Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

1883 0
22 January 1914
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s.n. 1914, 22 January. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 29 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/6m3319t164/
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JEUDI 22 JANVIER 1914 L'UNSON DANS L'ACTION VINGTIEME ANNEE -W» 22 abonnements Pour toute la Belgique Un an. • • • . • • fr* 9-00 Six mois .•••«•• 4.110 Trois mois 2*18 Gr.-Ducliô do Laxemb. 20-00 Onioo poïtal» 80.00 Directeur i Fernand NEURAY Edition *** (61i.«olr) Edition*^ (10 h. soir) Edition * (minuit) LE XXᵉ SIÈCLE annonces Annonces ordin., petite ligne • Q(.4$ Réclames (3« page), la ligne. 1,53 Faits divers corps . • » 4.CO Faits divers fin. • • » 3-QC* Réparations judiciaire» » 3.CJGI Kécrologies . • • * • 2»00 Lea annonces sont reçues ou bureau du journal 5 centimes le numéro Téléphones 3B4Q et 3BSO Instar.,-are omnia m cnrwo Rédaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles ED1TI ON* La séance parlementaire de mardi a dissipé plusieurs nuages. Espérances de la gauche et de l'extrême gauche, qui s apprêtaient joyeusement à assister à une veritable curée, selon le mot énergique de M., de Broqueville, appréhensions du quelques-uns de nos amis, qui redoutaient de voir la droite divisee et désemparée. : tout cela s'est évanoui, Incontestablement, l'honneur de ce succès retient en premier lieu à l'honorable chef du oam-uet, dont le discours, heureux mélange rte bon sens, d'énergie et de modération, a ete salué par une ovation à peu près sans précédent dans les annales parlementaires. Le chef du Cabinet a parfaitement pose la question : aucun agent colonial n'a été inquiété, jusqu'à présent, en raison de ses opinions religieuses ou politiques; aucun ne le sera jamais ; les missionnaires, eux, ont été contrariés, tracassés dans leur œutvre apos toÛque et civilisatrice, en dépit de la pro tection spéciale que leur garantit l'Acte de Berlin; il faut que cela cesse ; le gouvernement est décidé à « nettoyer tout ce qui n'est pas propre » ; ce n'est pas en tant que société philosophique que nous suspectons la franc-maçonnerie et que nous nous gardons contre elle ; mais si une société, secrete ou non, cetholique ou anticatholique, pretend s'employer, directement ou indirectement, à nuire aux missions catholiques ou «rotes-tantes, ce serait un scandale qu'un seul agent de l'Etat s'affiliât à cette société; ce scandale, le gouvernement ne le tolérera pas... Que les politiciens de gauche et d'extrême gauche se laissent aveugler, s'ils veulent, par leurs passions antichrétiennes. Ils se font illusion, s'ils croient que les catholiques seront seuls à applaudir ce langage, aussi remarquable pour sa modération que pour sa fermeté. Ils se comptent par milliers en Belgique, les incroyants et les indifférents i qui regardent, avec le gouvernement, avec' la Droite, avec tous les catholiques, les missions et les missionnaires comme un facteur essentiel de la civilisation du Congo et de la prospérité de notre colonie. Pour eux comme pour nous, il ne s'agit pas ici d'une question religieuse, mais d'une question nationale. Pour eux comme pour nous, même en faisant abstraction de la protection garantie par l'Acte de Berlin à tous les missionnaires, c'est une aberration, c'est un crime de lèse-patrie que de contrecarrer en Afrique, par naine du christianisme, l'apostolat chrétien. Pour eux comme pour nous, la secte qui a cette aberration et ce crime à son actif doit être traitée en suspecte, en ennemie de l'Etat. Tant pis'pour M. Hymans et pour toute la gauche libérale s'ils veulent fermer les yeux devant cette évidence. M. de Broqueville a été bien inspiré de rap- Ïieler, en même temps que l'exemple des co-onies anglaises, où les missionnaires catholiques sont plus libres que partout ailleurs, le mot célèbre de Gambetta adjurant les anticléricaux français, dans l'intérêt de la France, de ne pas faire de l'anticléricalisme « un article d'exportation ». Gambetta a été désavoué sur-le-champ, il est vrai, par let» honorables Célestin Demblon et Bologne. <c C'a été un mot malheureux », a interrompu l'honorable Demblon. ce Oui, très malheu reux », a renchéri le très honorable Bologne. Mais