L'indépendance belge

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20 September 1917
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I «Sème -mi L' INDÉPENDANCE Il ROYAUMES NI : ONE PENNY BELGE CONTINENT : 15 CENTIME* (HOLLANDE; 6 CENTS) I administration et redaction j dane str., high holborn, w.c TELEPHONE : HOLBORN 1773-< r. BUREAU A PARIS: j XI, PLACE DE LA BOURSE. >' TELEPH,{^:^.et JEUDI 20 SEPTEMBRE 1917. En vente à Londres à 3 H. le mercredi 19 sep- f 3 MOIS, B SHILLINGS. 1 ABONNEMENTS..) fj MOIS, 17 SHILLINGS. J-CONSERVATION PAR LE FROGI LA SITUATION Mercredi, midi. I Un communiqué officiel émanant ■['ambassade russe nous apprend q Ifère des réformes dans l'armée de n ■illiés a commencé. Le général Aleiei ■ a été chargé par M. Kerensky, comma Hdwieii chef nominal, de la direction ■toutes les opérations militaires et ■l'œuvre de réorganisation dans l'arme ■in(J refonte de l'état-major a eu lieu ■ \1. Kerensky a donné des ordres sévèi Hpoiir mettre fin à l'ingérence des comil ■ Jiins la mise en jugement des officie ■ qui ont sympathisé avec le mouveme ■du générai Korniloff. K L'ex-commandaut en chef, arrêté a-v ■23 généraux ou officiers supérieurs, < ■détenu dans un liôtel .à Mohileff et pi Hparesa défense. Quant au généralKle. ■bovsky, son attitude a été reconnue, p ■ la commission extraordinaire d'enqu* ■iégeant à Pskoff, comme ayant été p; ■ faitement correcte et il est mis hors I Eu ce qui concerne le général Kaledi ■lise défend d'avoir voulu créer des d Bifaltés au Gouvernement Provisoii ■i'fi-lietman des cosaques du Don s'i ■ rendu au quartier général où se tre ■ vent réunis déjà M. Kerensky, le gér ■ al Verkhovsky, ministre de la guer: ■c't l'amiral Yerderevsky, ministre de ■marine, afin d'expliquer son attitude, I 11 est à espérer qu'en présence de ■fermeté qu'affiche le Gouvernement, l'< Hdre sera rétabli complètement et qu' ■«'aura plus à déplorer des incidei ■ dans le genre de ceux de Viborg, ■22 officiers ont été massacres par lei Hfemes et où 60 autres ont disparu sa ■Mssot de traces. Il est à souhaiter éjj W\ement que le Gouvernement ne se lai I pas influencer par des manifestatk I dans Je genre de celle à laquelle s'' I livré Je Conseil municipal de Pétrogrf ■ qui réclame déjà l'abolition de la pei ■ de mort, à peine rétablie sur le front. Nous saurons dans quelques joi I quelles sont les réformes élaborées par ■ Gouvernement pour créer une puissa' ■ armée révolutionnaire et dont le n< ■ veau ministre de la guerre annonce ¥■< ■ plication prochaine. Seront-elles pri ■ avant ou après la réunion du Cong ■ des Soviets fixé au 25 septembre, et que ■ sera, dans l'jtn ou l'autre cas, l'attitii ■ te délégués ouvriers et soldats? Ce ■ «semblée qui s'attribue les pouvo ■ d'une Constituante, réunira près ■ mille délégués représentant :1e Soviet ■Fétrograd et de Moscou (200 délégué ■le Conseil des délégués paysans (10( Bits sociétés coopératives (150); les cor ■tés militaires {84) ; les comités de distr ■ '50); l'Union des employés des postes ■ télégraphes, des instituteurs, etc. (9 ■ et il est à craindre que ces éléments ■ responsables n'exercent une influe) ■ désastreuse sur le Gouvernement. Cel ■ ci annonce, d'autre part, que la proc ■ mation de la République est une mest ■ de pure forme et que l'administrati ■ républicaine 11e sera réellement instal ■ qu'après la réunion de l'Assemblée C'< ■ situante. ■ ha question finlandaise semble éga ■ ment avoir perdu de sou acuité pu ■ qu'une députation du Sénat finland ■ est arrivée