L'indépendance belge

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05 January 1918
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s.n. 1918, 05 January. L'indépendance belge. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/4x54f1nd96/
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L'INDÉPENDANCE 111111? S 113117 CONTINENT: 15 CENTIMES ROYAUME-UNI : ONE PENNY Ju» S ||rJ il m (HOLLANDE : 5 CENTS) ADMXNISTBATION ET REDACTION: BUREAU A PARIS : QAIVIFni *5 ■IANVIPD 4Q10 (3 MOIS, 9 SHILLINGS. TUDOR HOUSE. TUDOR ST.. E.C. 4. 11, PLACE DE LA BOURSE. 0«mcui O UHWÏICK 15,10 _ ABONNEMENTS:■ 6 MOIS, 17 SHILLINGS. CONSERVATION PAR LE PROGRES. téléphoné: city 3960 télé.: 3ii-57et238-75 En vente à Londres a 3 h. !e vendredi 4 janvier 11 AN, 32 SHILLINGS. LA SITUATION C'est aujourd'hui que les pourparlers de paix entre les Bolshévistes et les délégués des Puissances- Centrales doivent être repris, et le télégraphe nous annonce que le comte Czernin et Talaat Pacha sont repartis pour Brest-Litovsk, où est arrivée également une députation de l'Ukraine. Les négociations seront suivies avec un O k intérêt d'autant plus vif que les Puissances Centrales se voient menacées d'une rupture des pourparlers par suite du désaccord sur la question des provinces baltiques et de la,Pologne. Le langage sévère dont se sont servis Trostky, Lénine et Kameneff pour caractériser l'hypocrisie des négociateurs allemands, et la menace de reprendre les hostilités a dû faire réfléohir à Berlin, où l'on se flattait déjà d'avoir mis l'oiseau russe dans la cage. Le ^comité des affaires étrangères du Conseil Fédéral allemand, c'est-à-dire la plus haute autorité de l'Empire après l'Empereur, s'est réuni mercredi au palais du Chancelier sous la présidence du Premier Ministre bavarois, M. vou Dandl, en vue de discuter la situation politique, et, simultanément, on annonce que le Chancelier von Hertling, le maréchal von Hindenburg, le chef d'état-m'ajor von Ludendorff, le comte Roedern et M. von Kuhlmann ont fait un rapport commun à l'Empereur au sujet de la situation générale, politique et militaire. Il' va sans dire que ce sont les pourparlers de paix qui ont été l'objet principal de ces échanges de vues et que les délégués de l'Allemagne sont repartis pour Brest-Litovsk avec des instructions complémentaires dont nous connaîtrons in- ' cessamment le sens. M. Ransome, le correspondant spécial dés "Daily News',' à Pétrograd, qui a si exactement signalé ces jours-ci la tournure nouvelle prise par les événements, apprend qu'au cours des négociations de Brest-Litovsk deux courants différents se sont manifestés : l'un annexionniste, représenté par. le délégué allemand Hoffmann; l'autre, plus modéré, représenté par le comte Czernin et M. von Kuhlmann. C'est M. Hoffmanïi qui, paraît-il, se faisait le porte-parole des militaristes et qui se plaignait, entre autre, de ce que les Russes utilisaient l'armistice pour faire de la propagande parmi les soldats allemands. Plus d'une fois ce champion du militarisme provoqua des incidents et ' des divergenoes d'opinion entre la délégation allemande, qui rendirent nécessaire d'en référer à Berlin. Ce fut invariablement, noîis dit-on, le point de vue des modérés qui triompha à Berlin, et c'est sans doute ce qui fait croire à l'inspirateur de M. Ransome que l'Allemagne cédera aux Busses en ce qui concerne la Pologne et la Lithuanie, "afin de bénéficier du double avantage que lui vaudrait, tanten Allemagne qu'à l'étranger, un semblant d'accord aveclaRussie. ' ' M. Ransome croit que les pourparlers de paix seront poursuivis à Stockholm, d'abord pour leur assurer une publicité plus grande (et plus impartiale sans doute) et ensuite parce que le terrain neutre de Suède semble plus propice que le grand quartier-général allemand pour des négociations de ce genre. Nous croyons pouvoir ajouter que l'idée de derrière la tête des négociateurs de Brest-Litovsk, en transférant les pourparlers à Stockholm, est de faciliter aux