Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1916, 01 July. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Seen on 20 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/2f7jq0tj9h/
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ANVERS, Samedi 1 Juillet 1916 Le numéro 10 centimes Cinquante-neuvième Année - N° 17.654 DIRECTION & REDACTION : 14, RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS Téléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligne l franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre.— Les Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires AVIS El Toutes les heures renseignées dans notre journal ■■ inrtiauées d'après l'heure de la Tour. , Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopold, 5t. Anvers 1 juillet 1916, 11 h. du matin Baromètre 765. -Thermomètre cent |max| + 20. -Tbenwm. cent m.n.1 11. -I P.uviomètre : - m/m.-Vent. Sud. -Prévision . Vatiable. Astronomie 2 juillet I Lever du soleil.:.... 5h.34ai. Prem.quart le8 juill. 13 h.55 m [ Coucher du soleil.... 21 59 .. Pleine lune le 15juil1. 6 .. 40 I Lever de la lune 7 23 „ Dern. quartier |o' l. 1 . 33 ,, [ Coucher de la lune... 23 . 8. Nouv. lune le 30 inill. 4 „ 15 „ Haute marée à Anvers Matin Soir 1 juillet ... 6 h.34 m, I 1 juillet ...!8h52m. 2 7 „ 7 „ 2 .. — 19-24 „ 3 : ... 7"39 : I 3 19.55.. Hauteur du Rhin m ■ Cologne 30 iuin 3.10 m. Strasbourg 29 juin 3.90 c». [ Huningen 28 ^>.22 „ Lauterbourg „ 5.78 i \ehl - 3.98 „ Max au 5.84 „ \ Mannhein 29 „ 4.98 Germersheim .. — „ I Caub „ 3,16 ., Mayence „ 1-96 ,r I :<uhrort „ 2 20 „ Bingen M 2.80 [' Duisbourg „ 1-85 „ Coblence 2.99 „ ï Waldsliiit „ — Diisseldorf . 2.80 . ■ .ohith „ 11.90 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar | Francfort 29 juin 2.27 m. iieilbronn 29 juin 0.80 ai- Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee §■ Trêves 2e* juin 0.66 m. Constance 29 juin ,4.91 m- Port d'Anvers ARRIVAGES DU 80 JUIN I Steamer \yiLFORD III, de Tamise. » Stad Amsterdam, de la Hollande. » Telbgraaf 111, de la Hollande, [ Bateau-moteur Mélanie, .de Bruxelles.-I Allège Coletta, de Burght.. » John, de Burght. » Gustave, de Hoboken. » Ostara, de -Hoboken..' .lulia, de Boom. » Emma, de Niel. « Antoon, de Malin.es. » .Jules, de Willebroeck. » Jean Baptiste, de Willebroeck. v. » Parthénon, de Mous. » Ville d'Anvers,' de Ryckevorsel. « Alma, de St-Léonard. » Intarissable, de St-Léouard. » Tiiérésa Philoména, de Lixhe. » Willem Linnig, de Liège. i » Anna, de Liège. » Jean, d-e Liège. « Maurice, de Jemeppe. » Edelweiss, de la France. » ; Bayern 15, de l'Allemagne.. » Linus, de l'Allemagne. » Ernst Bassermann, de d'Allemagne. » Bayern 12, de l'Allemagne; | . » Bayern 13, de l'Allemagne. » Bayern 32, de l'Allemagne. » Rhenania 34, de l'Allemagne. » Karl Schroers 11, de l'Allemagne. DEPARTS DU 80 JUIN K/Steamer Wilford III, pour Tamise. » Banka, pour la Hollande, î Bateau-moteur /.éonard, pour EyclievJieb. » Pierre-Joseph, pour Rupefruondé. » Emmanuel, pour Boom. B A liège Stanislas, pour Calloo. Julienne, pour Burght. » Bentyn, pour Burglit. » Drie gebroeders, pour Hoboken. » l'wee gebroeders, pOUl* HobokeU. » Gustave,; pour Hoboken. » Maria, pour Boom. » Zuid Holland, pour Boom. » Mac K/nley, pour Ma Lines. » St-Antoine, pour Ruysbroeck. » Olympia, pour Ruysbroeck. iK » vier gebroeders, pour Bruxelles. » Francisco, pour Bruxelles. » Révision, pour Bruxelles. » MArie Louis, pour Bruxelles. « Mark-Dindel, pour Bruxelles. » Sophie, pour Gand. » Getrouwe Vrienden, pour GaneL » Jeannette, pour Gand. » Jeune Irma, pour Merxem.. » Parana, pour Merxem. » Rumonda, pour Merxem. » De Vlaming, pour Oelegheiu. » Waesland, pour Baelen. ; » Antoinette 10, pour Beersse. » Rachel, pour Montigny. » Mande-lui, pour Montigny. * » Aéroplane, pour Montigny. ' » Hortense, pour Charleroi. » Intarissable, pour St-Ghislain: t » Alma, pour St-Ghislain. m-*. » leoi'oldus (A 26). pour la Hollande. IDrie gebroeders (A 24), pour la Hollande. ;• « Jonge Willem, pour la Hollande. ■i » Anvers, pour la Hollande. ' » Stad Lier II, pour la Hollande. » Rhenania, pour l'Allemagne. » St-Nicolaus, pour l'Allemagne. (AVIS Paquets postaux L'arrêté de M. le Gouverneur général, daté du 1? I mars 1016 interdit d'enfermer des allurnettes ou d'autres objets facilement inflammables, dans les envois | faits par la poste. Malgré cette dépense, on a plusieurs fois expedié des paquets postaux contenant » des allumettes, dans ces derniers Vemps. Ces comra-• vent ions ont été portées devant la justice et. les expé-» ditems ont été- frappés d'amendes considérables. Lu conséquence de ce qu ^procède, -le public est à nouveau mis en garde contre c/js expéditions d'obiers ^Xiiiuianimables par la voie postale. Echange de correspondance avec les prisonniers de guerre en Suisse B [si Ion \eut que les lettres de-Belgique et des ré-Jf "ilf! ()"(:ullt,e;' de la Ff^itce parviennent aux pri «P.UevV,Illenu,s eu ^Ml^se, il est nécessaire el'indi-fiY'i-rîr.A 1iesse tres complète de l'expéditeur et-K.