Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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30 December 1918
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s.n. 1918, 30 December. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Seen on 18 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/4x54f1nc2r/
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AN VbKb, Lundi -3U Décembre 191» Le numéro 10 centimes Soixante-unième Année No 18,193 PRIX DE L'ABONNEMENT : PAYABLE PAR ANTICIPATION : Intérieur . . . . Frs 11,50 par trimestre. Hollande et Grand/ 137c; Duché de Luxembourg j " ' " Autres pays de l'Union Postale Ers 16,— par trimestre. .On s'abonne à tous les bureaux de poste LLOYD ANVERSOIS ùeul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires 30 centimes la petite ligne 75 centimes la ligne fi 1,50 !a ligne sur double colonne fr. 1 la ligne pour convocations d'assembléeç Émissions, Annonces financières et Adresses Industrielles et Commerciales : Prix à «nvenir îs annonces sont mesurées au lignomètre.— Le» :res se paient d'après l'espace qu'ils occupent ADMIS PAR LA CENSURE AVIS Ce numéro contient te 51' TIRAGE pour amortissement et primes de la Ville d'Ostende 1898. — Emprunt de fr. 25.172.500. AVIS AUX ABONNÉS Nous avons l'honneur d'aviser nos abonnés de la ville, que nous ferons présenter incessamment les quittances d'abonnement pour le premier trimestre 1919, et nous les prions instamment de bien vouloir y réserver bon accueil dès Sa première présentation ; ils éviteront ainsi à notre personnel un surcroît de besogne par une nouvelle présentation. Les abonnés de l'Intérieur sont invités à nous adresser le montant de leur abonnement avant la fin du mois afin d'éviter des retards dans l'envoi du journal. Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopold, 51. Anvers 30 déc. 1918, 10 h. du matin. — Baromètre 755. — Thermomètre cent, (max.) f i®,5. — Thermom. cent, (min.) + 7.— Pluviomètre : 0,5 m m.—Vent : O.-S.-O.— Prévision : Pluie. Port d'Anvers ARRIVAGES DU 28 DECEMBRE 1918 Steamer belge Marc.i:kritk, cap. Laforce, de Londres avec marchandises diverses. » anglais Abuot, cap. Jones, de Londres avec marchandises diverses. » anglais Navari.no, cap. Crichton, de Baltimore avec farine. » espagnol Comproa, cap. Zabala, de Valence avec marchandises diverses. » Ti-msche 2, de Tamise, avec 3 tonnes marchandises diverses. Bateau-moteur Eclair 4, de Bruxelles avec 10 tonnes marchandises diverses. Bateau-moteur Melanie, de Bruxelles, avec 20 tonnes marchandises diverses. Allège 3 Gebroeders, de Boom, avec 157 t. farine. » Betrouwén, de Boonu avec 193 1/2 t. farine. » Gand, de' Brée, avec 350 tonnes seigle. » De Zoon Jozki-, de la Hollande, avec 597 ton- lard et saindoux. » TéNif.rs, de Bruxelles, avec 208 t. vivres. DU 29 DECEMBRE 1918 Steamer belge Topaze, cap. Delarne, du Havre, avec marchandises diverses. » anglais Madame B'rooke, cap. Farlane, de Seaham, avec charbons. » Mabyi.ebonk: cap. Mi Us, de Londres, sur lest avec 91 passagers. » Temsche 2, de Tamise, avec 3 tonnes marchandises diverses. »> Telegraaf 6, de la Hollande, avec 200 ton. marchandises diverses. Allège Pelagik, de Raevels, a ver 100 t. seigle. » Memipuar, de la Hollande, avec 1252 tonnes froment. DEPARTS DU 28 DECEMBRE 1918 Allège Vamos, pour Merxem, avec.293 t. froment. » Marie Virginie, pour Haesen, avec 261 t. sucre » HUY, pour Gand, avec 230 t. saindoux. » Noordpool, pour Gand, avec 230 L saindoux » Rtîpel, pour Louvain, avec 240 tonnes marchandises diverses. » Juliette, pour Louvain, avec 664 t. riz. » Danaro, pour Hasselt, avec 84. t. vivres. » le Jeune Emile, pour Namur, avec 260 tonnes ; froment. » Géant, pour Namur, avec 250 t. froment. » Edouarl, pour Namur, avec 294 t. froment. » PÈlevv. pour Charleroi, avec 260 t. froment. » François Alexandre, pour Charleroi, avec 292 tonnes froment » gralïwork 5, pour Liège, avec 250 t. froment. DU 29 DECEMBRE 1918 Steamer belge Generaai. Léman, cap. Ryez, pour le Havre, sur lest. « anglais Khyber, cap. Pinckney, pour Huli, sur lest. « Temsche 2, pour Tamise, avec 3 tonnes. «Marchandises diverses Bateau-moteur Leon\rd, pour Wintham, avec 10 ton. marchandises diverses. Bateau-moteur Pierre-Joseph, pour Rupelmonde,uvec 15 tonnes marchandises diverses. Bateau-moteur Eclair 3. "pour Bruxelles, avec 50 ton. marchandises diverses. Bateau-moteur Ring rosi-; 3, peur Bruxelles, avec («0 t. marchandises diverses. Allège 3 Gebroeders. pour Merxem, avec 38 t. vivras. » Rosalie, pour Merxem, avec 291 t. froment. » Betrouwen, pour Herenthals, avec 193 tonnes farine. » Mariv. pour