Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

1402 0
16 February 1916
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1916, 16 February. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 24 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/zc7rn31g0g/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

2'2 ANNlÎB. — Série nouvelle. _ t *' . <t A « /B WBHaiMBB i&fl fiBAM1 i rédaction & administration 118 [ï(b ras île l! Bourse — Lt Dit BB I ïéléfiltoue : Le Havre u* 14.05 Bifsstia? ; FEBSâSS tJECRiî *% -'/■ Tcnfes izs communications con.c8TXG.ru ta védaciion doivent être adressât [ l 5me de ta bourse, Le Havre» ILG$a©©N OFFSCEs I &i .Panton Street (Leicester Square S.wi < LE XXe SIÉCLE Quotidien belge parasssant eu iiavre ABONNEMENTS B Franc# 2 Pp. Sd par mois. » ........ 7 fr. 53 par trimestre Angleterre.... 2 911. 8d. par mois. » .... 7 Jh. 8 d. par tri nestr® Autres pays.. 3 fr. » p*r mois. • . & fr. » par trimsstre PUBLICITÉ B S'adresser à l'Administration du journal au Havre ou à Londres Afin&nsas 4' pi je s Ûfr. 4) la fî^'io PdtU?8 MMX3MB3 ,1133:0fr.33lallâns JjHa petite a annonces sont également ' reçues à La Société Européenne dd Publicité, io. rue delà Vicloii c, l'arls, qui en ■ i>B l'RL'TKB eeTB OC MR Lb rte patFlotip 1 é ctenti W SnCollMisiaiiK œuvres ÏIII îtMseïioi» flans ifiïêiiiseî fialapalïlBopji —%%% - m Nous avons (léià eu l'occasion de dire ' |r arable 'patriotisme dont font- v\ent rc.cc,n, h de leUlS chefs, les membre Kd-rat' belge. Un de nos coUabOiateuT èmweul mW ^ Belgique ctdontom avec intérêt les récits plan* ae.ims < «otis adresse sur I action pa-trîoUqi KtemS f'<-!<!(■ m article. qui M sera ¥ teins goûté que tes précédents .* I' Je visite, dp rencontrer un « p®il « ■giniii cwè avait conservé soignettysmo: l-Sr,0.:, intention, l'art.elo consacré te > K V" .Siècle par M- <*es Ombfflux a n». V.' ..-tUls JOÊoh. , , ||V .Avci-vous Ht, me dftrtl, co--; m;l>. I Bf. -mes paroles prononcées (lu haut t 0 a.i»\i ? Voilé un prêtre qui fait «h te ■ « Evidemment, lui répliquai j s, et je Bit? t;o entièrement votre san-tanont. *% liiW-iws (fu'il n'y-« Pa3 t® «olgHpj ■\i.iiici (tes Métrés qui préehnti IuiiîO Herée-C'' çtd; du haut de la d.r.ire ausf ■e)r'.:ii—.". ft«r 5>afcfiôtiliniô cl recot»: fS: t populations ? I — Jo 16 sais, reprit-!, -sis grands p f, B t i Ir-ïi prouve, en même temps que ■l-rôa grandît largeur ..d'idées, «'une .tes H c' d'au courage que- le monde pake ■ri>!ro. Ma» je ne vois pas Wcn nos ■cinés (îo campagne fti.ro. taire lçura pi ■dons pour s'unir avec leurs adversaire B&t.iques ou religieux de la ycnllo ou ev ■nui- sous l'occupation une entière iffid ■ki-aace do langage. B L'UNION DU CLERGE ET DES ETBEt B ET SOCIALISTES POUR L'ORGANI TION DES SECOURS 1 Je rte devais h moi-mémo et à la ■ fD u détromper ; comme nous étions ■ même région, j'y parvins sans peins, ■(suffit da lui exposer, comment fon Bi fJàsït, dans notre commune, les diftoi ^HOCO.V;.'.3 r'!C3'dï'3 Hrirédwtowseq : Ps BS tante qui ne fût composé do caliio!; B libéraux'et sodaliste». 'unissant leurs c ■ \t, leur dévouement pour adoucir lés BJcs du mornes1.! ; le curé y côtoyait ré ■ re-ncat ses adversaires les plus acSi JB. < 'hier, et c'est même (le l'un d'eux, u' ■ ment, connu pour son pros.élytisiro on ^■^feu.x, qu-'iî était prC3qtuo toujours a Bïta.'iné lorsqu'il se rendo.it ft quelque a Bj3>Eë riëô'ftaK ou canlonate. MOn ai B lias ta» aussi étonné çue ci'appvcndro ■ ment les prêtres 'resta eut dignes et li ■ et contmont is emlteœn, <tans-lem-j B kio.il''., les sentimentH pa-triotiquer. .1 B en citai (le nombreux exemple--, et lo ■ je to œs tlai : « Pourquoi ne p;;s nu Hl tout ("la? me dit-il ; ce;» fait-te,! ■ (bien !... » l'.rquoi ? Iiélas ! la sivjatiûii (' Bfrii^s opprimés roiis empéclic souve H wi»oî!< dos traits du plus pur palrio1 ■ fi île faut pas qtie les Boches t-ru'irent ■ dés cteoftitpScs "on dans des récits, w» ■ t'énsL'igaements, boit une occasion ■co^:- ;.j d'exorcel' des re.pr63a.ifes. ■ 'Ce ri'e3l pas ceporudant que les H t jit. : ' ' fort peureux, du moins : si l'< ■ juge par ce que l'un d'eux, qui s'est B couii,- dép.