Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1915, 02 March. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/sb3ws8jq0n/
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\ 20" ANNÉE. — Série nouvelle. — N° 111 Le numéro • 10 Centime 1 ; rédaction aadmiotstratioi 28t« tte da h tarie — LE HAÏES '■ Téléphone : Le Havre n* 14.03 i » _ Directeur : FEKMD 9S0HÂT S M fontes les communications concernai Uf ta rédaction doivent être adressée c8"T, rue de l* Bourse, Le Havre. LQNOON OFFICE: 9 21 j Panton Street (Broadmead House LE XXe SIÈCLE Mardi 2 mars 1915 H| ABONNEMENTS France 2 fr. 50 ^ar mois, jg » 7 fr. 60 par tHmaatra Hors France.. 3 fr. » par mois. ^{J » .. 9 fr. >» par trimestre Angleterre.... 2 sh. 6d. par mois. • «... 7sh. 8 d. par trimestr® ^ PUBLICITÉ Correspondance da réfugiés et communications personnelles s i 3 i Sur le Continent: à&iÊ Les 3 lignes 0 fr. SO La ligne supplamentaire 0 fr. 25 Angleterre : la ligne 3 d. OgjoîSclien beloe oaraissanS au Havre ( LA VEULERIE '' DES CATHOLIQUES [ ALLEMANDS 1 — On ne saurait trop s'exaspérer du tra Binent irilâme que certains catholiques api ■ tenant à des pays neutres ou ennemis ii Bgent aux catholiques belges, à leur clei B à leur cardinal. Le " XX" Siècle « a st. I fois raison de pousser le cri d'alarme : i ■ bas i'iotemaUauHsiib!. A bas les Trimbi fSct les taux frères qui, autrefois, quém fil tteieiit l'appui de notre presse, de nos 1k H mes d'eeu vre, et qui, maintenant, nous fr i'Bpent de leurs verges ou font alliance a 1 nos bourreaux. " || Rien n'est plus écœurant que de voir j ■ mi les signataires du manifeste d'ignomi i( lancé le 3 octobre par un groupe d'intel I tue!* allemands, les noms de oes six pro' I seurs catholiques que, désormais, nous I von s vouer à l'exécration de noire peup I Ehrhard, de Strasbourg ; Ksser, de Bon L Knœpfler, de Munich ; Koch, de Tubingi g Mausbach et Sehmidlip, de Munster. ïi ■ prolessent l'histoire ecclésiastique, trois I dogme. On ne leur demandait pas d'i H des héros, mais on ne leur pardonnera ' I"d'avoir été des scélérats. Us eussent ■ s'abstenir : leur qualité de théologiens I tholiques ne constituait-elle pas un rernj I derrière lequel ils pouvaient abriter 1 • | conxcienoe ? Ne pouvaient-ils imiter la I serve d'un groupe d'autres, prêties con I plusieurs d'entre eux et dont on se réi< ■ de ne pas. voir le nom sur le rôle d'infàn j Cor d'autres catholiques ont dû être si I cités. Je connais des <i Geheimrat », i i accrédités dans le monde scientifique J catholique qu'un Mausbach ou qu'un t I! rn ni lin et que, sans doute, les initiateurs II manifeste eussent été heureux de voir tri Il per leurs mains dans la fange. Il nous j porte pi u dlancourtr le blâme die Hannacl I sectaire qu'un soir, dans une réunion d'i I diants, à Berlin, je vis Seumer de rage c «ytre le pape et le catholicisme, ou encore | subir la protestation de Haeckel le faus; ' re, qui fabriqua de toutes pièces le « Bat bius » à l'appui de son évolutionnisme i térialiste. Mais, nous ne pouvons corisidé sans une indignation révoltée que des F fesseura catholiques, historiens de nos d knies ou de notre Eglise, approuvent le-me rre de nos prêtres, appartenant comme ( a la phalange des oints de Dieu. '« Il n'est pas vrai que nos troupes ai » brutalement détruit Louvain. Nos soild » ne commettent ni actes d'indiscipline » cruautés. »... Cette phrase, ils la signe et combien d'autres ! Ils la signent en qualité de représenta do la science allemande, « als Vertre deutscher Wissenschaft ». Comme «i le p mier devoir d un homme de science, mê quand il est allemand, n'était pas de s'as rer de la véracité du fait qu'il affirme. Sait, ils n'ont pu le connaître que par témoignage des chefs militaires qui ont b lé Louvain après avoir souillé la ville leurs sardana>pa!(wques orgies ; — «sua rapport d'un von Maiiteuffel, de celui-là i s 5?e fli organisa la rapine et l'incent . ' 'm loi n peu,suspect en vérité pour des p t ressitnaols de la critique historique ! Po Quoi n'ont-ils pas cité leurs sources, t IlS®. 