L INDEPENDANCE BELGE ROYAUME-UNI : ONE PENNY * r? CONTINENT : 15 CENTIMES (HOLLANDE ; 6 CENTS) "rSSSS, • ■ VENDREDI 16 NOVEMBRE 1917 _ ( 3 MOIS, 9 SHILLINGS. 1 ^téléphoné : holborn 1773-4 ' teleph. : E» vente à Lo«dres à 3 h. .e jeudi 15 novembre }c0™ATira LE ™E8" I I ï LA SITUATION X1XXU.JL. [ La pression austro-allemande sur le ipiave se fait de jour en jour plus vive. L'ennemi occupe toujours la tête de pont de Zenson, d'où il n'a pu être délogé, stplus au sud, à G l'isolera, des détachements isolés sont parvenus à s'infiltrer dans la région marécageux du Pi ave inférieur et de la- Yecchia. Cette dernière menace vise plus particulièrement' Venise, mais nos alliés annoncent que îes progrès ennemis dans cette région sont enrayés. [ Sur toute la ligne du Pi ave, le duel d'artillerie est devenu très violent, çt les Centraux se préparent évidemment à livrer une attaque générale sur un ou plusieurs points de la nouille ligne occupée provisoirement par nos alliés. Ceux-ci doivent disposer de troupes en nombre suffisant pour défendre et maintenir leur front nouveau, considérablement réduit, et sauf au point de ^ue de l'artillerie, l'armée du général Diaz n'est certainement inférieure en lien à ceie d'i général von Below. Ceflui-ci s'évertue, pour le moment, à ébranler et à rompre le front trentinois de nos alliés, et des engagements très violents sont signalés dans la région d'Asiago, sur le Plateau des Sept Communes. ! Les opérations qui se déroulent dans ce secteur ont pour objet de tourner le flanc gauche italien par des vallées de la Frenzela et de la Brenta, mais nos amis résistent victorieusement aux assauts en-Demis., C'est du côté de Gallio que l'adver-aire s'est montré le t>lus entreprenant, t s _ depuis lors, trois autres furent décOancliées, dont la dernière détermina nos alliés à évacuer leurs positions avancées sur le Mont Lon-gara. Une attaque contre les positions [du Mont Sisemoi échoua, mais Berlin signale l'occupation, après assaut, du Mont [Lisser, dans la vallée de la Brenta (Val Sugana) ainsi que des villages de Pri-molano, également dans la vallée de la Brenta, et de Feltre, sur le Piave supérieur. Il s'ensuit que depuis l'envoi du dernier communiqué de çRome l'ennemi a progressé vers le sud, et que sur le Piave supérieur les lignes italiennes ont dû rétrograder légèrement. En Flandre, la contre-attaque! allemande, dont le violent bombardement des derniers jours était le prélude, s'est [produite mardi soir. Les vagues ennemies avancèrent le long de la route de Westroosebeke contre les positions britanniques, mais un feu de barrage, corn*1 piété par un feu d'infanterie nourri, eut vite raison des assaillants, qui durent se replier en hâte sans avoir reconquis 11,1 pouce de terrain. Ce sont nos alliés au contraire qui, pendant la nuit, avan-perent légèrement leurs lignes. Sur la Meuse, le duel d'artillerie qui ^e s est point ralenti ces derniers jours, a atteint une très grande intensité, mais ^ Paris ni Berlin ne signalent une ac-pon d'infanterie de ce côté. En Palestine, la retraite turque se [poursuit, et les troupes du général Al-ei% ont délogé l'ennemi des positions nouvelles qu'il occupait sur le Wadi Su-erier, c'est-à-dire à hauteur de Jérusalem.Graçe à une action combinée de l'in-anterie et de la cavalerie, les Turcs furent contraints de battre en retraite, et dernier rapport îes signale sur le i at" Surar, au nord-ouest de Jérusa-Aofi alliés ont fait, au cours de cette •Peration, 1,100 prisonniers et il est Niable qu'ils ne laisseront pas aux Turcs le temps de se reformer et de se e maintenir sur le Wadi Surar, où le; . Turcs dispiosent, pour leur ravitaille t ment, d'une ligne de chemin de fer laté , raie (embranchement de Jérusalem), doir le général Allenby ne tient certainemen r pas à leur laisser longtemps la jouis e jîunce. L'avance des troupes britannique! t