Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1915, 14 April. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Seen on 29 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/ht2g73818t/
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ANVERS, Mercredi 14 Avril 1915 Cinquante-huitième Année - Mo 17.282 DIRECTION & RÉDACTION : | 14, RÛE VLEMINCKX, 14 ANVERS *'Ç- • Téléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double ligue 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au li^nomètre. — Le» titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Observations météorologiques de M. F. Agtlie, opticien, rue Léopold, 49. Anvers 14 avril 1915. 9 1/2 h du mat* - Baromètre 7.ï3.- [ Astronomie 15 Avril I i ™i0;i 4 h. 50 m. matin — ( 4.50i f i.ev« du «otei . ■ • *»-36 j = (18 36) I loucher du-soleil 4 " 43 matin '4 43- I Lever de la lune s n soir = '20.13) I Coucher de la ' ' 3 " 39 soir -(15.39) P l'iemier quartier le 22 avril . ■ (14 19) Pleine lune le 29 avril | " 23 " niatin = ( 5.23) , Dernier quartier e 6 mai | " 34 matin = ( 3.34 f Nouvelle lune le 14 mai... ■* » Haute marée à Anvers Matin So" ; 4 c i o u /iQ m 3 h 48; 4 h. 5 m. 16 h. 5) avr ' 4h. 2lj 4 h. 39 m. = 16 h. 39) Ît.avri! 4 h. iïl = ' 4 h. 55) 5 h. 13 m. = (17 1.. 13) (Heure belge). Hauteur du Khin I Cologne 13 avril 5.24 m Strasbourg 12 avril -m I Hup&en 12 .. - „ Lauterbourg „ - .. F Kehl - » Maxau .. - : Mannheim ., 6.35,, Oermersheim „ - „ ; Caub 13 . 4.79 „ Mayence .. 3..0 „ i Kuhrort „ 4.72 „ Bingen „ 3 80 „ Dnisbourg 12 . 2 70,. Coblence ,. 4.77 „ Wald=»hut .. — Dusseldorl 10 „ 4 77 Lobith h 13.62 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort-12 avril 2.75 m. Heilbronn 12 avril 2.18 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee I lèves 12 avril 2.60 m Constance 12 avril — m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 13 AVRIL t Steamer Main, de Flessingue. Wilford 4, de Tamisé. Ba.teàu-moteur Franco-Belgi; 6, de Gand. Kromhout 15, de la Hollande. 4 Gebroeders, de lu Hollande. Allège Florent, de Calloo. » Henri, de Calloo. » Yvonne, de fiurglit. » gouverneur, de Merxeiïi. Pélagie, de Merxem. » Liberia, de Réthy. » angeliuue, de WillebroecU. »» Arnold, de Puers. » Tango, de Bruxelles. » Charbonnière 6, de Bruxelles. Danube, de St. Ghislaiu. .. Ni et altijd voor de.n Wind. de la Holland Marie-Elise, de TAllëmagne. DEPARTS DU 13 AVRIL E steamer Telegraaf 4, pour la Hollande. I Bateaii-moieur De Jonge Antoine, pour Calloo. » ARTOIS \r pour Louvain. KOOPHANDEL 11, pOUl' LOUVaîlI. Poutoii Transport IV, pour Boom. L Allège Stanislas, pour Duel. Julienne, pour Merxem. » Marie, pour Merxem. » Tango, pour Looybroeck. » franco-Belge, pour Schooten. » Marie, pour Eyckevliet. Moervaart, pour Muyzen. » v lût, pour Boortmeerheek. » L wee Gebroeders, pour Hamme. » Se 11 elde, pour Lokeren. » Macht, pour Lokeren. » Octavje, pour Schoonaerde. a ST. Antoine, pom- Maliiies. MorgenSÏEr, pour Louvain. Bonne Augure, pour Bruxelles. » Liberia, pour Bruxelles. Clémentine, pour Bruxelles. ,» Philippe, pour Charleroi. Caroline, pour Charleroi. L'Avenir, pour Charleroi. Dûn de Dieu, pour Mons. »» Botha, pour Mons. » Jeune Raymond, pour la Hollande. >. Volharding 2, pour la Hollande. Volharding, p< ar Ja Hollande. » Touriste, pour la Hollande. » ROMAIN, pour la Hollande. » Nautilus, pour la Hollande. » Le Progrès, pour la Hollande. Deutsche Damplschiffiahrts-Gesellschai HANSA-BRÈME AVIS MM. les Chargeurs par steamer WARTBURG, pour Montevideo, Bueno Ayres, Rosario ; steamer HUBERFELS, pour Karachi, Bombay, C( chin, Calicut, etc. ; i