DEUXIEME 'ANNEE. - 210. mm* immhm *m;wm eàëniiifïèâ oîsq bmilNiBS «î^lYIOfi À MARDI 27 AVRIL 1915. LE BRUXELLOIS ^.js3a>z^rw3s:3var.^ï«"s"Si s 1 SB, 12 francs. — 6 mois, 7 fr.ancs. — 3 mois, 4 francs. 1 mois, 2 francs» «Jo curxx£A-l qiioticiieii, ±xxciéîDe>xa.da,Z3s.t RÈDAQTION,, ADMINISTRATION» PUBLICITE 45, Rua ZZenri 45, sEtoTUJSs;®!!©© ./3,WWOI« OYr.ëS i Faits-Divers, la Egne 2 francs. Nécrologie, la ligae I fc«®ï Petites annonces, la ligne 20 centimes rtàii fur m—irr-nm r iiwnn -nua c La Chronique des abus Beautés et logique administratives. — Comment on traite à Bruxelles j les consommateurs au gaz Un groupe d'abonnés au Bruxellois et... au pourrait-elle et oserait-elle garantir aux abonnés j Service du Gaz nous écrit : ? que ceux-ci jouiront paisiblement et d une ma- > , c i „„ I nière assurée de la distribution d'eau jusqu'au 31 En ces temps oalunitaox, nombre de cafeW e an décembre ^ ^ g ng paie plus que , très commerçants se voient contraints, pou., des "«on ^ g ^ ^ nfjn pj„8 par anticipation, d'economie, e renoncoi «npoiairi - qui y trouve parce que tout le monde comprend que les évé- j de eurs façades, service assure par la ville, qui > trouve r i v i . , j une économie Stable, pour l'éclaitrage de la voie pu- nements peuvent, a la-rigueur, nous priver brus- ' quement de la chose louee, Messieurs les ronds- ique" t n „„ -j. i„ de-cuir du Service des Eaux -— dont, au surplus, Hat. éolairace étant devenu superflu, par suite de la , , , 1 -, fe-metTre Mtive des cafés, la plupart des abonnés, tous ceux qui ont passe par leurs bureaux de la dont las affaires sont loin d'être prospères, y renoncent, rue Tete-d Or ont pu apprécier. parfois 1 aménité la somme de 80 francs, dont la ville exige le paiement de chats-huants et la serviabilité de porcs epics par anticipation, ne se trouvant pas, .comme on dit vul- furieux d être dérangés par le public qui doit Liremeat '« dans le pas d'un cheVal ». Cela paraît « poireauter » parfois devant leurs guichets alors d'autant plus dur, que la Ville, n'apporte aucun mena- que l'heure a sonne pour ces messieurs d etre a gement dans la perception des taxes, bien qu'il ne puisse leur poste — ces braves ronds-de-cuir, ou plutôt ças plus que pour le paiement anticipatif de .la taxe sur leurs grands chefs viennent donc d'exiger le l'eau alimentaire, garant'r la complète exécution de son payement intégral de la taxe annuelle des eaux, marché, attendu que déjà elle a dû prendre certaines gans se soucier du point de savoir si le consomme sures à l'effet de restreindre la consommation du mateur— comme c'est le cas pour le téléphonse gazj II en résulte que nous restons exposés aux aléas — jouira de l'eau pendant la période annuelle d'une situation qui nous prive déjà de l'usage dn téilé- p0ur laquelle on le fait ainsi payer dare dare, ni phone, sans que l'on nous parle d'un remboursement ]e malheureux contribuable a encore de quoi quelconque. Ah bien, oui! solder cette douloureuse anrès les contributions Quoi qtrtl en soit, quelques-uns de ces abonnés ne se ordinaires ou'il a dû acquitter sous peine de sai-trouvaurt pas en état d'acquitter sur le champ, le mon- s;e ]a {.axe ,je guerre qu'il devra en outre ac-tant de leurs impositions, sont de ce chef, harcelés de quitter avant'le 30 juin. réclamajftons pressantes et menacés de mesure., draco T>TTnTVr Q \ T Y T C,V YT'^ !:' niennes, telle que la suppression radicale du gaz, alors A lnK l)L-b.UAl-lj L,-\ L>. L même qu'ils' continuent à payer régulièrement leur con- Comment les Petites-Abeilles entendent s'y sommation p,>ur l'usage intérieur. Ce qui est un comble I procurer du lait On se demande, si c'est là une raison suffisante, pour ' ... , . accabler ces malheul'eux contribuables, momentanément Certaine Madame s est mise en tete de monter gênés de réclamations itératives et intempestives et de Rhode-Saint-Genèse une section des 1 etites-menaces comminatoires, allant jusqu'à la suppression Abeilles de Bruxelles. A cela rien à redire. Les bïutale du g.'