L'indépendance belge

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21 September 1917
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s.n. 1917, 21 September. L'indépendance belge. Seen on 25 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/9s1kh0fv3w/
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L INDEPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT : 15 CENTIMES (HOLLANDE : 5 CENTS) m°QNn HTOLBORNCT?Î n. PLACI^DE^BOOESE. VENDREDI 21 SEPTEMBRE 1917. . f 3 MOIS, 0 SHILLINGS. 1 , 5. DANE SIR-, HIGH HOLBORN, W.C.L ,„H^o , . , 0_ ABONNEMENTS:J a MOIS. 17 SHILLINGS, !■ CONSERVATION PAR LE PROGRÈS. | TELEPHONE : kolborn 1773-4 teleph.: | 238-75. En vente à Londres à 3 h. le jeudi 20 sept. ( 1 AN. Î2 SHILLINGS. J LA SITUATION Jeudi, midi, i Les nouvelles des différents fronts- ne signalent aucune action importante dans aucun secteur. Sur le front britannique le combat [d'artillerie, ne fait qu'augmenter ,en vigueur et Berlin mentionne la recrudescence du feu de nos aînés entre la Forêt d'Houtliulst et la Lys. ••1,6 tir de destruction des batteries lenflemies," dit le communiqué allemand, "qui fut visiblement affecté par le vigoureux contre-battage de notre artillerie, était dirigé en vagues extrêmement violentes contre notre zone défensive et pendant la soirée et.le matin l'ennemi, à plusieurs reprises, exécuta un feu roulant qui ne fut cependant pas suivi d'at taques d'infanterie." . Ce;s lignes révèlent l'inquiétude croissante des Allemands cj'iii, bombardés sans répit, ■s'attendent toujours à une offensive qui ne veut pas se déclancher et qui, sans cloute, déferlera sur eux au moment où ils s'y attendent le moins. En attendant, ils sont obligés de rester sur le qui-vive et le moral des troupes exposées à un feu d'artillerie intensif doit être fortement atteint. Des deux côtés on fait un ample usagi de Bombes asphyxiantes, et dans les secteurs importants la supériorité de nos alliés en artillerie est écrasante. Les Allemands se livrent à des ruses d'Apache pour tromper les Alliés sur l'emplacement de leurs batteries. Us amènent nuitamment des batteries à proximité du front et les ramènent en arrière après avoir tiré quelques salves; ■ ils construisent des batteries garnies de ■ canons en bois ou de pièces mises hors ■ d'usage qui, grâce à un système lumineux automatique, dégagent à intervalles réguliers des flammes et de la fumée qui les font ressembler, à s'y méprendre, à ; des batteries réelles. Toutes ces ruses sont, depuis longtemps, connues des artilleurs alliés, qui sont d'accord pour reconnaître qu'au point de vue de l'artillerie 1 ennemi est obligé de se tenir sur la défensive. Le correspondant du "Times" attaché au grand quartier-général assure que grâce au concours efficace des aviateurs le feu destructif des batteries britanniques est dix fois plus efficace que 'celui de l'ennemi. Les Allemands sont réellement terrorisés par le feu de l'ar-tiilerie de nos alliés, et les grosses pièces de l'adversaire ont toutes été ramenées en arrière, et seules les batteries de campagne ont été maintenues à proximité des [premières lignes. Or, une fois que l'artillerie est obligée de battre en retraite, 1 infanterie est obligée, tôt ou tard, à suivre, car ses pertes, à la longue, deviennent trop 'sensibles. Le momeat critique où il faut choisir entre la retraite et des pertes disproportionnées avec les résultats à atteindre semble venu pour les Allemands, «'ar, pour la première fois, dans les circulaires confidentielles émanant de l'état-major allemand, J attention des chefs de corps est attirée sur la nécessité d'économiser le matériel humain ! Les réserve,s immenses dé nos ennemis en "kanonen-îûtter sont, apparemment, épuisées, et cest là qu. il faut chercher l'explication [de la fringale pacifique qui dévore nos adversaires, L Allemagi^e est perdue. Elle le sait, mais elle compte sur un fléchissement dans les rangs