steamer SCHILDTURM, pour Rangoon ; I sont informés de ce que la Compagnie « Hansa » décidé le déchargement des susdits vapeurs à pai I tir du *3 mai. L.es ayants droit sont priés de remplir les cond tions prescrites par l'armement, conformément à 1 f circulaire spéciale de la Compagnie « Hansa » date du 8 avril, afin de pouvoir prendre réception d leurs marchandises au moment du déchargemen faute de quoi celles-ci seraient mises à l'entrepc ou en magasin à leurs frais, risques et périls. Pour tous renseignements supplémentaires s'adre, ser à : Bureau Maritime J. H. Wackerbart, Société anonyme. Note des États-Unis à l'Angleterre Nous avons publié vendredi 9 courant un résum succinct de ce document; son extrême importanc nous- décide à en donner ci-dessous le texte con plet : La communication suivante a été reçue par Si Edward Grey, secrétaire d'Etat, pour les affaire étrangères : « Londres, 2 avril. — Sir, conformément au: instructions de mon gouvernement, j'ai l'honneur d vous transmettre la communication ci-incluse qu j'ai reçue par télégramme du secrétaire d'Etat. » J'ai reçu l'ordre en même temps de confirmer ai gouvernement de Sa Majesté la formelle assuranc <Hie cet exposé des vues du gouvernement des Etats Unis est fait dans l'esprit le plus amical et d'accon avec la loyauté inaltérable par laquelle les relation entre les deux gouvernements ont été caractérisée dans le passé, et à laquelle, dans une grande me sure, est due la paix, ainsi que l'amitié existar sans interruption depuis un siècle entre les deu nations. » J'ai l'honneur d'être avec la plus haute conside ration; Sir, votre très humble et très obéissant sei viteur. » (Signé) Walter Mines Page. » A Sir Edward Grey. » CONTENU DE LA NOTE Le gouvernement des Etats-Unis a pris en so gueuse considération les sujets traités dans les note anglaises des 13 et 15 mars et de l'Ordre en Concil de la ujême date. Ces communications contiennent des questions d grave importance pour les nations neutres. Elles p< missent menacer leurs droits de commerce et d trafic, non seulement avec les belligérants, mai aussi entre elles. Elles appellent une franche expl . cation, afin d'éviter un malentendu. Le gouverne ment des Etats-Unis estime, pour cela, qu'il est d son devoir, en parlant dans l'esprit de la plus sir cère amitié, d'établir clairement et sans ambiguit son propre point de vue et sa situation vis-à-vi d'elle. L'Ordre en Concile du 15 mars, si ces prévision étaient réalisées en fait, constituerait une affirma tion de droits illimités des belligérants sur le corr merce neutre dans toute la zone européenne et m < eni absolument inqualifié des droits souverains de nations actuellement en paix. J1 &ouvernement considère comme acquis qu VpS . °'fs ne peuvent être mis en question. La sou epe (',lne nation sur ses propres bateaux e citoyens sous son propre pavillon dans les hau tes mers, en temps de paix; est sans nul doute iili miiee. El celte souveraineté 11e souiire aucune diminution en temps de guerre, sauf dans les limites uu ia pratique et le consentement des nations civilisées 1 ont innitee par la reconnaissance de certains uroits maintenant clairement déterminés' qui peuvent eue exerces par ues pays qui sont en guerre. Une nation beiligerante s est vue octroyer le droit I de visite et de reenerene, ainsi que le droit de cap ji lure et de condamnation, si, sur examen, uu vaisseau neutre est trouve s'etre engage dans un service non neutre ou s'il porte de la .contrebande de guerre uestinee au gouvernement ou aux forces armées ue i ennemi. O11 a concédé