Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1915, 29 June. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/k35m90349z/
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V « A4fl 7T \TVT5TJ C/C«.9a M. HT» Od<V vtt > . «a n u /e ftvttrmvMve ivi mmm\ OÛ T«î« lois; p 4fr n.imjui4*—VJWHÇ > i " - rédaction & administration fStot rns d( 1« Bonrss — LE HATEE Téléphone: Le Havre n* 14.05 Cirscieur : FEENAND HEUSAT _ fovtes tes communications concerr.an la rédaction doivent être adresséeg st8%",rue de la Bourse,Le Havre. LONOON OFFICE: t WÏ g-j ( panton Street (■ (Broadmead House) LE XXe SIÈCLE Quotidien i>elo@ paraissant au Havre ABONNEMENTS Franoe 2 fr. 50 par mofs. » 7 fr. 50 par trimestre Hors Franoe.. 3 fr. » par mois. » .. 9 fr. » par tr*ime3tro Angleterre.... 2 sh.6d. par mois. > .... 7sh.8d. par trimestre PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration du journal au Havre ou â Londres Annonces 4* page» 0 fr. 40 la llqne Petitesannonces4* page:Ofr.301aligne Les petites annonces sont également reçues à la Sociéié Européenne de publi• cité, lo, rue de la Victoire, Paris, qui en a le monopole pour Paris. Déposition d'un témoin 'l'article ci-dessous a été écrit par u ■ iTtelae oui a vécu dix mois dans la capital occupée pur l'ennemi. Noire brillant colli horateur ne prétend pas détendre des thèse de politique ou d'histoire, mais uniquemei raiworter ce qu'il a vu et ce qu'il a entendx Sa voix est l'écho fidèle de la voix émoi vante ils la Patrie. Chaque jour on trouve dans le « XX" Si Ole II sous la rubrique : u Nouvelles de 1 Patrie », des preuves de la sublime rési: tance que notre pays oppose à l'envaihisseu: II y a quelques mois, Forain, dans une d ses caricatures, taisait dire à deux poilus u Pourvu que les civils tiennent... » Chez nous, les civils tiennent ; ils ont h nu ils tiennent, ils tiendront plus que ji mais Les quelques rares défaillances qui s sont ' produites ont trouvé leur châtimei dans la réprobation dont elles ont été l'ol jet Nos soldats qui se sont couverts de glo re ' pourront être tiers de leurs parents, c leurs amis restés au pays natal ; l'hérolsn rtuolidien que ceux-ci pratiquent depu dix mois n'est pas indigne do la bravoui que ceux-là dépensent sans compter sur 1< ohamps de bataille. J'ai pu apprécier joi par jour, la force de résistance de notre ni tion. Il n'y a pas un mois, parti de Bruxellf avec, comme seul passeport, la semelle < mes bottes, je ne goûte pas autant que l'espérais l'air de la liberté qui règne ic mon cœur est resté là-bas et de loin, j'a mire davantage encore la force morale ( mes compatriotes qui luttent avec une e pérance indéfectible et une inaltérable bo: ne humeur contre la main-mise allemand Les Teutons, dans leur vanité kolossal s'imaginaient que nous allions nous pâmi d'admiration devant leur kultur, que noi allions saluer en eux le peuple vainqueu Etre reçu dans le monde à Bruxelles et parader : ils considéraient cela comme a quis d'avance. Après dix mois, notre pop lation est restée pour eux aussi impermé ble qu'au premier jour. En parlant de l'ingratitude des Belges l'égairii des bienfaits de son administratio: yon Bissin£ pousse des plaintes d'enfai abandonné et nous fait insulter par soin p lisson de fils dans les feuilles teutonnes. I essais do réduire nos ouvriers par la fai et n'y parvient pas. L'esprit bruxelloi l'esprit wallon, l'esprit belge pour mieux c re, se moque de ce batteur d'estrade et 1 fait la nique. Il n'est pas jusqu'au for (les campagnes où les mensonges que i Allemands placardent sur nos murs i soient percés à jour ; nos paysans 6ave; à quoi s'en tenir sur leurs prétendues vl toires et connaissent l'état de la guerre, < plus en plus fermes dans leurs espérance Et dire que certains historiens de la de nière école .prétendaient que les Belges i 6'étaient jamais battus que pour des que tions de gros eous ! Selon eux, les guern du XVIe siècle n'avaient eu d'autre oaui qu'une augmentation des contributions ! Il est vrai que c'était la méthode ail mande de n'envisager l'histoire que soi l'angle des relations économiques et ce tains do nos historiens s'en étaient emipe sonnés. Quel formidable démenti leur ûo: nent les événements de 1914 et de 1915. o*. Ecartant toute idée d'intérêt, la Belgiqi ne prit les armes que pour l'honneur ! ( sera son éternel honneur, l'honneur de cet qui sont au front, comme celui de ceux q résistent au dedans. La dernière histoire < Belgique sera révisée. Non, les envahisseurs ne sont