L'indépendance belge

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29 November 1917
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s.n. 1917, 29 November. L'indépendance belge. Seen on 29 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/610vq2t61h/
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j^die année. No 282 L'INDÉPENDANCE rOYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT : 15 CENTIMES (HOLLANDE ; 5 CENTS) ; tpMlNISTBATION ET REDACTION: pmc^DbSa ioTJTiW TU\E STB., HIGIÏ HOLBORN, W.C. 1. b L j DE LA BOTRSE- 5, / 311 57 st TELEPHONE: HOLBORN 1773-4 TELEPH.: j338.75 JEUD! 29 NOVEMBRE 1917 En vente à Londres à 3 h. le mercredi 28 nov. 3 MOIS, 9 SHILLINGS. "| ABONNEMENTS: 6 MOIS. 17 SHILLINGS, 1CONSERVATION PAR LE PROGRES. ,1 AN, 32 SHILLINGS. J ft PHRTIR du JEUDI 29 NOVEMBRE X©S BUREAUX SERONT REINSTALLES TDD©R M0DSE, TOD0R STREET LA SITUATION "'Mercredi, midi. ifcs Allemands ont contre-attaque en te hier les positions britanniques dans ,jjois de Bourlon, niais ils n'ont pas iusSi à faire lâcher prise à nos -alliés, 'eiii-oij après avoir refoul.é les colonnes l'assaut ennemies, ont declanché à leur ttr une contre-offensive: qui leur a per-li) d'avancer leurs lignes dans 'la ré-ion des villages de Bourlon et' de Fon-line'et de faire'500 prisonniers [ Ce succès local est d'autant plus imitant que l'ennemi a concentré d'assez pieuses réserves — trois divisions, pa-yt-i! — dans ce secteur, qui commande ouïe la région de Cambrai, et qu'il pos-(Je un intérêt supérieur à reprendre fcssion de ce poste d'observation jfel. Parmi leb prisonniers faits par nos ,.K il en est qui étaient,' trois jours iriirt encore, sur le front russe, et par h 011 sait que l'état-major allemand itéme les régiments actuellement sur ce «rat, en prélevant les éléments les plus suies, qui sont'constitués /n bataillons (1,000 à 1,200 hommes, lesquels sont ■mis en Franco et en Belgique pour remplir les vides. ! Ce système permet à nos adversaires le nous tromper quant à la répartition acte'de leurs troupes e>t d'envoyer sur t liont occidental 'des renforts sérieux us aSaiblir ■— apparemment — les ffectiis qu'ils maintiennent en face des Russes. 11 serait intéressant de savoir epliis combien de temps les Allemands iratiqûent ce système. Toujours égt-il ue l'exposé confirme l'opinion que nous bus toujours exprimée ici. à savoir que ios adversaires ont depuis longtemps lis à profit l'inactivité qui règne sur | front russe pour en retirer des effec-Ifcqui ont joué sans aucun doute v.n o!S considérable dans la résistance alle-lande en Flandre ét sur l'Aisne, ainsi |te dans l'offensive contre l'Italie. Les Allemands sont-gens trop pratï-[ues pour laisser moisir, en face d'une rmée russe décapitée et désorganisée, [es troupes dont le concours, sur des kamps cle bataille plus actifs, est de na-jire à retarder un échec qui menace de tendre les proportions d'un désastre. [Le général Hindenburg voudrait bit<n «éditer le coup de la Somme, afin de fcuver son matériel, mais la vigilance ï (l'esprit d'entreprise dtVi Français et p Anglais ne le lui permet pas, et il est pigé d'accepter la lutte sur le terrain jhoisi par Pétain et Haig. Ne pouvant te retirer, l'ennemi continue donc de .se paître et, salon son habitude, il se bat lion et nous fait payer aussi chèrement Rie possibïe chaque pouce de terrain p il doit céder. I Le travail qui sei fait actuellement sur lut lé front occidental est un travail pparatoire, | H est beaucoup question, depuis quel-pies jours, d'une nouvelle offensive que pparent, prétendument, les Allemands tau sujet de laquelle on se perd en con-petnreg. Ce bruit est motivé par la ferrure de lia frontière suisse, et on rap-felle à ce propos que