il y a lieu de parier qu'il y a plus d'un Belge, même dans le parti soc.ialiste, pour mettre Gambetta au-dessus de ces deUx lumières. Et puis, en ce moment où la représentation des groupes et des collectivités recommence à intéresser l'opinion, qui ne se réjouirait de voir la collectivité des imbéciles aussi bien représentée, par anticipation, à la Chambre belge? ... Au Congo comme en Belgique, la loi est : la loi pour tout le monde, a déclaré, en ma- i nière de conclusion, le chef du Cabinet ; pour les missionnaires aussi, qui ne demandent d'ailleurs de privilège d'aucune sorte ; les missionnaires affrontent en souriant tous les périls, y compris la morsure des vipère* blanches; ne pas les protéger serait un véritable attentat contre la civilisation et contre les lois... Oui, l'opinion publique ratifiera ces déclarations, menaçantes pour la liberté des vipères uniquement. Le discours de M. Woeste a été excellent j aussi ; précis, concis, clair, vigoureux, c'est à-dire dans la meilleure manière de l'hono rable ministre d'Etat. — Vous voulez nous diviser ? jeter M. le ministre des Colonies su) M. Brifaut, M. Brifaut sur M. Renkin, une partie de la Droite sur le gouvernement? Peine perdue. Vous ne réussirez pas. Ainsi que vient de vous le dire le chef au gouver nement, le ministre des Colonies a fait ce qu'il a pu et M.Brifaut a usé courageusement et loyalement d'un droit incontestable. Ils ont commis, l'un et l'autre, des erreurs de détail? Soit. Cela arrive. Mais qu'est-ce que cela auprès du fait capital do l'action de la franc-maçonnerie contre les missions et la civilisation chrétiennes au Congo?... A cet endroit, M. Woeste a rassemblé dans un faisceau, noué par une logique à toute épreuve, les preuves de cette action funeste : Sluys, Wangermée, la mascarade de Stanley-ville, le o-uet-apens Cambier. Pas un tribunal, pas un jury au monde, après un tel réquisitoire, n'accorderait seulement les circonstances atténuantes. Que les journaux ne peuvent-ils donner une idée exacte, par des photographies successives, de la consternation de la gauche et de l'extrême-gauche ! M. Brifaut, qui a parlé le dernier, n'a fait que la moitié de son discours. Lui aussi a parlé avec calme, modération et fermeté, ljes ses premières paroles, la meute s'est déchaînée. Il a fait têto aussitôt, sans reculer ® une semelle, mais _ sans provoquer personne : et les gens qui se faisaient une fête ae le voir sauter à la gorge de M. le ministre Colonies s'en sont retournés bredouilles. Brifaut a eu l'habileté de justifier sa campagne antimaçonnique — ce qui n'était Pfts difficile — de reconnaître et de regretter une erreur — ce qui est méritoire — en mettant hors de cause la bonne volonté et le Q^'oueroent du ministre. A 5 heures, gaucho, et extrême gauche, oui en avaient assez, ont levé la séance. Excellent signe, ajouté à tous les autres. Cette séance, où elles avaient couru comme à un régal,s'est terminée à leur confusion. > —■ ■ .i■ ■ . LE XXe SIÈCLE 1© moins cJioi* des grands <luoUdîens belges illustrés. Bulletin politique Le président Wilson a donné, mardi, lecture au Congrès de son message réclamant une législation contre les trusts. 2 Après avoir formulé une série de sept propositions, le président a demandé au Congrès d'aborder le message dans un esprit de collaboration amicale avec le monde des affaires. — M, Venizelos a quitté Paris, mardi, en destination de Londres où il est arrivé le soir. Il rentrera à Paris samedi. De là il partira pour Berlin et pour Saint-Pétersbourg. Jusqu'à présent rien n'a transpiré au sujet des suites du voyage de M. Venizelos à Paris. ■—. Nous avons signalé hier les informations venues de Londres disant qu'il fallait prévoir une crise ministérielle par le fait du désaccord persistant de MM. Winston Churchill et Lloyd George. Le premier lord de l'amirauté ayant eu connaissance de ces informations les a fait démentir mardi soir par une note disant qu'elles ne reposaient que sur « des conjecturés ou des bavardages ». M.J V > LES NOUVELLES L'encombrement au chemin de fer Du 21 au 23 janvier inclus, les transports de petite vitesse par charge complète en services intérieur et mixtes belges — à l'ex- ], ception des transports de combustibles pour ^ le service de la traction — ne seront plus c acceptés : je 1° En provenance ou à destination : i \ De Châtelineau, Couillet-Montignies et ! 