-, u 1rès lisibles et suffisamment ^Bitinnc' fioJinSfcI)euTeiU pas contenir de communi-^a"o"b destinées „ des tiers et ne doivent pas dé- l-àl-iers à lettres® PilS6S du format ordinaire d«s Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Par acte sous seing privé en date du 5 min lSllfi In .Soaieté en nom collectif « Poock & Hermann » à linixelles (Ionise 1» procuration eénér;iie ;i m» •salie dite Alice Léopold, épouse Chiniez lieriÉann ■ e| 2» procuration collective à Mr Gustave vSu"r' ç|e romptanle, et ..Ville Hélène Walraeds èmnfovTé. ^"SPOm' lesaffai1^ «"««««es nl'dŒnt I 0.,n rés"'îe d'un acte sous seing privé en date fin l juin 1910, que les affaires traitées par feu Mr Ed- i L monel- Van Reybrouck, sous la firme E Van Rev ■brouck « seront continuées sous la même firme et I ■que Mr Léon Van Reybrouck a reçu mandat do si ■guer, par procuration, toute pièce quelconaue int,-Cessant a firme et aussi de toucher toutes somme, 1 ■e' d en donner quittance. I,..8'^11, " «Xafta», Société anonyme Belge pour Exploitation du Pétrole, à Anvers. Bilan au Si ^■l'cpinhre h)iô. Le conseil d'administration • mm Ml!'iiiert Dp Decker, agent rie change, à Anvers adini' ^■Wi'ateur-président ; Emile Van den Bemden parti » Anvers, administrateur-délégué l.éon ■y- Khci-, ag6nt cle chang6. Vincent Claés, agent-com-\v,i v'Ta're ' Da Curte-Durman, avocat ; Khiu !>. ' Arbre,. propriétaire, à Anvers : Joseph Dé ' à Paris ; Christian Dimopol, avocat > ' ' et Gustave Namwelàierts, agent de ohaii-; v-'.: '.r1;.- Les commissaires : MM. Herman Ci-. cliim'iste '.'f V,vers : <'• s- Gaue, ingénieur- niouv-geolog^'T Liéke6'' ge°rgeS LesI,i,leuX' inS^ | CHRONIQUE JUDICIAIRE LIQUIDATION DE SOCIETES Beaucoup de sociétés commerciales après avoij patienté pendant des mois, attendant le retour de la paix, se- sentent dépourvues de viabilité et décidem •la liquidation. Parfois, la liquidation est judiciaire et le tribuna la prononce en vertu de l'une ou l'autre clause dt; contrat social. Lorsqu'elle se fait amiablenient, les juges cousu-laires ont pai'fois à en connaître soit pour désignei un Liquidateur soit pour apprécier la validité de la délibération. Un actionnaire d'une de ces sociétés estime que le vote de l'assemblée.générale doit être déclaré nul parce que contrairement aux statuts 011 y avait vote sans la présence des « trois quarts » requis par les statuts. Trois quarts de quoi ou de qui ? « Des associés », dit le demandeur « ou en tout cas des parts ». « Du capital social »,.a jugé te tribunal de Bruxelles le 18 juin et il déclare valable la liquidation. Il dit pour droit que les parts des fondateurs doivent entrer en ligne de compte. LA QUESTION Dl SUCRE Il tend, cet aliment précieux, à occuper, pour l'instant, la place d'honneur au tribunal de commerce, dit im journal bruxellois. Hier, une fabrique de sirop était assignée par un raffiheur de sucre, M. IL.., en paiement de 450 fr représentant le montant de la hausse de ce produit depuis le moment de la vente jusqu'à la prise de livraison. En matière de sucre, il s'est créé des usages spé ciaux dérogeant notamment, en une certaine me sure, aux stipulations du Code civil1 proclamant la résiliation du marché en cas de non-exécution aij terme fixé dans la convention ; si la marchandise n'est pas prise par l'acheteur dans un délai normal la livraison n'en doit pas moins être faite, mais i est dû un supplément de prix. En l'espèce, le tribu Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Amiral Fourichon. Ténériffe, 2-7 juin. — Le ste;i mer français Amiral Fourichon, allant de Dakar à Bordeaux est entré ici ayant le feu dans la cale N° 3 ; l'incendie est maîtrisé. Arachne. — St-Pierre Miquelon, 28 juin. — Le steamer Xrachne a été renfloué. (Voir Lloyd Anversoi.-du 26 juin). Montebello, Roma, Pino. — Londres, 29 juin. D'après line communication du Lloyd's les vapeur; italiens Montkbbllo, Roma et. Pino ont été coulés. Orontes. — Durban, 27 juin. — Le steamer Oro,nti> en route de Londres pour Brisbanne, est entré ic pour effectuer des réparations à la machinerie. Port de Louvain Louvain, :3U juin. — Rien de particulier à signalei au port. Il est entré des bateaux chargés avec du froment pour la Commission for Relief in Belgium. Ce Comité a aussi reçu des froments indigènes par vicinal. Des bateaux chargés avec des charbons sont aussi entrés pour les différentes sociétés de la ville. I-'.i résumé t.rnfip. nul. CHRONIQUE INDUSTRIELLE Charbons Notre .marché charbonnier conserve la bonne orientation que nous lui' connaissons depuis quel que temps. Charbons et cokes font toujours l'obje de nombreuses commandes que le matériel disponi ble ne parvient pas toujours à expédier -en temp: utile. C'est ainsi que la semaine