Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

966 0
24 December 1918
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1918, 24 December. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 29 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/vm42r3q617/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

MARDI 24 DÊCEMBRE 1918 ■^ Ie numero ABONNEMENTS ^sqtjfacii 31 mars IQ IQ 9 francs Directeur * CR TYTCAT UUNION DAMS L'ACflON "BWW** Instaurare omnia in Ctrkfc Redaction et Administration: 4, impasse de Ia Fidélité, 4, BruxeJIes VINGT-QUATRfEME ANNEE TABIF DESJHOKES Annoncescommerc. , petite lïgne fr. 0.50 Reclames avant les annonces, g^i lalignefr. 2.00 Faits divers •%*T^; . .5.00 et 4.00 Sports. ;fr. J2.0Q Reparations Judicïalres . . • » 3.00 Necrologies . » s.oo I7o9 peuten annonces, - p&ralssant eimnltanément dans Ie « X2« Siècle * et Ie « Journal de Bruxelles » au tarii ródiütdel FRANC les 3 Hgnaa, chaqu© ligne supplementaire 40 centimes, Payement par anticipation. mm T il FflöT mm Dans les marécages de l'Escaut. Les sables mouvants et Ie fil électrique. -r\ésente aotueillement la Bedgiqueu M. fle banon van d-ar Eis* est rentré a BruxeliLes il y a quelques jours, [beureux do nespiror ?air du pays et de retrouveffjed les symipathfiies d'auteefods. ' L'anicien secrébaire general du ministère des affaires éfcrangèfFës est resté le diplom-at© souoriant et oourtois que tous nous avoaiB ooanu. Le oJimat de l'Espagne parait ffiui avoir fait beaucoup de bien. Sa santé, quel que peu ébnanlée au moment de l'invasdoü, s'est rétablie au bon soüieil madxilène et il nous revient emportant de son séjour labas des imptneesioais tres viveSjUo entnousiasmie juvénüe et une reconnaissance émue pouir les sympathies qui se sont affirmées en laveua: de. notre pays pendant la guerre sous les formes les plus touchantes. d-fifltlents parttpans dans les rangs de oeux — et ils sont rtombreux — qui sont sorfcis de nos universdftés de Liége, de Gand et de Louvain, ou "qud ont ! frequente tfInstituut agricole de Gembloux. Nous n'auri'oJiB pu us oudssent diana toute l'Espagne d'uoie i>opularité extreme. La gmande et noble figure de notre "leardinal y rayonne du plus pur éolat et vous — Il règue en E-spagme, nous a dit I)e baron van d»e(r Eist, un dlésir tres sincere et ggnériail de voir se rèsserirer les irieiatioms aur.ez apptas eertainement que F Académie fcoyale des Scaanoes moraüles et polldtiques — qui n'a jamais rendu eet hommage a persomne, — a élevé Mgr Meroier a la dignaté de meanbre d'jbonneur. Les néformes eociales réaïisióes en Espagne ont été calquées sur les nófcres; nos industries sont nombreuses dans le pays; nos .ingénieurs sont tres appréciés. Nous oooupoms, a oes divers pófnts de vue, une situation privilégiée, qu explique le souvenir de V époque oü nos deux pays vivaiént uni-s sous le sceptre de Cbarles-Quint Ces souvenials revdvent partout dans les merveiXieuLseis tawiisseries et les objets d'art d'e la ca|thédrale| de Tolède et des églises, comme dans la decoration du Pnado. Ccas}uiltez 1' armorial et vous ne vous étonnerez pas 'die constater que de mombreuses famuLles portent encore des noms essentieliement belges, les comtes de Lalaing,!Ites dues de t;S&?cia&s et les Glhnes de Brabant, pour ne citer que cediles-la Je vous disais tantöt combien la Bedigiquie f était appréoiée en Espagne. Je n© l'ai jai fell's éprouvé mieux qu'au «Te Deum» qua. a été eiiiuarc'é l-o ïè öoveaxtbns d Et il continue par un xniagnifique é!boge di| soldat de France : « Mais, qu'eussent pu faire oes généu-iausfj et ces ^tats-m-ajors en» tace d'un ennemi re-J doutabie, dispoaanfc de moyens supérieurs^ s'ik u'avaient c^nimajwié, aux plus magnifi-j ques eolciats doi^ monde? Dans les yeux da c»tnx qui rentraient du combat comme daas? .'O? yeux de ooux qui y montaient, j'ai W toujours le même mépris du daoger, l'dgooj rance de Ia peur, ia bravoure' native qui. doaae a leurs actee d'hónoïsm.e taéfc de sa-i tured et de beauté, et toujours aussi dam' des milliers et des miSHiers de regards francs et anonymes. j'ai ki cette foi iastinctivw dans les destinées de li France... > C'est pour cela que nos soicuats sontiaa premiers du moudie et qu'on ne peut les vooffl san ©les admórer, les regiarder sans leur s.&u^ rire, les commander ©ans ko aimer. >' Lo maréchal poursuit jpau* Féiogö de ses cobw pagnons d^'armes angto,ï>€%e*, smss-eSjrotw mains, serbes et itaaaerts: 2 < lit k maiffidfi* k i

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Add to collection

Periods