ïisé depuis lo coinmencéme j B b' guti'i ", "disait • en commençant m ■ mon : « Je sais :qu'il y a dans celle en B dos espions qui -iront t apporter (oui c ■ ffj dirai. Mois cela ne m'ompécSiera [ I iifre c,- (,.iie je pense. « Et ii ajoutait : jotird'litjH, dans toules les églises, j'ci B parler des ;é"glises qui n'ont pas été b B eu dévasléos par l'envahisseur, aujou I en aura tu lo texte de l'Evan«ile où B Xî'îeliê lu hon-té et la mansuétude... B vut .oiiKuilé une disluiction bien eia ■ bien nette sur '.k» ' différentes- façon,'-B 011 (levait aimer srai prochain, d'api ( B catégorie ii .laqiiéJJe ce prochain àp B nait. et je youa prie de croie que lo 1 B fssme et la r&'iaiori trouvaient leur c B «fens cofe (S!âliïicl«onu •Lefi Lïoeliés connaissent d'ailleurs t.-p de ces choses-là. Us n'igncKci I quo, dans la plupart des églises, lis dt K hcfX- «si toujours dans le eliœaf, à la ■ irhonneui', çï que iiresque ptflosii u ■ b-.-p.te Brabançonne termine tes offlr l.a- pretraèfc'fo:a quia-prés avoir re. ■ i'atniée ij mi fut doniié d'as-vwter j^B messe militaire, je tut ému au delà d H ';xii!'...as'i;Mi ot j'eus ti-arui'peii.ie à 1 B te sanglots (rai m'éUuffoicnt lor I (moiiv.'nf d" l'â'évalsoii, et aîor.' que B m'y aUeiKtoia nvUement, j'eateadis k ■ trous sor.ner aux champs et mùÉr iï I nciie à la - mélodlie da la Dre ban I Cétvt -le pays tout entier qfel vibrai E 1(» aceonts d'à cuivres, le pays 1.1; I bout (feus la lutte, oom-sciênt dans si K et certain de la- victoire. J'imag ine I seMiat-brusqu'émeint trànsporié ù Br PB i ^pr.wprett une. émotton" tout auss ■ I lorsqu'aprés les prières pour le Ro I qu'aprîfj le touchant omina salvu I retjcm npstHah A'.berlum, i; entoiid.r i orgues p-i Ssânles faire résonner I l'égfee notre àVr national. U relrouivf t !ï-.I10 des sentiitienls qui animent 1 I dais, l'esprit de résistance et de lutl I tira-nation solennelle de la fid.ilité du I i; la. patrie cl la confiance inébranlab f b sacSes do la plus juste des causes AU DRAPEAU ! Ëf !-• di-apeau national, comme (Milieux de lo retrouver dans le cha f églises, lo. seul endroit p.ublic où on | encore l'admirer. Jnma s peut-être [ peau n'a par é si haut h l'ftme beige, rappelle encore un sowmon entendu, f de l'Ascension, dans une petite ég fawbourg, Le prédicateur lermina't . dsrnim f-[ commentait la fête du jn H- inontrat Dieu qui, après avoir subi _ huffl:H«tiojia et toutes los souft était :-,vl.i g'oaîieuseméftt du tombent montf atîk c'eux. N'était ce pas la si d» la nelg-q.ni-> opprimée, meurrria IMais bientôt sonnerait, pour oile au: l'heure de la tésurreclion suivie d't a-icousio-n glorie-use. fie serait i heure de victoire; ( ir la- victoire est certaine ci Bn'ea veux pour gage, disait le prédicat? ii oue le drapeau belge qui, là-bas, dans cii(eur, est entouré des drapeaux de vaaînnts alliés ». J'entends encore l'.ém '.-airi saint "qu'il .adressait aux drapea; i't-ni - . 'S ("k ro cette voix forle qui ci meuçait chaque .j-hrùso d'une périodo flan: ruée "par cès riiôts : « Je te salue, ( peâu... » prononcés avec une fiorté et émoirion sans cesse gramdissan'tes... Et h qju'il parla (le nos alliés, ce ne fut pas p mOD y voir la France persécutrice et l'Anglew protestante. Non I C'était la France, ch: pion diu dro:t, la France flilo alnéo l'Eglise, h laïquello Pio X prédisait, au lieu des heures les plus sombres, un i l'a i- gio.ivux dans la défense du cathoticis à -C'élait l'Anglelerro toujours ouverte. 9 du idrées de liberté et do générosité, l'An s ré- ton ■ d'où étaient partis les grands évéq a tu et les moines céièbrcs qui vinrant évat 't de uèét- notre pays. te du Les frissons d'émotion provoqués palpas paroles n'étaient pas encore dissipés d'autres nous éteignaient déjà. Car con oonoiusion pratique d'es sermons a.ntéiie le prédicateur engageait à la prière. < ll> ® porur qraoi prier ? disait-il. Pr ions pou; 9., Roi, [tour notre Roi que les. nations aç lar* lent Albert le CJran.1, A'bert le Magnai».' , et que nous fippell&rcms demain Alber P P1 Victorieux. Prions pour notre Reine à *«. quelle nos soldats, dont elle est l'ange < :tl 1 solaieur, ont donné lo doux nom do m par- pour nos priœoes quii, si jeunes Mais G[)r^ SGI1j s0ulI,jl3 à la (Jure écoU 8 oa' t'éprouve et du sacrifice. Prions pour a Ba* soldats, pour nos héros.» Et ici il ràppi l>r0' lo passage d'une lettre où le camiùud ! rtent oxpr iiiant tonto son admiration 1 tàôs ■ Ivoiipiers, «Iç'nlait que lc-ur brav< iéiats Savait d'égale qsio la simplicité avec 0 ul}® qiuelto ils se iîaunaierd k la Patrie. Et 1 •ruete qH.