chez M. Kerensky afin de ■ mercier le Gouvernement Proviso ■ d'avoir accordé l'autonomie à la F I lande et l'assurer de la ooopérati I '-oyale des Finlandais tant au point I T"e politique qu'économique. ■ Par une heureuse coïncidence, le n< I I T«au régime en Russie est marqué j ■ ""e amélioration sensibles'de la situati fur le front de Riga, au nord-est l'riedrichstadt, les Russes, après un < F Jugement assez vif,ont occupé un bois ! Pl!d du village de Biddag, et au st ouest de Hapsal des progrès ont été fa 'gaiement. Les Roumains, de leur cô prenant l'offensive dans la vallée de viisitza, s'emparèrent d'une série de ] suions ennemies dans la région de V; n'tza. Une attaque allemande dans Jeteur de Panciu-Marasetsi a été poussée. kn Macédoine, seule l'artillerie icfive, Kur jp plateau de Rainsi I afiiég italiens ont etibore repou I pliiSieui • c'.:itre-;:t; r.nner; autrichienne Lo • V , : v i ' .-.j. j , o :i (. . tin, aux Bovettes au sud d'Aillés et ku :1e la route de Neufchatel (Aisne), ont t'< ne poussé une série de raids ennotuis. L os Champagne et sur la Meuse, le bombai eff dement continue. v 11- Dans la région d'Ypres, les troup< de britanniques ont remporté quelques sui de cès locaux, et le communiqué de Berli :e. ne se lasse pas de mentionner le 'violer et bombardement dont cette partie du frci es continue d'être l'objet és Comme le disait le général Smuts dai rs une interview accordée au correspond»! nt du "Journal," la tactique suivie sur iîront britannique en France ne frapj; ec pas beaucoup les imaginations, mais s< ;st résultats sont certains. La guerre est d< ■é- venue une guerre de matériel bien ph 11- que d'effectifs, et actuellement, dit 1 ar nous occasionnons à l'ennemi le mas >te mum de pertes avec un minimum de ri. iv- ques. En réalité, la guerre est déjà g: de gnée par les Alliés, et il s'agit uniqu< ment pour eux de faire preuve de pi n tience. L'Allemagne, du moins les class< if. dirigeantes, sait que la partie est perdi •e. pour elle, et le peuple 11e sera passion »st à s'en rendre compte, lui aussi. ,u- Nos adversaires ont une véritab ,é- fringale de paix et rien 11e les passioni •C- plus; en ce moment, que la paix. Ton ]a la polémique inaugurée dans la près à propos de propositions britannique ja n'a d'autre but que d'activer la discu )r_ sion de la paix dont l'Allemagne a 1; on urgent besoin. its Nos adversaires veulent à tout pr: nous entraîner à discuter la paix, afii [rs sans doute, de pouvoir sortir une pr< ng position nouvelle susceptible d'avo plus de succès que ses tentatives préc jse dentes. Le député catholique Erzberger, doi j. on n'a- pas oublié l'attitude belgophob "cl parle d'une paix juste et durable ve ' ^ laquelle nous avançons à grands pa et M. de Richthofen écrit dans un jou nal autrichien que la paix sera poi u1Sj cette année! :e En ce cas nos ennemis feraient bi( I 0 d'abattre leur- jeu et de fournir des e )u plications un peu plus claires sur leu lP~ intentions relatives, notamment, à Belgique, dont la conquête politique économique a décidément été le b . principal de cette guerre. Peut-être e réponse à la note papale nous fournir . c t-elle quelques éclaircissements sur '*s chapitre, ainsi que sur plusieurs a c€ très, tout aussi passionnants. ( 0 Etant donnée l'influence—nulle poi ''' ainsi dire — du parlement et de presse clans l'autocratique Allemagn ?1_ il n'y à pas lieu d'attacher beaucoi ict d'importance aux manifestations ve baies et autres venant de ces miliei y' puisqu'ils sont exclus