Alliés une part-icdpatioii éventuelle plus ou moins directe dans les négociations. Car, ne l'oublions pas, le but principal des pourparlers, tant pour les délégués russes que pour ceux des Puissances Centrales, quoique pour des motifs différents, a été, et est encore, de transformer en Congrès de la Paix les conférences inaugurées à Brest-Litovsk, Nous avons tout lieu de nous méfier, dans une mesure différente, évidemment, et des délégués bolshévistes et des délégués centristes, car les uns et les autres obéissent à des motifs purement égoïstes, quoique diamétralement opposés.Les Bolshévistes n'ont en vue que le triomphe des idées maximalistes, tandis que les i centristes sont préoccupés du désir de - sauver l'impérialisme du naufrage dont j il est menacé. > C'est entre cette Charybde et cette i Scylla que la barque des Alliés doit pas-; ser sans aocident si elle veut atteindre i le port de la paix et de la sécurité future. Pour des gens qui ont jeté l'anathème i sur la diplomatie secrète (que nous dés- ■ approuvons, nous aussi, lorsqu'il s'agit ; d'engager le pays dans une politique ! d'aventures), les Bolshévistes ont mis, . nous semble-t-il, beaucoup de temps à faire la lumière sur les négociations de ; Brest-Litovsk, qui devaient avoir lieu . "en plein jour," et nous ne pouvons nous . empêcher de nous demander si tout le . bruit fait autour de la question polonaise et lithuanienne n'est pas une habile manœuvre, de la part des Puissances Centrales, pour faire la réclame nécessaire autour de la Conférence de Brest-, Litovsk et pour amener les Alliés à par-; ticiper, indirectement, aux pourparlers. Il y a en ce moment tout un remue-ménage politique-et diplomatique qu'il convient de suivre de près, car il a trait, plus ou moins directement, à la manœu-i vre de paix russo-allemande, et à ses con-. séquences plus ou.moins'immédiates. Le départ de Pétrograd de sir George Buchanan, qui a joué un rôle si important dans les récents événements de Russie, le départ de Washington de sir Cecil Spring-Rice, ambassadeur de Grande-Bretagne auprès du gouvernement américain (il avait donné sa démission lors de la mission de M. Balfour), et la retraite volontaire du Premier Ministre de Terre-Neuve, un des grands impérialistes ■ anglais, Sont deS faits dont la coïncidence n'est probablement pas due au hasard. Toutes les Puissances se préparent à livrer la grande bataille politico-diplomatique pour la paix, et le moment critique approche. Du côté des Alliés des efforts sont faits pour atteindre le peuple allemand, maintenu en tutelle par ses dirigeants, et dans ; cet ordre d'idées le pamphlet des Bolshévistes russes, destiné à être répandu en Allemagne, pourrait être d'un grand secours — s'il arrive jamais à destination. Sous la pressibn, tant- intérieure qu'extérieure, des éléments démocratiques, l'Allemagne va sa-ns doute se résigner à quelques sacrifices nouveaux dans le domaine de la politique intérieure et du parlementarisme, mais les Puissances Centrales ne céderont du terrain que lentement, car ils connaissent l'art de battre en retraite aussi bien que celui d'attaquer.Au point de vue des Alliés, il est important de noter que, jusqu'à nouvel ordre, les Russes ne relâcheront pas leurs prisonniers de guerre et qu'ils se refusent à aborder la discussion des questions économiques, qui tient tant au cœur de nos ennemis. Aussi longtemps q»e les questions polonaise et lithuanienne ne seront pas liquidées. C'est au tour de nos adversaires de passer par des transes au sujet du développement des affaires de Russie, et cette situation doit paralyser dans une certaine mesure l'exécution des projets militaires de nos ennemis. Pour le moment toute l'activité militaire sur les différents fronts se confine à des duels d'artillerie, l'infanterie ne se livrant qu'à deê raids locaux sans grande importance. Il nous reste à signaler le message réconfortant adressé par le Président Wil-son à M. Lloyd George, disant que les Etats-Unis emploieront