1 des établissements raccordés à ces gares ; j 2° à destination : ' c Des stations de la ligne d'Arlon à Namur j j et devant passer par la gare de Rouet. r Ces mesures ont été prises pour obvier à c l'encombrement constaté sur la ligne du Luxembourg. j Mort du sénateur de Giey Le sénateur baron Guillaume de Giey, t bourgmestre de Sart-Eustache, a succombé ' r mardi, à 10 heures du soir, à la double pneu- t monie dont il était atteint depuis une quin- . zaine de jours. Il n'était âgé que de 54 ans, c M. de Giey avait débuté dans la carrière s politique par le conseil provincial de Na- i mur où il représenta le canton de Fosses. En 1910, il accepta une candidature au Sénat lors d'une élection partielle nécessitée , par la mort de M. Février, libéral; il fut élu et son mandat lui fut renouvelé en 1912 Le parti catholique perd en M. de Giey un mandataire émihent, un homme d'œuvres éprouvé, d'une .affabilité et d'un dévoûment inlassable, .nui jouissait à juste titre, du res- ^ pect et de l'affection de tous. Sa mort est ( un deuil général auquel nous nous associons j en priant les membres de la famille du si j regretté disparu, d'agréer l'hommage pro- i fondement ému de nos chrétiennes condo- ( léances. . i Le suppléant de M. de Giey est M. Al- j béric de Pierpont, industriel à Namèche. ] L'anniversaire de CuHIaume II ] sera fêté par la colonie allemande de Bruxelles mardi prochain par une assemblée ) (tenue à 11 heures du matin à l'Ecole aile-1 t mande de la rue des Minimes, un banquet , et un « festkommers ». Le dimanche 25, un f service solennel sera chanté à 11 heures, à \ l'église de la rue de la Madeleine, et à 10 heures, au temple protestant de la place du ] Musée. La société scientifique de Bruxelles. \ tiendra sa première session de 1914, rappe- 1 lons-le, le jeudi 29 courant, à la salle Patria. c A l'assemblée générale, qui aura lieu à 2 1/2 \ heures, M. Emile Harmant, ingénieur, fera ^ une conférence sur le chemin de fer du 1 Lœtschberg au point de vue des intérêts belges. Cette conférence sera accompagnée de projections lumineuses. i L'expédition des journaux et imprimés s Le directeur général des postes vient de j donner au personnel des instructions nouvelles en ce qui concerne le pliage des journaux et imprimés : « On confond, dit-il, l'emballage avec le contenu de l'envoi; c'est ainsi que des journaux régulièrement pliés* ont été taxés parce que le titre en était recouvert par la bande. Les agents de l'administration sont invités à faire une plus saine application des dispositions prérappelées. IVaiitre part, les publications illustrées, les- journaux de mode, etc., sont parfois expédiés en rouleau afin de ne pas les exposer à être détériorés en cours de transport ; il convient d'user de tolérance à l'égard de ces envois. Il devra en être de même en ce qui concerne certains imprimés, tels que billets de faire part, etc., dont le texte est en règle-générale plié à l'intérieur. Il doit être entendu qu'en cas de dépôt d'envois irréguliers, ceux-ci seront restitués, si possible, aux expéditeurs,avec indication du motif. » • ! La gare de l'AHée-Verte Répondant à une question qui lui avait été posée à la Chambre, le ministre des che- . mins de fer a déclaré qu'une enquête appro- ] fan die a démontré la nécessité de maintenir \ la gare de l'Allée-Verte, qui sera spéciale- , ment affectée au service des trains ouvriers j et des trains extraordinaires. _ < La plate-forme du raccordement qui relie ( cette station à celle de Bruxelles-Nord sera ( surélevée de façon à transformer en viaducs i inférieurs les passages à niveau qui exis- i tent actuellement à la chaussée d'Anvers, à , [r rue du Progrès et à la rue Gaucherét. , Toute entrave à la circulation publique se ] trouvera ainsi supprimée et la réalisation du projet consistant à prolonger le boule- , vara de la Senne,^ sur la Senne voûtée, ne ( se trouvera contrariée en rien. L'OBSERVATOIRE Le baromètre descend lentement sur l'océan, au large des côtes occidentales et nord-occiden-ralcs des Iles Britanniques, le nord-est de la a'.er du Nord, le Danemark, le sud de la Scanv" dinavie, le nord-est de l'Allemag-ne et les pro^ vincës russes de la Baltique; il monte sur le , reste de l'Europe. Le vent est faible, d'entre nord-est et est, sûr nos contrées, où la température est comprise entre — 4°5 et — 10°. Prévisions .Vent N.