Le messager de Bruxelles

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s.n. 1915, 25 August. Le messager de Bruxelles. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/nz80k27v1n/
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? ne - tfs. B l« c.-i C Ml 0 . Ma OQti Ce Numéro se vend exceptionnellement 11 CENTIMES Si- ANNEE. - N° 282 LE MESSAGER DE BRUXELLES • ÀDnMWrMPWTÇ Bruxelles Banlieue et Province § MUNlWlm eiFaubourgs (servis pav la posta) g i mois. . Fr. i oo 1.50 | 3 mois. . . Fr. 3.00 *.*o t, é moi*. . . Fr. 5.50 &.<o S JOURNAL QUOTIDIEN un im»Biiinwiini 1 i n i ni mrar~~ Administration et Rédaction : 4K Minraff-iTTY-P^nr ITTA RRHV AVIS. — Adresser toute correspondance à la direction dii " Mbssageh dh Bruxelles „ ewn»» ■ 1 —■ mwwi ■ ■ Bureaux de Vente : 1. Ouai du Chantier. 1. Bruxelles PUBLICITÉ : 4* page, la ligne, fr. 0.30 Commerciale 1 3* » » » °-SO 2* » » » 1.00 Nécrol. 1« lig. 1,50 • Jadic. la.Hg. 0.50 ; Fianncièra : à lorl»it LE FRONT RUSSE. — KOWNO L'Arniée Australienns —•— Nous avons étudié précédemn comment étaient organisées les fo permanentes de l'Australie. Voj aujourd'hui quels sont les autres ments militaires de cette colonie tannique. Les volontaires constituent des tés de seconde ligne destinées à la fense des points importants du litt et à la défense de leurs propres tricts hors desquels elles ne doii pas combattre en principe. Les forces volontaires sont es: tiellement territoriales. Ces groupes forment des régimi d'infanterie et de cavalerie, des b< ries d'artillerie, etc., dont la comp tion se rapproche autant que poss de celle des unités de milice. Le port de l'uniforme attire s cesse de nouvelles recrues et le ser est considéré comme un passe-tei agréable par cette population ép de tous les sports. Les volontaires connaissent le p où ils seraient appelés à combattn temps de guerre. Cette connaisse —I — du terrain, jointe à l'habileté de » reurs australiens et à leur vig physique, compenserait le ma: lent d'instruction et de cohésion des rces lés. onsi Le nombre des volontaires étai élé- près de 17,000 présents au moi: bri-i juillet 1914. Leur force en cas de g I re s'élèverait à 22,000 hommes, jni- 22,000 hommes formeraient des ri dé- ves de districts et seraient empl 3ral à la défense de Sydney, de Bot dis- Bay, Richemond, Melbourne, A rent ny, île Thunday, Hobart, etc. Aux forces que nous venons d' ;en- mérer, il est bon d'ajouter les n bres des sociétés de tir. ;nts Les clubs de tir sont très nomb tte- en Australie ; ce sont d'excelle osi- écoles pour la milice et les volonta ible Us reçoivent de l'Etat toute es d'encouragements (subventions, 1 ans: facilités de toute sorte pour leur d /ice loppement). nps L'intention du gouvernement f rise rai est d'organiser ces sociétés en j ritables troupes de réserve, et de 1 ays jbler ainsi d'un coup l'effectif de : en,armée. Tous les membres des c ,nce Sauraient un uniforme, les progj :s ti- mes des tirs seraient les mêmes ueur toutes les sociétés et leurs men îque exécuteraient de temps à autre uni- ques exercices militaires de servi campagne. La militarisation des 1 t de de tir semble ne pas devoir renco > de de grandes difficultés. Les société uer- n'entreraient pas dans les vue; Ces gouvernement à ce sujet n'aur Sser- plus à compter sur son concour: oyés L'effectif de paix prévu au pis any- réorganisation est de 35,700 hom lba- En temps de guerre, les foret campagne (milice) seraient, en y énu- prenant les cadres permanents, 1 iem- viron 43,000 hommes avec 84 car j Les volontaires fourniraient ur reux fectif de 22,000 hommes environ ntes 26 canons, soit une force totali ires. 75,000 hommes à peu près aux< pèce viendraient se joindre les 30,000 r >rix, bres des sociétés de tir. éve- « Les écoles, dit la Revue de niées étrangères, ont une import édé- de tout premier ordre dans les ar: vé- qui ne font que peu de service ; lou- Les cadres de ces armées ont rarei son l'occasion de commander leurs u lubs et l'exécution stricte de leurs ob am-fiions réglementaires ne leur per dans tent pas de se tenir à hauteur de le ibres fonctions. quel- On a remédié à cet inconvénient, :e en Australie, par la création de nombi ;lubs ses écoles, qui sont à la fois des cc ntrer d'instruction théorique et des école; s qui commandement. 