dernière plusieur: sociétés charbonnières ont encore dû chômer uni journée faute de wagons en nombre suffisant. La grande préoccupation de nés directeurs dt charbonnages est de pouvoir alimenter convenable nient les ouvriers occupés dans les mines. Maigre la création des économats, on ne parvient que très difficilement à trouver les denrées alimentaires né cessaires pour servir la clientèle de ceux-ci. Des démarches pressantes ont été faites par nos associations charbonnières auprès des autorités coin pétentes pour pouvoir se procurer des pommes de terre et de la viande. Ces. démarches ont été en partie couronnées de succès. Nous apprenons, en effet que l'Association charbonnière du bassiin du Centre vient d'être autorisée à importer du bétail hollaii dais. Une- partie de ce bétail acheté par :1a dite asso ciation est destinée à la Société charbonnière d-e Res-saix, Péronnes, Levai et Sâinte-Aldegonde ; nom ferons toutefois remarquer que les bêtes de boucherie dont il est question 11e pourront être abattue-:-avant -le mois d'octobre prochain. Il est exact que la Société charbonnière de Strépy Bracquegnies vient de racheter la concession de ses nouveaux fours à coke qu'elle avait donné en ex ploitation, peu de temps avant la. guerre, pour une période de quinze ans. Il s'agit d'une nouvelle importante usine à coke comportant 100 fours divisés en deux batteries de 5( fours chacune. Ces fouis sont du type à carneaux verticaux. II.-peuvent traiter 50 tonnes de charbon par vingt quatre heures. Les gaz de distillation eles fours son dirigés vers l'usine de récupération, où les gou drons sont, condensés et l'ammoniaque recueilli e transformé sur place en sulfate d'ammoniaque. Les gaz, au sortir ete l'usine de récupération, soin dirigés vers les fours où ils servent à leur chauffage. En quittant les fours, ils desservent deux batte ries de chaudières, puis s'échappent dans l'atmos phère par deux cheminée© de 50 mètres de hauteur On recueille par vingt-qnatre heures environ 10:26( kilos de goudron et l'on produit environ 4560 kilo? de sulfate d'ammoniaque pour le même laps de temps. Les chaudières à vapeur sont du système multi tubulaire Demayer. Elles sont divisées en eleux batte ries de quatre chaudières chacune disposées à cha que extrémité de la rangée eles fours. Elles sont mu ! nies chacune d'un surchauffeur. ! C'est la Société Dnry-Piette qui avait fait cette im : portante installation en 1911. Industries de la terre plastique Le marché des industries tributaires de la terre 1 plastique : faïenceries,, fabriques de porcelaines, de réfractaires, de céramiques ect., est. un de ceux qui ont le plus souffert de la guerre. Actuellement, les travaux de bâtiments en cours , donnent une certaine animation à la. demande en ! majoliques de revêtement, en réfractaires ordinaires l (briques, dalles, carreaux, etc.). D'autre part, la y transformation de certaines industries a fourni à j nos fabricants de pièces, spéciales de réfractaires j l'occasion d'enregistrer quelques commandes. De ; même, l'installation de. bains-douches, dans les nou-| veaux charbonnages permet, l'emploi d'un certain nombre de pièces de Céramiques et de revêtements. Les industries de la terre plastique sont surtout — sans parler ele celles du bassin d'Andenne — localisées dans la région dite de Saint-Gliislain et qui s'étend de Qmaregnon à Thulin et de Saint-Ghislain à Sirault, où il existe huit fabriques de faïencerie, trois fabriques de majolique, deux fabriques de porcelaine, trois ateliers de décoration des faïences et porcelaines, une fabrique de céramique, deux fabriques ele carreaux en ciment, onze fabriques de réfractaires et quatre tuileries et poteries. Depuis une douzaine d'années, le nombre des usines travaillant la terre plastique et le silex a presque doublé dans cette région boraine. C'est énorme.. Cependant, cela n'avait pas alarmé, nos besoins grandissant continuellement par suite de l'accroissement de notre activité nationale. Pour l'avenir,, cette situation ne fera que se consolider, et il y si même lieu de prévoir une régula-rite plu,s grande de la production et surtout une rémunération plias facile des capitaux engagés élans ceite nranche n idustrielle. EXTERIEUR ANGLETERRE Le prix de la farine et du pain Lcr prix de la farine a Liverpool a baissé, rie (i pehen et a été ramené à 37 shililings par sac. Les primes d'assurance Les' prîmes d'assurance maritime contre les risques fle gnerre ont baissé considérablement à Liverpool. Ces primes, qui s'élevaient depuis des mois à 3 p. c., ne s jnt. plus e{ue de l p. c. Cette diminution s'ap pliqi 1e aux bâtiments de transport, sui; presque toutes ] es routes. ALLEMAGNE Réquisition de laine L'autorité a réquisitionne toute la production de laine de mouton de l'année. ETATS-UNIS Le caoutchouc en Amérique D'après certains journaux américains, il _sera.it question d'une vaste combinaison par suite de laquelle les différentes branches de l'industrie eaout-clioutière seraient réunies sous un même contrôle. La Rubber and Tire Corpo ration et la Kelly Spring-field formeraient le noyau de cette fusion, qui aurait déjà amené à. elle eleux sociétés pour la fabrication des pneus, deux autres s'oecupant eles applications mécaniques et enfin une fabriqué de galoches et de bottes en caoutchouc. Valeurs brésiliennes Nous ne pouvons que fane nôtres les observations par lesquelles un journal financier de Bruxelles encadre, sous le titre ci-dessus quelques citations intéressantes de 1'« Information », ele Paris, ainsi que du « Times » et du « Mo..