s'effectue, comme 011 voit, avec une trèi e grande rapidité le long de la.côte, où k a flotte des Alliés est en mesure de coopé rer très efficacement. si Le commandant en chef du corps expé t ditionnaire britannique estime avec rai son qu'une fois en possession des voie' j ferrées, il est maître de la Palestine, 'c-e il ne se soucie guère de laisser éparpil lées dans les régions inhospitalières e" a désertiques de l'est, des groupes épars d< . Turcs qui l<ne pourront, en aucun cas . devenir dangereux pour le développe e ment'futur des opérations. Les commu z nications de nos alliés sont assurées ei ^ tout indique qu'avant longtemps ils se j ront en possession d'un port sur la côtf t syrienne qui leur permettra d'envisagei : avec équanimité toutes les éventualités . puisque l'armée de Syrie pourra êtr< e ravitaillée par terre et par mer. Les opérations du général Allenbj s sont, nous l'avons dit-déjà, des plus im e portantes, et" elles le sont à plusieuri a points de vue. Il suffit de jeter un coup s d'œil sur la carte pour se rendre compte _ de la connexité entre les fronts de Pa lestine et de Mésopotamie, et on peut s< demander jusqu'à quel moment les Turc: assisteront, sans se tourner contre leur; ) ? alliés austro-allemands, à l'effritemeni de leur empire asiatique. Les soldats turcs faits prisonniers ignoraient, paraît-il, la chute de Bagdad, et grande fut leur surprise d'en s tendre que le croissant 11e flottait pluf . sur la capitale de la Mésopotamie. Mai; r il ne sera pas possible de cacher, indéfiniment, à la population turque les sue-s cès de nos alliés. Il est certain que 1« . hommes d'Etat turcs, qui savent qu'il.' ^ jouent leur tête dans l'aventure, ont ré-j clamé de leurs "séducteurs" allemands . des renforts immédiats, mais tout ce que 3 les Puissances.Centrales ont pu leur pro-. mettre, c'est l'envoi de quelques sous-ma-j rins dans les eaux syriennes, où leur . présence a été marquée par la destruc-r fcion d'un contre-torpilleur et d'un mo-ï niteur britanniques. Malheureusement pour nos ennemis, . leurs ressources diminuent à tel point t qu'ils ne peuvent prélever impunément 1 aucune de leurs unités de combat — sur . terre ou sur mer — sans affaiblir l'un ? ou l'autre front de bataille. C'est ainsi qu'à l'envoi de sous-marins » supplémentaires dajis les eaux de Syrie [ correspond une diminution sensible des [ navires marchands coulés dans le cou-3 rant de la semaine. Les pertes, cette fois, 5 ont été les plus faibles qui aient été enre-. gistrées depuis que l'Amirauté publie les chiffres hebdomadaires, et il serait i puéril, à notre ^.vis, d'y voir un effet , du hasard. î Les opérations en Palestine et en Ita-- lie rendent nécessaire la présence des sous-marins ennemis dans la Méditerra-; née, et nous 11e serions pas autrement • surpris de voir les Puissances Centrales i changer bientôt de tactique et renoncer ■ à couler des navires de commerce dont la • perte affecte non seulement les Puissances Alliées, mais qui est fatale aux neutres aujourd'hui comme elle le sera de- ■ main aux Puissances Centrales elles-; mêmes qui, après la guerre, manque-s ront, plus que nou-s, du tonnage nécessaire à la reconstruction économique. ■ La guerre sous-marijie a fait faillite et les Allemands le savent, mais l'aveu leur : coûte. N LE FRONT OCCIDENTAL Echec allemand devant Passchendaele j Depujg ia capture ,je Passcbfndaele, | ? ." novembre dernier, une grande ac-j n?