1 du Le bataillon d'instruction est aient de celles qui ont donné les meille ;. ; résultats. Ce bataillon reçoit, poui .n de durée d'un an, les soldats qui désir mes. entrer plus tard dans les troupes p :s de manentes, en d'autres termes, deve com- des instructeurs et embrasser la < l'en- rière militaire. 10ns. j Le bataillon sert également d'éc i ef- de perfectionnement aux officiers avec troupes de campagne qui désirent : de velopper leurs connaissances mili juels res, se familiariser avec le maniem lem- de la troupe et l'exercice du comm. dement. Ils sont admis à comman s ar- les unités sous la direction des o ance ciers instructeurs. Les exercices cc nées prennent surtout des exercices de s ictif. vice en campagne (avant-postes, nent connaissances et combats). nités Ce bataillon a donné de bons rés liga- tats; c'est une excellente école pr; met- que; on y fait passer peu à peu te urs les instructeurs appelés à servir les troupes permanentes. en Le bataillon d'instruction perm eu- perfectionner et d'uniformiser, urs une certaine mesure, les proc ;de d'instruction, de créer l'unité de sur les points importants du se me et de faire disparaître les diffère urs trop sensibles qui existent entre ' la soldats provenant des divers E ent Au début, on a remarqué, notamn 1er- que tous ceux qui venaient des 1 nir velles-Galles du Sud et de Vie :ar- étaient restés supérieurs à ceux autres Etats. oie Le matériel d'artillerie était des plus défectueux. Il se composai dé- vieux canons démodés, dont la plu ai-'se chargeaient encore par la bou înt Très peu de canonniers avaient in- exercés au service et au tir des pi :1er modernes. ffi- Le déclassement du vieux mat m- commença et l'artillerie de campé er-'est armée du canon de 18 livres : re- rapide. Pour la défense des ports, on ul- piloiera surtout des canons de 15 iti- timètres, sur les conseils du Co: ►as impérial de défense. dans Trois écoles d'artillerie ou, pour i mieux dire, trois cours d'instruction, et de t ont été créés à Melbourne, à Sydney, dans.à Brisbane. Ces cours d'instruction édés ; sont destinés à donner aux officiers vues; et sous-officiors l'instruction itechni-rvice que et la connaissance du nouveau ma. nces tériel. les Le bataillon d'instruction et les éco-tats. les d'artillerie donnent surtout une lent, instruction pratique, s'ou- Indépendamment de ces cours pra-:oria ; tiques, chaque Etat possède des éco-des; les militaires où les officiers viennent | faire des stages et se perfectionner des dans la connaissance de leurs armes : de particulières. part S'ils subissent avec succès les exa-che. mens qui terminent les cours, ils re-été çoivent un brevet qui les désigne pour èces l'avancement et pour une récompense ! pécuniaire. êriel, Ces écoles sont complétées par la .gne création : i tir ! i° D'une académie militaire où les j officiers perfectionnent leur instruc-em- tion militaire générale; cette école est cen-1 organisée sur le modèle de l'académie nité militaire des Etats-Unis et de l'Ecole canadienne;

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This item is a publication of the title Le messager de Bruxelles belonging to the category Financieel-economische pers, published in Bruxelles from 1895 to 1946.

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