-fî., faible; nuageux; 1 gelée. **"' m 11 ii i iwii « j »■■■ ■ 1 ~ Le nouveau "Royaume? prince de *Wted pari pour l'Albanie mais l "Europe devra l'aider Le port de Durazzo où le prince Wied doit débarquer dimanche "Une dépêche de Tries te nous apprend que! La Russie se déclare disposée à faire ce î vapeur «Lloyd» aurait été retenu pour le que feront les autres puissances. Son crois rince de Wied qui arriverait dimanche pro-' «Oleg» est tout prêt a partir pour les cotes hain à Durazzo. Le prince se déciderait albanaises, mais les autres puissances, nous onc à tenter l'aventure et il débarquerait ù dit-on — lis©2 : 1 Autriche et 1 Italie ne hirazzo où il s'est choisi un palais, mais où • sont que médiocrement disposées a s engagei autorité d'Essad pacha est souveraine. 'dans une aventure au bout de laquelle elles Est-ce une gageure ou un défi r Ou le prince ne recueilleront, croient-elles que du ricti-^e Wied est-il à ce point 'confiant dans les cule. _ „ iromesses du pacha qu'il n'hésite pas à s'en Des vaisseaux de guerre sur les cotes aloa-emettre à sa discrétion ? L'avenir nous dira naises ne changeront rien a la situation, omment ce problème sera résolu. ; Aussi certaines puissances songeraient-elles Si le prince de Wied est confiant, l'Autriche à faire de la Grece — QU1 ' cru •, le génie l'est guère et le zèle même dont témoigne darme de l'Europe. On ne demanderait pas Sssad pacha, lê soin qu'il met à asseoir son à la Grece d'intervenir mîlitairement, mais ,utorité de Scutari à Durazzo lui paraît plu- on lui concéderait en Epire une rectification ôt inquiétant. Elle redoute qu'Essad pacha de frontières, de façon a accorder une plus ic /euille à tout le moins mettre le prince en i large satisfaction aux ^pirote^s et a diminuer utejlc | ainsi les causes de frictions. C est le «Keicns-, Et comme, dans le Sttd, l'anarchie ne fait-post» oui nous apprend cela et qui ajoute que jup croître et embellir, on prévoit la neces- la chose a été admise a Rome, a la suite des ité d'une intervention militaire. D'où nou- entrevues de M. Venizelos et du marquis di 'eau sujet d'inquiétudes. San-Giuliano. Dît FAUX? Us exécutés »(>ïoï<)t _ cju Décidément, M. Brunet nous a rendu \zA p o ervice plus grand encore que nous n'avions f B ru. Non seulement, il a été acquis grâce à on interpellation que le tam tara à la lune ■& l'a plus de défenseur à la Chambre, mais — 'oici que ceux-là mêmes qui se firent jadis, SLS COMPTAIENT TROP SURLESECRET, lans la presse, les apologistes des danses REMARQUE UN JOURNAL LIBERAL legres rougissent aujourd nui de leurs ex- v- jloits d'il y a deux ans. Ils soulignent à Tout comme nous, la «Chronique», dans eur façon la condamnation de l'opinion pu- SOn numéro de mercredi, tire la moralité du )lique, en essayant de faire croire qu'ils ne débat sur les Hospices au Conseil communal, 'ont jamais nieritée ! tout en se défendant de le faire : C'est à cette fin visiblement, que 1'«Etoile )cl£e» nous accuse dans son numéro du jeudi « Le débat su* les hospices, que le conseil '1 janvier d'avoir commis un faux. Motif : communal a continué lundi, paraît singulicre- lous aurions, dans notre numéro de mardi, ment embrouillé. On y a parlé de tout, excepté ,Itéré la pensée du journal libéral bi^xellois — ou presque! — des choses essentielles, ou chant le tam-tam à la lune. , Les questions personnelles ont occupe la Nous avions en tête de ce numéro écrit les grande,partie de la discussion, qui, jus- irrnp« «suivinfpc • 'lu a présent, est vraiment misérable et dont L0nes suivantes . ^ lelbourg-mestre Max a seulement relevé le « Notre excellent confrère est de ceux qui re- niveau par sa déclaration finale. endiquèrent pour le F Capitaine, en 1912, . ^ « question de» hospices » est loin d cître s droit de prêcher aux soldats nègres, la chi-, elucidee. On peut dire qu'elle n'a ete abordee ote à la main, l'équivalence du «Pater Noster» Jusc1u 1C1 que pai ses petits cotes. Nous atten- t des danses obscènes à la lune, a Les danses , drons, poui moralité du débat, que la lune ne sont pas beaucoup plus drôles que celul_cl ait Pris "n- * 2S processions du Saint-Sacrement t, disait. ,, , . lors 1' a Etoile j. s attendez plus, « Chronique ». Comme T , t-, . , .. , . moralité, ce que vous dites là suffit. Lorsque L «Etoiie» prétend que cette phrase est ^es accusés ont eu, pour se défendre, deux m f.aux. Nous lin laisserons a elle-même le séances entières occupées presque exclusi- om de démolir sa propre accusation. 