également le droit d'etaolir et de maintenir un blocus des ports ennemis et des rives ennemies et de prendre et de condamner tout vaisseau qui serait surpris a vouloir tenter de forcer le biocus. O11 a même concédé a une nation le droit ue retenir et d'amener dans ses propres ports, aux lins d examen judicieux, tout vaisseau soupçonne, pour ues raisons majeures, d'être engage dans dn service 11011 neutre ou de contrebande, et de condamner ces vaisseaux si le soupçon est confirmé. .Mais ces droits, clairement déterminés en droit et e.i pratique, ont ete jusquà présent tenus pour constituer les seules exceptions permises au principe de l'égalité ue sonveiamete exi Haute mer entre -4-es «elligeiants et les nations non engagees dans la guerre. Expeaiiions a travers ies contrées neutres. - 11 est suppose avec coniianee que le gouvernement de s>a Majesté ne niera pus que ce 11e soit une réglé sanctionnée par la pratique que, même dans le cas ou un niocus existerait et ou la doctrine de la contrebande dirigée vers un territoire non nioque se i'a 11 rigoureusement appliquée, des cargaisons inoi-lensives peuvent être transportées librement a travers ies pays neutres des ktats-Unis vers des territoires oenigerants et vice-versa, sans être astreintes a ues pénalités wsant le traiic de contrebande ou lu rupture de biocus, et dautant moins a la détention, a la réquisition ou a la conliscation. De plus, ies réglés de la Déclaration de Paris de loob, et notamment celles portant que le vaisseau liore luit le iret libre, pourront'difficilement être contestées à presenl par les signataires de cette convention soiennelle. Le gouvernement de Sa Majeste britannique ainsi que le gouvernement des Etats-Unis ont souvent cl explicitement soutenu que ces droits constituent la meilleure ligue de coud dite dans les rapports des belligérants avec les neutres en mer. A ce sujet, je desire appeler votre attention sur l'opinion de la Cour Supreme des Etats-Unis dans le cas du Petro-hovV, -qui surgit lors de la guerre civile, et sur le t'ait que cette opinion l'ut unanimement approuvée par la commission d'arbitrage de IS71 à laquelle le cas tut soumis, à la requête de la Grande-Bretagne. Depuis ce moment, jusqu'à la Déclaration de L011 dies de moi), adoptée avec des modifications par 3 l'Ordre en Concile du 23 octobre dernier, ces droits n'ont pas ete sérieusement mis en question par le gouvernement anglais. On ne pourrait davantage admettre une preteution de la (.«rande-Bretagne ou une justification de sa part concernant une atteinte contre ies droits précis des Etats-Unis et de leurs citoyens comme neutres. L'admettre, ce serait assumer une attitude de non-neutralité vis-à-vis des ennemis actuels de la Grande-Bretagne, ce qui serait formellement en opposition avec les obligations solennelles de 111011 gouvernement dans les circonstances présentes ; et quant à formuler une pareille pré- I tention, ce serait, pour la Grande-Bretagne, abandonner et anéantir ainsi ce qu'elle a soutenu lormelleinent en d'autres temps et en d'autres circonstances. Nouvelles modalités du blocus. — La note du secrétaire d Etat principal de Sa Majesté pour les Affaires étrangères,-qui accompagne 1 Ordre en Concile et qui porte Ja même date, notifie au gouvernement des Etats-Unis l'établissement d'un blocus qui, selon les ternies de l'Ordre en Concile doit comprendre toutes les côtes et tous les ports de l'Allemagne et tous les ports d'où l'on a accès aux territoires ennemis. Mais la modalité nouvelle et tout à fait sans précédent de ce blocus, si nous le considérons défini