Le matin

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30 September 1914
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Mercredi 30 Septembre 1914 — —Jl— — — l»AGBg» ~ CIIVO CEMTIME^ 21me Année — IM° 273 RÉDACTION 3S//JS1LLE BOURSE, 39 AXVERS Téléphone Rédaction : S13' A^ronïieœ.eiits : l m cm fr. ïSf.OO An'veï.9 Sir inois ..... «.»<» / Trois mois . ■ . • 3.SO { Un an . . , . » . 16 00 IsèiaiEUP. < Sis mois . . • • » 8.BO ( Trois mois .... 2S.OO Étranger : France, Angleterre, Allemagne et Union postale, par trimestre, fr. S.OO. — Hollande es Grand-Duché, par trimestre, fr. Ï-OO- T.:*bonnement se poursuit jusqu'à relus formel. LE MATIN JOURNAL QUOTIDIEN ADMINISTRATION 39,VIEILLE BOURSE, 39 • -aravEia» Téléphone Administration : S ©1 C. de CAUWER, Directeur ix xi onees j Annonces la petite ligne, fr. O.SO Annonces ^financières Kl > 1 »K» Réclames la ligne, > 1 SïO Faits divers corps M. > S OO Chronique, sportive ici. » 3 OO Faits divers tin id. » SS.OO La Ville id. » S.OO Emissions Pris à convenir. 7es annonces (Ce la France, de l'Angleterre et dt ï'Antérique sont exclusivement relues « BruxeUet chez MM. J. Lebeouk 4 C». LA SITUATION GÉNÉRALE En Belgique ANVERS, mardi, 11 heures soir. — Officiel. Pendant la journée l'ennemi a continué !e , bombardement des forts de Waelheni et de Wavre-Ste-Gatherine. Le bombardement a diminué d'intensité à 16 heures et s'est terminé à 16 heures 39. Les forts ont répondu. L'assaillant n'est pas parvenu à diminuer les moyens d'action des ouvrages. Par moments ceux-ci disparaissaient dans un véritable nuage de fumée produit par l'ex- 1 plosion des projectiles. Certains obus produisent en éclatant une colonne de fumée de 15 mètres de hauteur. « Ce bombardement violent n'a entamé en rien le moral de la garnison des forts. En aucun point l'infanterie ennemie n'a osé prononcer un mouvement contre notre première ligne de défense. Une seule tentative a été dirigée contre les forts de Liezels et de Breendonck. Nos troupes occupant l'intervalle entre ces 'ouvrages ont laissé approcher l'infanterie ennemie jusqu'à ce qu'elle fut à bonne portée. A ce moment l'artillerie et l'infanterie, agissant avec un ensemble remarquable, couvrirent les colonnes d'attaque d'une grêle de projectiles et de balles qui jeta le désordre dans les rangs ' ennemis et obligea l'assaillant à une retraite précipitée. Cette tentative qui coûta aux Allemands beaucoup de monde, ne fut pas renouvelée, et jsour cause. En somme, les événements quS se sont passés aujourd'hui sont bien faits pour augmenter la confiance que nous avions dans la résistance de notre réduit national. A TOisesi Des événements se déroulent, à n'en point douter, dans le Nord de la France. Mais la censure — avec raison, d'ailleurs — se montre îxtrêmement sévère et tous les mouvements ie troupes sont gardés secrets. Sur la grande ligne de combat, les alliés progressent régulièrement. Les derniers communiqués, dont le laconisme est voulu, n'en sont pas moins encourageants et la situation des Allemands parait être de jour en jour plus critique. Peut-être est-ce la crainte d'î-ne très prochaine retraite qui les a décidé à tenter un effort Jésespéré de notre côté. Car voici un fait qui mérite d'être mis en relief: aussi longtemps jue les Allemands progressaient en France, leur corps d'observation demeuré devant An-i/ers conservait une attitude passive. Ce n'est que depuis le jour où leurs affaires se gâtent i l'Ouest que les Allemands cherchent à nous occuper. Tout compte fait, ce serait donc là un bon symptôme. il PEst Les nouvelles de la Galicie sont excellentes, Il devient fastidieux de parlsr de Przemysl, Jont la chute n'est plus qu'une question do jours. Cette place, que les Autrichiens décla» raient si puissante, se trouve dépassée dès à présent par les Russes, qui ne sont plus qu'à quelques kilomètres de Cracovie, tandis que l'armée de Pologne prend pied, en Silésie, sur le territoire allemand. Patientons quelques jours encore : le rouleau compresseur vient à peine de s'ébranler sérieusement. Laissons lui le temps de se mettre en action. Des renforts aïolais ? (Service spécial du « Malin ») LONDRES, 29 