11 ions vement par leurs avoeats s'fls n>ont rien dit, uffira pour cela de rapprocher deux textes c>est ql/ils n'aVaient rien à dire . lubliés 1 UI1 et 1 autre dans ses colonnes : Au fond, la «Chronique» est bien de notre « Etoile Belge » du « Etoile Belge » du | avis, mais, contrainte par son anticlérica- 21 janvier 1914 : 26 mars 1912 : ^ lisme même à feindre quelque indulgence Le « XX0 Siècle » Les nègres de là- pour les anticléricaux du Conseil des Hospi- publie, entre guille- bas, nos frères d'une ; ceSj eBe ne tire point de ce silence les con- nets, de manière."à la a"trc couleur .ont 1 lia j elusions définitives qu» il comporte. Drésentei- comme un bitude séculaire d no-j Tenant l'affaire en délibéré, notre confrère ^exte de 1' « Etoile norer leur dieu 1® » £ajt cependant «quelques brèves remar-Belge », la phrase sui- dieu noir — a. lcui /ante : « Les danses maniéré. Pour lui ren: ^ \ \ la lune ne sont pas dre 1 « Certains conseillers communaux, écrit-il, aeaucoup plus drôles est du, s asse - Se montrent surtout préoccupés de savoir commue les processions du oient la -nuit. au ciai ment jes faits incriminés sont arrivés à la coxi-ijamt-Sacrement. » «une et jouent qj naissance de la presse. Des indiscrétions ont Or, cette phrase n a lamtam. commises, c est certain; par qui l'ont-elles point paru dans 1 « E- Ce n est pas oeau- ^ ? c<est ce qUj semble intéresser le plus ces :oile Belge ». Nous dé- coup plus drôle que messieurs s fions le « XX0 Siècle » de s'assembler, en Je la trouver dans P]ei" JJJJJJ»Lf^îîJLJÎÏ « ï1 apparaît de toute évidence que le con^ la collection de notre St-Saerement, comme sejj c]es hospices voulait — et cro-'ait pouvoir lournal. Je »°nt les erga lo - __ déliberer dans le plus grand secret et qu'il Cette phrase est un teurs de _ procession, avait pns tQl scs mesures pour que le pu- faux. pour jouer du serpent jjjlc lie rjen ce qU»zi avait décidé. au soleil. / Le public, et, bien entendu, le conseil com-Que 1'«Etoile» mette donc ces textes sous/ munal, devaient être renseignés par les cornes veux de ses lecteurs : nous attendons ^uniques que le bureau de la presse, orga-lanq prninte leur iuo-ement Plsé. a l'administration des hospices et dont ^^^SdWe lon^ps. les Vu mois de novembre dernier, 1 « étoile » journaux, a tvait tiré d'une allégation de M. Vandervelde m sujet des catholiques américains des dé- Quand un corps ADMINISTRATIF croit luctions écrasantes pour les revendications devoir entourer ses occupations d'un secret oolaires des catholiques belges. Le «XX0 aussi profond et prend de telles mesures pour Siècle » ayant prouve que M. Vandervelde renseigner ( 1) le public,est-il téméraire de le l'était trompe, le leader socialiste confessa tenir en suspicion ? ït désavoua son erreur a ia Chambre Pour finir, reproduisons les commentaires l'abord, puis dans nos colonnes et dans cel- qUe la «Chronique» consacre à l'intervention es du « Peuple ». N'empêche que les lec- au débat de M. Jauquet, qui, noua apprend- ;eurs de 1» Etoile» ignorent encore le pre- elle, est candidat chef de service dans les nier mot de ces retractations dont il n'a hôpitaux : Das même été fait mention dans son compte rendu parlementaire. 8 L'intervention de M. le docteur Jaucquet L'« Etoile » faisait remarquer dimanche ne n9Vs a -:ias surpris. Elle prouve simplement m'elle ne s'était plus, depuis longtemps, Jaucquet n est pas un ingrat et qu'il >ccupée du « XX0 Siècle ». Nous croyons t Sp(?hl de la faveur dont il lipn Vn Pfffit nii'plle ne s'en Aflit. nliis: aviséfi eté 1 ob.jet ,de ,sa Part lorsqu'il fut nomme, en nen, en ejret, qu elle ne s en était plus avisoe compagnie du docteur Paul Spehl, fils de l'ad- iepuis ce jour de novembre ou elle avait ministrateur des hospices, membre de la com- uge la conversation trop genante. 