Louvain„ avec 430 t. maïs. » Quo Vadis, pour Louvain, avec 200 t. lard. » Paul, pour Louvain, avec 200 t. riz. » Elise, pour Bruxelles, avec 260 t. marcha ndi-ses diverses. » Libre Change, pour Charleroi, avec 68 tonnes froment. » éerthç. pour Liège, avec 300 t. froment BASE NAVALE — c. S. m. m. — 2, quai ortf.lius NAVIRES ATTENDUS A ANVERS A PARTIR DU 30 DECEMBRE 1918 POUR L'ARMEE BELGE St. Clara, du Havre, avec 400 t. marchandises div. Cargaisons d'entrée pour l'armée belge St. NavarinO, arrivé de Baltimore avec 7200 tonnes farine. — Amarré Hangar 7. (rectifié). St. Topaze, arrivé du Havre, avec 350 tonnes marchandises diverses. — Amarré 'Hangar 17 A. St. Madame Brooke, arrivé-de Sunderland avec 725 .tonnes''charbons à gaz. — Amarré Hangar 17 B. St. Abbot, arrivé de Londres, avec 320 tonnes marchandises diverses. — Amarré Hangar T8A. st. Marguerite, arrivé de Londres, avec 250 tonnes marchandises diverses.. — Amarré Hangar 18. Cargaisons d'entrée BUREAUX DE MM. RUYS & Co De Valence, le vapeur espagnol Camproa, capitaine Y. I.abala. 1000 tonnes riz, 41 caisses chaussures, 1000 caisses oignons, 385 caisses citrons, 3221 caisses oranges, 4300 caisses figues, 216 caisses mandarines, 114 caisses tomates, 400 caisses abricots, 246 caisses pêches. 610 caisses poires, 14 caisses prunes,200 caisses poivre à ordre. Ce vapeur a été amarré Hangar 24. BUREAUX DE L'AGENCE MARITIME WALFORD Société anonyme) De Bilbao, le steamer espagnol Ibai Zùri, capitaine l'galde. 200 barils de vin, 250 caisses oignons, 250 caisses oranges, 600 caisses de laine, 27 colis tissus 1 j.s caisses savon, 800 colis figues, 1617 caisses sardim.s. 188 caisses conserves, 4 barils conserves, 1000 baiv ses thons (poissons). à ordre.' C.e vapeur a été amarré Hangar 23.- Evénements de mer Dolfijn. — Hambourg 28 décembre : La tia-lcjue hollandaise Doi'lin, de Rotterdam à M&lmoe, et qui, comme nous l'avons rlit, était entrée avariée à Fre-drikshavn a continue son voyage âpre savoir été réparée, mais le lendemain elle a été obligée cause d'une violente tempête,, de rentrer dans le port. Ittersum. — Ymuiden, 28 décembre : Le vapeur Ittersum, entré cette nuit avec une cargaison de bois scié pour Zaandam, a perdu en mer par gros temps environ 40 standards. Deux hommes de l'équipage ont été blessés-. Johanna. - Bergen, 18 décembre : Le voilier hollandais, arrivé ici de Rotterdam, avait touché le 23 novembre un objet inconnu, et une voie d'eau s'était déclarée. Pendant une ' tempête une partie de la pontée, a été perdue. Johannes Francisons. - Hambourg, 28 décembre: Le cotre hollandais de ce nom, qui, s'étant échoué, avait été relevé, mais était retombé pendant qu'on le remorquait voir le numéro 18190 du Lloyd Anver-sois) est définitivement, perdu La cargaison de fer et bois, ainsi que la voilure et les cordages seront transportés à Copenhague, mais le travail est rendu très malaisé par une tempête de neige. NAVIGATION Les transports à Ostejide Le vapeur de* pèche belge Ibis, parti de Milforcl Haven mardi dernier, est entré à Douvres mercredi soir, pour embarquer un officier de la marine anglaise, qui va conduire à Ostende le navire pour le compte de l'Œuvre Royale de l'Ibis. L'Ibis est, Je .premier navire marchand qui entrera dans notre grand port, côtier ; il a été chargé de poisson par les armateurs de pêche belges, à qui ce geste.de confraternité fait le plus grand honneur. Ces armements établis à Milford Haven et à Swansea depuis, la guerie sont au nombre de quatre, soit .les Pêcheries d'Islande, directeur M. Baels ; les Pêcheries à vapeur, M. J. Bauwens ; les Pêcheries du Nord M. De Munter ; et les Sociétés Alfred Goilder & Cie. L'Ibis, qui ouvre la voie au commerce maritime à Ostende, est la propriété d.e notre souverain, qui l'avait acheté avant la guerre, pour y embarquer des .éflèves de fîiarine. Great Eastern Railway. Londres. — En vue de permettre à la Great. Eastern Railway de réorganiser son service Harwich-Anvers, le Ministry < f Shipping. a exempté de réquisitit 1 le steamer Amsterdam. La mise en état de ce steamer prendra deux à trois semaines et au début de j.aïn 1er la Great Eastern pourra assurer deux, ou trois départs réguliers par semaine. Londres-Gand. Londres. — Le st. Sea Serpent, chargeant au Mark Browns Wharf S. E., reprendra son service commencement janvier à destination de Gand. Londres-Bruxelles. Londres. — La Briissels S.S. C° Ltd. reprendra son service direct Londres-Bruxelles dès que les circonstances le permettront. Agents à Bruxelles : Thomas & El lis, 48, rue Picard. Flanders Line. Londres. — A partir, de fin d'année ou commencement