-aprts avoir -enfin, prié pour que la r j~* tocro. dont nous sommes sûrs, vînt cou petits ,ni,r 1^101 Urne rtos offm'ts et tous éven- g^criflce3i l'orateur descendit do la ch. s P°" la foule, çui, pai- reapect pour le lieu s; neer- 'èoiifcrx.>iit ses applaudissements, donna epen- sours ^ ses g;elirs : pleurs de donleur fois pour ceux qui avaient perdu un , „ ÎTV> bien cher, mais aussi pleurs de consola uujx p^-uj-g (jjj fîcrtô et d'espérance. LE SEUL RECONFORT DANS LES G, rérité PAGNES de la [1 rne Et ce n'est pas seulement dans les v [•lion- grandtes ou petites, que l'on peut ass'sl entes d'aussi tmiriiantcs manifestations die s' un tiriotisrnc. il en est (fr mémo dans les ques, pagnes et jusque dans les ci ins les plu lÏArts culiés. qui n'ooit guère d'autre so-iito misé- récoiifcjl patriotique. Un missionnaire gulié- valt à son frère, soldat de l'armée be arnés " Je suis allé prêcher.;4 X...(pette loea ioire- Je les ai soulevés de leur chaise en tiroli- parlant de virus. » C'était bien vrai; j't :-com ejitendu exprimer l'émotion pro.tnito pc ssem sermons dn Père Y...! Qu'ava.tt-il fait ni en oblenà- un- (et succès ? 11 avait parié com soidats, tout simplement, il avait ouvei M-mes ' pages de gloire de l'armée belge et gor. liait connaître s;:s actions d'éclat. Et ce: 0 lui riens, peu enclins d'ordinaire à manif reçus leurs sentiments, mais gagnés par ■ontei P9lsn"> qui se dégageait des récits, ét ît d» " sou eviés de leur chaise », restaient pendus aux livres du prédicateur ot tr : nos s,aient, ouvertement leur émotion ; i; nt de ci se mê'sit une grande fierlé d'élre le iisrne, l'ents, les frères,-les compatriotes dlés I dans dont on pai-iaii. it des ia camnagne non plus, on ne Ira quei- pas sur les obligations qu'entraînent les Beiges'les circonstances actuelles, curés cette même ég ise de X..., j'ai entend n en jenr,e vicaire qœ avait- choiti comme beau- de sor. sermon : « Tu ne serviras pas nj de mollres ». Au point de vue religieux, c 1 ?er- J-ésus-Ghrvst d'un côi«, et Satan de IV ceinte Mais la maxime évangéliqiie était e qu. aussi atins- !è ijomaiinie -temipoFel, - el as C10 qu'on nç peut servir deux gouverneur !.. Au- 'I n'y avait pas de transaction pos,- itenis le ser':l gouvernem'Bnt auqud un Belge nïees de:ce nom potfvnft obédo- était le gctn rd liui ment de son Roi du roi Albert ; 1' Ux-u n'était q.uo proVÎS>:ïfe'et on ne devait 1 sui- avec lu.'i que les rapports strictement iro et pensaMes et nécessaorcs pour le bien 1 dont du pays. - fes ta On pourrait multiplier à l'infini les pane- de ce genre": Ce serait sans doute suip latrxo- car ci; <-u: précédé prouve -s'ufflsa'ir ompte (fu'eti ll'igique crevaliie l'union sucrée pas un vain mot et que le pnti-iotisi biMiu- révèle partout Loin de nous l'intenti : t pus piv'tan-.lire que ces senlimeints soient a[veau niage- exclusif du. clergé ; qui dit unior place pose l'intervention de différentes c'as: ne vi- 1:0u-- avons simplement voulu ni( es-, comment le clergé comprend lo rôl liouvé in.' inr;. >mbe. pendant le.- heures Irai i une que noms vivons, - ioutè NOIÎILj -etenir inull- je fie r st Oontre l'Est âfrioain ailem r.nne. tcUvhs ,'Y HEUREUX ENCAr.E""ENTS , ,, { IDES TROUPES BHITANN! uxelles p; Agence Router » annonce qu< InrN vant des nouvelles parvenues d'A , lors- ar (,nja[e jusqu'au 15 janvier, il y a "? nombreux engagements dont l'issue i ri n« vorable aaix Anglais. . ?®? Lo 5 janvier, une troupe qui tout .rait la p(;iiCei, bombes sur la voie fori 133 S0!" l'Ouganda fut chassée. Deux jours e> a; une patrouille anglaise rencontra et peuple ]a retraite une patrouille ennemi ■e dans de Mekindu. Sur la cûfc, les troupes anglaise! gèrent un détachement ennemi à plier sur son soutien. , Le 7 janvipr, des aéroplanes attaq 011 est avec succès deux camps ennemis p 'ur des y0;^ cnusant d'énormes déig&ts. puisse £0 jq 6j le 11-janvier, on déjoua : le ora- veau jgg tentatives de l'ennemi de et cela ^ iJ()mbes, sur la voie, ferrée de 1!( iise^de cla' ^"ieur'3' oalmo est complet.. un' tri- t i,r : il toules — LiC général M'ehietsen, commi rances, des traugos nésrlaiula. ses à Batavia. 