l'offensive de l^onzo a été précédée par une mesure [nalogue, destinée à voiler des mouve-p^^e^oupe^révéîateurs^F^i^l voir dans les préparatifs ennemis, si préparatifs il y a, une tentative contre le front français ou le front italien 1 Les deux hypothèses peuvent facilement se justifier et il y en a mêjne une troisième qu'on aurait tort, à notre'avis, de négliger. Nous voulons parler de la violation éventuelle du territoire suisse qui, dans les circonstances actuelles, et malgré les .risqiles qu'elle comporte, doit être, en ce moment, particulièrement tentante pour nos adversaires. On sait, par ides indiscrétions allemandes, que si la Belgique avait eu ses frontières mieux gardées et si elle avait disposé de l'armée dont Iles partis d'opposition en Belgique ont toujours fait ressortir la nécessité, l'Allemagne aurait probablement choisi, comme victime la Suisse plutôt que la Belgique. Car, là comme chez nous, le terrain- était soigneusement préparé en vue de cette éventualité. La .germanophilie de certains éléments militaires et diplomatiques exposée publiquement (affaire Kuhl-mann) a peapis à tout le monde de voir la trame du complot allemand, et de récents incidents : troubles à Zurich et découverte de bombes sur la ligne de Schafi-house, constituent des phénomènes dont d'autres que nous ont eu, sans doute, à "se préoccuper. Les Allemands ne sont pas à un crime près, et chez eux, on le sait, nécessité fait loi. " Le temps presse pour nos ennemis. Ils sont obligés de faire flèche de tout bois, et comme ils n'ont) pas le choix des moyens, il est bon d'envisager toutes les éventualités. La résistance italienne est toujours aussi splendide. Avant-hier, la situation était très critique à l'est de la valléei de la Brenta, où les troupes italiennes qui défendaient le Col délia Berretta. étaient isolées par suite d'un feu de barrage ennemi, mais 'des troupes siciliennes parvinrent à forcer le barrage et leur arrivée opportune sauva la journée. En Albanie, un échec local des troupes albanaises sur-4'Osum a été réparé grâce à l'intervention de troupes italiennes. Sur le front de Verdun les Français ont arrondi encore leurs gains sur la-rive droite de la Meuse, et sur le' jf'ardar et la Strouma les Alliés ont aisément repoussé des attaques locales déclanchées par l'ennemi. La situation en Russie est stationnaire. Des efforts sont faits, dit le correspondant du" "Times," en vue de constituer un gouvernement de coalition et, darîs ce but, une conférence entre différents chefs militaires et politiques a eu lieu au grand quartier-général. Ajoutons que te commandant en chef, général Dukhonin, refuse de reconnaître l'autorité du gouvernement léniniste et qu'il annonce l'intention d'arrêter lès émissaires que le gouvernement a délégués pour.procéder à son remplacement. C'est dans ces conditions que s'ouvrent les élections pour l'Assemblée Constituante. Malgré cet. état de choses, la Russie sera représentée à la gran'cle Conférence inter-allîée qui va se réunir à Paris et à laquelle; comme on sait, Ms Etats-Unis seront également représentés. De toutes les conférences inter-alliées, celle-ci sera certainement la plus importante. )UB LE FRONT OGOiOEWTAL L'AVANCE SUR CAMBRAI 500 nouveaux prisotvivers Londres, mardi matin. — Dans la pit l'ennemi a. lancé une nouvelle con-p-attaque contre nos positions dans le 1 n0l'd-est du bois de Bourlon. L'at-EJe a été repoussée. I ,, u'di, 10 h. 35 du soir. — Ce matin ( [ ' au^8> des attaques locales ennemies' livrées dans les 'environs des villages de Fontaine Notre Dame et Bourlon à conduit à de violents combats. L'ennemi, puissamment' renforcé, a contesté notre avance avec une grande opiniâtreté, et la lutte a eu des alternatives