janvier la nouvelle ligne belge Flanders Line organisera un service régulier au moyen de navires. belges entre "l'Angleterre Ostende-Gand-Anvers pour le transport de marchandises, bagages et petits paquets. Le bateau-moteur Moucheron est annoncé pour partir de Southampton vers le 28 courant et le moteur Zwali'w, de Poole, vers le 10 janvier 1919 La navigation sur le Rhin. La navigation est défendue pour tous navires sui la partie prussienne du Rhin pendant la nuit (depuis une heure a[ rès le coucher du soleil jusqu'à une heure avant le lever du jour). Navires sombrés. Londres, 19 décembre : L'amirauté indique une >re les navires suivants, comme ayant été torpillés lés vapeurs anglais Dearne, Rubens, Sprightly, sinainn, searsdale, Y 'l'.nna, castro. briissels, colcic > . R Yarrowdai e ; les trawlers à vapeur anglais i.ini ilyan geo L. Bensox, Nuttalia ; les chaloupé cl e pèche françaisls I.'Avenir, Pays-Ba" et le 'voiliei américain Pass oe Balmaha. Les épaves. Vlieland, 21 décembre. — Il a été jeté sur la | iag\ à Vlieland 1 ne grue d'une longueur d'environ pieds, et 8 paquets de paille. Mines sous-marines. Renesse, 24 décembre — Sur la plage nord Je 11L-3 Sehouwen on a trouvé deux grandes mines. Stellendam, 25 décembre.— Une mine a été trouvée sur la plage à Rockanjé line autre a été jetée sur les Hinderribben. Flessingue, 26 décembre. — A Westcapelle on . rr: cueilli deux mines, qui ont été démontées par .a 11.1 ri ne. Flessingue, 27 décembre. — Devant Flessingue . a aperçu beaucoup de mines ; il en passa notam ment une couple à côté du steamer Texei.stroom pendant qu'il était échoué. Steillendam, 28 déc. : Sur-la plage près du poMer. Woutrin, deux mines jetées sur la plage ont été d étroites. Flessingue, 28 déc.: A la digue de Westcapeller neuf mines ont encore-été jetées par les Hots. LA VILLE ARMEE A l'occasion du nouvel-an. le lieutenant-général Drubbel, .commandant la 2e division d'année, ne recevra pas cette année. LES BOIS AU PORT La commission de récupération des bois charge journellement., aux hangars 17/b à 21, une trentaine de wagons de bois déposés sous les hangars, en vue de déblayer ceux-ci. Ces bois sont.condutis, par h-quai du Rhin, aux numéros 45, 69 et 70 des bassins j>our être entreposés. D'autre part, la commission de récupération des charbons charge journellement aux hangars 19/a et 19/h'250 à 300 tonnes de charbons que • l'ennemi y ii abandonnés. Ces wagons sont dirigés sur di verses destinations du pays selon les ordres de l'autorité imilitaine. Oh espère aussi mettre à bref délai les hangars. i7 à 21 en état de recevoir des navires, en premier lieu vraisemblablement ceux du Relief. L'administration des chemins de fer et le service technique de la ville travaillent actuellement à remettre en état à cet emplacement les transbordeurs et les cabestans électriques pour pouvoir effectuer le placement des wagons devant le navire même sous les grues hydrauliques.ATHENEE ROYAL La réouverture des cours aura lien vendredi, 3 janvier, à 8 heures. Pour les classes de 6° A, 6° B, 4e B et 3e B à 9 heures; pour la 7e mod., 5° B et 2e anc. à 10 heures. UNITAS ET SYNDICAT DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE L'Association d'Employés de bureau belges « Uni tas » et l'Association de Patrons et Employés « Syndicat du Commerce et de l'Industrie» nous pnie de reproduire la circulaire suivante : Depuis le premier jour de l'existence de nos deux sociétés, nous n'avons .cessé de nous mettre à l'avant plan pour la défense des intérêts des employés et chaque fois que nous eûmes à nous adresser aux patrons pour soutenir une revendication équitable, nous l'avons toujours fait, ave.' la plus entière fran Ç'hise, sachant que les démarches entreprises étaient justes et. opportunes. Forcés par les circonstances, nous avons pendant toute ,la période de la guerre, dû limiter notre action | a prêter aide et assistance à ,110s membres les plus éprouvés. Disons tout de suite que cette tâche, tonte confraternelle, ne put être entreprise que grâce aux dons nombreux que nous reçûmes du Comité natio mal de secours et d'alimentation, des firmes ban-caires, commerciales et. industrielles de notre pla:ce et de plusieurs de nos membres. Nous leur devons à cette occasion une reconnais sauce profonde, tant au r.om de la direction de lios deux sociétés qu'en celui de ceux dont le triste sort put ainsi être soulagé. D'autres problèmes se présentent maintenant à nous. La fin prochaine de la. guerre va mettre l'employé, restée au pays, dans des conditions bien spéciales. Ayant eu a souffrir physiquement, et moralement de la dure