pas pa yenus à enterrer l'esprit d'Ulenspiegel. Au contact du danger, cet esprit s'est m à pétiller plus que jamais.Les privationsji vexations de toutes sortes, les calomnii des misérables qui ont ruiné notre patr n'ont été pour lui qu'un stimulant. Pour rester dans un tel état de force m raie, sans doute faut-il être soutenu p; l'espérance. Comment se concrétise cette espérance Une affiche apposée rue Haute, par ii loustics des Marolles, nous en fournit ui indication ; elle contenait une carte de Belgîqué en travers de laquelle figurait cet inscription : ci Fermée pour cause d'agra: dissement. » C'est que nous estimons que les soulfra ces présentes n'ont aucune proportion avi notre gloire future, ainsi que je crois l'avo lu dans une épltre de Saint Paul. On a discuté, là-bas comme ici, la que lion des agrandissements, au cours des lo gues soirées d'hiver. On tombait d'accoi pour déclarer que la perspective de s'a nexer des Allemands n'offrait rien de s duisant, ce3 Allemands lussent-ils rhénan c'ést-à-dire loiritainement originaires de Gaule. On commençait néanmoins à r -prendre ce qui' avait appartenu autrefois la Belgique : ne parle-t-on pas wallon dai l'Eifel ? Mais ces quelques kilomètres ca rés ne nous mettraient pas à l'abri d'ui nouvelle aventure, pareille à celle que noi subissons en ce moment. Pour nous protéger d'une manière effic ce contre les invasions des Huns ressusi tés, il faut une forte barrière, un fossé la ge et profond : le Rhin. Cela apparaît comme une nécessité à 1 quelle aucune théorie humanitaire ou inte nationaliste ne pourrait nous soustraire, j'employais la logomachie que les Ail mands ont introduite dan® la langue fra çaise, je dirais que c'est une nécessité mél physique, car vous savez que l'on fourre i la métaphysique partout, dans le pilla, d'une métairie comme dans l'incendie de bibliothèque de Louvain. Que cet hinterland soit gouverné p nous ou forme un état indépendant, ce n'importe pas outre mesure à une partie nos concitoyens, encore qu'on se dise mai tenant chez nous qu'on ne fait bien ses affi res que soi-mfme. Mais les Belges pensent que, sous auci prétexte, la Belgique ne pourra se dérob aux devoirs que lui créera la paix, alo qu'elle n'a pas hésité à accepter les lourd charges de la guerre. En défendant, notre honneur, nous a+o défendu notre avenir. Cet avenir, nous r renoncerons pas au jour de la victoire po des raisons d'ordre sentimental. Toute pc lique qui ne serait pas réaliste précipiter! le pays dans des aventures. En violant notre sol, l'Allemagne a, poi ) jamais, rendu notre neutralité impossibl La Belgique a compris qu'elle devenait ui ■ force agissante ; au dehors comme au d dans, elle veut désormais une politique n ticmale. Elle le veut avec une telle ténacit avec un si magnifique espoir, quç ceux q l'ont quittée depuis bientôt un ah, auro peine à la reconnaître. Le patriotisme qui s'est manifesté le août à l'appel du roi n'a fait que se renfc i cer sous la botte allemande. L'esprit nati e nal a repris si» droits comme à toutes 1 grandes crises de notre histoire. Les pari s d'hier n'existent plus, sauf pour ceux q i( ont un intérêt personnel à les maintenir. 1 [ franc-maçon, étonné au début, trouve to il naturel maintenant de travailler avec l'< freux clérical au relèvement de la patrie et nos compatriotes ne sont pas éloignée traiter de balançoires tout ce qui les dii a sait naguère en face du danger. Le faro s- che anticlérical va à l'église pour y entend "■ la ci Brabançonne », il reconnaît que les J e suites ont fait preuve d'un dévouement n : tional et d'un patriotisme dont on les décl rait incapables, en vertu même de l'esp; !- de leur ordre ; libéraux et socialistes ans i- bien que catholiques ont admiré sans résf e ve le mandement du cardinal Mercier qui it mis von Bissing en fureur, tout autant q )- la crâne altitude du bourgmestre Max. I i- Belgique occupée, c'est la qualité du patr: e tisme qui domine tout, c'en est fini po e longtemps de la politique de clocher ; les ( s gitations des politiciens de village restera •e sans écho. Le pays ne supportera plus s régime de la clientèle électorale. Tant ï r pour ceux qui ne parviendront pas à 6e fai i- à cette idée, à laquelle le malheur a don une force qui nettoiera tout. ■s Pour relever la patrie de ses ruines, po le la refaire plus belle, il faut, par dessus 1 je côteries, rechercher toutes les compétent i, accueillir toutes les bonnes volontés, él blir enfin, du haut en bas de l'échelle, u le forte