|/ d'artillerie ennemie 'a augmenté i "^obliquement en intensité dans toute tte région importante, le feu 'étant jpeoialement, dirigé contre Ië village et 03 Parties de la crête principale tenue j N »es troupes britanniques dans ces dirons, atteignant son "point culmi- 11^ nant au début de la matinée du 13 Mo-jvembre, par un bombardement d'une e grande violence concentré sur les posi-le, tions avancées britanniques. L'artil->,c- lerie britannique répondit efficacement, lté mais la violente canonnade ennemie : ite continua. ,nt A 4 h. 30 du matin, le Eomlsar-et demenï ennemi devint plus intense, et ue une attaque d'infanterie fut lancée, :es pour tenter d'avancer le long de la ai- route de Wesfroosebeke. Le feu d'ar- 1 tillerie britannique combiné avec le t: de l'infanterie brisa complètemei cette attaque. La ligne britannique e: g intacte. ,lS L'artillerie ennemie est restée acth toute la journée sur le front de batailh Les Britons ont amélioré leur ligr ^ pendant la nuit, au norcl-ouest de Pas t chendaele. EN MARGE DU COMMUNIQUE 1 Le RAID de la FERME TERSTILL (D'un témoin occulaire) La ferme Terstille est située avec ] 'ferme Violette en avant de Mannekem vere-, entre la rive ouest de l'Yser et 1 » canal du nord. ■t Le 12 novembre, à 3 heures du matii [. le lieutenant Balteau s'est mis en roui ;t mee un groupe de volontaires et ui e poignée de volontaires du Génie» Ave , un calme absolu la petite troupe s'éta rapprochée des lignes allemandes ma t_ igré tous les obstacles à travers l'inoi ,_j. dation et la boue gluante. Au momei où nos braves franchissaient le demie fossé, les mitrailleurs allemands de 1 , ferme Violette mirent en action leui pièces, '' L'artillerie 'belge ouvrit un violer feu de barrage contre Terstille. I lieutenant Balteau s'élance suivi de 1 troupe et franchit d'un élan les trent mètres qui le séparent d'un abri b< s tonné où l'on distingue des lumière! P Ses quarantes hommes sont à ses côtés e L'alori est assailli à' coups de grenades Les Allemands se défendent; deux sor ie capturés, quatre sont tués. Le lieute 's nant allemand accouru sur ces entre 's faites est abattu d'un coup de pistolel t Le détachement d'assaut se sépare e groupes. Les uns nettoient trois poste s d'écoute où cinq Allemands sont tués Le restant de la garnison boche a eu 1 - temps de fermer la lourde porte en fer ( s refuse de se rendre. On les fera saute s aivec l'abri. Les hommes du génie pre parent les charges d'explosifs ; un autr groupe de fantassins attaque le troi s sième abri allemand. Un vif combat s s livre à coups de grenades et de pistolets :- Trois Boches sont faits prisonniers, e s six abattus. Le détachement attaqu e ensuite le quatrième abri où la lutt - s'engage également violente. Entretemps le Génie a terminé le r préparatifs pour faire sauter l'abri. U explosion formidalble retentit; tou saute avec quinze Allemands enfermé dans leur réeluit blindé. Les nôtres re prennent le chemin des lignes belge î emmenant cinq prisonniers après avoi t occis une trentaine d'ennemis dont u: officier, détruit des travaux, et plant n en signe de victoire le drapeau belge su les ruines de Terstille. e EN AFRIQUE ORIENTALE s « L'ennemi se disperse , Le corps principal des " forces aile - mandes, abandonnant mitrailleuses o 2 fusijs, s'est réfugié dans les montagne t à quelques kilomètres au nord de 1: t frontière portugaise. Plus à l'ouest, ui petit détachement de Mahenge, réduit d - moitié dans les opérations récentes, s'es s efforcé de se créer un passage vers 1 - sud à travers la route de Songea à Livale t — ^ EN PALESTINE t —• Une nouvelle victoire Londres, mercredi. — Le général Al " lenby signale qu'après un vif comba " livré" le 12 novembre contre les force " turques qui avaient tenté de prendr " une nouvelle position sur le Wadi Suke • reir, à 19 kilomètres au nord d'Ascalon ^ l'ennemi fut refoulé, le 13, par une at taque combinée exécutée par nos troupe montées et notre infanterie et forcé d ! se retirer sur une distance de 8 kilomè - très, jusqu'au Wadi Surar, à 12J kilo 3 mètres de Jaffa. Nos troupes capturèrent des postes en _ nemis fortement retranchés à Mesmiyeh Katrali et à Mughar, et occupent à pré 1 sent une ligne allant d'El Tinek ver " l'est jusqu'à la mer, en traversant Ka . trah et Yebua. Les détails des