'C est une mission médico-pédagogique de l'Orphelinat, vieille habitude chez 1 «Etoile» et nous se- une création récente de MM. Bauwens et •ions bien étonnés qu'elle n'y recourût pas Spehl. a jette fois encore. : Ùre en 4° et en 5° pages : le xx'Siècle 7031 ilENT ET POURQUOI RENAS _ est rl0l", Sa OU ITT A L'EGLISE■ RUBRIQUE 8POÏ5TÏVE ENCORE LlC CAS DE L'ABB-È LEMÎBE; comme pour ses XV 'RECLAMB.BLAiYC"E' - informations et ses articles politiques '.A VIE SPORTIVE, etc. ^ ET LITTERAIRES Les Réflexions DE M. ÛRA1ND0RGË i Combien frappante est Vappellation de ce bvdget des recettes que le Parlement a ex-■pédié lestement avant la trêve des confiseurs. | C'est le budget des voies et moyeais, lisons-'nous dans les documents officiels. _ | Les voies et. moyens ! Au cour s de Vannée, \les assemblées législatives voient surgir de* \ propositions de toute espèce dans le domain* lpolitique, économique et social. Il faut rele i ver les traitements, il faut creuser det en nanx et des ports, il faut donner des pensions ^ que sais-je enfin, car la tâche incombant à l'Etat est immense malgré les progrès réalisés jusqu'ici. En préparant un avem> que nous voudrions heureux, nous ne pou j ■votis cependant perdre de vue que toute acU vite des pouvoir* publics 6§ traduit fatale ment pa>' une dépense.■; grande ou petite, celle-ci doit être couverte par une recette correspondante, faute de quoi nen de sé vieux ne peut être entrepris. Ce devrait être une habitude d'esprit que de ne jama is préconiser une mesure sans pro poser en même temps ce qui est nécessaire pour en assurer la réalisation ; au Pala is de la- Nation et ailleurs, on oublie trop cette règle de bonne logique et il est rare qu'à côté des plans de réforme on ose exposer les voies et moyens indispensables. Quand il se lève pour grever le budget de nouvelle., char ges, le député ou le mcetinguiste devrait pourtant voir la contre-partie de sa demande : le receveur fouillant la poche du contribuable pour en retirer ses écu3, et serrant d'un tour }' é or oui fiscal qui étreint le pays. L'image l'impressionnerait, et lui commanderait la mesure dans ses plus justes revendications. Songe-t-on assez chez nous qu'un parti digne d'occuper le pouvoir et d'en porter les lourdes responsabilités doit absolument avoir ce que Von appelle d'une expression heureuse «*?a couverture financière » de son programme1 il faut y penser, en une année où la fièvre électorale surexcitera cet esprit de surenchère qui caractérise les luttes politiques de nos démocraties modernes.Il appartient à nos dirigeants de montrer que chaque dépense nouvelle nécessite une recette nouvelle; nier cette vérité élémentaire est d'un vulgaire charlatan. Le budget des voies et moyens n'exige pas de longues discussions, mais il a oit être médité par nos législateurs et compris par le pays : il conditionne toute Vactivité de la session. ' Un plan financier doit être élaboré avec • science .i Von veut éviter lès mécomptes, et. appliqué avec méthode et persévérance si l'on veut qu'il donne tous1 ses fruits. La lente progression des ressources impose des étapes dans la réalisation du programme gouvernemental. Il faut savoir s'y soumettre de bonne grâcej et ne pas craindre de le dire bien. haut. Le budget belge, pas plus que celui de M. Grainelorge en personne, ne peut suffire à tout, ni surtout à tout à la fois. Quand nous verrons les hâbleurs de*gau-! che et d'extrême-gauche aller- de ville en ville en promet'ont monts et merveilles, réservons-nous la liberté de les interroger sur les voies et moyens. Nous constaterons aussitôt que les mines s'allongent et que les langues bredouillent. S'ils nous parlent d'impôt sur le revenu,'ne les laissons pas s'en tirer par le s impie3 énoncé d'une formule. Quel impôt, s'il vous plaît? Quelles mesures d'investigation comporter et-t-iU Quels en seront les bases, le t a u x3 l ' in cidence ? Ces préoccupations doivent être ou, premier rang de nos soucis. Le budget de 191J, se boucle, mais en ce moment de crise on ne peut être assez prudent: Gouverner est avant tout une œuvre réaliste et, pour un candidat, ce n'est pas déchoir que de commencer sa harangue par l'exposé de quelques opérations de saine arithmétique. Graintiorge. Qui est-ce pi opprime la liberté des familles indigentes? La «Gazette» trouve mauvais que M. le ministre de la Justice ait adressé aux admi nistrations