discipline nationale. s- Voilà ce que pensent ceux avec qui j i- vécu pendant dix mois d'occupation et ce1 s. que j'ai vu dans les lieux où le fléau a s< 3, avec le plus d'intensité : Dinant, Andeni ;r Visé, Hastière, Louvain, Termonde. ls Maurice des OMBIAUX. r. y «, —— E 8ravo les railwaymea ! a XX ADMIRABLE ATTITUDE 3- DE NOS OUVRIERS des CHEMINS de FI Le gouvernement allemand a fait alfieb à Malines, cra jours derniers, Cnvis si ?" vant : ji « Un nombre suffisant d'ouvriers s'éta j présenté à l'arsenal, les mesures de rigue >s décrétées par mon avis du 30 mai sont mis ie hors de vigueur à partir de la nuit du 11 it 12 juin. Je me réserve la faculté de remet! c- immédiatement ces mesures en vigueur si te nombre des ouvriers diminuait de façon 3. empêcher, dans les ateliers, les travaux i r- cessaires au maintien du trafic des chemi ie de fer belges. 3- d Bruxelles, le 10 juin 1915. » 58 » Von BISSING. » le La vérité est, nous l'avons dit, que 1 3- Allemands ne sont pas parvenus à vainc is la résistance patriotique du. personnel d r- chemins de fer. i- Malgré toutes les menaceSj aucun âge i- de l'Etat n'a consenti à travailler. Les Al mands en ont été réduits à faire venir leu propres ouvriers oui étaient en d'auti points et à recruter péniblement quelqu sans-travail de l'industrie privée belge, le A l'arsenal de Luttre, les Allemands n'e '.e pas eu plus die succès. x Là aussi, ils ont sommé nos ouvriers ai reprendre le travail, et comme ces brav le gens s'y refusaient, ils les ont menacés leur couper les vivres. Cette menace fut v r- ne et les Allemands ne purent même pas mettre à exécution longtemps, le com is américain s'étant opposé à ce qu'on affai :s ainsi nos compatriotes. :s Les Allemands recoururent alors à u ie autre menace et déclarèrent que si les t vriers de Luttre ne rentraient pas à l'ar: > nal, ils seraient déportés en Allemagne. L ir ouvriers tinrent bon et une centaine d'enl eux furent, en effet, arrêtés et enfemn ? dsms un train partant vers l'Allemagne, t :s rivés à Namur, ils se virent rendre la liber ie mais leur directeur, M. l'ingénieur en cl ia Kesseler est encore en prison, où on l'a ( te voyé pour six mois, afin de le punir, lui ai i- si, de sa résistance. Sa conduite, comme celle de nos brav i- ouvriers des chemins de fer, est vrai mf ;c admirable, et il convient d'exalter à l'éf ir de celui de nos soldats l'héroïsme de t hommes qui préfèrent mourir de faim plu s- que d'aider le moins du monde les ennen i- de leur patrie. •d i- L'AUTORITÉ ALLEMANDE MENACE é- TOUTE LA POPULATION ! Voioi un dooumieifflt officiel qui montre q e. l'autorité altemamidle veuit encore aggra\ à le régime tyraaniq,ue dont souffrent e is compatriotes. r. Le Maasbode a publié diansi son n,umi le d'u 20 juin cette proclamation du comm< is dant d'étaipas de Gand : La ligne de conduite suivie par ta dir a- tion, die certaines usines qui, sous prête: ■ i_ de patriotisme et en se basant sur la c( r- \ention die La Haye, ont refusé de trav; ter pour l'armée allemande, prouve qu' a- fait tout ce qui est possible pour suscil r- des difficultés à l'administration» die l'anr Si altomainde. e- Je vous fais savoir que cesi efforts co o- promettent la bonne entente entre la pof a- lation et l'autorité allemande et q le fre Cles réprimerai en usant de tous) ,1< Je moyens dont je dispose 'a Je rends les autorités communiâtes' r< porasables de l'extension de ces efforts et \r .population n'aaiina q.u'fi s'en prendre à el la n ênne si la liberté actuelle doit être n le treinte par sa propre faute. » n- Les journaux allemands dénoncent au li- l'hostilité dé la population belge. Le LoJt Anzeiçjer écrit que chaque Allemand en B in gi'que a le devoir d'assurer lui-même la er oui'itié du pays en surveillant l'espionna; rs De même les postiers-, les télégraphistes, _»s cheminots et les douaniers doivent redrf b'OT d'attention. « Aussi ouvrons-nous is yeux et fermonE-mious la bouche, dit le I 'y kal-Anzeiqer, car une parole iniconsidéi Hr peut Coûter la vie à des centaines de bra\ li- soldats. Il faut donc que (mut ce que l'anr lit et la marine préparent reste inconnu de i ennemis, n ■*, .■ .