8»»>s leurs livres, usent et abusent KJeur érudition.Que diront-ils quand ils lir> ira déclaration du cardinal Mercier, "nf ajniaiit sur l'honneur que nul de ses prêt vjÀc „ a 'a foule contre les soldats enrien » ne,le sera l'attitude de ces savants cr quos quand ils viendront à prendre conn; "N* <*>. néfrologc effravaiit des t>rêt massacre9 ?_ Ils le connaîtront q\i^ S? ' ° ' CJ JOnr' 11 ta"'!ra loisir entre rapport d un von MautenfW et les «ni nolles affirmations d'un prince de l'Esflîs. laquelle eux-mêmes appartiennent ! Mais qu'importe ! Et qu'importe l'excu Qoâblôè d'aveu que contient ta suiva phrase du manifeste ? « La plus grande partie de Louvain » resiée intacte », continue le factum... 4m-.six signent toujours. De quoi se pilai elle l'Université catholique belge ? \ Mautc.uftel a poussé la grandeur d'âme j qu'à limiter son œuvre de destruction ? Qu'ils gardent pour eux iours iroor amôres et qu ils cessent à l'avenir de tourner vers l'Université catholique Louvain. Nous nous passerons bien'de le livres et. de 'eur m Deutsche Wis«enschaif Leui* catholicisme nous répugne et nou-s renverrons à leiir alliance avec Hârnack sectaire el Haec-kel le contrefacteur de Haturt. GRAÏNDORGF Furrses et Nieupo? sous Î3s obus | Les Allemands,— nous écrit twi corrc-sp Eant sjwciaî du front, — continuent à bc barder presque journellement Furnes. grande majorité de la populaiion n dû 01 pr celle-ci, les boulangers et bouchers av. presque tous fermé boutique. .Tusan'à *n Pont, les obus n'ont fait que des dégAts t peu importants aux édifices publics"" les p I ^'^arquabîes, sauf un obus qui a frai | 1 église Sainte-Walburge. L hôtel dp la Noble-Rose, qui a déjà louché le lw novembre, a été récemment. n>°li depuis le toit jusqu'au premier éta ^ faÇade est tombée presque d'une, se Pièce dans la rue. Un obus de 21 centimètres, qui a péné j,0r 'e toit dans une maison à cinq étages traversé l'habitation jusqu'aux sôus-sols. 1 r!v c"in1 personnes qui s'y étaient ré 1 Stées. Le bombardement de NieupoH-ville cor lue toujours avec la plus grande violen I '{î0^ fa r>ifcer\s de î/ros calibre. Aucn Walité autant que Nieuport ne donne u nipres^-an d» ion totale umiqi "eut due au bombardement. En effet, s; ran-d H6teiî de NieuporUBaims. rruî a i ïn m1-1 par ,PS 09-rnmes, aucune dps maisc ,1 Nl«uport n'a été incendiée. Ce sont U1)us qui ont aecc.rrmli t mil A 1 îiirro /în i Un hommage à la reine Elisabc L'abbé Serlillanges, dans son récent elle de la Madeleine, a adressé ù la 11 Elisabeth de Belgique, cet hommage : « La reine des Belges a été digne de roi, et qui sait même s'il ne faut pas ren ite- scr les termes : « La cuirasse de i'hon >ar- a écrit Ruskin, n'est bien bouclée que -ijlj. qu'elle l'a été par une main de ferrai L'influence intime de l'amour, l'exer ille quotidien des simples vertus, l'héroï , a sans panache afin seulement d'être « Jrn orgueil : n'est-ce pour rien, roi Albert,{ an. la force que vous montrez, dans la su-blii wn_ de vos silences et la tranquille fierté de ap_ discours, dont chacun fut un acte ? vec " ^ous vt,lllS dormons répée d'h<WK mais c'est Iille, votre Elisabeth, qui \ amie chevalier, en faisant sien,chaque j pour vous le souffler après, revivifié, v nle héroïsme. ec" » Aimée soit-slle des cœurs français! ( es" notre Elisabeth aussi : nous sommes ue- peuple par alliance. L'amour des peupli e • droit aux familiarités magnifiques. » " ! L'abbé Serlillanges a interprété, t • ' une noble éloquence, des sentiments sont ceux de tous les Français, ajout ^'0 „ Figaro „ en reproduisant ces paroiles. pas eu- LE GOUVERNEMENT FRANOi décore plusieurs offlLÎjrs du Grand Quartier général Be!i >uit '!?