des Alliés pour s'assurer une impunité relative et échapper au verdict sévère qui l'attend. C'est le moment ou jamais de rappeler à tous, à ceux de l'arrière comme à ceux du front, que la victoire appartiendra à celui dont les nerfs seront les plus solides, à celui gui "tiendra" un quart d'heure de plus. Fort heureusement, l'ej<tiéeen lice des Américains contribuera puissamment à Simuler la résistance des armées alliées ■——,— .. et 3a vigueur physique et .morale de nos derniers alliés se fera bientôt sentir. Pour commencer, les Américains s'élèvent, avec raison, contre toute idée de paix prématurée qui serait le pire -des désastres, puisqu'elle laisserait la crise européenne (devenue mondiale) sans solution.Si nos ennemis ne sont pas battus au point de vue militaire, il n'y-a rien de lait, l'Allemagne belliqueuse^relèvera la tête en quelques années et la durée "de l'état de guerre, au lieu d'être diminuée, sera prolongée. Aussi est-on convaincu, à Washington, que le Pape ne renouvellera pas de sitôt sa tentative .de paix, voyant que l'Entente ne veut pas d'un compromis. I^es Américains ont adopté la seule attitude qu'il soit logique d'adopter à l'égard de nos adversaires, celle de subordonner toute discussion de paix à une modification radicale dans'le gouvernement de l'Allemagne. Le mot d'ordre des Alliés devrait être : Pas de paix avec le Kaiser, pas de paix avec une Allemagne autocratique et militariste. Et c'est logique, car après les révélations sur les machinations du Kaiser et Jdo sa diplomatie, il est clair que tant qu'il y a un Kaiser en Europe et une diplomatie dans le genre de celle que l'Allemagne entretenait dans les capitales du monde, la paix ne saurait' être assurée que fJour autant qu'elle correspond aux intérêts de l'Allemagne. Il n'y a donc qu'une solution possible: une paix basée sur la victoire des Alliés qui, empressons-nous de le dire, ne doit et ne peut pas impliquer ni l'anéantissement du peuple allemand ni la destruction de la nation allemande, purgée de ses éléments rétrogrades. La presse allemande, habituée à danser selon le fifre_ gouvernemental, continue de droguer ses lecteurs d'espérances et leur fait accroire que rien ne va plus che^'l'adversaire. "Les Anglais, dit la nationale-libérale "Gazette de Cologne," sont à bout, découragés par l'attitude des socialistes français et les pertes sévères dues aux sous-marins." Or, deux chiffres viennent précisément démontrer l'inanité des allégations de l'organe ! des gros industriels du bassin rhénan : le vote de confiance accordé par la Chambre française au nouveau gouvernement', adopté par 378 voix contre 1, et !a statistique hebdomadaire des bateaux coulés. Cette dernière ne comprend, cette fois-ci, que huit navires de plus de 1,600 tonnes» coulés et vingt de moins de 1,600 tonnés, ce qui, en fait de bateaux de gros tonnage, est le chiffre le plus faible qui ait été enregistré depuis le mois de février ! Le beau rêve caressé par l'amiral voï> Tirpitz s'évanouit, le chiffre des sous-marins coulés augmente (deux signalés hier) et les pé'rtes des Alliés tendent à diminuer. Il faudra trouver autre chose pour raviver les courages à Berlin et à Vienne.. En attendant de trouver mieux, Berlin a recours au -système éprouvé du mensonge. A défaut de succès il en invente* et, ne pouvant décemment proclamer une victoire, il attribue aux Français un' échec, affirmant avoir repoussé à Verdun une attaque.de nos alliés sur un front de près de quatre kilomètres. Paris ne mentionne qu'un duel d'artillerie dans ce secteur et des raids fructueut exécutés dans les lignes allemandes au nord-ouest de Reims, dans la Woevreeten Lorraine. Les Italiens ont repoussé de nouvelles attaques autrichiennes sur le Plateau de ] Bainsizza et ont capturé 200 prisonniers dans le Val Sugana (Trentin). Rien de nouveau en Russie, où M. Ke-rensky s'applique à refréner l'ardeur des comités dont l'activité