-ru-**, tisjœicazw asnaannsaBaaa | la situation î: militaire ^ *-—»(>«— Lundi, midi. . Nous devons nous méfier de bien des ch ses en ces jours d'attente ; nous devons 110 méfier de nous-mêmes, de notre sensibil: ~ impressionniste ; nous devons nous méfi ^ surtout des gens qui, n'entendant rien à ui guerre avant la guerre et n'ayant rien a pris depuis la guerre, sont, à tout prop et surtout hors de propos, prêts à lever 1 mains au ciel narce que le chemin de fer les ramène pas aussitôt en Belgique ; rr ^ ' lions-nous aussi des « nouvelles de H< lande » qui, de jour à jour presque, veule u" nous faire croire que des forces ennemi r" formidables se massent sur l'Escaut et s a la Lys pour se ruer sur le front de Fland a_ et sur Calais. Il y a, là-bas, à Rotterdai et ailleurs, quelques gens candides qui s garent et beaucoup d'Allemands ou de ge si manophiles qui s'essayent à nous égar( r_ Soyons bien persuadés de ceci : c'est q a l'armée belge, plus forte que jamais, mon je une garde vigilante sur l'Yser et sur l'Ype lée, qu'elle y a conquis des positions ava q_ cées, qu'elle est doublée par de fortes rés< ap ves et par les lignes de notre nombreuse £ Q_ lillerie, qui est commandée par les meilleu officiers du monde et qui dispose maintena ie de caissons bien ravitaillés. Quant au fro britannique qui nous épaule, avec l'app re d'éléments français, il possède de tels efi( tifs que toute entreprise de l'ennemi cont lui est vouée d'avance à l'échec. ar En toute guerre du passé, les résulte gQ tactiques obtenus par les troupes français jg au nord d'Arras auraient été décisifs et le a' auraient valu la victoire. Une simple pn sion d'aile, après les succès de l'attaq frontale, eût rejeté l'ennemi au bas des pe aj tes de la falaise de Vimy et l'eût obligé JX battre précipitamment en retraite dans yi plaine, vers la Deûle et la Scarpe. Mais, s e un front linéaire tel que celui d'occident-, ' faut davantage encore pour percer : l'atl que frontale doit aller jusqu'au bout des gnes successives de défense et disposer d'une vue dominante et d'un vaste glat pour briser l'obstination d'un ennemi acci ché aux obstadles naturels et artificiels ■ terrain. Quel que puisse être leur lendemai les succès d'Arras ont valu à nos alliés possession de puissants ouvrages ; ils 1 rapprochent de'la crête de la falaise de ^ my; ils établissent l'exceptionnelle valeur d troupes françaises et nous donnent la cer tude que des efforts aussi énergiques ouv er ront nécessairement, quelque jour prochai ii- la. giwnifÎA ferèchâ par rinoi ras sera ta flot l'offensive. t En Galicie, les Austro-Allemands s'épi ^ sent en efforts vers Rava-Russka, au nor £ ouest de Lemberg, et vers la Gnila-Lipa, : ® sud-est de cette ville ; l'intention est clair< ils veulent rompre le front russe et se r ,® battre, à leijr gauche, sur la Tanew et ? leur droite, sur le Dniester. Pendant le rr j_ me temr>s que ces événements se déroule 1 au centre, les Russes se livrent à de v s lentes et heureuses attaques sur ie Dniest et en Bukovine et tiennent bon, an nor en Pologne et sur le Niémen. Il serait térr raire de vouloir fournir aujourd'hui de pl amples indications sur les possibilités €s demain. re Pau! Crokaert. es 5 LES FAITSDÙJOUI es es »o« nt Une dépêche de Vienne à B&le dit que chancelier de Bethmann-Hollwerj, et le i de crétdire d'Etat aux affaires étràngèn es M. von Jacjow. sont arrivés du qrand qui de lier général pour conférer avec le bar ai" Burian, ministre des affaires étrangères, la M. de Bethmann-Hollweg a été reçu p ité l'empereur François-Joseph. ne UWWWWVl ^ Le Seoolo confirme que V Autriche a y ;e_ posé à la Serbie, à la veille de Vinterve es tion italienne, une paix séparée qui lui c pe donné une partie de la Bosnie et un débe £S ché sur VAdriatique. Cette proposition a : lF_ faite par l'entremise du sous-chef 'Vél té» major grec. ief Le ministre de Serbie à Rome a déch ,n_ au Gioroale d'Italia que jamais son pays ig_ consentira à une paix séparée et que celle lui a déjà été proposée, au mois de novemb. es WVWWWY1 nt j! Une dépêche de Rome, non confirm a! jusqu'ici, dit que Nabi Bey, ambassade de Turquie à Rome, a demandé ses pas. ports pour rentrer à Constanlinople. UWVWW1 Une réunion convoquée par MM. Ta Jcnesho et Lahovary et composée de de "e groupes de Vopposition conservatrice n er moine a volé un ordre du jour affirmant q 06 la politique de la Roumanie ne peut êlre c férente de la politique de la Triple Entei r0 pour la réalisation de son idéal national. 