capture t ne sont pas encore connus, mais un , seule de nos divisions montées 3 fai 1 1,100 prisonniers et pris deux canoas e - quatorze mitrailleuses. EH MESOPOTAMIE EES EVENEMENTS EN RUSSIE Kerensky serait à Pétrograd U n'y a pas de nouvelles directes au ujet des événements de Russie. Force ious est donc d'enregistrer sous réserve es télégrammes venus de Stockholm et [e Copenhague, qui manquent de cohé-ion.De Stockholm on annonce que M. Ke-ensky est actuellement à Pétrograd et ue presque toute la ville esst en son pou-ôir; le télégraphe serait à présent sous oïl contrôle. Moscou est le siège du Gouvernement irovisoire. M. Kerensky a donné, do Joscou, des ordres qui sont publiés par 2S journaux de Pétrograd. La presse irfi-léniniste de la capitale ainsi que les ournaux de Helsingfors annoncent en tos caractères que le mouvement Bol-hevik est près d'être terrassé. Toute la îussie, à l'exception d'une petite partie e Pétrograd, est actuellement aux lains du Gouvernement provisoire. Le général Kalodin a été nommé dic-ateur de là Russie méridionale. ' Des voyageurs arrivant de Pétrograd isent que lorsqu'ils ont quitté ce£te ille il y avait des combats dans les rues ntre le peuple et les léninistes. Les ambassades alliées sont à présent en con-act avec M. Kerensky. Les cosaques ont détruit la Garde Rouge, le principal ré-iment Bolshevik. D'autre part on mande de Haparanda Stockholm, que dans le comhat autour e Tsarskoe Selo, M. Kerensky; dispolit d'artillerie et' de cavalerie qui ssura son succès. Le premier ministre st rentré à Pétrograd et a repris la irection des affaires. Le télégraphe e Pétrograd est actuellement dans les îains de ses partisans, aussi biçn peut n s'attendre à ce que des nouvelles au-lientiques soient bientôt publiées.. Une dépêche ultérieure dit:' L'administration des télégraphes de Stockholm annonce que les communi-ations avec Pétrograd ont été Inter-ompues depuis hier, à 2 K, 20 de après-midi. 1 A la Chambre des Communes En réponse à certaines questions po-■ees-êpar M. Asquith au sujet du fonctionnement du Conseil Suprême de ïuerre, M. Lloyd George a communiqué l la Chambre des Communes le texte de 'accord conclu à ce sujet entre les gou-rernements français, italien et britan-lique. Nous eii avons indiqué les grandes ' ignés. "De ce texte, a dit M. Lloyd George, ésulte clairement que le Conseil n'a pas le pouvoir exécutif en ce qui concerne les décisions officielles en matière de tratégie. La direction et les mouvements les armées sur de champ de bataille reseront soumis aux divers gouvernements les Alliés. Il n'y aura donc pas de dé->artement d'opérations attaché au Con-eil. Les représentants militaires per-nanents recueilleront des services de ren-eignements existants les informations léeessaires pour leur permettre de soumettre leur avis au Conseil Suprême des Llliés. Le but poursuivi est de créer un rganisme simple chargé de surveiller contaminent l'ensemble du camp des opé-ations à la lumière des informations ' eçues des divers fronts et des divers tats-majors, de coordonner les plans iréparés par les différente états-majors ;énéraux et, si nécessaire, de soumettre les propositions pour une meilleure con-luite de la guerre." VERS L'UNITE st * Les Turcs se retirent vers le nord < e Les forces britanniques, après des._ac-tions absolument victorieuses à Tekrit, < 0 , le 5 et 6 novembre, restèrent en cet en-3~droit jusqu'au 8 novembre, toutes les : forces turques opposées ayant été re- ( tirées do 48 à 80 kilomètres vers le nord, ^ à l'exception d'un petit détachement à p Sharaimjo (44 kilomètres au nord -de " Tekrit). Le déblaiement du champ de , bataille et l'enlèvement ou la destruc- . tion de tout co qui pouvait avoir une , valeur militaire ayant été accomplis, ( e nos troupes retournèrent à leurs posi- < tions originales conformément aux plans ; élaborés antérieurement à leur avance. :e c OPERATIONS NAVALES it —•— s !" Deux navires de guerre britanniques < l" coulés ' il ^ : r Londres, mercredi soir.