constitue, pour le moment-, le danger principal. U SIM! EUROPEENNE SUR LE FRONT OCCIDENTAL L'armés allemande se décime Les nombreux déserteurs qui passent V'Otidiennement en Hollande sont una-1 limes à déclarer que le *feu" des artille- : llr,s françaises, britanniques et belges i est excessivement meurtrier. Les colon-' nés d'assaut sont fauchées par rangs entiers. De certains ' régiments allemands' il ne reste plus que de lamentables débris et cette efficacité du tir ennemi fait naître le découragement dans les cœurs [es mieux trempés. "Non seulement, nous disait un déserteur du 508e, nous subissons de lourdes pertes, mais nous reculons constamment, tout en laissant en route le plus îlair de nos effectifs. Mon régiment a perdu" en deux jours 63 mitrailleuses et la presque totalités de ses hommes. Deux régiments d'artillerie qui nous flanquaient de chaque côté ont eu cent morts et six cents blessés en une seule journée. En plus nous mourons littéralement de faim; nous restons parfois trois jours sans pouvoir prendre le moindre repos. Joignez à cet exposé le fait que nos officiers, tombés en grand nombre au début de la guerre, ont été remplacés par des novices, sans expérience, n'ayant subi qu un entraînement de six semaines, et vous aurez le secret de nos désertions. , "L'Allemagne est virtuellement battue, et ce ne sont pas les jeunes recrues sans aucune valeur militaire et sans le moindre esprit combattif qui pourront la sauver." On estime à 40.000 le nômbre de déserteurs allemands „actuellement en Hollande.OPERATIONS NAVALES Les pertes sur mer Arrivées et départs de navires mar-' chands de toute nationalité et dépassant 100 tonnes (non compris les bateaux de pêche et locaux), dans les ports du Ro-yaume-XJni, pour la semaine finissant le 16 septembre 1917, à 3 heures de l'après-midi : Arrivées, 2,695; départs, 2,737, contre ^2,744 et 2,868 la semaine précédenteNavires marchands britanniques coulé® par mines et par sous-marins de plus de 1,600 tonnes, 8; de moins de 1,600 tonnes, 20, contre 12 et 6 la semaine précédente. (Il est à remarquer que sur les 20 navires de moins de 1,600 tonnes, neuf ont en réalité été coulé la semaine précédente, ce qui porte à 15 le nombre de navires de' cette catégorie coulés pendant la dite semaine). Navires marcnànds britanniques attaqués sans succès par sous-marins, 6, contre 12■ la semaine précédente.. Un bateau de pêche a été coulé, contre quatre la Semaine précédente. ■* • • La statistique hebdomadaire» italienne renseigne pour la semaine finissant le 16 septembre à minuit, 493 arrivées et 497 départs, contre 544 et 460 la semaine précédente. Un steamer de moins de 1,500 tonnes et un petit bateau à voiles italiens ont été coulés, contre aucun la semaine précédente.Deux sous-marks coulés On signale de Bergen qu'un steamer armé britannique a détruit, à 54 kilomètres au large des îles Shetland un sous-marin allemand qui canonnait un voilier neutre. Au même moment parut un destroyer britannique qui coula un autre sous-marin allemand se disposant à attaquer le steamer armé britannique. Six Allemands ont été*faits prisonniers. Un paquebot australien fait explosion Le steamer australien, ''Port Kem-bla," se rendant de Melbourne à Londres a coulé en 30 minutes, mardi matin, près du Cap Farewell, à la suite d'une explosion à l'avant. L'équipage a été sauvé. La cargaison-, consistant en 465 sacs de lettres et correspondances diverses, a coulé avec le navire. La base des Baléares Le "Matin," insistant sur l'importance de la base navale des îles Baléares pour la navigation dans la Méditerranée, annonce que le gouverneur de ces îles espagnoles est le général de division Brandeis Gleischau, qui est né en Allemagne et est un Espagnol naturalisé.