communales une circulaire rap-j pelant les dispositions des lois de 1888 et de 1891 sur l'assistance publique, en ce qui ! concerne la liberté de spères de famille indigents, dans le choix, pour leurs enfants I sourds^muets et aveugles, de l'institution où j ils désirent les placer. A l'en croire, « il résulte de renseignements pris à des sources très autorisées, que, généralement, les parents indigents, laissent à l'administration charitable le soin de choisi»1 | l'école hospitalière, considérant, non sans j raison, cette administration meilleur juge en la matière. Si, par hasard, une préférence est marquée par un parent, bien ou mal conseillé, satisfaction hii est donnée, pour autant, bien entendu, que l'école choisie satis-j fasse aux conditions prévues par l'adminis-j tration p. i Les « sources très autorisées » de la «Ga-1 zette» nous paraissent bien suspectes. Il suffit en elîet de se tenir au courant des recours introduits officiellement contre les décisions de certaines communes, notamment celles de j Koekelberg et de Saint-Gilles, pour constater | cjue ces administrations ont opposé un refus à la demande de familles indigenter; qui avaient fait choix de l'institut de Woluwe-I Saint-Lambert pour des enfants aveugles ou J sourcîs-muets, — et qu'il a fallu que ces fa-! milles fissent appel a l'autorité supérieure j pour empêcher qt^e leurs enfants ue fussent placés contre leur gré à l'établissement laïque de Berchem, C'est à la suite de faits nombreux, témoignant que des administrations libérales ou socialistes cherchaient à entraver le droit du père de famille indigent de choisir pour des enfants aveugles ou sourds-muets l'asile ou l'établissement, que le département de la •Justice a rappelé aux communes le devoir qui leur incombe de respecter la liberté des familles. On i>® peut que l'en féliciter. ^—< — L'incendie de îennonde Le feu n'était pas encore éteint mardi. Des milliers de kilos de noix de coco brûlaient encore et d'énormes flammes jaillissaient encore de temps en temps, avec un bruit d'explosion, du colossal brasier. Les pompiers sont toujours sur place. Beaucoup d'ouvriers ont trouvé du travail aux usines de Baesrode; les autres seront envoyés à Bruges. Les usines De P.rnvne seront reconstruites. UN SCHISME DAN3 le parti socialiste français >»j<o>5<« — 'De notre correspondant (Paris, le 20 janvier 1914. La plus importante fédération du parti socialiste, celle de la Seine, vient de décider d'inscrire en tête de son programme électoral le retour à la loi de deux ans et de reléguer la R. P. au^sécond plan. C'est le triomphe de la tactique préconisée par M. Jaurès, c'est l'entente avec les radicaux unifiés facilitée au second tour de scrutin. Socialistes et blocards coalisés réussiront-ils à ébranler le patriotisme des masses, à briser co bel élan auquel rendait hommage, dimanche, M. Noulens, ministre de la guerre? Je suis convaincu que non. C'est un fait indéniable que le parti socialiste, depuis la grande marée de 1910, n'a cessé, de perdre du terrain. Ses élus, qui arrivèrent 76 au Palais-Bourbon, au lendemain des élections législatives, ne sont plus que 6G. Les défaites électorales et les désertions les ont réduits d'un septième. C'est un déchet énorme que n'a subi aucun autre groupe. Voici qu'on annonce un nouveau schisme, cette fois en dehors du Parlement. A la vérité, les journaux découvrent des querelles intestines, des divisions, que nos lecteurs connaissent depuis longtemps et dont nous avions fait prévoir l'aboutissement fatal. _ Il y a quelques mois, un couple de militants, M. et Mme Cambier, fondaient un hebdomadaire, « la Lutte de classe ». Bientôt ils groupaient autour d'eux un grand nombre de mécontents, parmi lesquels deux anciens députés* MM. Allemane et Bené Chauvin. Avec une précision impressionnante et une ardeur passionnée, la petite phalange a fait une guerre au vitriol aux dirigeants du parti. Elle a dénoncé les agissements du Conseil national et de la Commission administrative,fait apparaître certaines compromissions assez loucnes, épluché les comptes de 1' « Humanité » et des. entreprises économiques qui sont sous le patronage du parti. Les personnalités mises en cause ne se y sont point défendues en réfutant les accusations portées contre elles; elles ont