>:'î' . ■" ■ ' 1 ~oi ■ wy''"n; Iù.-has coiïlini pn^iout Seuil est pénible do devoir constater que nous trouvons lement voici comment on entend y procéder "Our aide et assistance chez les braves cœurs des deux hémîs- ]e lait nécessaire aft fonctionnement de phères, excepté chez beaucoup de Belges, qui semblent l'œuvré nouvelle : s'entêter à vouloir ignorer notre détresse et qui, en tout Certain gros fermier qui, depuis sept à huit ans, cas, s'en désintéressent d'autant plus complètement ^ oontrat toute sa production laitière à uiie qu'elle ne touche pas ces égoïstes. ^ grande laiterie de l'agglomération bruxelloise a ; Il sera dono permis à certains fonctionnaires d un se*- presque sommé, sous menace de réquisition ; vice public, celui de l'éclairage (et aussi, à ceux du ser- ^ ordre du bourgmestre M. Van Rossum, d'a- vice dos eaux) de recourir impunément a des moyens ^ ^ rompre soii"co#trat, sous prétexte que la coercitifs, de se montrer intraitables, voire meme inhu- ^ j +0us les contrats ! — ce qui est faux mains, dans un moment exceptionnel comme celui que fournir la lait à la section .susdite des nous traversons, sous prétexte, sans doute, que s ils pos- J . ... sèdent le pouvoir « éclairant », ils ont aussi celui de petites ADeines. ^ous faire mourir de soif, alors que les Américains c-fc Or, la laiterie, ainsi nienacee de H" autres bonnes âmes, s'évertuent à nous empêcher de fournisseur attitré a - par solidarité et humani- périr d'inanition !... té, et aloj'S qu'elle continue a fonctionner avec Quel douloureux contraste entre la généreuse inter- déficit et sans avoir renvoyé un seul ouvrier, vention de nos amis de toutes nationalités et l'attitude quoiqu'elle vende plus de 8,0.00 litres de lait en grincheuse de nos chers concitoyens — surtout officiels, moins par jour, — réservé toute sa production ; pour lesquels les sentiments d'urbanité et d'a'truis- aux enfants et aux malades avant tout autre : me, ne sont que vains mots et qui. en outre, ont pris la clientèle. On yeut donc, sous prétexte de créer fâcheuse habitude de traiter de Turc à More, le public une œuvre nouvelle, enlever le lait a des enfants ) qui les paie, eux, intégralement et sans retenue. Un ^ ^ ma]ades qui n'ont que cela pour se nour- . parallèle forcé finira par s'imposer à notre esprit, eptre ^ a:j;;n J'gtre en mesure d'en fournir éventuelles procédés vexatoires de nos différents oppresseurs, lerr.::tit à d'autres malades et à d'autres enfants, suivant qu'ils se trouvent d'un côté de la... tranchée ou j Voilà comment certains créateurs d'œuvres de j de l'autre! Que ne puissions nous tous, emboîter Te pas : c]iar;|g entendent et appliquent eux-mêmes la so-»«X roublards avertis du Comité de l'hôtel de ville ta» iidarité, sans souci de la plus élémentaire équité, s'entendent si bien à exercer leur charitable apostolat ^ ^ -fout «f-n v trouvant certaines compeneatmns qui ne sont -,11 i î i -4.^ 1 "^daierner !... Ajoutons, et ceci est le bouquet, que la laite- P Où doue est-elle passée cette douce fraternité qui doit rie, ainsi tarabustée fait déjà don chaque jour régner. eirtie eofants d'une même patrie ?... d'une quantité de litres de -ait à œuiiS ! OS Petites Abeilles de Bimxerles. Quant à l'eau, parions-en. Que pensent les dirigeants de celle-ci des pio- Pourquoi nous donne-t-on cinq jours nour ac- cédés un peu lestes de leur sous-comité de Rliode- nuiiter la. taxe pour toute l'année et en gran.de Saint-Genèse? partie par anticipation. La Ville de Bruxelles MARC de SAL1I. Lîseg « LE BRUXELLOSS » ; FRANCE. - Au tableau des généraux c-iisAf » t ^ 25 avril. - Il résulte de la liste des promo- B parassent B O noures dy tions de l'armée française r>arue réoenunpnt que; matin. Cette EditiOH contient srs trois généraux de division et un général de brl- . ! gade ont été congédiés. Deux généraux de briga- troisièmo paQ© Ses dernl©fîS tfâle" Grandinaison et Roudony, sont' tombés sur le grammes arrivés pendant la nuit. j "!