■■ Le Gouvernement français vient de , ' férer la Croix de Commandeur de la 1^, d'Honneur au général-major Wieleman ^ la Croix de Chevalier au major Jamolt c, aux commandants Masure, Lemoine, J t(lu Irez, Hénon et Sclmiitt. ;ln* Tous ces officiers font partie du Gr IJI'" Quartier Général de l'armée beige. ;,le :tu- *" 7e ^ aou?dl§s recrues belge ai- :iy- Les nouvelles recrues de d'armée' belge !'er sont arrivées dernièrement .sur le front, ro- vraiment bon air, — nous écrit un cor >g- pondant du front. Nous en avons vu dé ur- (antôt une troupe nombreuse, cornmar ■ux par des officiers, et des sous-offieiors for comme les soldats depuis le mois d'août ent hommes ont vraiment bonne et belle ail ats La plupart d'entre eux sont déjà liabi m au feu ot même les grosses « marmites ■ nt, les font plus sourciller. Les c-ommandi de nos divisions sont enchantés de ces ru» forts de tout premier ordre qui leur ont ter envoyés et qui brûlent du désir d'ire re- leurs aînés de Liège et de l'Yser. me « su- y Lu Cmsiii!» «8 sis-ra t i Hôtel nè- lie. ro Ou écrit d'Amsterdam, le 23 février, ur- A"Xe Siècle : '"x « Il a été dit que les Allemands consl de saient des sous-marins à Hoboken, ] >nt d'Anvers, aux Chantiers Cocke-riil. On fr- donnait cornante preuve matérielle nue res dianléers avaient été entourés de hani ' murs destinés à cacher ce qui s'y faisail iti- Le Nieuwe Rolterdamsche Courant is- ment aujourd'hui la nouvelle. D'iuilleurf -es ne sont pas les Chantiers Cockeri.l mais [Ut Chantiers navals ainversois — qui s'élè' le il côté des usines Corkerill sur la rive 2n- l'Escau I. — qui sont entourés de hauts p ^ >d Faut-il 'entendre par là — car les dén tiis de souirce al/Iiemande sont toujours se cieux et doivent être considérés de prèi ^ que l'on construit en effet des spus-ma niaiis quie <se n'est pas chez Cockerill n £tux Ctontieirs navals ? » est et nt- - LE LUE D'OR ie DE LABIE BEL de Vrs ; Ont été nommés : les Chevalier de l'Ordre île Léopold : Jaa ja cap. ensec. au 11. Officier de l'Ordre de la Couronne : Kempeneer, cap. conitn. aux grenadiers Ont reçu la décoration militaire de 2° c se pour acte de courage : Gustin, sold. ® télégr. de 2 D. A. et ■ uickaert. sold. au Sont cités à l'Ordre du jour de l'Ara pour le calme dont ils ont l'ait preuve cours d'un bombardement intense (70 ob qu ils subirent, étant en grand l- : rdc : on- Nauts,. 1er 6erg. au 11 ; Paquet et .m. "eus, serg. id. ; Uinieime, Slertens, lier I n kenne, Ghesquière et Van Gorp, capor. Léon, clairon, id. : iterbitiiôn, ïhevis.-lnt Schalley. Steven, Colla, Cra.ps, Pi ciien, Renwa, Veriieeden, Sclieire, 1 •f>s Eeckhout. Boeckmans. Verfiëyen, Vani lus moten-, Billen,-Leyssens, Devviùne, Van ,pé dekerke. Debrayné, Pcelcrs .los., Lemo Jacobs Louis. Adam, Welkenhuyzen, Ke été Bwkers Jos... Schutiens, Gvbels. Declei [lé. Ghenne, CeUninckx, Jlenwaért, Van Dy riQ. soldats id. ; Lemairc et Motkin, 1 ira ru diers id. !ra N( UVELLHS BREVï | Amsterdam, 27 février. —-La « Gaz? iti- de Voss » annonce que rempéreur d'À 2C, ma^ne a conféré la.croix de fer à En\ er ne cha. ne — 1/ a Auto » annonce que Georges C ie- pentier n'est pas- prisonriioir,' ainsi qu'i Luf information du « Br-rlimu* Tageblatt v ^té lait nous le faire croire. Notre champion lia boxe était de passage à Paris il y a ii es jours, et il alla voir un de ses amis sou " LES FAITS DÛJOU th IWVWVWI L'opération du /orcemenl des Dardane, pro- se poursuit méthodiquement et avec un pl einc succès. La plus grande anxiété règn■ Constantinople. Le sultan est prêt à rjuii «on la ville- Le gouvernement a décidé de Ira ver- tërer son siège à Brousse (Asie Mineu me Des troubles sont considérés comme pro or6l blcs. Des attentais ont déjà été perpët ie „ contre les ministres Iurcs, Talaal-Bey e\ [l0|0 Grand-Vizir. Le typhus règne en Thrace. sme i/vwvvxwi 'ans Le budget impérial allemand est conn l'Allemagne demande encore 12 1/2 millia mie cj.e francs p0)(r (a guerre. ^os L'Angleterre, a déà dépensé 9 milliards 0> francs en huit mois, y compris les 925 r 'u'r ' lions que M. Asquith va demander pi rous mars.t our, t\A.