diverses pendant la journée. Finalement, nous avons avancé notre ligne et fait plus de 300 prisonniers. Dans l'après-midi, l'enn&ai a tenté d'attaquet la position occupée'par no-us dan-; la ligne Hinde 'barg, suv l'éperon à l'ouest de Mœuvres, mais il a été.refoulé par notre l'eu. L'artillerie ennemie a de nouveau montré une grande activité à l'es% et au nord-est d'Ypres. ? , La croix de guerre française à des sc!dats américains La Croix de Guerre française a été remise à uii capitaine, trois lieutenants, un sergent, deux caporaux et six soldats américains qui se trouvaient dans la section de tranchée récemment attaquée par les Allemands. SOU LE FRONT WERiDIONAL LE COMMUNIQUE ITALIEN Lutte violente dans les -montagnes Lundi après-midi l'ennemi, après avoir furieusement bombardé notre position sur le" Col délia Berretta, jusqu'à l'est de- la vallée de la Brentâ (et à environ trois kilomètres de San Marino), a lancé contre elle, dans une attaque en-masse, l'infanterie de toute une division. La lutte qui s'ensuivit a été très vive et les défenseurs, isolés par un violent feu de barrage, auraient peut-être été forcés de se rendre étant donné le nombre des attaques et la violence des assaillants, s'ils n'avaient été. secourus par l'arrivée opportune des valeureux Siciliens de l'ancienne et glorieuse brigade d'Aost'e (5e et 6e régt), accompagnés de détachements du 94e d'infanterie (brig. de Messines) et du bataillon des Alpins de Val Brenfa. Ces troupes ayant traversé avec "élan" la zone de mort, se ruèrent sur l'ennemi avec une irrésistible impétuosité, emportant tout devant elles et l'obligeant à se retirer avec de lourdes pertes et ^ai£--ant des prisonniers entre nos îiutfaîÉ i En Albanie. — Dans la nuit du 25 au j26 novembre, l'ennemi a forcé le passage. de l'Osum, entre Cipan et Koblara, y attaquant nos bandes albanaises. La prompte intervention de troupes régulières refoula l'ennemi, lui infligeant de lourdes pertes. OPERATIONS NAVALES Steamer américain torpillé Vin'gt-et-un survivants du steamer américain "Actœon" sont arrivés au port de Camarinas, Espagne. L' "Ac-tffion," navire de 5,000 tonnes, a été torpillé dimanche. Trois canots avec le reste de l'équipage, rçont encore manquants. — Réuter. LES EVEfêEfêENTS^ EN. RUSSIE Les élections à la Constituante Le 25 novembre ont commencé à Pé-trograd les élections pour l'Assemblée constituante, qui devaient se terminer hier après-midi. Le premier jour de scrutin, la ville est restée calme et il n'y a eu aucun signe d'excitation. Le temps, extrêmement froid, a peut-être contribué à maintenir cette tranquillité. Les Bolsheyistes et les groupes de l'opposition, dont le centre d'activité est l'Hôtel de ville, ont publié d'éloquents appels à leurs électeurs. Les premiers prient tous les citoyens d'amener leurs femmes, sœurs, servantes, etc., à l'urne, alors que les seconds insistent principalement sur le maintien de l'ordre et s'efforcent de dissuader la population de porter des armes dans les rues. Chaque, parti accuse l'autre d'avoir intrigué pour retarder les élections. A Moscou le scrutin a. été remis au 2 décembre. La grève des fonctionnaires La grève clans les divers ministères et administrations publiques continue. Au ministère des finances, seul le département de la caisse d'épargne reste ouvert. Au ministère des'voies et communications seuls les départements assurant le ravitaillement des vivres et la défense nationale continuent à travailler. L'Association des cheminots a également limité Son activité à l'approvisionnement des denrées. Au ministère de l'instruction publique, par un Seul employé-n'est resté à son poste. Il en est de même au ministère du commerce, exception faite pour les départements s'occupani Ju ravitaille*: ent en coiubus-tiV.