épreuve qu'il vient de ;passer, il s'agit pour lui de se relever et d'arriver pas son travail, à reconquérir dans la société la place à laquelle son' travail et. ses capacités lui donnent droit. Nous sommes assurés que les patrons ne se refuseront pas à contribuer ;i cette œuvre de relèvement dont ils seront- les premiers à bénéficier et lorsque le moment, de la reprise- des affaires aura sonné, ils auront à,cœur de rétribuer leurs employés- sur la base de barèmes sensiblement modifiés. Les conditions de vie ne seront plus à l'avenir celles d'avant la guerre. De lourdes charges pèseront; désormais sur le budget de chacun.. S/ donc les patrons veulent s'assurer le concours d'un personnel d'élite et dévoué, gage du futur succès, qu'ils prennent sans hésitation des décisions tenant compte des nouvelles situations. En .procédant ainsi, ils montreront de la clairvoyance et de l'opportunité. Aucune menace n'est..contenue dans notre requête. Nous sommes et nous restons ennemis de la lotte des classes. Notre seul-désir est d'assurer le bien-être de l'employé et !e progrès du commerce et de l'industrie par la bonne entente entre patrons et employés. Nous reconnaissons que si les employés ont des droits, ils ont aussi des devoirs, et.que le dévouement, des uns doit répondre à la bienveillance des autres. C'est pourquoi nous-nous adressons avec confiance à vous, et ne doutons pas que notre appel sera entendu. Lois, arrêtés royaux et actes du gouvernement Ministère des affaires étrangères \d.\ 11nistr at ion centr ale ALBERT, Roi des Belges, A tous, présents et à venir, Salut. Sur la. proposition de Notre Ministre des affaires étrangères, Nous avons arrêté et arrêtons : Article l1'. — La Direction générale du Contentieux et du Protocole du Ministère des affaires étrangèies est- supprimée. Le service du Contentieux est rattaché à la Direc "tion générale die la Chamcetllerie, qui prend la. d'éno mination de Direction générale de la Chancellerie' et. du Contentieux. Le service du Protocole entre dans les attributions de la Direction générale du Secrétariat général, à laquelle la section de la Comptabilité est également rattachée. Art. 2. — Notre Ministre des affaires étrangères est. chargé de léxépution du présent arrêté. Donné à Bruxelles, le 9 décembre, 1918. Par Je Roi : Le Ministre des affaires étrangères, ALBERT. h y.m axs. ALBERT, Roi des Belges, A tous, présents et à venir f Salut. Nous avons arrêté et arrêtons : Article lr. — Il est institué un Haut Commissariat, du Gouvernement pour assurer la. gestion et la liquidation des œuvres die guerie, institutions charita blés et formations sanitaires créées en dehors du territoire national par le Ministre de l'intérieur. Le Haut Commissaire du Gouvernement peut être délégué pour la liquidation des œuvres et établissements similaires qui rélèvent des autres départe ments ministériels. ' Art. 2. — Notre Ministre .de l'intérieur est- chargé de l'exécution dn présent arrêté. Donné à Bruxelles,, le lr Décembre 1918. Par le Roi : Le Ministre de l'intérieur, ALBERT. Cil. de broquevillk. Ministère des chemins de fer, marine, postes ei télégraphes ALBERT, Roi des Belges, A tous, présents et à venir, Salut. Vu l'arrêté' royal du 30 novembre 1912 organique de l'administrai ion centrale du Département de la • marine, postes et télégraphes ; Vu l'arrêté royal du 28 février 1914 réunissant en un seul département, le ministère des chemins dé fer et celui de la- marine, des postes et des télégraphes ; Sur la proposition de Notre Ministre des chemins de fer, marine, postes et télégrapes, Nous avons arrêté et arrêtons : Article lr. — Le Secrétariat général du Ministère des chemins de fer et le Secrétariat général du Mi nistère de la marine, des postes et des télégraphes, sont fusionnés. Art. 2. — L'arrêté royal du 30 novembre 1912 est abrogé. Notre Ministre des chemins de fer, marjne, postes •et télégraphes est chargé de l'exécution du présent arrêté. Donné à Bruxelles, le lr décembre 1918. Par le Roi : Le . Ministre des chemins de fer, ALBERT, marine, postes et télégraphes.. J. Renkin. Ministère de la justice actions en matière pk loyers — suspens.on ALBERT, Roi des Belges, A tous, présents et à venir, Salut. Vu l'article lr de la loi du 4 août 1914 disposai!' notamment, que « pendant la durée du temps de guerre, le Roi peut, selon las circonstances : ... 