\ww» otre Plusieurs journaux allemands ayant. "est mandé qu'on rouvrît la Bourse de Berlin. son $!idr>u\ 'ministre du commerce de Prusse ^ déclaré au. Landt que le moment n>'i oas encore venu. 7/ suffirait, a-l-il dit, d'i fausse nouvelle pour faire s'effondrer [Yec cours. N'est-il pas permis de croire qu Q,u craint autant les nouvelles exactes que B nouvelles fausses. VWVWVWI Le ministre d'Allemagne à Christianw yr, répété que son pays voulait maintenir le l i.lb cus ù-ans toute sa rigueur. On sait que . l'invitation de l'Allemagne, les Etals se dinaves se proposaient de faire convo■ par des bâtiments de guerre leurs navi \Q marchands à destination d'un port angh Le gouvernement, britannique a déclaré pouvoir le permettre. Plusieurs paqueb 3on- hollandais ont. rencontré des sous-mar 2 ion allemands qui leur ont permis de pas s s et Les denrées danoises continuent à arri e et en Angleterre sans encombre. 'as- t<VVVVVVW\ and ^ propos de Vinterdiclion des réunù publiques, M. Salandra a obtenu à la Cho bre italienne un vole de confiance émis j 314 voix contre -14 el 2 abstentions. Tous » partis constitutionnels, y compris les ro S eaux, ont voté avec le gouvernement tan que les socialistes et les républicains tàient contre. fWWWV* ont L'armée monténégrine continue à comb res- fre vaillamment. Ellle vient encore de ïler pousser, après leur avoir infligé des per dée considérables, de.s forces autrichiennes "nés pêrieiii'es en nombre qui l'avaient, atlaqi Ces sur les bords de la Drina. ire "ne L'action française mts " •g en Champagf i ter vtvwvvM — Du journal y La Suisse », de Genève, < par le « Journal » du 1er mars : lin ii On estime — au dire de certains o [il) ciers français — que la percée en Chain g ru: est virtuellement faite. Du reste, h matin, on demandait, de la cavalerie à C Ions pour suivre les Allemands qui, en [ sieurs endroits, ne peuvent plus se retr; cher que difficilement. La cavalerie est p au tie hier dans la journée et cette nuit. M les Allemands, qui redoutent cette pouss : en Champagne, ont esquissé, le 20, à Be. >rês 1,110 contre-attaque en colonnes s (,jn rées par huit hommes de front. Les' 75 < eu beau jeu et ils ont fait une boucherie :;s ' frovaiMe après avoir arrêté l'offensive si aucune peine. » dé- Les succès russes 'ont £ m Pelœsepfgafeiale ieïi- 3 :'!i et sa Galiels orienta •iois nais Allemands et autrichiens en éch Les Russes, par une habile manœuvre flanc, parlant du nord de Varsovie sur Pr. nysz, ont mis en échec tout le plan strate qiie du maréchal von Hindenbourg. Ils ( ramené sur ce point leurs corps retirés p jjir cipitamment du Niémen (cela, représente u opération de transport de 50 à 100,000 ho mes ser une distante de 150 kilomètres moins); ils les ont lancés vigoureusomt sur l'aile droite allemande, dont le centre >bs, taquait Ossowetz ; ils ont battu celte ai l'ont mise en déroute et doivent avoir atte la. frontière de la . Prusse orientale enl Mla.wa et le sud de la région des lacs .v zuriés ; de là iLs menacent très sérieu: las- ^cs communications intérieures lux L'roR l'armée opérant sur le Bobr et la rew. T,e communiqué allemand du 27 reconn iée, que de u nouvelles forces russes sont a.w au rues au nord-ouest de Grodno et à l'ouest is). \^'"7na et y ont livré une attaque ». G'< l'aveu implicite de l'échec de l'offensive .al ., _ mande. Uo" En Galicie orienl.a.le et en Bukovine, 1 !1C" Rn^es ont de mérne repris vigoureuseme cl î l'ofensrve, infligé une défaite aux A ut cn. fhi>ns, à qui ils ont repris Stanislaw et \&6' loméa ; de plus, ils menacent de nouve jaii r,7/>rnowitz. Si cet avantage se poursuit, *®r" fa.uf s'attendre à la. retraite prochaine de 1*« Ju f'Misive autrichienne' sur ce secteur exîrêr du front oriental. BELOA. ' - r ck, ILS NOUS RENDENT NOS OBUS :ar- _0_ Q ii donc ava.:t ]irétondu qjue les AU —- mands mom-çsn-ta»véi ieerH -élablïs en Belgiqi «o ébaienii d'inc-rrigibles voleurs?!.. 