^mp de bataille !Téuf généraux de division et j dix généraux de brigades ont ete mis a la reser- gggggl.""""11 11 l'i'i"'""«■» j ve. / ... ] FRANCE. — Gardiens de la paix MB |*| êfa ^jjj jj| « » ' de Parte au front h % jag.: Sp } Paris, 26 avril. — Le ministre de la Guerre gj ^ 4 â g a S J§ 1 a. ji français a décidé maintenant d'envoyer au front » ™ la police parisienne qui était jusqu'ici considérée FRANCE. - Nouveau scandale comme indispensable dans la capitale; le 21 avril, dans l'intendance 300 gardiens de la paix, qui, comme renga- t, • ok -i tt îi, i; gé's. renforceront le corps de nos sous-officiers, Paris, 25 avril. — Un nouveau scandale mili- ; . J , . 1 , . lr.n c , n , . sont partis nour le theatre de la guerre. taire a éclate a Viiieiranchc. Un a trouve etrange ^ p que plusieurs articles étaient vendus si bon niar- j ANGLETERRE. — Lupus in fabula ché, malgré le renchérissement des vivres. Une Les journaux anglais commentent un incident enquête a établi qu'un cpnoral de l'intendance ! singulier qui s'est produit lors de la dernière at- vendait de grandes provisions de l'armée à des ■ taque des Zeppelins contre les villes de la côte de liôteliers qui les revendaient ensuite. On a saisi : l'Angleterre. dans un hôtel nour plus de 3,000 francs do vivres. A Blvth. il y avait, peu après le coucher du S&an«oup d'arrwitations ont été opérées. | soleil, une réunion à laquelle assistaient dos lail- LA GUERRE <0@mûi33Q.maai.<a'ii5Lë® ALLEMANDS 1 AUTRICHIENS ploser cinq fortes mines souterraines dans le voi* Théâtre delà guerre de l'Iuest : Vienne, 25 avril (hier). — Violent combat d* ar- sinage de nos tranchées. Malgré la violence ds l 5 tillerie dans les Carpathes. Dans le secteur du ^ eîfe^ de l explosion, les excavations, qui posse- Berlin, 26 avril (hier). — Près d'Y près, nous défilé d'Uzsok, les Russes ont entrepris pendant Paient un diamètre de 25 mètres, furent occupées avons obtenu d'autres succès. Le terrain conquis toute ia j^née des attaques isolées qui ont été Par nos troupes qui s'y installèrent avant que le 23 avril au Nord d'Y près a été maintenu hier toute& repoussées. Le long de la route de Turka V•ennemi y put arriver. contre des attaques enneinves. l'lus! ~ivn, a l Ouest, ^ l'Ouest de celle~cz, nous avon§ de nouveau Des combats acharnes se sont livres dans le bois nous avons continué noire attaq c} nous avons fait échouer plusieurs attaques de nuit et avons ^ Ailly, ou les AXlemands redoublerent leurs ef* pris d assaut la ferme de Solaert, fit Sud-Ouest infligé de çrosses pertes à Z'ennemi. Sinon, rzen forts pour reconquérir les (00 métrés de tranchees de Saint-Julien, ainsi que les locç lté s de Saint- de nouveau. 9.ue nous leur eurent enlevés. Après que nous dû- Julien et de Kerselaere et nous i*ussâmes victo- me$ évacuer au matin du 22 avril une partie de rieusement jusqu'au Grafenstafel. Dans ces com- FRANÇAIS : ces tranchées, nous les avons reprises au cours de bats, environ 1,000 Anglais ont è'é faits prison- Paris 24 avril (15 heures) Des détails sup 3ournet nous nous sommes maintenus en cet nie,-s et plusieurs mitrailleuses ont été capturées. pUmenlaires relatent> sous queiles éditions les , , . „ , Une contre-attaque, anglaise contrit notre position AUemandi ont réussi