1 el re- 1 tuait un vol, evec ie lieutenant uyintei tualoi porten. La macliinc est tombée ot lo et rui ral Michielsen a été tué. Lo lietrténai t Le cardinal Mercier à Im jo lltxt ur, 1 lo L'ENTREVUE BU CARDiNAL aos ftVE8 M. BRI AND ou- ix ; 1.0 c< rrcspoodant romair. do 1' « Echo ira- Paris » écrit à son journal : en- « L'entrovao (i : Ai. Briand et du cardi Ira- Me.rcrier n'a pas été, h ce qu'on -m'assure-, 1 ina fet d'un pur hasard. Cette rencontre é >rs. dr-.iLS le désir des deux personnages. Kit our étô-ejrrpresnite de la plus grande cordraliti ,jy0 les de u'•: intortocutours on ont été égalent ,,ri_ satisfaits. (jf. f,'entrevue 0- ou Heu vendredn, à la V m~ Médàois, dans l'atelier de M. Besnard, .Ai» fait le portrait du cardinal archevêque Malinos. Le cardinal Mercier'.accompa . . ' du député belge- Vermersch, est arriv JiL 2. ti. 20. M. Briand, accompagné de M. =■ 5^ Mai» rie, a été introduit cinn minutes api ® M. lJriand et le cardinal sont restés en 'Su" à tète jusqu'à 3 h. 10. Après l'entretien, lo ca.rdinal Mercici ccs lo député Vermersch se sont retirés, tai quo que i\i. Besnard faisait les honneurs (b une villa Médicis k M. Briand. » 1rs, t Et LA RÉCEPTION " 10 DE SAINT-L0UIS BES-FRANÇAI9 oel- mc, fjr. ,. Temps » reçoit, de son com-espont i lo .re»->.ain des détails intûrosants sur cette la- ception : ÏJ,"" « Dinmnclie, à quatre heures, une céré f riiio religieuse eut lieu ù SaintLouis-t (>T}~ l;ra.r.e-vs. où le cardinal Mercier a donm 1 00 bénédiction à la eolonlo française et bêla Jf®5 à de nombreux invités italiens' qui rem; *.a:t saient l'teliso. ,1er- Après ta cfirénienie, le cardinal reçut KHir côloïiiés française et belge dans les sa >ûro (i03 établissement? pieux de Saîtrt-Loui: 'a- était c-ntou.ré de Mgr Guthiin, reeteui ors- Syiio'.-Louis : do Mgr Duehes.no, de l'r vie- HnrëzogV 't» M. Rafire.y, président des ron- blissarèfents français, de uoinbiéux pré nos • belges ot français. lire, 'fous los invités furent, présentés i lént, TidiœVemen.t au cardinal qui, avec .ibre souriante bienveillance, eut pour cha par- un mot aïfable. f^o cardinal paraît c être ploiement remis do la légère indispos lion, qu'il éprouva ces jours ck-rnjcts, cœ osi resté plus d'une tfcuro debout, s'ei tenant con&lani.ment avec ses hôtes, : iM- laisstir paraître traco de la moindre gtro. On no sait pas exactement quand lo dinal Mercier quittera Rome. Toute À sekm des bruits que j'ai recueillis, son 1 part pourrait être très prochain. Seiôn ■■<rn" if*er-:unnes de soi: entourage, je crois se .d!3r <în"d rentrera par Rfito et rÂUomiagni r, pçctement. Les Aller ruinds ne lui ont " 1"9 mandé aucun engagement, ni imposé la CV. 0,, n programme, ni quant la durée de 'fi®.: séjour à Rorriie, ni sur l'itinéra.'re do «te), petoinr. irais à cause même de cela, le leur diinal Mercier ne or,h-, ait pas devoir v ivais g6r travers la Fumes ou s'arrôtar à r les ris. On préi&i (i.;- son entourage m'a pour q-ûia le ("ardinaf, rn.a'igl'ô' râéeueSl ôiie des peux cfu'il a trouvé à Rome, dans tou: 't les milieux, a hâte loutefois, sitôt ses tra uvait terminés, de rentrer en Belgique au n I ter- de ses compatriotes. » ^}eF Qn se rappelle que nous avons .nu-, '.né- que le cardinal Merciei- quittera Ron aient, j>o fémer. sus- ado L LE CARDINAL MERC^RR NE PEU! celle- S'ARRETER A GENEVE i pa- léros I-0 Courrier de (îenève », oui est l'or cathodique de la Suisse romande, avait ns.;gc posé au cardinal Mercier de s'arrêter ; pour fève en revenant de Rome, mais l'arc! Oâns H110 ('° Matines lui a -répondu ce qu'il su II Rome, 27 janvi P'-Het deux J'ai été tiès vivement touché par l'a 'était chaleureux do votre lettre et je vous re uitre. cie do tout mon cœur pour les efforts vraie vous consacrez à la plus noble des ca puis- Le temps mo manque pour vous répc ictits, longuement. Je désirais vivement pas: ijb.e ; Genève, mais j'ai pour mes voyages d( digne néraires qui ne dépendent pas de moi. crue- Cardinal MERCI! autre avoir Le cardinal a ajouté en note : c Plus ind-'-s- tentent, aucun itinéraire ne m'a été im nêiné niais tout le monde comprendra que je i pose à moi-même une grande réserve. 