'v3 1 -■ ?s voici, a.u -• >rvlraiie, qui commence à' se reiidntir et songent à restituer ! Voi 6n effiet. ce (rm nous :écriit,.jdu franil, un tte mos a n i ls, (»Hl(ii;e.r S'upéri-e-iu* d'artillerie : hq- : (( Iti-ci- (c'était :1a'"0 février), nos bat,t cri |?a- 0J!:il. été stVivfM-iS'cni^nit. battiie» par de g.i< ppajecli'îies- • el, malgré la précisii'n. ctu t.: lar- aiucu-n Mes*é c-t aucune perte de nvatérie me 11 .v a un bon Dieu pour les artilleurs ! ou- 5) xj2> fiir funij j'ai élA voiî'r les dîéMs et 1 de fu. r et figure-toi que c'éteieirt des proje ois de 15 cent, belge-s ! ,rné » 1 s Roches les ont trouvés k Anvers Derniéres Nouvelles Ci? i —— " " a flAmmnni'miâ f«u>«Ani« Cette hanlcm- et cottes situées <J«ns la di- LE MANÔUE DE PAIiV EN ALLEMiGNE lel Bînyïei iTSSÇaiS rection du village<}e Kelbasti sont restées en notre pouvoir dans la soirée du 27. n, , ,,,, du 1" r.-.ars 1815 Le combat d'artillerie continue à Ossovetz. bn™!110 d'e Gazctte <*» ??: —o— L'ennemi ayant reçu des renforts dans le P^n. .dans les casei-nes, 11e sera ff _ . ,, „ . la nuit du 27 a envahi de nouveau Pras- 'P*08 desoTOMKs distribué l>ar homme, mais , . Paria, 1" mars, la heures. nysch. Pendant toute lU jotrnfe Xs li^t- I'®f clKUi.brce, alm d'éviter le gaspillage. Il n y a rien a ajouter au communiqué de aiieis (i^?5j combats acharnés i>our la posses- hier soir, si ce n'est qu'EN CHAMPAGNE ®Pn d'e cotte vilk\ qme aiK>ùs*repirtmes dans au portugal 1 •' les divers po-in-J-s d'appui successivement i? AMein-ands défendant —o— 'ds ta vine rendirent las armes. jagnés lorment maLntenant une ligne con- Dans les autres secteurs de La région de Paris, 1er mars. — Une dépêche de Lis- de tLnue <ie deux kilomètres au nord ot au Prajsnysch, nous avons réalisé d'importants bonne dit que le dépaité Henri<pne Cardoso lit- nnnri mmii Ho ïwthoc o' n v \tq t L-o prog!'ès. L'ennemi a atobdonné en màânts ^ »'Ué d'un cou:p de fou au moment où ntr nord"oltô&t de î er,hes ei que' DANS LES v.ridroits des convois de rav-ladRement et d entimt pour siéger an Direotoae rép^li- VOSGES, nos attaques ont légèrement pro- des blessés. cain. gressé à Cha-peiotte, à trois kilomètres au Méprisant la. résistance acharnée de l'en- Ao . , « nemi et leur propre fatigue, nos troupes itvt ivnnrvr r.»rrn murtni? t[e- nom de Celles. cherchent vailtammenit il développer les suc. i.\ClDti>X GRECO-BÇLGAUE n cès obtenus. —o— LOS succès russes Le totv<>l des prisonniers cspûdiés à l'arriè- Sofia, 1" nws. — La police a arrêté pour me ,mnfis>mAnî nf nronnonf r.arm6e ie 27 au &oir ^ 58 PféteindHie cœTiplioî-lé clans r attentat du Ga- les cpnill Iîl( ru Cl pre nnent oieis . t'0,.-v,^ so^ja-ts. Siino plusieLM's notables grecs, dont Christo- 'on lï5io o>ramlp nrrt?^î^ïir , - ; V-'* Vn, changement sur la rive .gauche de manos, sujet hellène qui décéda en prison. les & - S \îSoU'le, sur Dounasetz. La police a refusé de livrer à la l'ègalion —(y. grecque le cadavre, que des prêtres grecs Petrograd, 1er mars. (Officielle). — Notre caucase ont enterré. a progression continn© dlans l'a région . de 0 »/.o- Prastnych. Petrograd, 1er m'ars (officielle). — Au Cau- un journal flamand a paris nir \ »us prenons les villages les uns -après case, nous avons chassé l'ennemi devant —o— :in- les autres. i10Us. Nous avons atteint la rivière Khopat- n,0us venons do recevoir le rwm.iVr mu ier N..*us faisions de nombreux prisonniers. cha.t 1 vC t^» ^ .l 10 P'çm^ nii- res Notre front avance consdidérabLement cha- ^ s^n-aler sur le res.lie du front T^-10 a6 i laandtren, journajl hebdtuna- rfc miP mur u M-,iMiei sur xe îesie au n ont. daiire fkumand qui parait, à Pans, 181, rue ■ 1 'die Gharanne. Notre nouveau confrère s'a- ots Petrograd, 1er mars. — Communiqué de l'italie S'emeut Presse aux néifugiés et aux ouvriers 11a- • l'état-major : ' nuands. Il se présente en déclarant qu'« il Stfir la rive gauche diii Ni-éanen, à Grodno, 0 n'aura aiu'cnne tendance polîtlique et sans ' ' raction-se porte -très on «a.'v-'ant des ouvrages Londres, 1" mars. — Unie diépôcbo de prétentions littéraires, il