6° 'suspendre l'exécution des obligations civiles et commerciales » ; Sur la proposition de Notre-Ministre de la justice, Nous avons arrêté et arrêtons : Article lr. — Jusqu'à l'entrée en vigueur d'une loi sur les loyers, il sera sursis au jugement : 1° des actions en, payement des loyers afférents à la jouissance d'immeubles pendant la période 'écoulée du 4 août 1904 au jour de la cessation cht temps de guerre ; 2° de toute demande .fondée sur le défaut de payement dés dits loyers, sur l'expiration du bail ou sur un congé donné au preneur. Art. 2. — Notre Ministre de la justice est cliargt'1 de l'exécution, du présent arrêté, qui sera obligatoire le jour de sa publication. Donné à Bruxelles, le 10 décembre 1918. Par le Roi : le Ministre de la justice, ALBERT. E. Vandf.rvelde. Actes de Sociétés déposés au greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Il résulte d'un acte en date du 21 décembre 1918. passé par devant Mcs Cols, détenteur de la minute, el Van de Velden, tous deux notaires, à-Anvers, que M. Alfred Kreglinger, administrateur de ia - i: .1,1-s'alie de la Banque nationale de Belgique à Anvers, demeurant à Berchem, a été onmmé liquid-iteur de la « Société Métallurgique Anversoise », société anonyme, à Anvers, mise en liquidation le lr ( rto bre 1862, ce en remplâicement des liquidateurs tons décédés. Il résulte d'un ac-te .sous seing privé en date du 24 décembre 1918, que l'assemblée générale du 23 décembre 1918, de la Société coopérative « Banque Crédit populaire », à Anvers, a approuvé la propo sition d'augmenter !e capital et a décidé de le poi-ter au minimum de 2.000.(KM) francs. Nomination. — Société coopérative «Ons Welva reu », à Caippel'len. M. J. B. Letens, employé, à Cap-perien., est nommé administrateur délégué. Réélections. — Société coopérative « Molénberg Natie », à Anvers. Sont nommés : MM. A. Van l.oo veren, doyen : .1. B. Goossens, sous-doyen ; F. Van Ronipaey, doyen pour les chevaux : C. Mertens. conipt'ible ; J. Verelst, caissier; I). Morte'lma'ns ei F. Segers, commissaires. Bilan. — Société coopérative « Hef Werk der Aard appelschil. De Groeine Ster », à Anvers. Aperçu général. NOUVELLES 'SOCIÉTÉS Carrières de marbres de la Fastrée à Barvaux-aur-Ourthe, société anonyme, à \ns. — Constitution. — Le siège social est. établi à Ans-Est., rue d'Ot.hée. La, société a pour objet l'extraction des marbres et pierres, leur façonnage, ainsi que la vente et le courtage de tous marbres et pierres, soit qu'ils proviennent des carrières exploitées par la société, soit qu'ils proviennent, d'autres carrières. Briqueteries réunies du Rupel et de la Nèthe, société anonyme, à Bruxelles. — Constitution. — El'le a -pour objet l'industrie et le commerce des briques de tous genres, de tuiles, carreaux, tuyaux et d'une manière générale, de tous produits en terre cuite ou à base d'argile, ainsi que de leurs matières premières. J. & P. Franquinei, société en nom collectif, Bruxelles. — Constitution. — La société a pour objet le commerce des vins et liqeurs. La Courroie belge, Manufacture de courroies de transmissions.,marque Paraliez, société anonyme, à* Bruxelles. - Constitution. — Le siège de la société est établi à Bruxelles. La société a pour objet l'exploitation d'une manufacture de courroies pour transmission et, en général,- rexploitation sons tou-tes ses formes des articles se rapportant à cet objet. BELGIQUE Chèques ai virements postaux^. Le service des chèques et virements' postaux sera repris le 2 janvier prochain. Les anciens affilié* pourront donc, dès cette date, disposer de leur avoir c i c >;. pte dans les mêmes conditions qu'avant la guerre. Repatriement de prisonniers malades et blessés On nous communique l'information suivante : Il a été constaté que las malades et blessés, détenus dans les camps de prisonniers en Allemagne, s'y trouvaient dans des conditions pitoyable^. Les Allemands» les y ont abandonnés, aux mains d'infirmiers volontaires belges et alliés, sans fournir à ces derniers les moyens de donner à ces malheureux les soins nécessaires. Les médicaments, entre autres, faisaient, totalement défaut. Les camps ont été laissés dans un état de mâJproprepretc indescriptible. Depuis tout un temps, les Allemands axaient cessé de procéder au nettoyage des Jwira-ques ; pour finir, ils. n'enterraient même plus les morts. A l'hôpital du camp de Soltnu, des cadavres sont- restés à la morgue pendant huit et dix jours sans recevoir de sépulture. Il était urgent de remédier à cette situation. Dès qu'il a. eu connaissance de cet état de choses, le ministre de la guerre a donné des ordres pour que des trains sanitaires fussent .immédiatement équipés et dirigés sur l'Allemagne, eu vue de ramener en Belgique nos prisonniers malades et blessés. Ces trains transportent le personnel, les vivres, le matéried. de pansement et pharmaceutique indispensables, et