de la direetk II " des affaires, et tant que cet état de chos ";0 durera, il ne faut pas se laisser divert u" par des discussions et des polémiques t lérées, donc voulues, sinon sollicitée llc par le Gouvernement impérial. on La réticence des officiels allemands eo eG traste violemment avec la franchise do: •>n" font preuve les représentants autoris des Alliés, et ce n'est pas aux adversair |e" des Puissances Centrales qu'on peut f ai 1S" le reproche de manquer de clarté qua. 118 aux buts de cette guerre. |'€" M. Painlevé les a définis hier enco ire très nettement en exposant la politiqi n" du gouvernement reconstitué. Ils consi oa tent non pas à conquérir ou à se venge 'Ie mais à défendre la liberté^et l'indépe: dance de la France ainsi que du mom »u- entier. La France réclame la restitutû ar de l'Alsace et de la Lorraine, réparatic on pour les pertes et les dommages subis, une paix qui constitue une protectû tic effective contre toute agression nouvel m- sans oppression pour aucun peupl au grand ou petit. *cl~ Prolonger la guerre un jour de pl tts qu'il 11e faudrait pour atteindre ce bu te, a ajouté le Premier, serait aussi crin la nel que de l'arrêter un jour trop té m- Pour atteindre ce but il est nécessaii tr- a.recommandé M. Painlevé, cl'univ pl le étroitement que par le passé, les r< re- sources des Alliés, dont la supériorité sera réellement écrasante que lorsqu' ; -t formeront une nation unique, 11 «a armée unique et 1.111 front unique, car défaite de l'un serait nue défaite po s. 'ions, fie même que la victoiie. de Y 1 ' 1 ' 1 . j » LA LIBERTE DE M.MAX il' Un télégramme Exchange annonc 2- qu'à l'intervention du Roi d'Espagne n le gouvernement allemand serait sur L r-i point de remettre M. Max en l'oert-é. S! LA REOUVERTURE OU ' PARLEMENT FRANÇAIS U it * La déclaration ministérielle )s Le parlement français s'est réouver it hier. A la Chambre des Députés, M 1€ Painlevé, au nom de son cabinet, à li )e la déclaration suivante : ,,g "Ce n'est pas le moment des longs dis e. cours ni des longs programmes. Main ls tenir unies toutes les forces matérielle ! et morales de la nation pour la plias • ] suprême de la guerre, tel est le devoi auquel le gouvernement doit accorder e accordera toute son attention. Plus nou approchons de la fin de la guerre, plu 0 la résistance morale de la nation de a viendra l'élément essentiel de la vie es • • \toire. ,e! "Est-ce contre" cette résistance moral '§■ que nos ennemis, n'ayant pu nous vain [ cre sur le champ de bataille, annoncen J® vouloir redoubler leurs efforts? Il ap lei partient à votre gouvernement- de redou te bler sa vigilance contre ces plans insi se dieux et d'exercer une action énergiqu es contre ceux qui voudraient s'y prêter, s- "Dans les poursuites légales déjà com 111 mencées comme clans celles à venir, 1 justice suivra" son cours sans hésitation ix sans faiblesse, et san aucune considéra n, tion personnelle d'aucune sorte. Qui 0- conque s'est fait le complice de l'ennemi ir doit subir toutes les rigueurs la loi é- Le gouvernement compte sur le patrio tisme de tous et sur la discipline néces ut saire de l'opinion, afin que la justic e< puisse accomplir son œuvre avec calm rg et dignité, et puisse être mise à l'abi _s des généralisations imprudentes, de j.' rumeurs intéressées et des violentes pc n. lemiques de partis. Quelle que puiss être l'issue de ces affaires déplorables elle ne peut atteindre aucun parti. "Mais aucune manœuvre ennemie, au x" cune faiblesse individuelle ne peut dé tourner