-.5 r" en .vivres. J.' s s icea des télé-gr&j-'lies et de téléphones sdnt en plein désordre, étant donné l'inexpérience des employés nouvellement- nommés. Dimanche dernier une.série de "décrets" ont paru, annonçant la révoca-.tion d'un certain nombre de hauts fonctionnaires clu ministère des finances et de la Banque d'Etat, ceux-ci ayant refusé de reconnaître l'autorité clu nouveau gouvernement. Tous ces révoqués ont été systématiquement privés de leurs pensions, sans égard pour leurs années cle service. De plus, il est annoncé que tous les fonctionnaires et employés qui refusent de reconnaître le gouvernement sêront traités de la même façon. Vingt-quatre heures leur ont été données pour faire leur soumission. Il semble douteux que les petites "garnisons qui gardent les banques dans les villes de province pourront prolonger leur résistance. Le comité central des"' Soviets annonce sa ferme.résolution de-vaincre l'opposition cles fonctionnaires du ministère des finances et des banques, et de reprendre lui-même le contrôle des dépenses cle l'Etat.,. Le gouvernement militaire MAI. Tchcrnoff, Avksentieff et Miliu-koff, ainsi que les généraux Verkhovsky, Ivanoff, et d'autres, ont assisté à la conférence des chefs politiques, convoquée au, quartier-général cle l'armée, dans le but de constituer un gouvernement représentant tous les partis. Aucune tentative n'a encore été fait-.? pour remplacer le général Dukhonin, commandant-en-chef, qui déclare • qu'il arrêtera tous les émissaires envoyés par le "gouvernement" pour effectuer son remplacement. Les communications entre Berlin et Pêtrograd Berlin et Pétrograd sont en communication par T.S.F. Ce fait est signalé par l'ambassadeur des Etats-Unis à Pétrograd, au' département d'Etat de Washington. L'ordre troublé à Kharbine Un télégramme adressé cle Pékin à New-York dit que le désordre augmente à Kharbine, où lés étrangers ont- été attaqués par les habitants. Les représentants consulaires des Puissances ont informé les autorités russes que- si elles ne peuvent pas assurer la protection des étrangers, ils feront appel aux troupes britanniques,, américaines et japonaises pour collaborer avec les administrateurs russes et chinois pour sauvegarder la sécurité publique. LA CONFERENCE INTER-ALLIEE La Conférence inter-alliée commence .ses travaux cette semaine. M. Lloyd George et d'autres membres clu Gouvernement britannique sont arrivés à Paris, ainsi que le général Caclorua et signor Nitti, ministre des finances d'Italie. Le colonel House et le général BiisS, délégués' des Etats-Unis, y étaient depuis quelques jours. M. Vénizélos est arrivé avec les délégués britanniques. L'AFFAIRE Pâli - SEAfLLES Déposition de M. Painlevé M. Painlevé a été interrogé hier par le capitaine Mangin Bocquet au sujet cle l'affaire Paix-Séailles. Questionnée sur le point de savoir si la communication rapide de documents de Salonique à l'Allemagne aurait pu avoir- une influence désastreuse sur la situation militaire des Alliés en Orient, M. Painlevé a répondu que tout individu qui aurait remis ces documents à l'Allemagne serait un misérable traître, même si sa trahison était restée Sans effet. Quant'à l'hypothèse que la- divulgation a causé la ruine de la Roumanie parce qu'elle aurait permis à la Bjlgarie d'on-vover contre elle, en septembre 1916, le-gros de ses forces, c'ela est purement clé l'imagination. Entre les mois de" juin et septembre 1916 ni les Bulgares ni les Allemands ne transportèrent a'.cïïn de leurs détachements du front de S&loni-que à celui du Danube. J- le mnim DES RQ'S SCANDINAVES - C'est, aujourd'hui que les rois Scandinaves se réunissent à Christiania,- avec leurs premiers-ministres