se contentera, de fortifiés et a gaignié de ce fait en nteinsité. Rome au Daily Telegraph dit que l'attaque tenir ses lecteurs au courant dies évône- Le l'eu violent de l'artillerie disposK^e- sur des Dardaiielllcs a produit une profonde ini- ments. » Il ajoute que, en- égard à la situa- la hauteur appuie l'attaque réciproque. pression" en Italie. tion pe-u brillante des finainoes- de la plupart )US Des villîages ont été alternativo-m-ent pris Pour la première fois depuis te début de «des ouvriers ou réfugiés belges, le prix de m- et reipris. ?a guerre on déclare à Rome que les l'abonnement a été fixé à 1 franc par tri"' \ar Au cours de l'assaut die la cote 100, nous Alliés ont adopté un plan de campagne dlont mestre (4- fr. par an). 1rs avons"nns aux Allemands 6 canons et plu- lies résultats auront une immense imnor- Nous souhaitons la bienvenue notre con. (/■/. t;.'eurs centaines de prisonniers. ' J j ç '■ t&*.>g2is>nsri'-rr*z-irHMnm OO- La fourberie "e- autrichienne t.es m. On-a lu, dans pfSIf* numéro de .dimanclr l'interview prise par la Nnne Frei Press c ~ Vieninié "aui rotonieil auitmiialiiein Langer qu avec ses mortiers 305, a bombardé Namu; Miaubtauige et. Anvers. De cette iintoi view il rôsiulte que les groi ,n ses batteries anMclderanes élwenit cohcea trées le 15 août à la frontière belge ; qu'ail* entrèrent eu Belgiiqute le 16 août ; qu'elk parlireirut poutr N'amitr te 21 août ; que, Ni ùté mur tombé, elles s'en allèrent, le 27 aoi bombardier Wau.beuigi! et Givet. ffi- Or, l'Autriche ne déclara- la guerre à I 1H. Belgique que le 28 août et, jusqu'à cell ïer date, lie miniiistre d'Aulriiohe, comte Gary < AMrimgeîii, séjourna en Belgique. Bien plu: lu- i'I préiènidait correspondis avec son goai.veo i u. neilient en langage chiffré ot, — ô comble nr- — 'I eut l'iicpudenee dis faire tlM déniai ;lis elles auprès du gonverniemcnt. belge pou «je protester contre l'attitude de la ipopulatio 1U. belge qui conifouidak- diains son esprit liostil ci-, les Auitr'cliie.-is avec les Allemands. A 1 )ut. suite de cette démarche, des journaux be Cf. ges, dont le XX' Siècle, eurent l'honnête! jrs (Se puibliier des notes conformes à la démai clue du diplomate autrichien. Avons-nous été assez trompés par cc nraltrès-fourbes ? tentez, mentez... . ce qu'un pasteur allemand lg ensei3ne aux petits enfants. Du n Voi waerts », le journal socialiste d 3C Berlin : ii Nous avons sous las yeux une brochur de tolitalée : u L'Armée de fer 1914 », publié iS. par le conseiller intime, du consistoire, doi tour Conrad, pasteur à l'église élevée à 1 iîd mémoire de l'empereur Guillaume 1er. ré- « Cette brochure, dont 150.000 exempiairc ne ont déjà été tirés, est vendue aux élève m- des écoles de Berlin au prix de deux sous au Nous nous refusons à nous étendre sur 1 nt teneur de cet opuscule ; nous nous borne i.f- roiis à en citer ce passade caractéristique le, « Comme les Belges et les Français tiraien ni sur nos soldats de leurs cachettes ! Us cre re vaient les yeux aux blessés et leur cou a- paient les mains ! Cela crie vengeance ai ie- cieî... ilu ii Donc, toutes les histoires de massacre la- et de cruautés $ji ont élé répandues dia.ns 1; presse à sensation pendant des semaine :ilt et des mois, malgré tous les démentis d ia- médecins allemands ont trouvé place dan de ce livre pour les enfants 1 » •st Sans commentaires ! ^ LA SAISIE DU "DACïA' ni rt" Cn communiqué officiel de l'ami rauh française dit que le vapeur Dacia a été ar R!j rêté par la croisière française de la Mvinctu J' -îcc'dèniale et. conduit à Brest. Le Dacia a. une' lôngue histoire ;il a pos< 110 devant les jurisconsultes du droit intornatio mal unie tfc.s' questions tes plus complexes qu — fussent. Ancien .b:\tiimeiit allemaÂrrl. il fut acheta par un Allén'i.