du matériel sanitaire destiné à être distribué dans les camps où se feront successivement les chargements. Des ordres spéciaux ont été donnés jwftfr que ces trains emportent les médicaments spécialement de mandés pour les camps de prisonniers, tels que codéine, caféine, aspirine, salycilate -de soude, pyra-uiidon, digitale, créosote, urotropine, salol, ichtyoL calomel, diurétiiie, sparadrap, onguent souffre. Tout est mis eu œuvre pour que lés malades et blessés reçoivent sans tarder tous les soins que nécessite leur état et soient ramenés en Belgique dans le plus bref délai possible. Bruxenes-Paris Les premiers radio-télégrammes £ntre Br.uxeTOes et Paris ont été échangés cette semaine avec-succès.Ce service sera vraisemblablement, étendu sous peu aux télégrammes de presse. Extérieur ETATS-UNIS Cuivre On rapporte que les principaux producteurs et négociants de cuivre notent le prix du cuivre pour le premier trimestre de 1919 à 47 centimes. Des ordres d'une importance de millions de livres de cuivre ohl été donnés pour la. consommation intérieure. NOUVELLE ANNÉE Ovide, en commençant son immortel poème des Fastes, s'adresse à .1 anus, en lui disant : . « De grâce, enseignez moi d'où vient que c'est dans l'hiver qu'une nouvelle année commence ; c'est le printemps qui devrait lui donner la naissance ; alors tout refleurit.... » etc. Et. il suppose que le dieu lui l'ait cette réponse : « Le soleil en hiver recommence son cours et l'an suit du soleil le" cour ei le décours I » V *« C'est à l'un des équinoxes, ou à l'un des solstices, -- dit le célèbre auteur du Système du Monde, — qu'il convient de commencer l'année. Son origine placée au solstice d'été ou à l'équi noxe d'automne, partagerait et répartirait sur deux années consécutives les mêmes opérations et. les mêmes travaux; elle aurait ainsi lesTticonvénie'nts du jour commençant, à midi, suivant l'ancien usage des astronomes. L'équinoxe du printemps, époque de la renaissance de la nature, semble devoir être pareillement celle du renouvellement de l'année ; mais il est aussi naturel de la faire commencer au solstice d'hiver, que l'Antiquité célébra comme l'époque de la renaissance du Soleil, et qui. sous le pôle, est le milieu de la nuit, dont la durée est de six mois. *** Si l'année civile était constamment de trois cent soixante-cinq jours, son .commencement anticiperait sans cesse sur celui de la véritable année tropique, et il parcourrait, en rétrogradant, les diverses sai sons, clans une. période de mille cinq cent huit ans. Mais cette année, qui fut en usage autrefois'dans l'Egypte, ôte au calendrier l'avantage d'attacher les mois et les fêtés aux mêmes saisons, et d'en l'aire des époques remarquables pour l'agriculture. On conserverait cet avantage précieux aux habi tarifs des" campagnes, en • considérant l'origine de l'année-comme un phénomène astronomique, que l'on fixerait par le calcul au minuit qui précède le solstice ou l'équinoxe: c'est ce que l'on a fait en France à la fin du dix-huitième siècle. Mais alors les années bissextiles, où de trois cent soixante-six jours, s'intercalant suivant'une loi très compliquée, il serait difficile de décomposer en jours un nombre quelconque d'années : ce qui répandrait de là confusion sur l'histoire et la chronologie. D'ailleurs l'origine de l'année, que l'on a toujours et arbitraire, lorsqu'elle approcherait de minuit d'une quantité moindre que l'erreur des tables solaires ; enfin l'ordre des bissextiles changerait, avec les méridiens : ce qui formerait un obstacle à l'adop-'tion si désirable d'un même calendrier par les différents peuples. En voyant, en effet, chaque peuple compter de son principal observatoire les longitudes géographiques, peut-on croire qu'ils s'accorderont tous à . faire dépendre d'un même méridien le commencement de leur année ? Il faut donc abandonner ici l'a nature, et recourir à un mode d'intercalatiOri artificiel, triais régulier et commode. *** Le plus simple de. tous est celui que Jules César introduisit dans le calendrier romain, et qui consiste à intercaler une bissextile tous les quatre ans. Mais si la courte durée de la vie suffit -pour écarter sensiblement l'origine des années égyptiennes du solstice ou de l'équinoxe, il ne faut.qu'un petit nombre de siècles pour opérer le même déplacement dans l'origine des années juliennes : ce qui rend indispensable une intercalai ion plus composée- Dans le onzième siècle, les Perses en adoptèrent une remarquable par son exactitude: elle se réduit à rendre la quatrième année bissextile sept fois de suite, et à 'ne faire ce changement, la huitième