et leurs ministres jdes affaires étrangères. Pour la première fois depuis longtemps, les intérêts des troi^ royaumes sont les mêmes. Pendant longtemps, la Suède a craint une expansion russe vers l'ouest, tandis que la Danemark considérait la Russie comme un pays spécialement intéressé au maintien de l'intégrité danoise. Les derniers événements-ont dissipé les craintes de la v'nède et certains commencent à s'apercevoir en ce pays que la domination allemande dans la Baltique pourrait ameiiei une sorte d'hégémonie hanséatique sur la Scandinavie.La politique des gouvernements Scandinaves continuera cependant à être neutre. AUTOUR de la C0EB8E ALLEMAGNE — L' "Osservatore Romano,'' l'organe du Vatican, dément les rapports récemment publiés par les journaux allemands disant que la Pape allait faire un nouvel appel de paix aux deux groupes de belligérants. — Le pamphlétaire allemand Maximi-lien Harden, a été autorisé à faire reparaître son journal le "Zukunft," et à reprendre la parole en public, ce qui lui avait été interdit à la suite d'une conférence faite à Berlin et dans laquelle ii ivait dit que l'indépendance devait être rendue à la Belgique. X l T !tl< :i I ii- H O N Cïlt IE — Le ''Zeit" cle Vienne signale un accroissement inquiétant clans le nombre :1e cas de maladies de la peau en Autriche, maladies que les médecins n'attribuent qu'à une nutrition impropre. La capacité cle travail des' classes laborieuses a considérablement diminué. ETATS-UNIS — M. Stone, le président du Comité dès relations étrangères clu Sénat, a ex-drimé l'avis qu'une-déclaration de guerre a l'Autriche, à la Turquie et à la Bulgarie était vivement à conseiller, afin de simplifier la situation, actuelle, plutôt anormale, "attendu qu'en fait les Etats-Unis sont en guerre avec ces pays. — En présence cle la récente réduction dans le nombre de navires torpillés, le bureau cles risques cle guerre a- abaissé le taux d'assurance dans la zone sous-marine de 5 à 4 p.c. ii,, a:\* !>k-i;-f iîtagn i- ■— Une étoile cle bronze sera décernée aux militaires qui ont fait la campagua de 1914. •— M. Arthur Henderson, comme secrétaire du British Labour Party, a reçu un télégramme de M. Camille Huysmans, disant que le moment est favorable pour examiner à nouveau la question d'ime conférence à Stockholm. M, Henderson soumettra aujourd'hui ce-télégramme au Conseil exécutif du Labour Party. — Les ouvriers d'une usine d'aéroplanes sont en grève. Ils veulent'que les négociations entre patrons - et ouvriers n'aient plus lieu par l'intermédiaire des délégués nommés* par leur trade-union, mais par l'intermédiaire des délégués d'atelier. — Les ouvriers tisserands demandent-10 p.c. d'augmentation de salaire en plus de» 20 p.c. déjà reçus depuis le commencement de la guerre. Les patrons offrent 10 p.c. maintenant et 5 p.c. en plus en février. — Le Comité exécutif des chemins de fer a déclaré ne pouvoir majorer' son offre d'augmentation dé_ salaires ; elle est de 5s. par semaine, tandis que les hommes demandent £1. Le cabinet de guerre aura à décider. — On annonce la mort de sir Starr Jameson, l'un des pionniers, ave*) Cecil Rhodes, du développement de l'Afrique du Sud. Se croyant à même de faire réussir une révolte à Johannesburg, il fit au Transvaal une incursion armée qui échoua. Les Boers le firent prisonnier; il fut désavoué par le Gouvernement britannique, jugé et condamné en Grande-Bretagne. 'Il fut plus tard Premier Ministre de la Colonie du Cap.

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This item is a publication of the title L'indépendance belge belonging to the category Liberale pers, published in Bruxelles from 1843 to 1940.

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