-ing Post », ces deux organes du marché londoiimen qui connaît bien les affaires brésiliennes. Ils montrent combien rapidement) se relève le Brésil dont la situation économique et financière s'améliore sensiblement. Ils constatent que la confiance reprend parmi les cercle.-: compétents qui, détail symptomatique, font des demandes suivies au stock Exchange pour toutes les catégories de valeurs brésiliennes dont les cotations-gagnent une ;.lus grande ampleur. A Paris comme à Londres, disent-ils, on envisage l'avenir avec optiniis*ne. \près un peu plus d'une année de gouvernement, le Président auquel le pays a heureusement ;-<>nfié ses destinées, aurait pu, paraît-il, déjà annoncer • ; dans le message adressé au Congrès réuni par lui le 2 mai dernier que.le change reprend sa marche ascendante après avoir subi une dépréciation aussi ; forte que rapide, et que la restauration financière, principale préoccupation d-; son administration, est en bonne.voie de réalisation, rien que par ràppliea-tion rigourèuse de certaines réformes. Ces réformes 11e seraient autres que les mesures I énergiques qu'il préconisait dans le remarq ri ble i programme dont il dessina t les grandes lignes lors de la présentation ele sa candidature, en janvier 19Î4. Saris grandes phrases, mais en laissant percer dans chacune d'elles sa volonté ferme et résolue de poos-: ser à la solution eles graves problèmes du moment, : moment des plus critique, ,il signalait alors pie le ; lourd passif de la précédente administration, les dé-! fiuits annuelSydont la succession ininterrompue en-irainait l'obligation de créer emprunts sur emprunts I ; et comme conséeiuence l'abaissement continu du cré-j dit brésilien, pouvait être liquidé en peu de temps ! et sans trop grands sacrifices. ' H suffisait pour cela de réduire les dépenses nui | t i les. improductives et somptuaircs, suscept ibles cl'a-| journement, d'introduire h plus stricte économie j dans les crédits votés pour les différents départe-! ments de l'Etat et de supprimer impitoyablement, j par veto si nécessaire, les interminables autousa-i t.ions législatives venant en queue des budgets. Si nous voulons prendre !a peine de revoir ies déclarations qu'il faisait pendant la courte période préparatoire à son élection, non disputée devant un tel candidat, nous trouverons nettement exprimés, ces projets de réformes nécessaires. U préconisait de même la révision des contrats onéreux qui pesaient lourdement sur les finances publiques et, entre autres, l'élimination dans la :on-" cession des chemins de fer du système, qualifié par lui de malfaisant, eles garanties d'intérêts, avec lequel on a construit eles voies ferrées dans les plus ' mauvaises conditions techniques, au détriment du | trafic intense, volumineux, rapide, et de la réduction des prix de transport, stimulatrice de«fla. production. Cette politique ele salut dont nous ne signalons 1 ici que les quelques points venant à l'appui du présent article, le Président déclarait qu'il l'appliquerait sans considération pour personne, même s'il fallait sacrifier au bien ele la nation sa propre popularité.Et il a tenu parole, ainsi que nous l'apprennent les journaux londonniens et parisien. ; 11 a, une fois ele plus,'ainsi prouvé epie l'on ne : doit ]ias considérer les programmes politiques uni-: quement comme ele belles résolutions jamais t: nues. ! de séduisantes promesses tôt oubliées, lorsque ces : programmes sont élaborés par des hommes de va-! leur, peu habitués au verbiage politique, mais cloués ; connue Mr Wenceslâo Braz. d'un caractère ferme et ; intègre, d'une volonté tenace et énergiquement ré-, solue. Et cependant, combien plus mauvaises qu'en janvier 1914 étaient les conditions dans lesquelles se trouvait le pays lorsqu'il prit possession du pouvoir en nombre suivant. La période critique qu'amène la morte saison ele l'export .tion, période allant d'avril à juillet et, connue conséquence, la rareté des traites sur l'étranger, par lesquelles afflue l'or nécessaire aux paie-1 ments, était à xjeine passée que le cataclysme mondial, auquel nous assistons épouvantés; vient mettre le comble au désarroi, à la crise, non pas latente, mais