— Central News. Les Etats-Unis et les navires neutres Le gouvernement étant arrivé à la conclusion qu'il n'avait pas le pouvoir de réquisitionner les navires neutres se trouvant dans les ports américains et de les placer sous pavillon américain a déposé un projet cîe loi permettant à ces ■ navires de se livrer au cabotage entre les divers ports de la côte américaine. La plupart des fieutres ne demanderaient pas mieux et cela rendrait disponibles des centaines de mille tonnes de tonnage. OPERATIONS AERIENNES Aviateur allemand tué On annonce de Berlin la mort du lieutenant-aviateur Curt Wolff, qui "fut mentionné pour la dernière fois dafis un communiqué allemand le 7 juillet; il aurait abattu ce jour-là sa 33e victime.A LA CHAMBRE FRANÇAISE La politique du gouvernement La déclaration ministérielle lue à la Chambre des Députés par M. Painlevé, président du conseil, mardi après-midi, a fait l'objet d'une discussion générale sur la politique du gouvernement. Gette discu&ion s'est poursuivie hier après-midi. Un discours important a été prononcé par M. Leymarv, de l'extrême gauche, qui a envoyé le gouvernement à s'entendre avec les Alliés, afin que la France puisse retirer de ses armées quelques-uns de ses fils. Il a demandé avec l'approbation générale, la coordination énergique des efforts des Alliés et la misé en commun de leurs ressources. M.^Painlevé,. dont la réponse aux critiques fut fréquemment interrompue, a repété ce qu'il avait déjà déclaré au sujet des diverses causes criminelles pendantes, et a fait appel à la discipline morale du pays, afin d'empêcher que ces scandales isolés et exceptionnels soient exploités d'une manière extravagante. Répondant aux critiques sévères au sujet de l'approvisionnement des vivres, M. Painlevé a fait appel au pays, afin qu'un effoi't de discipline personnelle soit fait pour l'observation des diverses restrictions. En ce qui concerne la question des effectifs il a., émis l'espoir d'obtenir de la conférenpe des Alliés' l'aide qui permettrait à la France de maintenir sa vié économique. Il a enfin fait appel à l'entière confiance de la Chambre et a quitte la tribune, applaudi par le centre' et la droite. La séance a été assez agitée et a atteint une certaine effervescence lors des attaques contre le gouvernement. Le vote de confiance La discussion générale étant épuisée, M." Laffont a déposé un ordre du jour approuvant la. déclaration ministérielle . et engageant le gouvernement à poursuivre énergiquement la réalisation de son programme de guerre. Le gouvernement ayant accepté cet ordre du jour, celui-ci a été adopté par* 3,78 voix contre une. La commission du Budget M. Klotz et M. Raoul Péret respectivement président et rapporteur de la commission du budget, ayant été nommés ministres, deux nouveaux titulaires ont été élus. Il fut un moment question de la candidature de M. Caillaux pour , la présidence, mais-celle-ci n'a pas été , maintenue. M. Lebrun a été nommé président et -M. Louis Marin, rapporteur.Au cabinet de guerre Le nouveau cabinet de guerre a tenu ' sa première réunion, mercredi matin, à i l'Elysée, sous la présidence de M. Poin-caré. Le général Pétain y assistait. L'AFFAIRE TURMEL "1 ■ ——- Une demande de poursuite Le ministre de la Justice' a transmis mardi soir au président de la Chambre 1 des Députés une requête du procureur de la République, demandant la suspension de l'immunité parlementaire pour Mi Turmel, accusé de commerce avec l'ennemi. La Chambre a désigné une commis- < sion chargée d'examiner la requête.du: procureur de la République. Cette commission s'est réunie et a décidé, tout -en considérant que les témoignages pro- ' duits étaient faibles, de recommander , / ! à la Chambre dans l'intérêt de la vérité, l'autorisation des poursuites. La Com- ■ mission s'est pronopeée dans ce sens à ' l'unanimité de ses - onze membres. , Un démenti suisse L'Agence télégraphique suisse a reçu : une dépêche de Zurich au sujet de l'af- ' faire Turmel. Le député des Côtes du ! Nord avait déclaré qu'il avait reçu de la Bancjtie fédérale suisse une somme d'argent importante pour un