leur dernier homme et leur dernier dollar à remplir la tâche sacrée qu'ils se sont tracée et qui consiste à gagner pour le monde une paix honorable et sûre, basée sur la justice et l'honneur et garantissant aux peuples de la terre, grands et petits, les bienfaits de la sécurité et la possibilité de relations amicales et d'aide mutuelle. C'est la réaffirmation, en quelques mots, du programme humanitaire élaboré par le Président. SUR LE FRONT OCCIDENTAL SUR LE FRONT BELGE Une mission militaire japonaise Une importante mission militaire ja- < ponaise vient de visiter le front belge. ; Conduite par le colonel Wattanube, elle e composait des lieutenants-colonels >ato, Takhashi, Kuritaru et Hattori, des najors Jamada, Kuromu et Katsuki, du ous-intendant Kato. Les officiers japonais ont été reçus suc- , essivement par le général De Ceuninck, ninistre de fa guerre, et par le général,, Ruquoy, chef d'JEtat-major général. Le roi Albert a accordé également une audience à la mission japonaise à son gi and quartier-gt néral. Nos alliés d'Extrême-Orient ont visité les avancées de Dixmude et de Merc-kem, des installations d'aviation, de télégraphie sans fil, la ville de Furnes, l'hôpital de Beveren sur Yser et diverses organisations militaires. Ils se sont vivement intéressés à ce qu'ils ont vu ejt se sont déclarés enchantés de leur visite. Pas d'offensive allemande à bref délai Nombre de critiques français ont insisté, récemment, sur l'éventualité d'une dffensive ennemie de grand style sur le front occidental. Mais d'autres estiment que l'offensive ne se produira pas prochainement, et voici pourquoi : Hindenburg ne pourra pas ramener toutes ses forces de Russie; il doit en laisser une partie importante pour la garde des territoires conquis, pour fermer la frontière nouvelle à la propagande révolutionnaire russe, et pour résister à des menaces possibles du côté de l'Ukraine.Dans ces conditions, poursuivent les partisans de cettc thèse, le jour où l'offensive se produira, si tarit est qu'elle ait lieu, étant donné que la situation économique des ennemis est devenues très sérieuse et accentue la crise sociale et politique, il paraît peu probable qu'elle pourra surprendre les Français et que ceux-ci ne seront pas en mesure de leur résister par des raoyens bien supérieurs à ceux qui leur réussirent sur la Marne, sur l'Yser et à Verdun. En tous cas, il est superflu de faire remarquer que tous les approvisionnements que la France envoyait jadis à la Russie et à la K uua.iie sent aiahite-nant expédiés au front français, dégageant ainsi une portion importante' du tonnage. L'offensive allemande semble donc n'être qu'une sorte d'épouvantail diplomatique, destiné à impressionner ceux qui ne peuvent se rendre compte des lenteurs auxquelles seraient subordonnés les mouvements destinés à ramener les forces allemandes des frontières russes. Avant que Hindenburg ait organisé cette opération, le concours américain sera déjà complet. —"Il Secolo." OPERATIONS NAVALES Les pertes sur mer Les statistiques des ports français pour la semaine finissant le 29 décembre 1917 donnent 736 entrées et 75ô sorties, contre 711 et 887 la semaine précédente. Deux navires marchands français de plus de 1,600 tonnes ont été coulés, contre un de plus de 1,600 tonnes et un de moins de 1,600 tonnes la semaine précédente.Deux navires marchands français ont été attaqués sans succès, contre un la semaine précédente. Aucun bateau de pêche français n'a été coulé. OPERATIONS AERIENNES Hôpitaux italiens bombardés Dans la nuit de 1er au 2 janvier, des aviateurs autrichiens ont jeté des bombes sur Castelfranco et Veneto, atteignant directement deux hôpitaux ; 18 des malades ont été tués. • LES EVENEMENTS EN RUSSIE L'opinion de M. Pachitch L'Agenzia Volta a eu un entretien avec M. Pachitch, président du Conseil des ministres serbe, qui, depuis quelques jours, se trouve à Rome, où il a conféré plusieurs fois avec M. Sonnino. M. Pachitch a parlé de la Russie, en disant que les événements qui s'y accomplissent résultent de l'étendue des territoires et de la complexité des problèmes. "Mais je crois, a-t-il ajouté, que la Russie trouvera sa voie et parviendra à se ; ressaisir. La question est de savoir si elle pourra se rénover à temps pour être encore utile à notre guerre. Quelles que soient ses négociations pour l'armistice, il est impossible de prévoir sur quelle base line paix pourra être conclue. ' "Il faut distinguer : ou Lénine et Trot- < sky sont les agents vrais et authentiques de l'Allemagne, ou ce sont des hommes 3 à principes. 