>nd na'turalis'A Américain et qu prétendit l'envoyer' {\ Brème; avec un char c- gement dé îl,000'balles de coton, en reven e, (liqiia.nl pour lui la.protection du ymvillo; étoile. nt Dès l"1 mois de janvier, Londres et Was ■i, hingiôii discutaient à son sujet. L'Angleterre le ne reconnaissait pas la-vente, qu'elle dé' clarait fictive. I.'Amérique résista -molle-' f.s ment. Au ùébu.!. de lévrier, le Dacia (fui-tlf :>s G;alvest0n. où il' éMt ancré, pour aller ù r, Nor['>:k,-efti \irginie, oi'i il devait-prendra t ! son chargement. Son départ -de Norfolk fut retardé par une grève. Avant qu'il ne s'ac-js eornpHt, la Grandte-Ruetagne fit connaître c- qu'elle saisirait le navire et achèterait s*i cargaiso, . Le Dacia se mit, enfin en route, et Ge n'est pas pa«r une croisière anglaise^ c'esl kk Le forcement des Dardanelles iui v&mciii ycs JL^ai uaiicucs aV\AVYVX\\WlYViaWlVYVWWVYW\.\a\V ! J! J .1 . «>___» <! k liiipurirttiiut; ut; lupci dbiun uîi uuurs [' Les Dardanelles conslituoni géographique- Le dragage des mânes a été effectué sans > ment un long couloir sinueux, défendu par incident jusqu'à quatre milles de l'entm». ._ ™eux groupes d'ouvrages permanents : les Trois cuir-assés se sont alors avancés dans j- îorts extérieurs de la passe d'entrée, situés le détroit jusqu'à la limite de la zone dra- sur la côte européenne et sur la côte asia- guée et ont bombardé avec succès les batto- tique (œ sont les forts qui ont été détruits ries, pondant, qu'un, détachement, mis à • ue 2o et le 26 février par l'escadre franco- terre, achevait de démolir quatre forts ca- anglaise); une serie de forts intérieurs dans nonnés et détruits la veille. la passe de Negara ou Nagara. Ces derniers Les pei'tes des flottes combinées, dans torts sont admirablement placés pour la dé- cette opération, o;nit été insignifiantes : un ten.se diu passa,ge; ils flanquent le d'étrort tué'et un blessé. ^ dans taxe de chacune de ses sinuosilés. Ces H mm étroite eTK^nfm^le5' l* un rapport anglais. comment j ment de ces mines et l'annihilation de ces les forts extérieurs des darda- .• forts constituent donc la i>artie la plus dii.f.fi- nelles ont été détruits.— ATT A- - cite de l'opération du forcement du Détroit. que des forts extérieurs. 11 une fo'is cet o3>stcu?le franchi et l'es bat- [1 terites secondaires éte';:nles dans les retran- L'Amirauté britannique a communiqué la e oilements creusés près des forts, resca.dfl>e note suivante, retraçant les opérations faite* ^ fratnco-aïi^saise débouchera directement contre les forts des Dardanelles : l; dans la mer' de Marmara. L'entrée des Dardanelles était gardée par e Cette mer.est parsemée d'îles dont quel- qi-atre forts principaux : batteries du cap *- • qiLii&s-unes ont reçu des fortifications de Helles, fort Seddoul-Bahr (côte d'Europe), campagruo et l'une, dtt-on, de l'artillerie fort Orkhanieh-Tabia et fort Koum-Kaleli s liourdé (Ille dkis Pri-ruoes). Cet obstacle se- (<^6te d'Asie), désignés, pour plus de facili- condaiire ne sera pas de nature à arrêter les tés, par les lettres A, B, C et D, et qui sont - opérations de l'escadre alliée : les Turcs ne armés comme suit : A : deux canons de 234 disposent pas d\nne force navale suffisante millimètres ; B : six de 260 ; C : deux de 234; pour entretenir la résistance de leurs trou- D : quatre de 260 et deux de 1^>0. pes et dse leur artillerie dans ces îles qui ne Le temps s'étaiit amélioré,bien que le vent tarderont pas à ôtre bloquées. continuât à souffler du sud-ouest, l'attaque Cela fait, les gros vaisseaux de guerre contre oes forts reprit jeudi à dix heures du seront d'evant Constantinople; la portée de n-atin. leurs canons est suffisante pour battre d'en- .La Queen-Elisabeth, YAgamemnon, Vlrre- q fi'lade le Bosiphore sur toute sa longueur et sistible et le Gaulois commencèrent ensem- mème pour atteindre, par delà, les eaux de ble à bombarder à longue, portée respective- la mer Noire. C'est-à-dire, qu'à cet acte de ment les ouvrages A, 13, C et D. e l'opéra toi, la capitale turque sera virtuel- ^ riposta et im obus turc atteignit V Aga- 0 le ment sinon au pouvoir du moins sous la niemnon a 10,000 métrés, tuant trois hom-maîtrise des Alliés; les deux croiseurs Goe- nîes et en blessant grièvement cinq autres. 