conseil : donné à ses directeurs. Les directeurs i de la dite banque déclarent formelle- i ment qu'ils n'ont jamais fait un tel paiement mvstérieux à personne et qu'ils n'ont pas été en relation avec M. Turmel. Autre affirmation de M. Turmel Dans une interview accordée au "Journal," M. Turmel a déclaré que les F,r. 27,000 trouvés dans son casier au vestiaire de la Chambre, lui avaient été a payés pour un conseil relatif à un contrat pour la vente de bétail d'une valeur de Fr. 14,000,000. Le contrat concerne de firmes italiennes, suisses et françaises et M. Turmel aurait eu à donner son avis sur la légalité de la transaction. i LES BONS NEUTRES Protestation suédoise La déclaration officielle suivante est faite à Stockholm : Le gouvernement suédois par son représentant à Berlin, a adressé une demande au gouvernement allemand, le 10 septembre, au sujet des télégrammes publiés par le département d'Etat relatifs au comte Luxburg, aux fins d'être informé si le ministre d'Allemagne à Buenos-Aires avait bien envoyé à Berlin les dépeches publiées et si le ministre des affaires étrangères à Berlin les avait reçues. A la réception de la réponse du gouvernement allemand, le gouvernement suédois a donné instructions à son représentant de protester énergiquement en faisant ressortir que les autorités allemandes avaient d'une manière grave abusé de la confiance montrée par la Suède.—Reuter. AUTOUR de la GUERRE ALLEMAGNE La réponse de M. Wilson à la note du Pape a amené des messages de la part du Kaiser et d'Hindenburg à des groupements, allemands. Le Kaiser parle de tentatives insolentes pour séparer le peuple de son empereur et de son gouvernement. Hindenburg dit que M. Wilson a réussi à unir complètement le peuple allemand et il engage ce peuple à donner sa réponse en... souscrivant au septième emprunt de guerre allemand. — Le "Vorwàrts" publie un article de Scheidemann, faisant un appel pressant au chancelier impérial, l'invitant à répudier une fois pour toute, la "paix Hindenburg." "L'annexion de la Belgique sous aucune forme, dit-il, est complètement hors de la question. Nous voulons que le Dr Michaëlis le déclare devant tout le monde civilisé, bien qu'une telle déclaration ne soit pas nécessaire pour tout Allemand sensé, la chose étant évidente." Ceci peut-être considéré comme un prélude aux combats qui seront livrés contre le chancelier au cours de la prochaîne session du Reichstag. CHINE L'agent du Lloyd à Amoy télégraphie qu'un typhon violent s'est produit là dans la nuit de mercredi, et que des dégâts considérables ont été faits aux propriétés sur la côte et sur l'eau. Deux steamers ont été rejetés- sur le rivage. Un grand nombre de petites embarcations ont été perdues. GRANDE-BRETAGNE — Un ouragan terrible s'est abattu sur Sydney ; la pluie est tombée par torrents tandis que le vent soufflait à là vitesse de 120 kilomètres à l'heure. Les dégâts sont importants. Plusieurs navires n'ont pu entrer au port par suite de l'état de la mer et on est sans nouvelles de plusieurs d'entre eux. LUXEMBOURG — La grande-duchesse de Luxembourg, entourée de tous les membres de son gouvernement, a -intronisé officiellement le culte du Sacré-Cœur dans son palais ducal. Les journaux de Berlin blâment cette' manifestation, car il est toujours dans les plans allemands d'imposer un prince allemand luthérien îomme mari à la jeune grande-duchesse. PAYS-BAS — Dans le discours prononcé par la Reine à la réouverture des Etats Généraux se trouve le passage suivant : Nous continuons à être obligés, au milieu d'ennemis se livrant un combat acharné, à nous tenir prêts à repousse? toute violation de notre nejlitralité- («f année. \ No 223

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This item is a publication of the title L'indépendance belge belonging to the category Oorlogspers, published in Londres from 1914 to 1918.

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