avanUhier à faire reculer „ Dans le hm* d Apremont, à la Tête-de-Vache, al Ouest de Scvnt-Juhen a eterewussée ce ma- nos u au Nmd £Y près,entre le canal d'Y près 1 ennemt nous a fortement bombardé, mais au- ttn, a la première heure, avec les pertes les plus £f u chaussée de poelcapelle. Une épaisse fumée cune atta1ue n V suivit- considérables pour l ennemi. A l Ouest de Wiel jaune soHait dgs tranchées allemandes, qui, pous- ANGLAIS les tentatives d attaques des Angles furent arre- , 'sée par u vent du Nord> a Rxercé un efjet a^hy_ AInuLAIS ees es e e ut par notre feu. -j v ^ j xiajn Sur nos troupes, effet qui fut encore senti Londres, 24 avril. —Le combat autour du ter- Dans les Argonnes, nous avons repoussé une jusqu'à nos positions de la deuxième ligne. Une rain où les Allemands percèrent, entre Steen- attapue de 2 bataillons français au \ ord de Four- j contre^attaque, entreprise au cours de la journée straate et Lanqemarck, continue encore. La perte de-Paris. ||- l d'hier, nous a permis de reconquérir une partie de cette partie de la ligne a dégagé l'aile gauche Sur les hauteurs de la Meuse, an Sud-Ouest de du terrain perdu. Notre position est parfaitement de la division canadienne, qui fut obligée de se Combreè, les Français ont subi une sérieuse dé r retranchée. 77 action du combat continue dans de retirer afin de tenir contact avec l'aile droite des faite. Nous procédâmes ici à l'attcque et perça- bonnes comblions, soutenue par des forces an- troupes avoisinantes. Dans le dos des dernières, m-es, dans un assaut, plusieurs lig tes françaises glaises et belges. se trouvèrent 4 canons canadiens qui tombèrent en position l'une derrière Vautre. Des tentatives j L'ennemi a entrepris des attaques à Eparges et entre les mains de l'ennemi. Les pertes desCana- nocturnes des Français ■»our nous reprendre le à la Tête-de-Vache ainsi que dans le bois d'Apre- dÀens ont été graves. terrain conquis ont échoué avec de? pertes consi- mont. Il fut repoussé. RUSSES yiérables pour l ennemi. 24 offie ers français, Les attaques allemandes au Sud du bois de Par- r>/ j oà i t-> 1,600 hommes et 17 canons nous tombèrent dans royi près du Reichsackerkopf, furent arrêtées par rétrograde, Z4 avril. — Dans les Carpathes, les mains au cours de ces combats. Entre la Meuse ' notre feu. L'ennemi a subi des pertes graves. , ^-utne/uens ont entrepris au cours de la jour- et la Moselle, il y eut des corps à corps sur des j T s née du 22, et pendant la nuit du 23 avrès une points isolés de notre front méridional; ces corps ; , Paris, 24 avril (23 heures).—Au N ord d î pres,_ longue préparation d'une canonnade par leurs à corps ne sont pas encore terminés près d'Aiîly. Allemands, pendant la nuit de vendredi à sa- batteries lourdes, une série d'attaques contre la Une attaque de nuit française do'ns le bois Le 'me<:U, firent des efforts vigoureux pour profiter hauteur occunée par nous dans la région du vil- Prêtre a échoué. i,. des avantages obteîuus. Ils n eurent 7>as de suc- lagedePolen. Us furent toutefois repoussés. Fga- Dans les Pôsijë's,"un Wôuîlïàtcf'èpaïs a empe- « cf*' 'S'a'nedi, à la "levée du jour, ils ont réussi à Ici/teh'f â\iuf.res tentatives d'attaqués des Autri- ché hier l'activité des combattants '. s'emparer du village de Lizerne, situé sur la rive chiens échouèrent contre nos positions dans la Théâtre de la guerre de l'Est * gauche de l'Yser. Nous avons avancé sur notre région de Wolosate. aMe gauche en commun accord avec l'armée bel- Pendant la journée, nous avons proqressé dans La situation 4 l Est est inchangée. Deux fai- ge. Sur notre aile droite, nous avons lentement la région de Telepocz. ainsi qu'à l'Est de Sianka* bles attaques russes a l Ouest de Ciechanow ont progressé. Entretemps, les