la France de sa déterminatio ** inébranlable. Elle puise cette détermi e nation aux plus pures traditions de notr race—dont les généreux principes d 'a liberté furent semés parmi les pe îple par la Révolution et qui aujourd'hu ce rassemble l'univers civilisé contra l'in: ll" périalisme allemand. Si la France poui suit cette guerre ce n'est pas dans u tr esprit de conquête ni de vengeance la C'est pour défendre sa propre liberté e, son indépendance et en même temps 1 ip liberté et l'indépendance du monde. Se r- revendications sont celles du droit ; elle ix sont même indépendantes de l'issue de jn batailles. Elle les proclama solennelle es ment en 1871 lorsqu'elle était vaincue ir Elle les proclame aujourd'hui, lors 0- qu'elle fait sentir à l'agresseur le poid iS lue ses armes. Ine oc tv<«tc rît*/)**/) Ao 1d " La désannexion de l'Alsace-Lorraine " la réparation "des dégâts et des ruine commis par l'ennemi, et une paix qui n t s sera pas une paix cle contrainte ou d !<? violence, portant en elle le germe d ut guerres futures, mais une paix juste dans laquelle aucun peuple, ni fort, n v€ faible, ne sera opprimé, une paix dan L'e laquelle des garanties efficaces protège s" ront la société des nations contre tout r> agression de la part de l'une d'entr n- elles, tels sont les nobles .buts de guerr de de la France, si l'on peut parler d m buts de guerre lorsqu'il s'agit d'un >n nation qui durant quarante-quatre an: et malgré ses blessures ouvertes, a toi >11 fait pour épargner à l'humanité h llc horreurs de la guerre. e, "Aussi longtemps que ces buts ne st ront pas atteints, la France continuel' us la lutte. Prolonger la guerre d'un jor it, de plus qu'il 11'est nécessaire serait cei îi- tes commettre le plus grand crime c )t. l'histoire, mais l'arrêter un jour tro •e, tôt serait livrer la France à la pli us dégradante servitude, à une misère nu ;s- térielle et morale dont rien 11e la dél ne vrerait jamais. ils "C'est ce que chaque soldat dans n< ne * anchées, chaque ouvrier, chaque pa ia -an dans son usine ou dans i^on silloj ur ait. C'est ee qui eau 0 l'union i n'élis" - ' il>'» du pavs à travers toutes so- éi--.e: 1 'ipline dans la liberté qui" combat vi torieusement la féroce brutalité de discipline allemande. Cette disciplin basée* sur la raison et sur la confian ' mutuelle, les gouvernements précéelei: l'ont maintenue pendant trois ans guerre et le gouvernement actuel n!' conçoit aucune autre. "Mais ce n'est pas seulement la volo té du pays qui doit être dirigéevers but unique de la guerre. Nous devo également diriger vers lui toutes 11 forces matérielles. La défense nation} t n'est pas une entité qui peut être di1 jsée en fragments. Hommes, munitioi t approvisionnements, transports, so ! autant de problèmes dont les solutio Ine peuvent être isolées, car ils clépe .'dent les uns des autres. Nous ne po s vous les solutionner qu'au moyen d'i 3 vaste effort coordonné et synthétique qi L. envisageant les divers besoins et possil t lités, sera capable d'assurer l'accrois." s ment de la production, l'imposition <: 3 restrictions indispensables, l'arrêt el - spéculations et de l'augmentation c - prix, en mettant- îi la disposition de nation toutes les ressources qu'elle exi§ B "C'est là un programme difficile que " Gouvernement se propose d'exécute t faisant céder l'intérêt privé devant l'i térêt- général, mais il sait que c'est nation elle-même, dans son • esprit co scieucieux de patriotisme, qui peut fai ? l'effort le plus efficace lorsqu^.la sûre du pays est en jeu. Qui donc liésiteri à s'imposer les sacrifices iiécessain certes pénibles, mais combien lége ' quand 011 les compare aux sacrifices nos soldats .