septembre. — Par dépêche de ho*re correspondant. —• La « Mornsng Post » • dit qu'un ordre du jour de l'armée allemande annonce qu'une armée anglaise a débarqué à {Calais et à Boulogne en destination de Bruxelles.I Note. — Tant mieux si la nouvelle a un Jond de vérité comme nous le fait supposer le , '{ait que le « Morning Post » reproduit l'information militaire allemande. Sur le front russe Le Tsar commandera en personne une armée de5,G00,GQÛ d'hommes LONDRES, 29 septembre. «— Une dépêche adressée à l'Agence Reuter, de Rome, dit: Selon une dépêche de Petrograde, publiée ici, on organise une grande armée de 5,000,000 de ; soldats, sous le commandement du tsar lui-même; elle sera concentrée sur 5 points: Riga Wikna, Varsovie, Lublin et Rovnc. On s'attend à ce qu'elle emportera toute résistance et avancera en même temps sur Ber> lin et ^Vienne. — Reuter. Nouveaux succès russes devant Przemysl (Service spécial du Matin.) RETROGRADE, 29 septembre. — Toutes les sorties des Autrichiens devant Przmysl sont repoussées. La retraite autrichienne s'opère dans un complet désordre: Les Russes capturent, eon- ' tinuellement des .groupes de prisonniers et des ' canons. — Exchange. Chute prochaine de Przemysl ' Une dépêche de Pétrôgrade annonce que les Russes ont occupé les meilleures positions autour de Przemysl. Le siège continue avec une , grande violence. De nombreux forts sont déjà , .détruits. La reddition de la ville est imminente. 1 I Victoire serbe (Service spécial du « Matin ■>) LONDRES 29 septembre. — A Komanyl, à l'est de Serajevo, les Autrichiens ont été re-Poussés avec de fortes pertes. Près de Belgrade, les Auiriehiens ont fait Usage de balles explosives. Suprême effort ; 1 PARIS, 28, (7 h. 10 matin). — De Nisch. — La < situation reste inchangée sur la Drina. Le cen- ) ll'e autrichien redouble d'efforts au 'Nord en ] de traverser la Save et le Danube. D'autre , ! Uart. les Serbes avançant car la Bosnie éçou-i j pèrent Romania, à proximité de Serajevo. =— [lavas. I III «fr fl II" - " Le "Men" et le "Bresîaïf; '(Service spécial du «Matin».) LONDRES, 29 septembre. — Le correspond flant du «Morning Post» à Paris annonce que le «Goeben» et le «Breslau» qui avaient été mis à l'abri sur la côte asiatique de la mer de Marmara sont incapables de prendre la mer parce qu'ils sont trop endommagés. En Extrême Orient Les Japonnais font 50 prisonniers et prennent 4 mitrailleuses TOKIO, 29 septembre. — Officiel. — Une attaque japonaise de jour et de nuit, le 27 septembre, repoussa l'ennemi vers Tsingtao. Nos certes sont de 150 hommes, les pertes allemands ne sont pas connues, mais nous fimes 50 prisonniers et 4 mitrailleuses. L'attaque géné-•ale livrée plus tôt que prévue, rendit l'action plus brève. La flotte japonaise attaqua la canonnière 'Mis, rendant ainsi effective l'aide de cette irme. — Reuter En Afrique Un exploit de la canonnière «Surprise» BORDEAUX, 26 septembre. — Le conseil des ministres s'est réum ce matin, sous la, présilence de 11. Poincara. ✓ Le ministre de la marine a fait savoir qu'au ;ours des opérations exécutées par les alliés :ontre le Cameroun et le Congo a'iemand, la canonnière française Surprise a procédé à 'occupation rte Cocobeach d'où les troupes tllemandes ont été délogées Cocobeach est situé sur une des antennes cé-lées au détriment du Congo français par 'e ■raité de 1912. C'est une reprise de notre ierri-loire.Avant de débarquer ses marins, pour exécu-er cette opération, la Surprise avait coulé leux bâtiments allemands de la flotte auxi-.iaire, le lihios et VItao. C'est un très brillant fait d'armes à l'actif de a canonnière française, petit navire de 680 onnes, sans aucune protection et armé seulement de lu carions. Chez les Allemands L'agitation à Berlin PARIS, 27. — Des voyageurs arrivés en Hoî-ande venant de Berlin, assurent que la retraite des armées allemandes commence à être ;onnue à Berlin. Les Berlinois se rendent iompte des difficultés de la campagne actuel-e. Les protestations sont impitoyablement ré-irimées. Des autres voyageurs venant de iambourg disent que l'effervescence se mani-sst£ parmi la population. r~. Fournier, LE THÉÂTRE DE LA GUERRE EN FRANCE