déjà à l'état aigu depuis l'année 1913. U ne faut pas de longues phrases pour dépeindre la situation dans laquelle s'est trouvé lie Brésil, le monde entier en ce moment. Tributaire de -l'Europe pour la majeure partie de ses échanges commerciaux, pour la totalité ele ses disponibilités financières, il dut forcément subir, par suite de la guerre et du brusque arrêt de la navigation et de toute activité industrielle, la prolongation de cette morte saison Même ses ^relations .ivec , l'Amérique du Nord, furent absolument paralysées pendant un long temps. Il vit échouer les espérances qu'il nourrissait en ce moment sur la possibilité de contracter un emprunt dont il avait un pressant, besoin afin de satisfaire à ses engagements financiers et arrêter la ruée prête à se déclancher et dont le menaçaient tous ses créanciers internationaux, afin aussi de consolider sa situation commerciale fortement ébranlée par la moins value de ses deux grands produits d'exportation, le caoutchouc et le café, et enfin de continuer ou du moins d'entretenir l'admirable développement économique qui,grâce aux chemins de fer et à l'aménagement des ports avait été la caractéristique des dix' dernières années. Rieu d'étonnant à ce que. dans ces conditions, le change, soutenu par des moyens factices, subisse une forte dépression et à ce'que, dépourvu des moyens et des ressources qu'il escomptait, et même des droits de douanes qui formaient la majeure partie oe ses revenus, le Brésil dût suspendre le paiement des intérêts ele sa el-ette, ce q'ai entraîna la dépréciation de toutes ses valeurs. Forcé de solliciter également de -ses % créanciers, sociétés et entreprises étrangères, des délais pour le paiement eles garanties d'intérêt aux constructions de chemin de fer et ele ports, garanties si libéralement accordées et qui obèrent très fortement son budget, ainsi que des sommes dues pour les grands travaux exécutés sur tous les points de son territoire, il dût les mettre tous, telle la Brazil Railway qui intéresse plus paa'ticulièremeiit le marché belge, dans une situation difficile dont le contre-coup fut supporté par les actionnaires, inquiets, apeurés, affolés parfois. De J90S a 1913, la somme des capitaux entrés au Brésil s'élève à £ 184.125.533, soit l'équivalent de 4 milliards et demi francs. A lui seul 1913 figure dans ce chiffre pour £ 40.645.000 ou plus d'un milliard. On peut juger quelle somme d'intérêts représentent ces chiffres qui ne sont qu'une faible partie des capitaux étrangers répondant à l'appel incessant du pays et venant prendre part à sa mise en valeur et à son progrès. Aujourd'hui, cepenelant, par ses propres ressources et grâce à la politique d'économies préconisée en janvier 1914 et inaugurée en novembre par le nouveau président, grâce aux nouvelles industries qui ont dû se créer d'arraché pied pour suppléer au brusque arrêt des importations, grâce surtout au rapide développement des cultures dont les récoltes s'annoncent plus abondantes et surtout plus variées que jamais, ainsi qu'à l'industrie pastorale, connexe d'urne autre toute récent# permettant pour la première fois l'envoi à l'étranger ele viandes congelées : grâce à ^accroissement, des exportations qui dépassent déjà de 20 millions de livres les chiffres redevenus à peu près normaux dés importations, le pays voit l'horizon s'éclaircir de façon étonnante et encourageante.Les journaux cités plus haut et qui constataient le relèvement du change et le regain de confiance se. font aussi l'écho de bruits d'après lesquels le gouvernement ne tarderait pas à reprendre, plus tôt qu'on ne l'espérait, le paiement en espèces, des coupons des dettes contractées à l'étranger. Aussi la conclusion de l'article financier du journal bruxellois qui nous a inspiré les quelques considération cidessus, est-elle a reproduire : « Pour notre part nous estimons que le pays se trouve en complète voie de relèvement et que ce serait pure folie de vendre ces titres a l'heure actuelle ou de les échanger, participant a une combinaison quelconque semblable a celle contre laquelle nous avons mis nos lecteurs en garde depuis quinze jours. » » Nous avons l'intime conviction que notre foi dans le relèvement complet des valeurs brésiliennes ue sera pas déçue et nous engageons les acheteurs dans les hauts cours qui auraient des disponibilités à l'heure actuelle, de réserver mie partie de celles-ci à acheter des valeurs brésiliennes,afin de faire m e moyenne qui leur permettra de reconstituer leur capital dans un temps plus court que s'ils veulent s'en tenir a conserver leur participation intitiale. ».... Que d'autres économistes, peut-être, dont nous reproduisions volontiers auparavant l'opinion autorisée, font en ce moment des constatations plus encourageantes encore mais dont les précieuses informations ne peuvent parvenir jusqu'il nous. Pourrait-il en être