'n~ D'autre part, M. Diamandy qui, ihh dernier, était venu en France et y avait f des déclarations interventionnistes chalt reuses vient de se séparer de la Ligue rc maine d'action nationale... parce que cel ci insiste pour une intervention immédia on er wvwvwii ée Une dépêche d'origine serbe signale u Tt- nouvelle incursion d'une bande bulgare di >u- gée contre la seule voie ferrée, qui permei ue la Serbie de communiquer avec ses allit P Une note officieuse bulgare dément formel rrtent cette information. îjs- On assure d'autre part que les Titres c la évacué complètement Andrinople et la Th\ le- ce que les Bulgares pourraient occuper sa îs- tirer un coup de canon. On ne sait si cet abandon de la Tlirace t 5«i le résultat du besoin absolu de la Turqi ni- de concentrer toutes ses forces ailleurs, el- s'il est la conséquence d'une entente entre lé- gouvernement de Constantinople et celui je. Sofia. es Le Times annonce que le gouvernement •u- lemand a rappelé son ministre à Sofia, le es Mir.habelles, jugé insuffisant. C'est Val tac, jO- militaire allemand à Constantinople qui "ée p; is provisoirement possession du poste es ]i est bon de se souvenir que le cabinet ée Berlin, depuis le début de la guerre, a d( os procédé à des changements analogues à l caTSSt et à Athènes, " LE PAPE ET LA GUEBHE a propos de l'interview de la « liberté » o- îs L'interview de la Liberté a, naturelle té ment, été accueillie avec joie par ta press< er allemande. la Voici notamment ce qu'écrit dans son nu p- méro du 24 juin la Koelnische Volkszei os lung : « Que le pape ait déchiré et détruit ce tis su de mensonges (ta Koelnische Volkszei j]. tung pairie des anscusaiions élevées à diffé aj rentes occasions par les puissances de I« e3 Triple-Entente contre l'Allemagne) dans soi jr entretien avec le puMicïste îrançais, nom re ne. pouvons assez le remercier dans l'inté n rét de la vérité et de l'honneur du nom aile mand, mais aussi dans l'inlérét de l'étran ,r_ ger neutre, submergé par nos ennemis sou: T les imprimés haineux contre les troupes al jé lemandes. » ;€ Les journaux allemands tirent aussi par ir_ ti de la fameuse interview pour démontre: n. aux neutres qu'unie victoire austro-atlernan ,r_ de est nécessaire à la liberté du Saint x- Siège. r3 Ils déclarent que la note de YOsservator, n romano n'est qu'un très faible démenti, ob ni tenu, disent-ils, par la pression que le gou ui \ernement italien ne se fit pas fauite d'exer c- cer. L'essentiel, qui subsiste, est, ajoutent re ils, que le pape n'est pas libre, que la lo des garanties a été violée, que l'on peut tau ts craindre d'un, Etat qui renia ses engage es n ents 'es plus sacrés à l'égardi de la Tri ur plice. Dans de telles conditions les catholi is- ques doivent sentir à quel point leur Eglis» ae est menacée par les alliés. n- Il fallait s'attendre à ces commentaires à qui sont confor-mcs à l'attitude de la pressi la allemande, que nous avons signalée dès li ur rupture avec l'Italie. il A Rome, l'interview de la Liberté comti a- nue à faire grand tapage. li- Le pape a reçu jeudi en audience privéi là le cardinal anglais Gasquet. Le Messaggeri :is rapprochant ce fait de l'interview réeem o- ment publiée par la Liberté y trouve uni lu importance voulue et significative. n> La presse italienne signale des efforts trèi la nets dans les milieux dû Vatican pour atté es nuar le retentissement qu'a provoqué dani 'i- toute l'Italie la fameuse interview. e_s L'attention est attirée ide nouveau sui ti- l'annonce de la lettre que le Pape aurait en "i- voyée à M. de Bûlow avant son départ d< î1. Rome, lettre que publia to Koelnische Voiles ô se «L/o-rgctwo oatlioltcpM C nrW o r o W1 tn lia confirme l'envoi» de lia lettre, mais dorwn la nouvelle version suivante : « Au moment de son départ die Rome lu^ l'ex-chanoelier allemand, ltié avec le pap< ! : depuis plais i en rs années d'une amitié per sonnelle, lui envoya une lettre, tant en soi à nom qn'em celui de la princesse, lettre qu n'aviait d'autre valeur que l'expression d'ui nl homme courtois. Le pape répondit par un< °" lettre inspirée -des mêmes sentiments et san* er aucune espèce de jugement rai appréciatioi 7 politique. » ,e" La Tribuna s'élève cependant contre 1; version du journal allemand et demande li publication de la lettre, afin de faire dispa roître toute espèce de doute à ce su-jet. L'Os si rvniore Romano ne fait aucune allusioi _ à cette lettre ■>. nouveau dementi du gouvekne-■f ment italien Rome, 27 juin. — Une note officieuse dit « Le journal russe Bietch, parlant Ide; rapports du gouvernement i'talien avec 1-Ie Vatican, écrit ; La grave question des rapports de la on \r\ rie valioane avec les. Etats étrangers aurai '.m été résolue par un moyen très simple : l'ad miniist-ration des postes et des télégraphe ar italienne aurait reçu l'ordre de ne pas rece