Les hostilités en France Communiqué de 11 heures — Avance sur les hauteurs de la lieuse. PARIS, 29 septembre. — Communiqué de 11 heures soir. — Sur notre aile gauche, les sap-ports sur la situation sont favorables. Au centre, nos troupes ont repoussé avec succès enoore de nouvelles attaques très violentes.Nous avançâmes un peu sur les hauteurs de la Meuse. Dans la Woevre, les opérations sont suspendues à cause de l'épais brouillard. Sur notre aile droite (Lorraine et Vosges) la situation est inchangée. — Havas. La bataille sur l'Aisne LONDRES, 29 septembre. — Une dépêche du quartier générai anglais donne des détails intéressants sur les récents jours de combat. Les journées des 23 et 24 passèrent sans opération importantes. Les aviateurs des deux côtés profitèrent du beau temps pour faire de nombreuses reconnaissances. L'un de nos aviateurs, particulièrement actif, fut blessé pendant un duel dans les airs. Se trouvant seul sur son monoplan, il ne pouvait pas faire usage de ses armes, pendant que l'avion ennemi essayait de l'encercler. Cet avion contenait deux personnes, dont l'une lui tira un coup de fusil. 11 réussit cependant à regagner notre ligne près d'une ambulance. Le tir de la grosse artillerie ennemie démontre que les Allemands concentrent systématiquement leur feu sur des espaces "définies où leurs aviateurs pensent avoir repéré la position de nos canons ou sur des villages où ils s'imaginent que nos troupes sont cantonnées.Cette bataille ressemble plutôt à. un siège en raison du pouvoir de résistance de l'armée qui est amplement pourvue de grosse artillerie et a le temps suffisant de se fortifier et aussi en raison de la proportion des forces engagées qui s'étendent à présent sur plus de la moitié de la France. Il n'y a aucun doute que la position sur l'Aisne fut choisie sans hâte par l'état-major allemand, après qu'eut commencé sa retraite, d'après le choix du terrain et la prudence avec laquelle toutes les approches des alliés furent couvertes par le champ de tir allemand et les travaux de défense. — Reuter. <;>, Ils s'enfra-eanardent ! (Service spécial du Matin z LONDRES, 29 septembre. — Dans leur dernière attaque de nuit, sur la ligne française les Allemands ont à plusieurs endroits tiré les uns sur les autres. Des cadavres allemands ont été trouvés sur des points où aucun obus français n'avait été dirigé. La marche de nuit sur Avricourt PARIS, 26 septembre. -- La reprise de la ville d'Avricourt qui, du côté de Nancy, marque la frontière française et provoqua Je recul des Allemands hors de France, fut opérée au ! lever du jour et après une marche de nuit impeccablement conduite. En voici la descripifton, faite par un officier: «Le gros de nos troupes marchait dans la direction du canal de la Marne au Rhin, vers le l'ianc gauche de l'ennemi. Défense était faite aux hommes de fumer ou de parler. Derrière nous, les forts tonnaient. Une nuit profonde favorisait nos opérations. Une pluie fine tombait et un brouillard ouaté voilait tous les bruits. Artillerie, cavalerie et infanterie avançaient dans un silence absolu. Pas un cheval ne trébucha, pas un trait ne se brisa, pas un homme ne prononça, une parole. Les baïonnettes étaient tenues à la main pour éviter tout cliquetis. « A l'aube, nos canons légers se mirent à tonner furieusement, mettant les Allemands en fuite et peu après, Avricourt était repris.» Cette marche de nuit avait été décidée en réponse à une attaque des gros canons de siège allemands dirigés sur Nancy. Autour de Mulhouse PARIS, 27 (VISEE). — Des dépêches de Bftle et de Saint-Louis disent, d'après les voyageurs venant d'Alsace, que les Français attaquent la ville de Mulhouse et se sont avancés jusqu'à Zillipeim. Des terrassiers occupés à creuser des retranchements autour de Mulhouse en ont été délogés par la fusillade française. Les communications entre Mulhouse et ses faubourgs sont permises seulement aux personnes munies d'un laissez-passer. Le pont, da chemin de fer de Hunningue est fermé a ni circulation. Le réflecteur de Distein fonctionne. On entend la canonnade vers Mulhouse où des engagements importants sont imminents. — Fournier. Krupp, propriétaire