autrement et pourrait-on 11e pas avoir confiance lorsque a devant soi un pays comme le Brésil, aux ressources puissantes, aux richesses incalculables, représentées par une abondante et extrême variété de productions naturelles ; un pays qui subi des crises terribles dont- la première fut celle de transformation, lorsqu'il a passé, en une journée, de la monarchie-à la république, et qui les a dominées sans peine ; un pays qui a subi-des périodes de gaspiiiag-es inouïs et s'en est facilement relevé lorsqu'il l'a voulu, par la pratique d'une -sage politique de recueillement et d'économies budgétaires, par quelepies années de bonne et vigilante administration. Wenceslâo Braz après Campos Salles ! Tous deux sont venus à leur . -re, au moment où la crise, crise de croissance (i abord, crise de jeunesse ensuite, réclamait d'urgence un réformateur énergique ét résolu. Tous deux avaient fait la preuve de ce dont ils étaient capables, Campos Salles à la présidence de l'Etat de S. Paulo, avant de prendre en mains l'administration de l'Etat Fédéral, Wenceslâo Braz à celle de Minas-Geraes. Tous eleux surent mener a bien la réorganisation entreprise dans les moments les plus critiques ele l'histoire brésilienne. Campos Salles ele la façon que l'on sait, a ramené en peu d'années l'ère de grande prospérité financière qui permit le développement économique du pays auquel nous avons assisté en ces dix dernières Années. Wenceslâo Braz en appliquant avec la plus louable énergie les remèdes qu'il avait lui-même signalés, a enrayé la (a ise en peu de mois, l'a vaincue et saura ramener, lui aussi, l'ère de grande prospérité que mérite un INFORMATIONS FINANCIERES BOURSE OFFICIEUSE D'ANVERS Séance du 30 juin. — La réunion de ce jour n'est pas particulièrement active, i! semble même eiu'un certain ralentissement se produit dans les échanges, ce qu'on pourrait bien attribuer au fait que les cours de beaucoup de fonds d'Etats ne paraissent plus sus-e>eptibles d'une amélioration ultérieure bien importante.Les rentes belges et les lots de ville sont soutenus et invariés à leurs cours précédents. Belge 3 % 71,50-72,50, Belge 3 % anglais 79 80, Bons du Trésor Peige 4 % remboursable 1917 100,50-101,50, Annuités 3 "ô 77-78, Anvers 1887, 81,75-82,75, Anvers 1903 70,50-71,50, Bruxelles 1905 66,75-67,75 ex-coupon, Gand 1896 62,50-63,50, Liège 1897 62,50-63,50, Ostende 56,50 57,50, lot du Congo 75-76. Les valeurs internationales ne cèelent rien de leur fermeté-antérieure malgré une activité moins marquée des transactions dont elles- ont été l'objet. La Céelule nouvelle se maintient aux environs de 103,25-104,25, pas de changement en Cédilles L valant 107-103, les K sont quelepie peu offertes à 91,50-92,50, sans affairés faites, la série or est renseignée 105-106. Les fédéraux Argentins ne marquent aucune défaillance. Le 4 1/2 Intérieur enregistre les prix de 97-98 et l'Extérieur 96-97, le 4 1/2 191! est renseigné 9;'-94. L'emprunt Paviirientation ferait 82,50-84 suivant titre et échéance. Ville de Buenos-Ayres 4 1/2 95-96. La demande se reproduit en dettes brésiliennes mais les affaires faites sont peu nombreuses l'offre en titres restant limitée. On note les cours de 95,50-96,)0 en Brésil fuuding 1914, les 4 % vaudraient 6S.75-69,75. le 4 1/2 1 883 n'est pas traité. Uruguay 3 1/2, 74-75, le 5 % 1914, 87,25-88,25, la Cédule Uruguay s'avance à 97,50-9:-i,50. Vénézuéla 58 A., Cuba 101 A., Chili 5 % 1911 96-97, le 4 1/2 1889 a acheteur à 88,50-89,50. Parmi les dettes Asiatiques on prend le Chinois 1/2-1893 à 85,75-86,75, le Japon 4 1/2 1905 à 97-98, et le 4 % 1905 à 90,50-91,50. Japon Railway 102,25-103,25. En fonds d'Etats continentaux il se présente quelques demandes pour des rubriques moins.fréquemment traitées. Le. Bulgare 1909 cote 72,50-73,50 et 011 offre 56.pour du Serbe 4 %, la rente-or Hongroise se prendrait à 66-67. Fermeté en Russes et Roumains ; :e 4 % Russe 1880 fait 79,50-80,50 et le 4 % Nicolas 83,50-84,50, on paye 93,50-94,50 en 5 % 1906. Roumain 1910 83 A., 8-4 P., le 4 1/2 1913 est renseigné 88-89 et le 5 % 1903 97,25-98,25. En. actions de Banques, l'action Banque^ d'Anvers obtient 1100-1440, la jouissance Crédit Foncier Sud-Américain est indécise à 1660-1690, ordinaire Crédit National Industriel 262-265. En titres divers on demande la capital Electrique An versai sè à 312-315 et la capital Escaut à 116-121. capital Tramways de Saratow 88-92. Dans le groupe des valeurs caoutchoutiêres trois 011 quatre rubriques tout au plus sont l'objet de quelques menus échanges, les cours pratiqués r.e diffèrent guère des prix précédents. Federated Malay States 570-585, Kuala Lumpur 124 128,50, Sennah 44,25-45,75. L'Astra-Romana est seule chargée de rappeler l'existence d'un groupe de rubriques pétro-lifères. Elle se présente d'ailleurs en reprise à 1390-1440.Action Tanganyika 75-77, obligation Tanganvifca 