< > daermees égaux parmi tes hiiid Cette coordination nécessaire des f< ces du pays n'est pas moins impériei entre les Alliés, combattant ensemble h: 6 ' A et aujourd'hui, réunis par la mej j cause sainte II est nécessaire qu'ils ag sent comme s'ils constituaient une set nation, une seule armée et un seul moi e car la défaite de l'un serait la défa de tous, tout comme la victoire ele 1' sera la victoire de tous. Tous doivent.ég . lement contribuer de leurs hommes, _ leurs armes et de leur argent. A cette oc I lition seulement la supériorité de 1er - ressources, toujours trop dispersées, ( e viendra écrasante. Une telle politiq e permettra à la France, sans s'épuir s complètement, de faire immédiateme i face à ses besoins économiques et à - garde de ses frontières. Depuis ae - 1914, l'armée française a été le boucl: II invincible de la civilisation. Son sa • a été versé par torrents. Il est nécessa: > pour l'issue heureuse de la guerre qu'e a conserve jusqu'à la fin la plénitude s sa vigueur. s '"Les problèmes de la guerre, si abs< s bant qu'ils puissent être, ni doivent nous laisser insoucieux des problèn ' d'après-guerre, qui pourraient no prendre au dépourvu. La période c s suivra la conclusion des hostilités d< être préparée de longue date et avec u aussi minutieuse attention que la 1110 lisation elle-même : Restaurer les 1 g gîons reconquises ; préparer un pi e gramme étendu de travaux publics c e multipliera nos forces industrielles e réglera le retour à la vie normale évitant les crises de chômage des I10 • mes démobilisés ; augmenter largéme s la production et le crédit cle la Franc associer la nation à la mise en œm e d'industries nouvelles ; préparer transformation des usines de munitic en des industries utiles au pays en pai établir notre système fiscal sur des ta? ® justes, audacieuses et mûrement réf . chies ; exécuter loyalement les réforn ^ récemment introduites dans les relatic entre les ouvriers et les patrons ; adf ter celles-ci à des conditions pratiqi > et faire d'elles une partie Intégrante ' notre vie sociale, telles sont quelqu a unes des idées dominantes qui doive 1 guider le développement de notre ; dente démocratie. Lorsque, après i :e dures années de souffrance, nos sold P rentreront dans leurs foyers, à ces va ls queurs qui auront fait triompher le dr î", parmi les nations, personne 11e mesuri '" ni la gratitude ni la justice. Uns revue de la situation "Avant de terminer ma chV-..rnti( 1,! permettez moi d'attirer vo,-; n t ards i i-1 l'iimue: liene <le bataille, Si le f:' i-irusso 11.ni a causé un péniblo d.'.iawpo c- velle République tirera de l'excès mémo la de son péril la force pour rétablir l'u-e, nion et la discipline. Sur tous les autres ce champs de bataille, sur le Carso, sur lo ts Sereth, sur la Tcherna, aussi bien qu'en de Artois, au cours de ces derniers mois de sn grandes choses ont été accomplies, dont les résultats ont une portée plus grande n- qu'il 11e paraît actuellement, ainsi que ce les événements le démontreront. Sur no-ns tre plaine occidentale, les contingents os américains s'entraînent fraternellement île avec nos troupes d'élite. Ti- "En ce qui concerne notre propre ar-is, niée,sous l'impulsion'd'un chef dont l°in-nt comparable supériorité se manifeste cha-ns que jour, elle a ajouté un nouveau lustre n- au nom symbolique de Verdun. Jamais