eï industrie! à Maubeuge Lo correspondant parisien du Daily Chronicité rapporte qu'en, juillet 1911, trois ans avant la guerre, un terrain de plusieurs hectares fut acheté près de Maubeuge par quelqu'un qui se proposait d'y installer une fabrique de locomotives. On apprit plus tard que l'acheteur n'était,autre que Krupp. F fit élever d'importantes constructions, mais elles demeurèrent vides. Elles servent aujourd'hui d'atelier de réparation aux pièces d'artillerie allemandes...A Vafenciennes, les Teutons ont réquisitionné la population civile de SB à 45 ans LONDRES, 28 septembre. — A Valenci^nnes, dimanche, Ir bourgmestre a reçu ordre de donner les noms de tous les citoyens de 18 à 45 ans qui se trouvaient encore en ville. Des patrouilles de uhlans ont fouillé toutes les maisons allant jusqu'à percer les matelas à coups da,; baïonnettes. Bien que plusieurs hommes avaient réussi à prendre la fuite, les Allemands en prirent encore cinq à six cents, qui furent dirigés vers une destination inconnu? * Valencienries a dû fournir, en outre, d'importantes quantités de vivres. Les Allemands ont perdu beaucoup d'officiers D'après le journal d'un officier allemand prisonnier, il apparaît que l'un des corps allemands contient un extraordinaire mélange d'unités. Si la composition des autres corps est semblable, on peut dire, sans crainte de se tromper que l'efficacité de l'action des troupes allemandes actuelles n'esx en rien comparable à ce qu'elle était au début de la guerre. Les pertes en officiers sont particulièrement sérieuses. On raconte qu'une brigade est commandée par un commandant et que plusieurs compagnies de gardes à pied sent commandées par (Ses vclontaires d'un an. A la bataille de Montmirail, un régiment perdit 55 officiers sur 60. Les prisonniers allemands avouèrent que la marche en avant sur Paris a échoué et que les armées allemandes battent en retraite. Le but de ce mouvement est expliqué par les officiers, disent-ils. C'est de se rapprocher des bases desquelles les forces se trouvaient trop éloignées. Les officiers s'efforcent aussi d'encourager leurs troupes en leur disant qu'elles rentreront chez elles k la Noël. Pourtant la plupart des hommes croient qu'ils sont battus. La lettre suivante, qui a trait aux combats de l'Aisne, a été imprimée et distribuée aux troupes anglaises; Un officier allemand relate les extraordinaires exploits des aviateurs français. Lettre trouvée sur un officier allemand di Vllme corps de réserve: «Cerny (Sud de Laon), 17-9-14. «Mes chers Parents, notre corps a la tâche de tenir les hauteurs au sud de Cerny de n'importe quelle façon, jusqu'à ce que' le XVrae corps sur notre flanc gauche puisse rejoindre le flanc de l'ennemi. Sur notre droite se trouve un autre corps. Nous avons battu contre les gardes anglais, les Ecossais et les zouaves. «Les pertes des deux côtés ont été énormes. Pour la plus grande part, cela est dû à la trop brillante artillerie française. Les Anglais sont merveilleusement entraînés à l'usage du terrain. On ne les voit jamais et on se trouve cou» stamment sous leur feu, «Les aviateurs français accomplissent d'extraordinaires exploits.Nous ne pouvons pas en venir à bout. Dix minutes après qu'un aviateur a volé au-dessus de nous, nous recevons le feu de l'artillerie. uNous avons peu d'artillerie dans notre corps. Sans elle, nous ne pouvons pas aller en avant... «Pendant les deux premiers jours de la bataille, je n'ai eu qu'un morceau de pain et pas d'eau. Je passai la nuit sous la pluie sans mon pardessus. Le reste de nos affaires était avec les chevaux qui ont été laissés derrière avec les bagages. Ils ne peuvent pas venir sur le champ de bataille, parce que aussitôt que l'on met le nez hors les abris, les balles et les boulets sifflent autour de nous. La guerre est terrible. Nous espérons tous que la bataille décisive terminera la guerre, puisque nos troupes sont déjà autour de Paris(î;

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This item is a publication of the title Le matin belonging to the category Liberale pers, published in Anvers from 1894 to 1974.

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