voir de dépêches chiffrées et, aux représen lieu de la part de la ou rie au sujet de 1 mont die Romte aurait répondu que les dépé ches chiffrées de la oour pontificale ne pou vaiien-t pas circuler jusqu'à la fin de L n- guerre. • ^ « Les affirmations du journal russe son :,r déiuuées de tout fondiemen't. Aucune repré ', scrutation, ni officiels, ni officieuse, n'a e liez ée la part de 1 acurie au sujet de 1 r£ dôÉ/nse des commuinioatiions chiffrées entr ne le pape et les Etats étrangers, et aucun représentation ne pouvait être faite parc \Q que, dans les rapports avec l'étranger, le dépêches expédiées au. pape ne sont pa soumises à La censure et sonit admises. » ée quelques declarations de ur deputes italiens 'c* Le Giornale d'Italia a fait une enquét. parmi les députés de chaque .parti présent à Rome, au sujet de l'interview du pap Benoit XV. he Le député catholique Sodterima a déclaré <( Je crois toujours qu'il est impossible qu >u~ le pape se soit exprimé, à propos de la Be' ue gique, dans les termes qui lui ont été attri buési; même si Benoît XV avait pu avoir de ite doutes au sujet de certains actes dont le Allemands se sont rendus coupables, ce er doutes .se seiraiemit évanouis sûrement aprè tout ce qu'il a constaté lui-même, par exerr ■à- pic, le bombardememit de la magnifique ca u- tl édrale d'Ancône. Ce bombardement ne fu le- pas une chose accidentelle, mais préparé te. et voulu. » Un autre député, M. PetirMlo (libérale m-c dérée), dit que le pape est, en ce momenl ne absorbé par deux préoccupations dominai! ri- tes. Il vise tout d'abord à garder une neu (i bralité si parfaite qu'il puisse, au/ momen îs. opportun, se jeter parmi les combattants e le_ leur crier : « Assez! » L'autre but est d siéger au futur congrès de la paix. Il von drait obtenir que fuit consacrée internatic •a_ nalement la loi italienne des garanties. ns — : ,st — La proposition Dalbiez sur les embus n> qués, modifiée en commission selon le vues du gouvernement français, a été voté . samedi au Palais-Bourbon à l'unanimit* ^ des 488 membres présents. — On s'attend à d'importants événement 21_ d)am le monde ministériel en Espagne s D r le gouvernement ne trouve pas une soluitio] ]X£ rapide aux difficuilités économiques. a — Au. Kinig's College (Université de Loi] dres), des cours spéciaux vont être ouvert de pour enseigner l'usage des outil® aux ou \fà vrieirs non qualifiés ou semi-qualifiés qu 'u- désirmt s'embaucher dans les fabriques d munitions. Les socialistes allemand! el la nerre . • ■ nocv. LES DEUX TENDANCES I^es nouvelles qui nous parviennent d'AUi magne à travers le crible de la censure in * pôriale continuent à signaler des manifesta tions intéressantes des deux tendances qi partagent en ce moment les socialiste - allemands. Le « Vorwaerts » vient d'être suspend - pour avoir publié un article intitulé : « Sociî l lisme et paix », et dans lequel il exhorta l vivement le gouvernement à entreprendi : des négociations de paix pour mettre un te . me à la guerre sanglante. La « Norddeutsche A-llgemeine Zeitung . publie à ce propos la note suivante : * « Sous le titre « la Sozialdernokratie et 1 ' paix », le comité du parti socialiste alleman publie un manifeste exposant comment le ' socialistes allemands ont fait leur devo dans la lutte pour l'indépendance et l'autom ■ mie de leur pays et de quelle manière leui ' efforts pacifistes ont été méconnus par le socialistes des nations ennemies. Le man ' feste montre que les socialistes d'Angieteri ■ et de France se rattachant à l'organisatic ■ socialiste internationale, leurs dirigeants < - leurs comités veulent poursuivre la guerr ; d'accord avec leurs gouvernements, jusqu i l'anéantissement complet de l'Allemagne, t » Malgré ces constatations, le parti soci< - liste allemand demande à son comité qu - tout en établissant le but qu'il poursuit, dar - cette lutte et la situation favorable créée pî i la bravoure de nos troupes, il fasse savo au gouvernement son désir de voir entame , des négociations de paix, afin de mettre u î terme à cette guerre sanglante, i » Le « Vorwaerts » a été suspendu par 1 censure à cause de la publication de ce rm - nifeste, qui es* des plus regrettables, pare que cette tentative de dicter au gouvern ; ment la voie à suivre fera à l'étranger et si ) la plupart des socialistes allemands une in . pression déplorable. » » On peut s'attendre à ce epie ce manifesl pacifiste soit considéré comme une preu\ j de l'existence en Allemagne d'un esprit e: . fatigue