fois qu'à la cinquième année. Cela suppose la longueur de l'année tropique de 365 jours, 2424242 plus grande seulement, de vj., 0001602, que l'année "déterminée par les observations; en sorte qu'il faudrait un grand nom,bre. de siècles pour déplace)' sensiblement l'iorigine de l'année civile. Le mode d'intercalatlon du calendrier grégorien est; un peu moins exact; mais il donne plus de facilité pour réduire ern jours les années et les siècles: cé qui est l'un des principaux objets du calendrier. Il consiste' à intercaler une bissextile tous les quatre ans, en supprimant la bissextile de la tin de chaque siècle, pour la rétablir à la fin du quatrième.La longueur de l'année que .cela suppose, e^f .de 365 jours, 2425 plus grande que la véritable, oj., 000236. Mais si, en suivant l'analogie de ce mode d'intercalatlon, on supprime encore une bissextile, ton s les quatre mille ans, ce qni les réduit à neuf cent soixante ; neuf fois dans cet intervalle, la longueur de l'année sera de-365 jour s. 2250: ce qui approche telle ment de ila longueur 365 jours 242264 déterminée 1 ai les observations, que l'on pèut négliger la différence, vu la petite incertitude cpie les observations elles-mêmes laissent sur la vraie longueur de Fan-née, qui d'ailleurs n'est pas rigoureusement constante.La division de l'année en douze mois «*t foi t. ancienne et presque universelle. Quelques peu/pies ont, supposé les mois égaux et de trente jours, et ils ont complété l'année par l'addition d'un nombre suffisant de jours complémentaire#.D'autres peuples ont embrassé l'année entière dans les douze mois, en les rendant inégaux. Le système des mois de trente jours conduit na turellement à leur division en trois décades. Cette période donne la facilité de retrouver à chaque instant le quantième du mois. Mais à la fin de l'année, les jours complémentaires troublent l'ordre de choses attaché aux divers jours de la décade : ce qui nécessite alors des mesures administratives embarrassantes., On obvie à cet inconvénient par l'usage d'une petite période indépendante des mois et des années : telle est la « semaine » qui, depuis la plus haute antiquité dans laquelle se perd son origine, circule sans interruption à travers les siècles, en. se mêlant . aux calendriers successifs des différents peuples. **» Cette période est .fondée sur le plus ancien système d'astronomie, qui plaçait le soleil, la lune et les planètes, dans l'ordre de distance à la terre suivant: la Luné, Venus, Mercuié, lé Soleil, Mars, Jupiter et Saturne. Les parties successives de la série des jours divisés en vingt-quatre parties, suivant Dion, ou seulement en quatre, selon d'autres auteurs, étaient consacrées dans le même ordre à ces astres, en revenant sans cesse de Saturne à la Lune ; chaque jour ' prenait son nom de l'astre correspondant à sa première partie. La semaine se retrouve dans l'Inde parmi les Brahmanes, et avec nos dénominations; et je me suis assuré que les jours dénommés par eux et par nous de la même manière, répondent aux mêmes instances physiques. La même période éta.it en usage chez les Arabes,'les Juifs, les Assyriens, en Chine et dans tout l'Orient. Il est imopssible, au milieu de tant de peuples divers, d'en reconnaître l'inventeur : nous pouvons seulement affirmer qu'eCle est le plus ancien monument des connaissance^, astronomiques. Elle parait • indiquer une source commune, d'où les sciences se sont répandues ; mais le système, astronomique qui lui •sert de base, est <ujie preuve de leur imperfection à cette origine. 11 était facile, lorsqu'on réforma le calendrier grégorien, de fixer au solstice d'hiver le commencement de l'année : ce qui aurait fait concourir l'origine de chaque saison avec le commencement du mois. 1! était facile de rendre encore plus régulière la. longueur des mois, en donnant vingt-neuf jours a celui de février dans les années communes, et .trente jours dans les bissextiles, et en faisant les autres mois alternativemént de 'trente-un et de trente jours ; il eut été commode de les désigner tous par leur rang ordinal. En corrigeant ensuite, comme on vient de le dire, l'intercala tion adoptée, le calendrier grégorien n'eût laissé presque rien à désirer. Mais convient-il de lui donner ce degré de per • fection ? Il me semble qu'il n'en résulterait pas assez d'avantages pour compenser les embarras qu'un pareil changement in.troduirait dans nos habitudes, dans nos rapports avec les antres peuples, et dans la chronologie, déjà trop compliquée par la multitude des ères. Si l'on considère que ce calendrier est. maintenant celui de presque toutes les nations