troupes anglaises fu- Nos troupes se sont emparées dans cette région été revousse.es. rent l'objet d'une attaque violente. Elles répon- après des combats acharnés, d'un nombre de hau- Révondant aux jets de bombes par les Russes > dirent par une contre-attaque immédiate dont le teurs importantes. sur la ville paisible de Neidenburg, nous ayons j résultat n'est pas encore connu. Sur le restant de notre front entier, sewiem&nt inondé de nouveau de 20 bombes le point de jonc- \ En Champagne, au point avancé N ord du camp des combats d'artillerie et d'infanterie eurent tion du chemin de fer de Bialystok. retranché de Beausérjour, les Allemands firent ex- lieu au cours de la journée. liers de personnes, en vue de discuter le service TURQUIE. — L'attaque des Dardanelles A 'Pbk? général. A la tribune se trouvait un orateur qui Le Caire, 25 avril. - Le Times apprend du C I RAlNOEiR exposait au public, dans un langage très colore, Caire que Sir John Hamilton a été nommé com- PT? A NTT? MnÙ- r i ,> , les horreurs d une invasion allemande et notam- mandant, en chef de' l'armée d'expédition contre iî-i oT' ~.f*alveTrsaflr°n? dans l intendance. ment le danger effrayant d'une attaque de Zep- jeg Dardanelles. \ ' 0 avril. -- Le Matin apprend de Cher- pelins. Le public l'interrompit à tout moment par bourg que 15 officiers, sous-of'ficiers et soldats des cris ironiques. En désesnoir de cause, l'ora SERBIE. — Invasion albanaise ont été arrêtés, accusés de détournements de four- teur leva les bras au ciel et s'écria : « Yous par ' Berlin, 25 avril. — On annonce de Sofia au nitllres de viande au détriment de l'armée. leriez autrement si un visiteur se montrait tout Frankf urter Zeitung que 700 Albanais ont envah; ANGLETERRE. — A la Chambre des Com- àcoun là-haut! s A peine ces mots étaient-ils pro- , le territoire serbe orès d'Ochrida. munes. — La lutte contre l'alcoolisme. — Lon- noncés nu'on entendit tout à coud le ronflement , r •. .• dres' 25 avril- — A. la Chambre des Communes, d'^n moteur; tous les regards se dirigèrent vers , ( ratiWiLWiiUKO. La situation M. Asquith a annoncé que M. Lloyd George fera le firmament et dans le ciel du soir gç j Londres, 25 avril. — Le Daily Chronicle fait des propositions pour la restriction du débit d'al- alors très distinctement la silhouette majes: . uue description de la situation au Monténégro : cool. M. Mac Namara d&nna des détails sur i'at- tuêuse d'un Zenpelin gigantesque qui volait vers Le pays a déjà autrefois été épuisé par la taque turi^u.S sur un navire de. transport, le Mani- l'intérieur du pays avec la vitesse d'une flèche, guerre des Balkans. Il n'avait ni argent ni suf- *0M'. U àôeara : Le Manitou avait des troupes à « Il est là, le visiteur inattendu », g'éciva l'oya. fisamment de munitions, de manière qu'il étafy twfd et a été arrêté par un torpilleur turc qui teur, mais il n'etit p:j? Je temps d« terminer son mal .préparé à une guerre avec les Autrichiens, s'était échappé de Smyrne. L'équipage et les discours, car son public se dispersa immédiate- Après nue l'armée monténégrine eût été obligée troupes reçurent l'ordre de quitter le navire en ment avec des cris d'effroi et 'en une minute le de se retirer de la Bosnie deçà de ses propres minutes. Le torpilleur tira alors trois torpil- terrain était évacué. frontières, le Montènés'ro eût la tâche de retenir i©s sllr le vapeur, qui ne portèrent pas. Le torpil- ANGLETÈRRE. — La guerre aérienne les troanes autrichiennes par des combats inmter- leur fut chassé et poursuivi par des destroyers L'Ecluse, 24 avril. — D'après des journaux de rompus. Cela n'était plus possible à la longue et cl^i arrivèrent sur les lieux. Il fut échoué à la Londres, deu^ dirigeables allemands ont été