et de mollesse, ce qui est fajix. C ; manifeste est donc propre à ranimer les ei pérances de nos ennemis. » Dès que les situations militaire et polit . que permettront d'entamer des négociation ; de paix avec succès, le gouvernement saur [ faire son devoir. Jusqu'alors, le mot d'ordi du peuple allemand doit elemeurer le môme ; tenir jusqu au doux. » La même note est donnée dans la « Volki | zeitung » de Francfort, par M. Quarck, d< ' puté socialiste de cette ville, qui protest Wvemeàt contre ses trois collègues, Berni . tein, Haase, Kautsky. La démocratie socii 1 liste allemande, dit Quarck, doit se préocci [ per uniquement pour l'heure de défendi ; la patrie. Du reste, les socialistes français ' anglais et belges ont refusé de se prêter au 1 pourparlers que voulaient organiser leui coreligionnaires hollandais, tandis que, sar 1 que le gouvernement impérial s'y soit opp< 1 sé, les socialistes allemands se déclaraiei prêts à s'y rendre. Il est encore difficile de savoir exactemei 1 s'il y a derrière la manifestation des tro députés socialistes un réel mouvement d'op nion ou une manœuvre. M. Laskine, lui, se prononce pour cet dernière hypothèse : «i Ce manifeste, écrit-il dans le « Matin > du 27 juin, n'est pas «le premier, et l'on pei ' être assuré qu'il ne sera pas le dernier. Pli l'Allemagne approchera de la ruine, pli - elle aura intérêt à envoyer la prétendi t » minorité socialdémocrate » mendier 1( - sympathies et la pitié. H règne dans la S 3 zialdemokraèie comme dans toute l'Aliéna ■ gne une merveilleuse » division du travail - il n'y a, ejuoi qu'on en dise, ni majçrité : i minorité, mais seulement deux équipes c - travail alternant et savamment combiné - La preuve en est que le 4 août et penda: i toute la première période de la guerre, cel où l'Allemagne se croyait sûre d'écraser si 1 ennemis el de conquérir le monde, il n _ avait ni majorité ni minorité, mais « unar j mité ». La prétendue minorité se compoi j de pangermanistes et d'impérialistes comn e Kautsky, lequel a insisté pour ejue fût lu e en séance publique, la déclaration justifia: a 1e vote des crédits de guerre, ou comme Er g rnel qui fait régner à Mulhouse la terrei , prussienne, jette en prison ses adversair 3 politiques et menace les mécontents de lei imposer le « blocus de la gueule » (Maul perre). « Il n'y a pas un acte de la prétendi majorité auquel la prétendue minorité n'a collaboré. On nous abandonne « ies soci 3 listes impériaux, les Sudekum et autn 3 Koster » : mais l'héroïque Liebknecht, 2 vertueux Bernstein et l'austère Haase n'o: pas voté le 4 août autrement que Sudeku : et Scheidemann ; que ce soit par convictic Q ou par servilité, c'est leur affaire et non pî la nôtre. Si Haase ne pensait pas comn Sudekum, il a agi comme lui, leurs maii se sont levées en même temps pour le m 3 me vote, et c'est cela seulement qui import : Liebknecht est allé servir à Bruxelles le kt 3 ser que Sudekum allait servir à Bucares 3 Ou bien Sudekum est un coquin, — loin e " moi la pensée de le contester ! — et toi " ceux qui ont agi comme lui sont des coquin 1 Ou bien Haas*\ Bernstein et Lodebourg m 2 ritent le prix Montyon, et ailors les Sudeku: a et autres Koster » doivent en partage - avec eux les arrérages. » t AU JOUR LE JOUI t »o« ILS REFONT DU PAIN BLANC... Le bloous est admis partout et depu - toujours, aiu nombre des moyens de guen légitimes. Au œnitiraiire, "la noyade de voy. r geurs pacifiques-a toujours passé pour ûx * scélératesse aux yeux dés peuples civilisé f — N'importe, disent les Allemands. ' faut avant tout empêcher et punir les A: glais d'affamer les nom-combaLiants d'Ali ? magme. Pour nous, c'est affaire de vie c 1 de mort ; et du reste, forfait pour forfait, 1 leur dépasse encore Te nôtre : le Lusitan n'availt epue 1,800 personnes à bord quai - mous l'avons coulé ; en Allemagne c'e 3 plusieurs mil lions d'innocents que les A: r glais ont condamnés à lia mort lente par i faim 1 » li Les Allemands qui raisonlment ainsi i les neutres cyud couvrent leur pusilXanimi de cette argutie, n'oublierai qu'une chose : ' c'est de lire les journaux allemands. J L'Allemagne, aifirment-ils, n'a jamais été même seulement menacée de la famine. Elle clame, sur les toits que sa crise ali-memibaûre fut surtout une crise de... prévoyance gouvernementalle excessive ; qu'en réalité, l'empire regorge de pommes de terre, qu'il a plus de froment qu'il n'en faut pour atteindre la moisson nouvelle ; enfin que les boulangeries recommencent â fa-i- briquer