintenant leur nouvelle campagne <3 eaparement. En effet une société belge mais don ^ ramification avec le Syndicat allemand s fort connue et peut incontestablement ,'j établie annonce par la voie des joum s qu'elle se prépare de faire une importa v intense de charbons anglais, et chose é . nante fait savoir qu'elle n'importera que l fharbons de toute première qualité alors 0 depuis des années ces mêmes négociants charbons allemands ont toujours comhi {. avec acharnement les charbon AXOL p «n disant qu'ils étaient de qualité médi< s et ne convenaient nullement aux boçoinî 5 nos industries ni à nos fovers domestique t Nous voulons mettre notre population _ garde contre de pareils proeé^lés qui ne t ^ent en réalité qu'à sauvegarder la situa , des intérêts allemands qui dénuis des ani k 'égiss^nt notre marché charbonnier et certainement profiteront de la première casion pour reprendre leur doinination. Dans la lutte économique qui va s'ou | nous devons surtout être sur nos gardes r éviter que les produits allemands ne s'il trent à nouveau dans notre pavs «mis le < vert d'une étiquette neutre ou belge. M devons I?T.FS encore éviter que des n< r ciants allemands continuent à exercer I j commerce ou leurs exploitations sous le n t nue de sociétés anonymes ou Coopérât = bplîrejî ou autres. ? Nous ne voulons certainement pas mé< le personnalités, pa**mi lesquelles il v e certainement de très honorables qui fa-.sai ou font nartie des société auxquelles n faisons allusion, mais il e=t un fait établi ces Messieurs, ^nt en défendant leurs \ , nres intérêts, rf^end^nf surtout les int*' rfe leurs mandants allemands, qui sont N " ENNEMIS. SQn ^ous faisons donc un appel au patriotisnu de tous, pour combattre ces sociétés et de ne pas servir les intérêts de celles-ci en lour accordant la préférence. vons (Note. — La «Métropole» refusera les arv-ant) nonces de ces maisons. Au public de s'infor* itiou mer.) rmoG ents Appe! aux marchands do STk cigares une Certains magasins de cigares laissent subsister à leur vitrine et à leur façade des ré-par clames lumineuses ou autres pour des 1 _a.ret* qui tes allemandes fabriquées a Bresiau, tlahovro, nr-' Berlin et Dresde. Il serait dé^-irab'e, dan> ont. eue intérêt mêiiie, que ces réclames disparaissent.Nous publierons les noms des marques de bol- cigarettes dès que nous aurons la preuve cer-,rI1jr taine de leur origine. Fabrique nationale de coutellerie de Garribloux >ts». Société a non. en formation Couibloutois, j'ai lu avec grand intérêt l'article paru dans votre numéro du 24 cou-ison rant * Ressuscitons la coutellerie de Gem-uto, bIo,ux- » tion . permets d ajouter quelques considé. cho, rat,'ons ii. celles, trè.s justes d'ailleurs, émises . par l'actionnaire éventuel. Il y a vingt ans il y avait encore à Gom-bloux 600 ouvriers couteliers, travaillant k domicile. Il en reste maintenant une petite centaine. ; un Emus de^ cetto situation, nous avions réso-nes. -,l de réagir. Nous convoquions une réunion j un des fabricants, il y a une huitaine d'années. Nous leur proposions la création d'un syndicat, qui, avec l'aide acquise du gouverne-ns ment, créerait une école professionnelle d* coutellerie, créerait surtout une marque syndicale «Duro» dont ne seraient frappés que les produits indigènes à l'exclusion des fabri. ;tait oats a^emands. ilite est Parfeis dure dire. Sur lea : quelques vingt fabricants, trois seulement ' • _ comprirent la grande {>ortée économique de Le n,?t,re ouvre. Et pourquoi P Parce que, peu? y ^ l'instant,^ certains faisaient fortune on mi un nant la vieille réputation de Gembloux et en t de f^lfcan't> ^ Sros bénéfices, sous la marou* prostituée de Gembloux, la camelotte aile-sou mande. • -T Les événements actuolR doivent nous ou-^it vrir les yeux. Aux 70,000 couteliers de Se* linge n nous devons pouvoir opposer une organisation industrielle et commerciale saine •m_ prospère. Cela ne dépend q«e de