1 récits il LESFAITSDUJOl ne se . , »pc—— ■ m de l'apa- r.c rot Georges V a appelé sons les a: sup- mardi, par proclamation, tous les c :"*s et Mires sans exception jusqu'à l'âge de mirer ranle ans, atteints par la loi sur le se e qui obligatoire.. Ils seront, incorporés le 18 iiques : prochain. j-viv.vwvtw Le Parlement britannique a repvi travaux mardi. Il aura à s'occuper de tlons de toute première importance, n ...J ment du binais de l'Allemagne, pour : àï!0 ,nc assemblée de. financiers et de cou çants de Londres réclamait, lundi ci des règles plus étroites. £VVWV\WV\1 911 ES jc minjsfre anglais Ilewlerson, do ■ sui- se rappelle l'altitude lors de la disci 'i-inue ta- toi sur le service, 'obigatoire, eu de président du parti travailliste. ut fa- twmwvws ait de f (l ,lllule trahison des deux eo a'& de suisses passionne de plus en plus l'o, a ès helvétique. On réclame de tous cv força convocation du Parlement fédéral. Da , crj,s conseil cantonaux, notamment au > ' 1 Conseil de Genève, les discussions 1 obli- pleines d'allusions à Valiairc. gg J-Q. iVl^WVVX'V.'V nèrenl l?o(ficicusc Gazette de i'Allemagr -'s rie Nord annonce qu'un accord a été t entre le président du conseil grec el , . nistre des araires, étrangères de ï's nlaeei- Puu> régler certaines questions peni iiD-nn entre les deux pays notamment la qu b des (les de -la mer Eoée. rtWMVVVV» M. Wilson a accepté W candidalur, mdant prochaine .élection présidentielle, qui effee- licv an mois de novembre. tr Ter- On parle de M. Lansing, sous sea géné- d'Etat <au affaires étrangères, pu ur -, it Ter- rixe le portefeuille au ministre de la 1 A ,u. ;. ^ mnn/lim g Les socialistes du kaiser i continuent ENSORB UNE MAM!FE5TAÏ!0N do ANNËKIONNiS'fE Le c Nieûwo RotterdaJnschc Goura' ?'f du S février a publié une lettro où M. e;.: mille lf.uysmans, rectifiant certains pc - d'un ooiu'pio rendu do ce journal, n re 3 1 ché eu gouvernement anemand d a 1 fait aiticuer partout en Belgique un r 0111 rné t .ndancieux du discours d'Ami résumé dont le résultat a été le mécor. JL*! bernent do la population belge. •h Quelle que soit la part do la mante--S allemande clans co mécontentement, il Pj? intéressant de le voir confesser par la "rir. puté de Bruxelles. .^i" C e. t quo les beaux rêves dont M. II ai,; mails :e berce n'ont aucune prise sur compatriotes du pays opprimé. Comr ct le secrétaire du Bureau Internats ,j:s veut-il qu'on le croio sur parolo quar i ï! affirme que tout lo parti socialiste mand reconnaît la légitimité de la ] tion do la Belgique ? Ne sait-on pa Belgique comme ici quo les socialiste, plu.s influents restent des annexion n résolus ? arit Hier encore, 1' n Humanité » (n° d ré- février) publiait un article bien signiti à cet égard. Le correspondant pour le îtiouvei [n'0* socialiste allemand signalait, entre a: :les" réunions ponulaires où se discute touj ' ^ l'attitude parlementaire (les gouvcî-nc.: Yet taux et des opposants, une réunion t *b" ;i Golugno, qu'il donne commo un oxe , typique, Lo député île la grande ville liane, Ilofrichtor, appartient à cette tie de l opposition clans lo «roupe p ■ mentaire qni .fors du vote (les derniei--| ; dits, s'est àiistenue, mais n'a P.as voté , ' tre pour 110 pas violer la discipline. ! V ?" rassemblée générale du parti sociali's- fiologne, qui a ou lieu la semaine pa u il a condamné ênergiquement l'attdtui Liebknecht, l'accusant de rendre, pa façon d'agir, tout, travail commun in sible, et ajoutant quo l'acte des Vin; V 1 opposants déclarés —- faisait égale :l te un tort immense à la réputatioi itre- Pal'ti »• Cependant, il nia quo cet acti -lia ! lierait nécessairement à la scissior fali- i)arti ot 11 combattit vivement tous 1 ' j qui voulaient cette scission. cnr_ « 1! faut qu'on évite aujourd'hui to jjjs* I qui pourrait nous séparer », a c riofrichter, membre do l'opposition, des i Dans la -discussion qui suivit,- lo jo: vftjr listo Meorie-ld, directeur do l'organe 1 , rij. liste4e Cologne, la a Rhoimschf Zc-itn de- a déclaré — et ce ne fut pas te moii BiU. téTcssanfc de cette réunion — <1110 lh son mule n contre touto annexion » était son ' lenient antimarxiste, qu'il fallait la car- placer par la formule k contre la viol ,,va- de peuples étrangers », et qu'il pouv Pa- avoir des cas oii les socialistes u do\ dit êtr,.-riour dos annexions ». ileu- Meerfeid parla encore pour défi i i.