le pain blanc. i- « L'Allemagne n'a rien à redouter au i„ poiait de vue des vivres : on ne saurait pas ii l'affamer ! » Voilà le thème général de la s presse allemande d'à présent. Très bien, très bien. a .Mais alors, que devient le fameux argu-i- meint eie la nécessité, indispensable oour it justifier l'affaire du Lusitania et la pirate-e rie sous-marine ? A la rigueur, on peut encore passer quelque coup de désespoir à des gen® <rui se ,) verraient réduits à perpétuité au régime du pajin K.K. ou K.K.K. Ce pain-là, en effet, ne eloit pas donner dies idées roses. ^ Mais» quiand on affirme avoir gardé la d huche pdeine de fleur eie farine, on est assez s mal venu de faire du torpillage des paque-r_ bote, des cargos et des chalutiers sans eLé- } niriir* iirru^&i'i^micNo /",in*xcHr»ri iinan DERNIERE HEURE " Communiqué ofûeiel français a —o— le Paris, 28 juin, 14 h. 45. ». Rien d'important à signaler au cours de r cette nuit, ce n'est deux attaques alle- r mandes, une A LA TRANCHÉE UE i Ai LONNE (liaut's-de-Meuse), l'autre à l'Est e de METZERAL (Alsace). Toutes deux ont e été repoussées. e » ,e les operations russes Petrograd, 27 juin. — 0{{iciel. — DANS '• LA REGION DE CI1AVLI, DU TRANS-s NIEMEN ET DE LA NAREW, on ne signale a aucune modilication. De petites attaques de e l'ennemi sur dil/érenls secteurs ie res • fronts ont été repoussées. buti UA hivn u/iuwiD UCJ JL,/I v U- TULE, l'ennemi a engagé un combat avec !" des {orces importantes sur te iront d 0;n-rew-Zauiichost, mais cette offensive a e échoué d'ans la journée du 26 juin. i_ EN GALICIE, les troupes rus-.'e?, après l" une résistance opiniâtre sur le front Bobrka-Zurawno, se replient sur la Gnila Lipa, (af-,e fluent du haut Dniester qui prend sa source '' â 40 kilomètres au sud-est de Lemberg). x DANS LA REGION DE BOBRKA, au s cours des contre-attaques de la journée, s nous avons fait 1,600 prisonniers, dont Jj 46 officiers, et pris deux mitrailleuses. »o« - succès russes en armenie s l~ Petrograd, 28 juin (Officiel). — Banis ia direction de Sary-Kamich, nos éclaireurs ont battu les Turcs sur l'ensemble du front au Nord d'Araxe. » Nos troupes passèrent à la baïonnette les it troupes de couverture de Maslagat et d'Ar-dos.is Nous avons dôîait un régiment d'infante-ie rie près de DayitTan. Les Turcs se sont en-■s fuis dans la direction de l'Ouest. > Un combat important se continue près de 1- Zevan. 5)1 M. salandra part pour le front d. it Rome, 28 juin. — M. Salandra est parti le dans la soirée pour le Grand-Quartier gé- :s néraL 'y II a été salué à la gare par les Ministres 1- et les Sous-Secrêtaircs d'Etat. ;e Lorsque le train s'ébranla, la foule accla- ie ma longuement le Président du Conseil, e, -——okju le CHANCELÎiER allemand a vienne ir îs Amsterdam, 28 juin. — On mande de Ber- ir lin à la « Gazette de Francfort » : s- On apprend de source diplomatique que la ie visite du chancelier M. von Betlimann-Holl- it weg et de M. von Jagow à Vienne n'est pas i- motivée par des questions nouvelles ou par ;s une situation politique nouvelle. le Elle ne le serait, parait-il, que par suite it d'une conférence commencée depuis quel- n que temps entre les alliés et dont le pro- n gramme comporte, entre autres choses, is l'examen des moyens nécessaires pour en- ie rayer les efforts de la Triple Entente dans is les Balkans. ê- —•—»Ot(i jl le voyage de m. dernburg le Bâte, 28 juin. — M. Dernburg est arrivé a ls Berlin. S. 110(1—■— t ge sont les grecs qui ravitail-5 lent turgs et allemands Athènes, 28 juin. — La Légation d'Angiî-terro communique à la presse une dépéchï y de l'Amiral anglais aux Dardanelles disant ^ q,ue le ravitaillement des Turcs et des Allemands est effectué par les navires grecs. Cette attitude contraire à la neutralité amènera certainement des conséquents fort regrettables dont souffriront également is les armateurs et les commerçants grecs. ,e »o» i- LES PIRATES ie Londres, 28 juin. — Les journaux annoncent qu'un sous-marin a attaqué au large de Youglial (Hollande) un certain nombre e~ de petits bâtiments. ," Seule, la goélette «Edith » a été coulée. Trois hommes de son équipage ont été amenés à Youghal. it — L Académie française, procédant au a renouvellement de son bureau pour le troisième trimestre de 1915, a élu M. Denys Coït chin directeur et M. Henry de Régnier, lé ïhancelieir.

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This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

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