nous. A côté j et de la grosse usine se rétablira le travail à ^ca_ domicile. Gembloux a depuis trois mois le courant électrique. La fabrique le brancher» t dans les plus humbles demeures, y établira U petit moteur éleotric, le petit outillage qu£ a,;n. donne au coutelier allemand le salaire rému-" nérateur. L'agriculteur pondant les jours d'hiver. lTler comme jadis, redeviendra coutelier. A côt^ 'ac- f^e P^'te usine à domicile, se dressera la grande usine qui, avec ses puissantes machi-1^, nés, s'occupera des gros travaux d'estampa. ' çst ge, de fabrication en grandes séries des la-^rp mes, des manches, des ressorts? des riveta aux ?tc- centralisera l'exploitation commer-ciale de la future «Fabrique nationale de ^ -outeillerie». Et h côté de la coutellerie, s'é-(]Pç. tablira la fabrique des couverts à bon mar-q1K hé, des moulins à café et autres articles de f]p ménage pour lesquels nous ne pouvons plui dépendre de l'Allemagne. Ayant étudié la question à fond, j'en ai ^•p dressé une notice que je tiens h la disposi-dr tion de ceux qu'une participation financière ntéresserait. en Nous devons être forts pour la fin des hos-tilités, afin que le consommateur ne puisse ;r,r oas longtemps nous opposer la nécessité où i£pc 1 serait de couper son pain et sa viande qui UPO d-e l'acier au plutôt du fer blanc aile oc. mand. Notices seront remises sur demande écrite m'r 2o, avenue Plan tin. 011- ifH. * z. Union d'Agence & de Commission Société Anonyme ,as 1-4, aux X_.its vec la plus impor^Eti^e fSe ('Europe posas* So commerce d© graines lirp oléagineuses 1 « DEPARTEMENT B&.ÉS on' CEPAtîTER?5KT FOïïRRAGES désire créer nouveaux départements • ta!» )ro neg, métaux, hoss, assurances, etc. .3*. prie fondés de pouvoir ou eruplovés' compé qo tents avant dirigé départements dans firmes allemand s de faire propositions. i M héatoiuh ^Une attaque repousi devant Yerdun Bâle, 25 septembre. — Des fuyards mands venant de Lorraine racontent au cours d'une attaque du camp ret -hé de Verdun, l'armée allemande et trichienne a eu 10,000 morts et 15,000 1 sés. Les blessés, faute de soins, mourt en quantité sur le champ de bataille (Figar< Les traiipss îles Inde à Marssite Londres, 26 septembre. — Parlant < nuit à Dublin, M. Asquith a déclaré d'après ce qu'il croyait, le premier ■ tingent de troupes des Indes angh avait débarqué ce jour-là à Marseille (Daily Mai« La mission beige au Gain Londres, 27 septembre. — La mis belge est arrivée à Toronto et a déc que même après les horreurs de la gu une émigration générale des Belges est , possible, car les Belges aiment arderni] leur patrie, ^Reuter's Tel. Cj iî Actions- d'éclat éA L'ARMEE A Ordre de Léopold Le capitaine-commandant d'artillerie Vin-» rotte, Juies, adjoint d'état-major, et le lieuio-nant d'artillerie Marteau, Adolphe de Partit aile- icrie de la 15e brigade mixte, son-t nommés que. cnevaliers de l'Ordre de Léopold en recoti-ran- na.issia.nce des actions d'éclat qu'ils ont accom au- phies au cours de la première partie de la cam-bles- P^nie de 1914. Nominations Les majors Defeld R., de l'artillerie de la >•) 15e brigade mixte et Van Rolleghem, E., ck* 12e régiment de ligne, sont nommés lieuto- naintsrcolonirls en reconnaissance de la bra-^ voure et de la conduite dont ils ont fait preuve £ au cours des engagements de la première partie de la campagne. ^ MONITEUR ^ue' Mise eu disponibilité con- uses Ijq lieutenant-général baron de Bonhomev ;• Henri, attaché a l'état-major du <x>rps des )• volontaires, est mis en disponibilité par ces- sation d'emploi. J. Nomi. ition Ou d'une disposition ministérielle du ?8 août 1914, prise en exécution de l'arrêté sioïi "oya4 du i.s août 1014, le sergent Rolin- laré lacqtteimvns, E., de la compagnie des ponton- erri -Tiers du génie, a été commissioné en~qua!ité jn] l'officier auxiliaire du gérvie. lent c jmm .) .VOIR SUITE AU VERSO

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