-;,. dans cette ;u-ic( rnblée gélléralo du irai ■aux cialiste do Cologne, la politique dito iliau i àofit ■»,* cV st-à-dire l'accord du pa du gouvornemer.t impérial. Après ci b-lico cours, un ordre du jour en faveur di 0 i0 d'o-pos'tion des Vingt n'a réuni qt voix oontro 130. La résolution maiori adoptée par 124 voix enntre 50, dit : « La réunion approuve le vote de dils de guerre îirtr 10 groupe'au Rei( f commo application logique des prii "r>ro formulés dans la déclaration du i v. ' car le but de sécurité n'est-pas aile les adversaires ne sont pas prêts paix. » Toutes les bellos paroles do M. er. mans ne pourront détourner les yeu rcent Belges de ces faits, les seuls qui com mer- 1 « — PROCEDES JNQÎÎALIFIABI «dre __,s0f( ter a 3 On n'a pas idée des moyens qu'omî tes AEiemamis et les gons à lc ar s-n-d( ÏR. arriver à d viiser les Beiges. Ls n1n , même pas à abuseï- des correspon, -'xa,Â* privées et /, les publier pour en tirer r ni' °°:11-re leurs signataires, n un- q.C3ij a;aSi (jllc 1WU3 venons de rc um îiuinéno des Vluamsche Nieuws., l:r " nal emboché publié à Anvers par le I 1 t-, gusto Jacob. Dans co numéro (du h I p v'.tr). les Vlaamsche Nieuws ott; grossièrement M. Fran-s Van C'rnwél; l'aaourse d'avoj provoqué la mesure par le gouvernement belge contré le •mes, D' Jacob et René De. Ciercq. iliba- Poui tàc-ircr do justifier «un api -v>lc qua- tr-e le député (l'Anvers, los '« Vaa rvice Nieuws» n'hésitent pas à so servir," a-mars te d'un plaçard d'inspii.«.I on" .aller d'une lettre privée que M. Van 'Cau-v atirait adressée à M. Uené De. C'.lercç veille de sa révocation, pour- lui coi ! ses de songer à son avenir, à sa ferinne e ques- enfants rlau!- Le parnpléiet boclio et les c Vlaf equel Nieuws » senqiarent de cette lettre uner- ' ' -.,-sc-inrtftnîemt (le celui qui l'a-éf 1 care, t -■ - :t ent un avertisement arnii .une menace cl un acte de pression. I* proeé® est bien boche, on véri Au front belge a été v )i0( s LES BATTERIES BELGES DISPER ^ UN CONVOI ALLEMAND loncls — La journée d'aujour. nnion relativement calme sur lo front tes ta Lutte à coups do bombes dans lo 1S f, dc.Steenstraete. Nos. batteries ont d jrana un Cpnvoj allemand sur la route "do sont de à Kc-yem. LES ALLEMANDS AVOUENT UN E La Haye, 13 février, — Les soldé 0 , manda racontent, 4 Bruges, avoir 1 ■onctn p,rk3 d.e oixrnuide sans succès. Ils 01 m!~ dé lourdes pertes. ir.qute _. . 'cTlion ' UN ZEPPELIN EN DÉTRES VERS LA SOTE DANOISE Tandis qu'ifl so trouvait au largo d ! à la vand's-Huk, près de lisbjerg. le t. aura I..-2Ô,essaya de se diriger vers le su, il no put le faire en raison do la \ •étaire. du vent. Il fut entraîné ftu-dés.-.us de ipren- Un témosn a déclaré que les mo-tt juorro dîifceab'is semblaient fonclionnor lr oulièrômcnt: BN ARMENIE Les Susses s'emparent 1 cTus fort ilnœ it J> ' Ca- B0" m'a- Ptlrogred, 15 février.— Officiel— Aj ' , ,1 une explosion provoquée la veille par n , " artillerie dans un des forts de. ta place f ' i, d'Erzeroùm, nous avons enlevé ce fort ' Bn poursuivant les Turcs, nos trov ont fait de nouveau do nombreux pri «fers et ont enlevé six bouches d feu et 1 nttriniitA fJs> ouwii'fi/in.s'. OSv "'"r - - âfc — ——; <»" " — " ms Un d0 leurs agen aeait -<3— tna.l d il UN PORTRAIT aile- jjE L'AVOCAT BOCHE FRITZ NORI )0S1- pa{l LA C1 LIBRE BELGIQUE » i en t les Nous avons dit quo la nouvelle d< stes mort do l'avocat boche Fritz Norden 1 pas confirmée. r 1 ' On aura mno idée du dégoût quo soi: catii % Bruxelles cet agent die nos ennemis cet article où la « Libre Belgique » l'a nent- traicturé : iti-es , uurs " Il s'appelle Fnta commo les ncu nen- Kifirnés des Boches. eimo Miais,-co qui caractérise co britz-ia, ivple qu'il est Norden. rhé- Et co Fritz Norden est un typo a pa,r- près unique en son genro. ar-lc- Au lieu do véndro des. fourrures coi cré- ses parents, es gros garçon a voulu f con- ver d'un taon : il est avokat. Dans Parfaitement... •O d:o Avokat à la Cour d'appol do Brux: ssée, En effet, 011 a eu la faiblesso d'admetti fi dé stage, au serment ct d'inscriro au tal r sa do'l'Ordre quelques étrsmgers et no rpos- ment ce juif d'Outre-Rhin. rr. Encore uno réformo qui s'im.p( ment après la guerre. 