u- son moral n'a été plus élevé et jamais iiî elle n'a été plus sûre d'elle-même. Afin ii, de la préserver de toute tentative pour )i- miner son merveilleux héroïsme, il est ;e- nécessaier qu'elle sente que la vigilance es des autorités publiques veille sur elle. ;s Sans empiéter sur le domaine du haut es commandement, le contrôle parlemen-la taire et le contrôle du gouvernement se-;e. ront exercés dans cette' direction comme le dans toutes les autres, et le Gouverne-:v, ment compte sur l'étroite collaboration 11- du Parlement, dont l'initiative et l'effort la soutenu ont rendu à la défense nationale n- des services si efficaces. re "L'avenir montrera pleinement que :té notre intention est de gouverner en lit union étroite avec le parlement. Tout îs, en maintenant l'autorité qui se rattache ;rs à notre mission nous ne chercherons pas de à nous soustraire aux responsabilités sous un manteau d'opfimisme et nous soumettrons tout à votre appréciation. Si vous nous croyez dignes d'une tâche u'- si laborieuse, nous justifierons votre ise confiance par notre vigueur et notre er sincérité. " LES BONS NEUTRES it, [te Regrets allemands an Le gouvernement argentin a reçu ;a- une dépêche de son ministre à Berlin de qu'en l'absence de Herr'von Ktihlmànn, •11- actuellement à Munich, il a rendu vi-irs site au baron von dem Bussche, sous-le- secrétaire d'Etat aux Affaires Etran-, ue gèi'es, qui lui a exprimé les regrets du ;er gouvernement allemand au sujet de nt l'affaire Luxburg et sa désapprobation la quant aux vues exprimées dans les télé-ût grammes de Luxburg. er Le gouvernement argentin désire une ûg note formelle de l'Allemagne à ce sujet, re Le gouvernement allemand a égale-Ile ment exprimé au gouvernement suédois, de par l'intermédiaire de son ministre à Stockholm, ses reprets pour les ennuis )r- causés à la Suède par l'affaire des télé-as grammes de Buenos-Aires. De nomes breux journaux expriment leur mécon-us tentement au sujet de la teneur de cette ui réponse. Même, le journal germano-Dit phile, "Stockholms Dagblad," dit que ne- le point en question n'est pas que la 3Î- Suède a éprouvé certains inconvénients, ■é- mais qu'on a abusé d'une manière aussi ■0- terri Die cie ses oons omees. ui — : • et kSHIKî eSP.PjSRiee IffflTnBiFHV ! en - tn- nt Un discours du générai àmuss e : Dans une interview accordée au "Jour-re nal" de Paris, le général Smuts a dé-la elaré que l'Allemagne ne désirait rien ns tant que la paix ; tout le peuple alle-x; mand sent que sa positon est désesperée. :es Nos tactiques militaires en France, a-t-lé- il ajouté, 11e donnent pas des résultats ies voyants, mais des résultats certains, ns Des avances limitées dans des zones .p- rendues ntenables par une concentration ies supérieure d'artillerie nous ont coûté de très peu en hommes, rtiais ont infligé u^ îs- maximum de pertes à l'ennemi. Aujour-uit d'hui nous avons vaincu. Les Allemands ir- le savent parfaitement ; ils voient fort ïes bien le résultat final ele notre persistante ' r:;, AUTOUR d e 1 a GUERRE G 21A NI? T-f ? K FAGNE •—M. Albert Métin, sous-secrétaire nt. -('Etat pour le bloeu* en France, est vena h Londres afin d'examiner avec le !g'ou". erneiiK ut 1 vitanaioue U s moyens de in-;renforcer 1«» Lloms de l'Allemagne, d'as-

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This item is a publication of the title L'indépendance belge belonging to the category Liberale pers, published in Bruxelles from 1843 to 1940.

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