aper- l® situation du Monténégro est devenue des plu® PWge et détruit. L'éouipage a été fait prisonnier. Vus Je 23 au-dessus de Northumbeiland. sérieuses en ces derniers mois, Pendant que les canots quittaient le transport, ANGLETERRE. - Navires saisis Le se^ P°rt /hl Monténégro, Antivari, est blo- chavirèrent. L'accident pour un des deux Rotterdam 24 avril — Le vapeur norvégien W par la *lott6 Dans les premiers CaS' «MWionne par la runture d un treuil; Maxicano (de Galveston et Nev -Èort KeïS a l* *mt la flotte autri" SiJnnéPacôfdeit ^ ^ Slavana-ei" et le vapeur Suédois Pàciho ide San oh.tenno ®n eeîle(;' mais probablement pour des ? J? , 1 accident. Sui une interpellation au Francisco et^ Colon à Stockhoïm/ont été amenés îaWOnS. straté^ueMa spMre d'action de la flotte ! %Jet1du traitement plus sévère d'officiers anglais dans des ports anglais ' française a été étendue et les navires autrichiens 88? les Allemands M. Primrose répondit ; Le po s . a s. , patrouillent maintenant dans la mer Adriatique . Go,ornement a informé l'ambassade américaine AUTRICHE. - La situation en Bukovme Aussi souvent qu'ils en ont l'occasion ils se ris- 1 qn Un° peut être ordonnée, au sujet du Buda"est, 25 avril. — D'après des nouvelles de quent à bombarder le port monténégrin Les Ita traitement de prisonniers des sous-marins alle- •Czernowitz, il n'y a, depuis quelques iours, que liens 'envoient des navires chargés de o-rain de lnanc!s' « les Allemands font la même concession des combats d'artillerie isolés sur notre front dans Bari vers la rivière \a Boj'ana où il v a un petit relatlvement au traitement des officiers anglais la. Bukovine. Notre front retrànch'é commence ,rrt ; ^ ,]« M ji n'y a presque pas 'de routes et .. ITALIE. — Garibaldi chez Victor-Emmanuel près du village Rachoten, en Bessarabie s étend Ws Monténégrins' se montrent à un endroit UL, — ®ome. 25 avril. — Le Giornale d'Italie, d ici vers le o«d par .Kalin-Jioveq (rust;s) f.i j e.'- quelconque, ils sont bombardés par des Albanais, annonce que Peppmo Garibaldi, le chef de la 14- navka fBukovino), et d'ici jusqu'à Hakitna. Lon- Ensuite, des aviateurs jettent continuellement 8"îon des volontaire^ du bois de Vincenne. a été géant la frontière de 1 empire, le front rejoint de des bombes sur les villes C'est, ainsi que lors re<?u audience par le Roi nouveau, au Nord de Bojan, le sol de là Buko- d'un wi 120 personnes ont été tuées et bùsées, ITALJ®, - La mission du prince Me Buloïc - FVÎ ? A JUSq'U au Pruth- f°Tf ' ' E^68- Le nhla c'est qu'il y BerlW, 25 avrij. - La prince von Buîow & eu" u» dit Azl st,il n y a donc en possession < es .fusses a Kî.OOft ea . ç|o typhus et quelîette épidémie 4 wuvel entretien hier avec M. Sonnino fevlwft°^' qU F? ,parce,lle,d? 'e\mm comme Uf, incendie de forêt. Ensuis xi CHINE. — Les Japonais s'installent - Tint Est. 'e Bojan. ^otae front septentrion?,!, ^ ; ft disette complète de désinfectants.; on n'y terdam, 25 «Tril, — On téléoTaphie de Pékin t serrp tout a fait con re le Dniety ^oa positions prend aucune mesure hvfriénio^. Les secours Cortié&Veïla Sera que l'a Xri , WillT" T ont jusqu'ici resls.e fttout. ; , ««.tlvcs .Te léboi- n'arrivent pas. La popuklion s:"éteint. Le Mon! Kérin, en Mandchourie on^^ été' o cup^ par i l : .lement,et pour ce motif les Russes n'ont plus pro- ténégro est affamé ses habitants n'ont presque divisions japonaises P P | yisoirement execute de nouvel es attaques, dont rien à manger. Rien ne peut entrer dans ses ports ! CHINE T^Tan^n' r. s- „ ^précédente, leur ont coûte des sacrifices énor- le, dépôts de provisions n'ont pin, de pain, p« - Stockholm 25 avri - On anSœ 1 m*me de Pam ffUeTre' | ^ XventUVaSbJMet :D'aprôs un téll^

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