191-195. ' BOURSE OFFICIEUSE DE BRUXELLES Séance du 30 juin. — La semaine se termine dans des conditions aussi satisfaisantes que possible. Toute l'attention se porte encore une fois vers les charbonnages ; on a vu à différentes reprises que la situation de l'industrie charbonnière mérite ia faveur que l'on accorde aux titres des sociétés de ce compartiment. Et puisque nous y sommes, voyons directement leurs cours. On est acheteur en Anderlues à 910.. on fait encore 13,75 en Biélaïa, Carabinier est ferme ù 320, Hani-sur-Sambre progresse à 375, la cap. La ni a progresse à 1180, 1190, la div. à 590, 592,50, 595 ; Mau-rage est mieux à 1790, le Rieu-du-Cœur s'avance à *25, 430, 435 ; 011 recherche la Bonne-Fin à 9?5, la Chevalières à 1365, Courcelles-Nord à 1950, Espérance ?t Bonne-Fortune à 305, Marcinelle à 500, Strépy à 1825 et Wérister à 2780. En Couchant du Flénu, ele timides demandes apparaissent de 30 à 32,50. En rentes et lots de ville, la fermeté prévaut toujours ; le mai-novembre a été surtout recherché aujourd'hui, comme en témoigne d'ailleurs son cours. \ noter qu'en Bons du Trésor 1917 ile cours 100,75 a 3té fait hier à côté du cours de 101. Voici les cours : Rente Belge 3 %, 70.75-72,50 ; Bons lu Trésor 4 % 1917, 101 ; Bons du Trésor 4 % 1919, 101 ; Congo lots, 75,50-76 ; Vicinaux 2 1/2 % 1885 lots, )9,50-99,75 ; Vicinaux 3 % mai, 73,50-73,75 ; Anvers 1903, 71-71,25; Anvers 1887 , 82-82,25 ; Bruxelles 1905, 39-69,25 ; Bruxelles 1902, 84-84,25 ; Bruxelles Maritime, 53,50 ; Gand 1893, 63,25-63,50; Liège 1897, 62,75; Liège 1905, 66,75-67 ; Ostende 1898, 56,50 ; Schaerbeek 1897, >9,50 ; Verviers, 100,50. Les transactions en obligations industrielles deviennent moins abondantes ; il est vrai que le tilre îommehee à manquer. En actions bancaires, les échangés sont assez res-a eints. La Caisse de Reports est bien à 1350 : à noter, l'autre part, un nouveau cours, celui de 3 en div. Banque Coloniale. Les titres de transports gardent leur marche habituel. On relève une certaine fermeté en fond. Chemins Congo à 2450, et il y a acheteur à 325 en jouiss. Le Caire jouiss. est bien à 475, 477,50 ; la cap. Espagne Electriques se retrouve à 117,50. ]a div. à 45,75 et a fond, à 1150, 1155. E11 Florentins, il y a argent V 140 et en Rome-Milan4 à 70. La div. Mutuelle est offerte a 400, la priv'. Provinciaux se demande à 20 2t s'offre à 30. Enfin, la'cap. Tientsin est en avance i 700, 705. Les titres sidérurgiques font preuve ele résistance, [i y a argent en Angleur à 775, on cote 1150 en Cocke-l'ill (ancienne), on reste à 190 en cap. Estampage du Donetz, on progresse à 200 en cap. Monceau-St-Fian-3re, on fait 980, 982,50 en Ougrée, 537,50, 532,oO en Providence Russe B et 217,50, 215 en C. La fond. 'I'a-retzkoïe se-retrouve à 725, 720. Les affaires sont tout aussi restreintes que possible encore aux petites rubriques. En Bacarès on est vendeur à 65, en ord. Nouvelle-Montagne il y n argent à 300 et papier à 310, en Internationale d'Electricité et 011 ord. Electricité Sofia, il y a vendeur respectivement à 400 et 680. Le groupe colonial, sans, être plus animé, fait preuve cependant d'une fermeté de bon aloi. On est mieux en ord. Katanga à 2305, 2310, 2315. La div. Simkat est recherchée à 385. La Tanganyika est bien disposée aussi à 76,25, 77,75. Au groupe des Plantations, on cote 285 en cap. Fauconnier et 235 en fond. ; la Selangor est ^soutenue à 225 ainsi que la Soengei à 285. Les diverses n'offrent rien de particulier. A noter pourtant que des demandes sérieuses se produisent en priv. Bougies de la Cour jusque 775, alors que le dernier cours est 735. En Brasseries de l'Etoile, il y a argent à 25, en Explosifs Favier il y a argent à 52,50. Le Grand Bazar Anspach fait 340 et la cap. Boryslaw 45 ; ia div. Boryslaw est demandée à 120. Des demandes en fond. Tustanowice à 32,50 et en cap. à 40, en cap. Roustchouk à 500 et en cap. Sucreries de Saint-Jean à 48. L'ord. Sucreries Générales est à 290, 295, et la cap. Sucrière Européenne à 39, 40. En valeurs étrangères, les tendances sont mal définies. Kaïping est à 51,50, 51,75 ; la Brazilian Traction est à 345, la Dniéprovienne se maintient à 2955, la Kolomna est ferme à 510, 515. 520, et la Métallurgique Russo-Belge est à 1842,50. D'autre part, 011 offre l'oblig. Brazil Rails à 175 et on demande le Prince-Henri à 650. COURS DU CHANGE Rotterdam, 30 juin. — Londres, fl. 11,47 3/4. Berlin, fi. 43,671/2. Paris, fi. 40,77 1/2. Amstkrdam, 30 juin. — Londres, fî. 11,49. Berlin, fl. 43,771/2. Paris, fl. -40,85. Suisse*^ fi. 45,60. Vienne, 11. 