riposté de deux manières : d'abord en dénonçant M. et Mme Cambier comme les stipendiés de M. Georges Bonjean, président de chambre au tribunal de la Seine et fils du président Bonjean, fusillé par la Commune; e limite en les faisant exclure du parti par la Fédération de la Seine. Les directeurs de la « Lutte de classe » ont-ils touché de l'argent de M. Bonjean ? Ils le nient et l'on n'a point fait la preuve contre eux. L'honorable magistrat les a autorisés à déclarer, au contraire, que c'était r«IIumanité» qui avait autrefois essayé de In « taper » de 50,000 francs. A l'appui de cette ^rave accusation, il a montré un document dont les personnes mises en cause ne contestent pas l'authenticité, mais la valeur. Il est impossible de démêler le vrai du faux dans la confusion des injures, des insinuations, des lettres Que les adversaires se sont jetées à la tête. De cet échange d'accusations abominables,de mots malsonnants, de ce fatras de documents que les uns et les autres frappent tour à tour de suspicion, il ne reste qu'une impression assez vague,mais très forte; c'est celle que l'infâme argent, l'argent corrupteur — les billets de banque fies bourgeois et non les sous des prolétaires — jouent un rôle prépondérant dans les journaux et les entreprises du parti. Mais revenons aux schismatiques. Les collaborateurs de M. et Mme Cambier les suivant daiis leur révolte. M. René Chauvin déclare qu'il n'attendra pas l'excommunication, qu'il quitte sans regret un parti qui n'est plus « qu'une succursale du parti radical ». Mais, ajoute-t-il aussitôt, si la bande des blocards a cru nous abattre, elle s'est fourré les doigts dans le nez jusqu'à la ceinture ». Demain, puisqu'on les y foi'ce, ils reconstitueront, le parti ouvrier et, dans quelques mois, ils s'expliqueront devant les électeurs. <( Dans quelques jours, le parti ouvrier aura son quotidien. » Rappelons à ce sujet ce qu'est 'M. René Chauvin et ce que fut l'ancien parti ouvrier français, le P. O. F. M. Chauvin est une vieille connaissance. Si son nom ne vous dit pas grand'chose, vous vous souviendrez au moins du député-coiffeur. Il avait quitté le rasoir et le blaireau pour venir siéger au Palais-Bourbon ; il les a repris avec une simplicité qui ne laisse pas d'être touchante. Quant au P. O. F., c'était dans l'ancien parti socialiste, avant l'unification, la plus forte organisation. Il avait pour chef M. Jules Guesde. Le député de Roubaix. le paraît nullement disposé à suivre son ancien lieutenant. .Cela ne veut pas dire que ie nouveau parti et le nouveau journal ne feront point une brèche sérieuse à TUnité. Il rie^ faut point s'exagérer l'importance . ciu schisme, mais il sera intéressant d'en suivre les progrès. A. VIREY. ' > —. r « P-T o-tiro Colonie »o« LA CHAMBRE DE COMMERCE DU STAMLEY-POOL établie à Kinshasa, s'est réunie en assemblée plénière les 15 et 16 décembre. Le gouverneur général de la Colonie s'était fait représenter par M. Louillet. directeur du commerce et de l'industrie a Borna ; la chambre de commerce de Matadi avait envoyé une délégation. La question caoutchoutière a été examin-îc par le président,^ qui a parlé également des défauts du système d'imposition des indigènes. L'assemblée a émis des vœux relatifs a ces deux points, de même qu'à la réduction du tarif des transports par chemin de fer, à la perception des droits sur la récolte de l'ivoire, à la législation du travail, etc. Ellb s'est occupée également du vagabondage et a demandé la création de tribunaux de commerce.Le 16 décembre au soir, un banquet a «'éuni les membres de la chambre de commcïCe, parmi lesquels on remarquait deux commerçants noirs. M.Hauzeur, président, a exprimé la confiance au gouvernement et a souligne l'importance des sacrifices consentis par la Colonie pour parer à la crise du caoutchouc. MM. Louillet et le commissaire général Mou-laert ont levé leur verre à la prospérité de la chambre de commerce du Staniey Pool qui compte plus de 80 membres et où sont représentées plus de 60 firmes. Nominations ecclésiastiques DIOCESE DE LIEGE. - M. H. Clacs, cur4 à Diepcnbeek, est nommé doyen à «Landcu.

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This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

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