1 du Avant la guerre, on le blaguait^ v : 1 : - >'■ - tiers, car il était (lo ceux qu'on faisa 1 du sSrnerit monter à. l'arbre I Quand écla. c-ux guerre, la plimart des confrères no 1 'gardalont plus", ct le pauvre Fritz, d< ut ce navré, pleura dans le gilet d'avocats rnslu pâtissants. l'une savait pas assez dec son regret de n'être pas Belge. Il re irna- l'AHemegne de tout cœur. locia- Quand tes hordes du kaiser souJj ,. les pavés do Bruxelles en général c p'Tn! maiehes du Palais de Justice en pas for. lier, Fritz Nor.uen redressa, .son buste -tota- et on no vit plus quo lui à la kormnai rem- trlr. ...... - ■ Il reniait la Belgique du moment qr ' v flEres emplissaient la ruo aux Lainej Uoho ce locataire du prince d'Aren do la belle musique que vous savez. ,, w Au lieu (te s'eftacer proprement, I ;l Norden traîna dans tous les coins. Il , 3,. dait toutes les affaires louches des lie vi i et I c-mpochant sans sourciller affronts , ,iaffronts, dénonçant rue de la Loi to vot« qu'il pouvait dénoncer, collaborant à ni tes fes mesures vexatoires inventées p iBissingerie. Chose inouïe, il se trouvait des av — rares, il cet vrai, - assez naïfs i cré- fjaver avec ce lapin là hstag Pour bien marquer ce qu'était co B icir.es g suffira do raconter une plaisante août, titre' int et 11 oSt strictement défendu aux av à fa de faire de la réclame ct de so crée clientèle grâce à cette réclamo. Hlivs- Un iour, lo Norden en question, v des d'indignation — ceci se passait il y a ptent °u trois ans — signale à un memb * ' Conseil de l'Ordre i[uo plusieurs av. presqtie tous d'origine teutonne, font BQ réclame dans une revue allemande. tC9 Et il apporte, à l'appui do ses dire exemplaire de la revue. Effectivement, lo grand X..., lo •î c nt Y.,., l'épais battaient, la caisse cli pour. Germains. 'Sitent Norden trouvait cela dégoûtant... iairces Or, à quelques jours do" là, le m: parti du Conseil de. l'Ordie, pour se (locu ter, demande à un autre avocat aile cevovr- — il y en a beaucoup à Bruxcllc-s -jour- connaît la revue en question... 1- Ait- — n Comment donc, répond l'intei i ja.ii- jo conuais celle-là et encore uno aut iqueht vue dans laquelle le petit Norden f: icrt et la réclame en Allemagne... prise — >:■ Pas possible 11 » susdit . Le lendemain, la prouve est faite membre du Conseil (ie 1 Or-Ire, ahuri n con- siate que, moyennant un abonnerne n.iscïie 5 mai'! s et une souscription do 20 1 là sui- le joli koko de Norden faisait précis Wwf-. ce qu'il trouvait dégoûtant chez l relaert très... . ii la Mouchard ot hypocrite, c'est dans iseiller sansg. t à ses Voilà l'homme qui a toutes ses e à la Kommandantu r. msclie Or, ce qui est ignoble, ce qui dépa' sans bornes do l'inconscience, c'est ce que -lté et de faire cet individu. -ai en . Avec une outrecuidance toute pn nia, oubliant quo, jusqu'à nouvel or té, . est toujours avocat, lié par son sorn: -—— on oublie tant do choses en Allemagt avec un manque de tact effarant, il Iiommo; écrit et publié n i livré, « L giquo neutre et l'Alpin isrne », qui e infaniie. Cautelousement, se sacha SENT l'abri derrière les bàïeniiettes pri nés, il insulte notre patriotisme.-, l'hui a °n n'analyse, pas un Ii- re pareil, belge, lit avoe douleur, on le f-îrine avec dé secteur La Kornmandantur n chaudeme Lspsreé -cueilli cette saleté. El'e la place p Olxmu- bien en vue. Vnr-den a mérité la croix de fer. Ç( quait à son genro do beauté. CHEC c;,- 0B gatllard-là ne file pas un is al'.e- d'heure avant le dernier soldat ail iltaquié i! risque fort d'aller à St-Gilles, 1 it subi les honnêtes gens quittant leurs ci 011 y remisera les krapulés. » " Ce numéro du vaillant journal J SE lois a eu, naturellement, un succès Palais de Justice où, sous, le mante le manteau do Thémis. bien entendu e Blaà- se ie passait, avec de,s rires amusés . îppelin „. inlence —■ A Be""1™ 'Canada), les hubilauli la tuer, qu'étant d'origine allemande, ont de tirs du que i'oh clran«eàt le nom de leur ri :s irré- fenrn.it, (le l'argent et des hommos p ■ giteiTî. iD&RmEitù HEURE Ul Communiqué officiel français ■S-1'" Paris, 15 février. 15 Itettres. .pet EN CHAMPAGNE, nous avons repris ;on- une partie des éléments avancés occupés uno par l'ennemi, le 1.'. février, à l'est de la route do Taliure à Somme-l'g. \ EN'WRRAINK, quelques contacts de pa trouilles dans le secteur de Hrdllon. Nuit calma sur le reste du front, L© —«os—,— „« te déclaration m ifls Puissances ;g à la Belgique -.