d'Europe et d'Amérique, et qu'il a fallu deux siècles et toute l'influence. de la religion pour lui procurer cette ■universalité, on sentira qu'il importe de lui conserver un aussi précieux avantage, aux dépens même d'une perfection qui ne porté pas sur des points essentiels : car le principal objet d'un calendrier est d'offrir un moyen simple d'attacher les événements à la série des jours, et, par un mode facile d'intercala tion', de fixer dans la même saison l'origine de l'année ; conditions qui sont bien remplies "par le calendrier grégorien. De la réunion de cent années, on a formé le «siècle», ia plus longue période employée •jusqu'ici dans la mesure du temps : car l'intervalle qui nous sépare des plus, anciens événements connu» n'en exige pas encore de plus grande. C'est le roi de France Chartes IX qui a fixé le commencement de l'année an 1r janvier. Auparavant -l'année ne commençait qu'après la bénédiction du cierge'pascal, sur lequel on mettait une inscription qui marquait l'année de l'ère chrétienne (telle année après la naissance du Christ). Etrennes et souhaits pour la bonne année Nonnius Marcellus rapporte, sous les Romains, , l'origine de cet usage à Patins, roi des Sàbins, qui régna en même temps que• Romulus, et qui, ayant regardé comme un bon augure le présent qu'on lui fit. au premier jour de l'an de quelques branches coupées d,ans un bois consacré à,.Strenua. déesse de la force, autorisa cette coutume dans la suite, et donna à ces présents le nom de « Strenae ». Depuis ce temps, les Romains se faisaient, réciproquement, des présents de figues, de dattes de palmier, de miel, pour témoigner à leurs amis, qu'ils leur souhaitaient une année douce et agréable. Les clients 'portaient.ces sortes d'étrennes à leurs patrons, et y joignaient une petite pièce d'argent Sous l'empire d'Auguste, le Sénat, les chevaliers et le peuple lui présentaient des étrennes, et en son absence, ils les déposaient, au Cap it oie ; mais le produit de ces présents était employé'à ;acheter des statues de quelques divinités, l'empereur ne voulant pas appliquer à son profit lés libéralisés de ses sujets. Parmr ses successeurs, les uns* àdoptèrent cette coutume; d'autres l'abolirent; mais elle subsista toujours entre les particuliers. Les premiers Chrétiens la désapprouvèrent, parce qu'elle rappelait les cérémonies du paganisme ; mais 'depuis qu'elle n'a eu pour but que d'être un témoignage d'amitié d'estime ou de respect l'Eglise' a cessé de la condamner. Les tanks remorqueurs « Les difficultés rencontrées en - France dans l'organisation des transports ont. fait songer à l'utilisation des tanks pour là traction des 'péniches sus les voies navigables. » Une expérience a eu - lieu sur. le canal de la Marne. Les résultats obtenus ont été les plus con-cliliants. Un convoi de quatre bateaux chargés a été fractionné par un tank léger Renault sans la moindre difficulté, tant au démarrage qu'en cours de marche, à une vitesse de 3 kilomètres environ a l'heure, alors que par traction animale il n'est, possible que de fractionner un seul •bateau à la vitesse de I ldl. 500. » Des mesures vont être prises pour l'application immédiate de ce nouveau mode de traction. » INFORMATIONS FINANCIÈRES S'.c: été anonyme des Laminoirs, hauts fourneaux forges, fonderies ex usines de la Providence à Mar-chienne au-Pont. — Les coupons çl.es obligations i et 5 % à l'échéance du 1 janvier loin seront payables à. partir de celte date" par fr. 10.- net d'impôt pou y le coupon n° .43 des obligations 4 % et de fr. 12.50 met d'impôts pour le coupon ne 108 des . 11 »l i -«gâtions- 5.% , . >• Banque Belge des Chemins de fer. A partir du 2 janvier le coupon n° 43 des obligations 3 12 "i. •sera payable par fr. S.75. La Banque Hypothécaire transatlantique pai-** le dividende 1917, f>.% par action. La Brasserie et Meunerie De Hertog » Deuvne (Anvers^ paie Je dividende 1017-1918, 5 , :ii ;i m«.u Fonderies fer et bronze de jemeppe-sur-Meuse, société anonyme, à Jemeppe-sur-Meuse. — Rilan au 31 juillet 1918. — Solde créditeur fr. 2.211,77. Lackawana Steel. — Cette société a déclaré un dividende de 5 ?0. Inspiration Copper Campany. — Cette société a déclaré un dividende inchangé. International Paper Company. — Cette société a laissé inchangé le dividende sur »es actions privilégiées.

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This item is a publication of the title Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires belonging to the category Financieel-economische pers, published in Anvers from 1858 to 1979.

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