1 ben et Breslau siomnit voués à la destruction; „ L Irrésistible et le Gaulois diirigèrent un l'Empire turc sera stratégiquement coupé ^fu exc^Jjcnt contre C et D, tandis que la s en deux tronçons; les forces turques de yuccn ~h i isabc t h concentrait sa canonnade 3 Thrace seront dans la situation la plus pré- P01'n , sur mettant, à il h. 1/2 du • caire; l'accès -du Bosphore étant ouvert à la matin ses deux canons hors de combat. 1 marine russe, la Russie pourra, livrer à lu , Vengeance et le Cormuallis, sous la France, à l'Angleterre et .aux nations neu- P1 oteotion d une canonnade exécutée à gran. ; tues non suspects sa récolte de céréales de „ fnAccî 9 avancèrent vivement et atta- t 1914 querent A à courte portée. A fut complète. Quant aux deux Etats balkaniques, Rou- qm c " manie et Bulgarie, restés ipersévéramfnent commençaient un feu très iont et mal 1 indécis jusqu'à présent, l'entreprise des Al- 1 . c.„,, liés contre les Dardanelles, a fajt chez euix "iV?? n i Cliarlemapne aittaquèrent 3 l'effe t d'un coup de pied dans une ruche iJ.,nw .Jnjvf™î«,an un? <l,s* 1 de fireltins.Leurs journaux ne savent quelles ..... i J.?n. s ?Per* ' tlatteries donner, queltes promesses faire, 5_ 2?® Ç. ■ , n P08 5 qaielles asmirances de bon vouloir proili- I n Vf«E? i 3 gnor aux Alliés; ils senleitit que le moment roL, rv'nlh. . , ■ Albion rc- est uiniiitjuie;- que la période des marchanda- à l'imwiinsajice réduire les forts ges et, dlisun-s le mot, du chantaige dlplo- a , ' maliques, est close. Pour avoir trop tau-dé aucun nni'lr» fn-Si ^ ' aP*'ès_midl> I à n rendre oarti La nroie turaue v& leur f S?? 1ua,'re torts ne tenait plus, éclfâtmw cL maltos sTtoat D^iiw âww ^ Auss,toi «ommencèrent les opérations de taSSi* dragage des mines sous la protection d'une leurs cauruis. divisaon de cuirassés et do contre-tcrpil- > Tout le monde a te sentiment, que ces! leurs. - la BqiMdatiom entière do l'Empire tu.rc qui a la tombée de la nuit, les Turcs incendié-! se prépare.!,a Grèce se réjouit de cette hqui- rent un village situé l'entrée des'Darda dation; elle est en excellente posture pour nelles. ! en tirer avantage; elle, tient déjà les eûtes Le rapport sur las opérations dm a été - <lè l'Egée. L'Itelie observe anxieusement les reçu. i événements. Les journaux allemands pu- Le détroit a élé déblayé des mines jusqu'à Mirent-des dépêches pessimistes de Rome, vme distance de quatre milles d" l'entrée ; avouenl que le gouvernement italien ne L'Albion et le Majéstic, appuyés par 'la 1 .pourra plus résister longtemps à la pression Vengeance, se sont rendus jusqu'à la limite ■ croissante de.l'opinion publique. .Celle-ci se de l'espace déblayé et ont entrepris une at-reiid parfaitement compte que ce n'est qu'en ta.que de E, ou fort Dardamis, qui est armô se rangeant maintenant au\- cotés de la die quatre canons de 150 millimètres et de Triple-Entente .que l'Italie pourra se faire quelques batteries élevées récemment sur admettre au partage du gâteau turc. le littoral asiatique. ■ Le gouvernement allemand, faute de pou- La riposte a élé inefficace. ; voir donner d'autre, aiide aux Turcs qu'il a Après avoir été bombardé de l'intérieur du engagés dans le guêpier, a., conloré à Em détroit, l'ennemi abandonna A, 13, CI et D, ver-Pacha la Croix de Fer et au cours do l'aiprès-midi, la Vengeance et ■ C'es-r tout à fait symptomaliquc. l'Irrésistible débarquèrent & Koum'-Kaleh et BELGA. à Seddoul-Bahr des détachements de démo-' ' tition, qui détruisirent complètement A, D un rapport français à Koum-Kalob fut Paris, 27 février. — (Officiel). — La flotte rivière Mewlé'ré, ^ii'fu?'(léù'uU^pirficHc* anglo-Irancaise a continué ses opérations ment

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This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

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