-O— ' dl- Nous apprenons quo tas Ministres Piô> îripotcnfrïtlrcs do France, de. Grande- Bre-c os" .tegno ot do Rjasslc ont fait, hier,, une dé-peu moii-cho auprès du haroo Bcyeno, ministre des Affaiircs Etrangères, ct qu'ils lui ont nme remis uae déclaration de leurs gouverne* 1 <-'le" ments. Nous publierons dans notre njiméro de ■lies, demain lo teste do cette déclaration. 0 au »ok—— Joau tam- LA CORRUPTION ALLEMANDS EN ROUMANIE .sera —c— Buoarest, 15 février. — I.a commission >l°n- QQutrale des ex:pc<rUitions s'est réunie sous 1 f" ta président» de M. Constantine-seo. a la jjJie a déciiné touto rcspocsatalitè quant e aux opérations effectuées par la société Sécéléami et a refusé de prendre livrais^ _ r " des sommes reçues, porcs que cette soc.étû :rrr a p,Sj..u .;n^ commission d'un million et dieml niai d'un consortium aHemand. ,. iâ\m.t BOlt LA RETRAITE CES SERRES ,acf: V!£RS IÎ0RFOU —q— idan Athènes, 15 février. — Des détachements e los serbes, opérant dans les régions d'Ei-Bas-i (où san et de Tirana,, ont passé la frontière jcà-ia -heîléndowe, en Kpire, et se sont rendus a Samta-Quaranla où ils ont été cmi>arcfu'és 0 dit pour Corfou. plai- elles, L'HYDROPLANE ALLSMAM» sur Qus a SURVOLÉ COPENHAGUE lit O8 — I<c cigaaifesquo hydi-oplano rtllornond Cfùî tir la n survolé C/C.penha.gue avait a bord trois , passagers, un pilote, un observateur ct un oca,ts artilleur. I! a survolé la ville pendant uno Pour (leoi'i-heuro ct a inspecté de orès les ouvra,. ges de fortifications ct le port. oclic-, " protestation du gouvernement danoaa aven- seKt trj,s ûneirgiquo. ocats Vers le bloc J1 austro-allemand veats, 1- ■ )jQ" ~ ~ ■ ■ LES RESISTANCES MAGÏARES 1C€ ET LA TÉNACITÉ ALLEMANDS oz los Il y a crd ùl la fin de. jairripr, à la Chambra des dôpuitô3 do Hongrie, un déi>at qui jette jmbre U11 joai' nouveau.-sua* la conQuôie économisent- qiJC dc la <ioiit>l'c m&.nûrclj'c par lAilemit-niand jW et r.cais met en- présence dey résistance a — s'il qu£ ixvrtcoiitre colle tentaiive d'annexion de» -misée. Le gom'«'im.omei3l hongrois paxipo-pellé, sait d'accorder à la Doai.selie Bank une im-ro re- poriante concession pétrolière en Iransyl» iit do ranie ; le parti magyar, indépendant fit des pieds et des poiniîs pefitlanL trois séances pour que la proppsit'.on fût lo jetée ; mais en et le vain. _ , con- on considéra 'unaiiiniomcnt que les nna_n-ait de ciers alleimands ont fait lù une ^plcndiuo mrks, affaire, mais ç'éinit avant t-tiU pour l Allé-émeut magne une occ-asK»n -nouvelle d'étendre s kq >3 au- emprise. éconûÉfn'SpîO. -'On l'a bien compris^ à la Chambre hongroise. Les argument* leur présentés par les magyars sont très signi--fioatif.s Ii rie "s'agit pas seulement, pour ntrées eux, de réserver aux. .capitalistes et aux nu «vsnieurs hongrois l'exploitation LucrauvG «0 les des richesses indigènes ;. ce qui leur importent te surtout, c'est d'arrêter une invasion qu île sentent tenace et menaçante, lweIîi L'ACCAPAREMENT DES CÉRÉALES gnt' _ HONCBOISES Les Allemands u'onUIs dèi-i pas oùigâ a Jtel- 'angric it les.nourrir en. so condamnant st une elle-même h la famine ? nf Lé 31 -janvier, soni. arrivés à Budapest. 'jL,Jr des délégués du parti mrrer'en eltemaad, ' chargés d'arrêter. <le concert avec les <irr-rtn to fieamts de l'Union agç-ârienne hon.gre'.£», coût les grandes lignes'd'une exploitataon plut, nt ac- intense des ressourças naturelles de ta avtnni Hongrie. Les exigences allemandes ont dvjà réussi à ftviro monter le prix du pain, on rnan- Hongrie au double de e,. qu'il est rat Allemagne, maigre la richesse agricole 'tes quart p allies houKroisefl. véritable grenier da vjYi orifi l'Europe oeii'trale, luan-d Non con^nts <io ce résultat, les atfrariena •Unies' alXinia«mls onit dcmiind-é de nouvelles livrai» ' ftons de céréales. Il y eut alors un cri 'lo colère par tonte :!a Hongrie. Tous les jour-truxel- liall,x _ excepté ceux du comte lisza — fou au «ont p:eins. depuis le V* février, de récnmi-ai)' — nations, de plaintes, d'adjurations d; toutes — 011 nontes. LES DERNIERS ACTES DE CONQUÊTE, ! bien UN BLOCUS ÉCONOMIQUE DONT mandé LES ANUt-AIS NE SONT PAS RES> t'e qui PONSABLES Du reste, <îcs grief a se multiplient, Los

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Subjects

Periods