1 "S'ils étaient les agents de l'ennemi, 1 la conclusion d'une paix toute en faveur j de l'Allemagne le démontrerait aussitôt. Leur traité serait alors déchiré par le [ peuple russe et ses clauses ne seraient jamais acceptées. "Ou ils sont des hommes à principes, et alors les choses changent radicale- ' ment d'aspect. Ils peuvent, dans l'orga- i nisation sociale intérieure de la Russie, j aspirer aux plus extrêmes réalisations de leurs idées, mais ne pourront contresigner avec l'Allemagne un traité de paix qui ne garantirait pas au moins le respect du principe de la liberté pour les peuples de décider de leur propre sort et de rénoncer aux annexions et contributions. Mais s'il en était ainsi, l'Allemagne et l'Autriche, aujourd'hui plus prétentieuses que jamais, ne peuvent accep-ter'ses conditions des maximalistes. "Et voilà pourquoi, sans m'abuser aucunement sur la gravité de la situation russe, je ne suis point encore pessimiste.",M. P; hiteh a abordé alors la situation balkanique, en témoignant la plus vive préoccupation pour le sort de la Roumanie, mais en ajoutant que la situation s'était depuis ces jours derniers, quelque peu améliorée par suite de l'attitude de l'Ukraine. * * * —Sir George Buchanan, ambassadeur britannique à Pétrograd, a obtenu un congé, et il est peu probable que, pour le moment, on lui donne un successeur. — M. Tchitcherin, le révolutionnaire russe qui avait été, il y a quelque temps, nommé envoyé bolshéviste à Londres, et contre l'arrestation duquel M. Trots-ky avait violemment protesté, a été relâché et a quitté hier Londres pour !a Russie, avec M. et Mme Petroff, qui a\ aient■ également été cmprisonut^. LE PROBLEME ALIMENTAIRE Un discours important dans lequel il prévoit la prochaine nécessité du rationnement forcé, a été fait hier par lord Rhondda en ouvrant une cuisine communale à Silvertown. Il dit que le plan est sur le point d'être terminé et que lorsqu'il aura obtenu la sanction du Cabinet, I il sera mis en vigueur aussitôt que pos- [ sible. Lord Rhondda parla aussi de la pénurie de viande et dit qu'il ne désirait nullement menacer les fermiers, mais que si le bétail n'arrivait pas au marché, les dispositions nécessaires seraient prises pour l'y amener. A une conférence au ministère de | l'alimentation, le directeur des approvisionnements de viande a annoncé que | le mardi sera le jour sans viande pour Londres et le mercredi pour la province. 1 L'AIDE DE LA CHINE ' t t L'ambassadeur de Chine à New-York r a déclaré que la Chine avait l'intention g de jouer son rôle entier dans l'association c internationale. Les ressources de la Chine a en hommes seront mobilisées et ses res- o sources rapidement développées. ^ AUTOUR de la GUERRE ; -o c ESPAGNE n — Le roi a publié un décret dissolvant n le parlement. Les élections ont été fixées v au 17 février et la réunion du nouveau v parlement le 11 mars. c' ETATS-UNIS d — M. Lansing a fait publier le rap- 1 port sur les résultats de la mission améri- ~ caine en Europe. Les recommendations faites en conclu- J sion du rapport sont (1) Les Etats-Unis doivent exeroer toute leur influence pour assurer l'unité complète d'effort militaire, naval, et économique entre eux- g< mêmes et les pays unis à eux dans la a guerre. (2) Attendu que l'heureuse ter- e minaison de la guerre peut être hâtée' s( considérablement par l'extension du pro- f. gramme maritime des Etats-Unis, il faut sj que le gouvernement et le peuple tendent £ tous leurs efforts vers l'accomplissement de ce résultat. (3) Les forces combat- e, tantes des Etats-Unis devront être en- ^ voyées en Europe dans le plus court ^ délai possible. j GRANDE-BRETAGNE h — Une conférence a eu lieu hier entre d ls gouvernement et les représentants des s« trade unions ; une nouvelle réunion a d lieu aujourd'hui. Sir Auckland Geddes, d' 8 i e a s ii b a a a a s BIBLIOTHEQUES PUBLIQUES À LONDRES No 3.