—Un des- j a trôyer et un petit monitor de la flotte 1 s britannique ont été coulés par un sous- . marin ennemi, pendant qu'ils coopé- ^ it raient à l'action de l'armée britannique ,e en Palestine. Sept hommes du des- a troyer et 26 hommes du monitor sont 1 e manquants. ' Utilisation de tonnage neutre- s •, On mande de New-York que les négo- ( dations entreprises aivec les Etats de t t l'Europe septentrionale et avec le Japon < pour augmenter de plusieurs centaines 1 de milliers de tonnes la flotte de trans- s , port américaine, sont arrivées à leur 1 n phase finale. Le Japon a consenti à « s vendre immédiatement un grand nombre 1 . de bateaux se "trouvant actuellement 1 e dans le Pacifique, et l'Amérique a con- i senti de son côté, à vendre au Japon les c r plaques d'acier dont il a besoin pour s compléter son propre programme naval. 1 e Au cours des négociations avec les j _ pays scandin^ves et la Hollande, les , e Etats-Uûis avaient maintenu fermement j le point de vue qu'aucun des produits r ^ alimentaires que ces pays reçoivent ( e d'Amérique ne pouvait être exporté soit ( e directement, soit indirectement -en Allemagne. La Norvège et la Suède ont . s souscrit à cette condition ; mais la Hol- I a lande jusqu'à présent a refusé de s'y t conformer, et c'est la raison pour la-s quelle les Etats-Unis eontinueront à mettre l'embargo sur tous les fourrages s g pour les Pays-Bas. En principe, l'ex- j r portation de produits alimentaires ab- j 1 solument indispensables semble cepen-^ dant avoir été accordée. 4 r En échange, les Etats-Unis seront au- s torisés a employer des bateaux Scandinaves et néerlandais jaugeant ensemble 1 environ 500,000'tonnes. La plupart des c-bateaux néerlandais seront utilisés au ^ transport d'approvisionnements d'Ar- * gentine, d'Australie et d'ailleurs aux États-Unis; le i*este des bateaux néer- ^ t landais^ sera employé au "trafic entre ,* s l'Amérique et la HolIancTe. Cependant, 1 avant que ces divers accords soient mis a. 1 à exécution, plusieurs questions secon- ^ s daires doivent encore être solutionnées. *= t Une de ces questions est relative à l'ex-1 2 portation du minerai de Ter de Suède en • Allemagne. c r Les pertes sur mer Arrivées et départs de navires mar- ^ chands de toute nationalité et dépassant 100 tonnes (non compris les bateaux de c . pêche et locaux) dans les ports du v t Royaume-Uni pour la semaine finissant e s le 11 novembre 1917, à 3 heures après-e midi : t . Arrivées, 2,125; départs, 2,307; con- d , tre 2,384 et 2,379 la semaine précédente, t _ -Navires marchands britanniques cou-s lés par sous-marin ou par mines : de plus a 3 de 1,600 tonnes, 1 ; de moins de 1,600 ^ . tonnes, 5 ; contre 8 et 4 la semaine pré- s . cédente. a Navires marchands britanniques atta- e . qués sans succès par sous-marins : 8, con- c tre 6 la semaine précédente. ! Un bateau de pêche britannique a 'été 11 - coulé. ° 8 « S t * s Les statistiques des ports 'français e pour la semaine finissant le 11 novembre S 11917, donnent 883 entrées et 839 sorties, c t contre 925 et 859 la semaine précédente, r Deux navires marchands français de 1 plus de 1,600 tonnes ont été coulés, con-:re un la semaine précédente? Quatre navires marchands français >nt été attaqués sans succès. Aucun -bateau de pêche français n'a ité coulé. La statistique hebdomadaire italienne renseigne pour la semaine, finissant le Il novembre 1917, 384 entrées et 333 orties, contre 352 et 3.12 la semaine précédente.Un bateau à voiles italien de plus de 100 tonnes a été coulé contre deux narres marchands de moins de 1,500 ton-îes et trois petits bateaux à voiles de noins de 100 tonnes la semaine précé-lente. I î8ème No 271

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