30,45. Copenhague, fl. 69,77 j/2. Stockholm, fl. 69,80. Banque de France, — La. Banque ele France a déclaré un dividende semestriel de 120 francs, exonéré rie la taxe, contre 90 fr. pour le premier semestre de 1915 et 200 fr. connue dividende total de 1915. Gelsenkirchener. — On a parlé récemment* de l'absorption par cette entreprise de la Cie A. G. Hùste-11er GewerWschaft et de la C.ie Dusseldorfer Rôhren. Nous apprenons aujourd'hui que les actionnaires de ces deux sociétés sont invités à déposer leurs titres, avant le 15 juillet, afin d'en permettre l'échange. Banque Commerciale et Industrielle en Russie, l.e rapport annuel accuse, pour 1915, un hiffre de recettes atteignant 1.301.270 liv. st., dont il convient, de soustraire 552.171 liv. st. de dépenses courantes, 23.433 liv. st. d'impôts et 332.232 liv. st. affectées aux amortissements sur effets à recevoir, dépréciations ele valeurs, etc. ^ . Après diverses allocations moins importantes, le bénéfice net se chiffre par 378.152 liv. st., lequel permettra ia répartition d'un dividende le 20^roubles. Ned. Gutta Percha Mij. — Dividende 10 % pour les actions privilégiées, et 4 % pour les actions ordinaires.Java Caoutchouc Mij, à Amsterdam. — Dividende . 7 1/2 % (1914 - néant). Ned. IJzerhandel Mij, à Amsterdam. — Dividende 8 % contre 6 % en 1914. Kon. Paketvaart Mij, à Amsterdam. - Dividende : 10 % contre 5 % en 1914. Oesterr.-Hung. Bank, à Budapest. — Dividende pour le lr semestre de 1916 : 28 C. par action. N. V. Tjewang Lestari Suikerfabrieken, à Amsterdam. — Dividende 16%. Ahaus-Enscheder Eisenbahn-Gesellschaft, a Ahaus. — Le dividenele a été fixé à 4 %. Javasche Bosch Exploitatie Mij 1 Amsterdam. Dividende 11. 100,— par action et fi. 15,35 par part de 1011 dateur. Cuituur Mij. Kali Tello, à La Haye. — Le dividende a été fixé à 15 %. E11 1914 il n'a pas été distribué de dividende. Handelsvereeniging Java, à Amsterdam. — Le dividende sera de fi. 85 par action (1914 = néant). Geconsolideerde Hollandsche Petroleum Compagnie. — Le-dividende a été fixé à 25 % contre 10 1/2 % en 1914. Rheinische Automobil-und Motorenfabrik Benz & Go., à Mannheim. — Le divielenele a été fixé à 20 % contre 12 % en 1914. Anglo-Belgian Coal Company », société anonyme,. à Anvers. — Bilan pour l'année 1915. Perte de l'exercice, fr. 8.234,42. Stevedoring Company Gylsen, société anonyme, a Anvers. — Bilan pour l'année 1915. Divers créditeurs, fr. 30.782,24. « De Werkmansvrienci », société anonyme, à Vil-vorde. — Bilan de 1915. Solde créditeur, fr. 3.319*13. Maison Charles-Aimé Lambrecht société anonyme, à Berchem-Sainte-Agathe. — Bilan au 29 février 1916. Solde créditeur, fr. 139,56. Brasserie Saint-Antoine, société anonyme, à Pot-tes. — Bilan arrêté au 16 mars 1916. Bénéfice net de l'année, fr. 51,42. Charleroi Glass & Export Co, société anonyme, à Charleroi. — Bilan au 31 décembre 1915. Bénéfices, fr. 8.152,27. Sucrerie de Fontaine-Valmont, société anonyme, à Fontaine-Valniont. — Bilan au 31 mars 1916. Bénéfices de fabrication, fr. 42.702,30. Tuileries de Marcke lez-Courtrai, société anonyme, à Marcke lez-Courtrai. — Bilan arrêté au 29 février 1916. Passif exigible, fr. 302.339,05. Crédit commercial et foncier société anonyme, à Berchem-Anvers..— Bilan au 31 décembre 1915. Solde créditeur, fr. 11.047,41. Société commerciale et foncière « Kronenburg ». société anonyme, à Berchem-Anvers. — Bilan au 31 décembre 1915. Solde débiteur, fr. 5.145,93. Société Industrielle et Commerciale du Kiel, socu té anonyme, à Anvers. — Bilan au 31 décembre 1915. Solde créditeur, fr. 1.148,78. bociete Anonyme de Minoteries et d'Elevateurs à Grains AVIS Par décision de l'assemblée générale ordinaire du 28 juin 1916 il sera payé,' pour l'exercice 1915, un dividenele intérimaire de cinq pour cent (soit fr. 50,-pa'r titre) aux actions ele Capital de la Société. Ce dividenele est payable, à partir du 15 juillet 1916, aux guichets ele la Société Générale de Belgique, à Bruxelles, et à ceux de la Banque de l'Union Anver soise, à Anvers, sur production du coupon numéro quatorze à estampiller. Le Conseil d'Administration. Société Anonyme des Remorqueurs Anversois MM. les Actionnaires sont invités à assister à l'assemblée générale ordinaire, qui se tiendra le SAMEDI 15 JUILLET PROCHAIN, à 4 heures de relevée (H. C.),. au siège social, canal St-Pierre, 13, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Rapports des Administrateurs et eles Commissaires ; 2° Discussion et adoption du bilan ; 3° Décharge à donner aux Administrateurs et Commissaires ; 4° Nomination d'un administrateur et d'un commissaire, en remplacement d'un administrateur et d'un commissaire sortants et rééligibles ; 5° Divers. Le Conseil d'Administration. Transports pour toute ia Belgique de marchandises par service accéléré et à prix réduits S'adresser î 65, RUE SANDERUS, ANVERS. La maison s'occupe des formalités de sortie.

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This item is a publication of the title Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires belonging to the category Financieel-economische pers, published in Anvers from 1858 to 1979.

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