—La Bibliothèque à l'office des Brevets La bibliothèque de l'Office des Brevet» est situee Southampton Buildings, à l'arrière de 'StapIe Inn. C'est une des plus importantes bibliothèques techniques du Royaume-Uni, car, à côté des ouvrages imprimés, des index, et autres publications des Offices de Êrevets britanniques et étrangers, elle renferme un nombre consi-i d'érable de livres de valeur de toutes | natures, tant scientifiques, techniques, in-| dustriels, qu'artistiques et littéraires, se rapportant aux arts de la paix comme à celui de la guerre. Parmi les volumes innombrables que renferme cett'e bibliothèque, on peut signaler les suivants : L'agriculture, la culture forestière, le jardinage, le drainage de3 terres, la science et les tactiques navales et militaires, la boulangerie, la minoterie, l'aéronautique, l'architecture, l'électricité, la pharmacie, l'art dentaire, l'horologie, l'imprimerie et l'art de l'ingénieur. Des collections des principaux journaux techniques et périodiques britanniques et étrangers figurent dans cette bibliothèque, ainsi qu'une collection de catalogues de fabricants. L'accès de la bibliothèque est libre, et on peut y consulter les livres; il ne faut pas de tickets d'admission. Les visiteurs sont simplement invités à signer leurs noms dans iip, registre à. l'entrée L'entrée de la bibliothèque est libre; du lundi àu vendredi, de 10 à 5 ; le samedi, de 10 à 1. Pour Chancery Lane par les services nos 7, 7a+ , 8, 17, 22, 23, 25, 25a* (extrémité vers Holborn); nos 6, 9, 11, lia, 13t, 151 (extrémité de Fleet Street). + En semaine. * Le dimanche. Lcndon General Omnibus Go. Ltd. Broadway, Westminster. £!3!&&3ËsS3S!iQC3i!S§i!9 ■ m a H B i ■ ■ ■ ■ i BaiiaaiBiBBg AUTOUR DE LA GUERRE GRANDE-BRETAGNE—Suite pour le gouvernement, a exposé complètement la situation, et a déclaré notamment qu'après un examen approfondi, le gouvernement avait dû se convaincre qu'il serait incessible de maintenir les armées en campagne à moins qu'une grande nombre d'hommes se soient recrutés parmi les ouvriers de munitions, non seulement pour les unités techniques mais aussi pour les unités combattantes. -— On annonce de Washington que sir Cecil Spring Rice, l'ambassadeur britannique aux Etats-Unis, avait offert sa démission au printemps dernier, lors de la visite de M. Balfour, cette démission devant devenir effective au moment où cela conviendrait au Foreign Office. On dit dans les cercles officiels qu'il ne retournera à son poste après son congé actuel. DERNIERE HEURE ' Les Alliés et Lénine Le "Daily Chronicle" dit qu'en présence des événements qui se sont produits au cours des négociations entre la Russie et les Puissances. Centrales, qui paraissent avoir échoué, la reconnaissance de fait pourrait être accordée par les Puissances Occidentales au gouvernement de Lénine. Une déclaration au sujet de la politique des Alliés sera prochainement envoyée en Russie; elle sera d'un caractère démocratique. M. Litvinoff qui a été nommé ambassadeur bolsheviste à Londres pourrait aussi être reconnu en fait. Sir George Buchanan, ambassadeur de Grande-Bretagne à Pétrograd serait remplacé par un diplomate ayant des sympathies marquées pour les idées de la Russie révolutionnaire. t '" . ' y ■ ' . ' t ' •. •. • . ' ' > y i * \ «9e année , No 5

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This item is a publication of the title L'indépendance belge belonging to the category Oorlogspers, published in Londres from 1914 to 1918.

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