ainsi, est qu'il embrasse de nombreux ports et côtes neutres et leurs accès, et soumet tous vaisseaux neutres qui cherchent à s'en approcher à la même suspicion qu'ils encourraient s ils étaient à destination des ports des ennemis de la Grande-Bretagne et, par suite, les expose à des risques inaccoutumés et .'1 des pénalités. Il est manifeste que de pareilles limitations et obligations imposées aux navires d'une puissance neutre sur la haute nier, en sus du droit de visite et de recherches et du droit d'empêcher le transport de la contrebande, déjà mentionnés, constituent un . empiétement sur les cLroiis souverains des nations l dont les bateaux, le trafic ou le commerce sont en cause. Le gouvernement des Etats-Unis n'oublie certes pas les grands changements qui se sont produbs dans les conditions et les moyens de la guerre navale, depuis que les règles qui régissaient le blocus légal ont été formulées. 11 pourrait être prêt à admettre qiie la forme de blocus effectif, avec sa ceiu-ture de navires à l'entrée immédiate des ports bloqués, n'est désormais plus praticable en face d'un ennemi qui peut faire une défense effective au moyen de sous-marins, de mines et de flottes aériennes ; mais 011 peut difficilement soutenir que quel-i que forme de blocus effectif qui puisse être employée, il soit impossible de se conformer au moins à l'esprit et aux principes de l'essence des règles de j guerre. Si les nécessités des circonstances parais-saient rendre nécessaire que le cordon de vaisseaux e bloquant soit étendu a travers les apxjroches d'un e port ou d'un pays neutre voisin, il paraît clair qu'en ^ accordant la libre admission et la libre sortie à tout trafic loyal avec des ports neutres, il serait encore aisément praticable de déférer à la règle bien re-connue et justifiée du droit international qui défend le blocus de ports neutres. Ce trafic comprendrait r ev idem ment tout le trafic de la contrée neutre vers 1 1 extérieur et tout trafic d'importation vers la contrée neutre, sauf la contrebande en transit destinée a 1 ennemi. Une pareille procédure n'est pas encore en opposition avec les droits du belligérant qui tient le blocus, puisque les vaisseaux formant le blocus conserx eraient le droit de visite et de recherche sur f tous les navires abordant ou quittant le territoire e neutre investi en fait, mais non en droit. Le gouvernement des Etats-Unis note que dans l'Ordre en Concile le gouvernement de Sa Majesté r motive sa nouvelle manière d'agir, qu'il reconnaît s être sans précédent dans la guerre'moderne, par la nécessité où il s'estime placé d'user de représailles 1 envers ses ennemis en raison de mesures de même 2 nature que ces derniers ont déclaré avoir l'intention 5 d'adopter et qu'ils ont jusqu'à un certain point adoptées ; mais le gouvernement des Etats-Unis, rappe- 1 lant les principes d'après lesquels le gouvernement î de Sa Majesté a jusqu'ici agi scrupuleusement, interprète ceci simplement comme la raison de cer-1 taines activités extraordinaires de la part des forces 5 navales de S;i Majesté, et non pas comme une excuse s ou un prélude pour aucune action déloyale. Si les agissements des ennemis de la Grande-Bretagne t étaient prouvés être en fait entachés d'illégalité ou. t de méconnaissance des principes de guerre sanctionnés par les nations civilisées, 011 11e peut sup-i- poser, et mon gouvernement 11e suppose pas un seul instant, que le gouvernement de Sa Majesté voudrai! que la même tache (« taint ») s'attachât à ses propres actions ou voudrait considérer de tels actes illégaux sous aucun rapport ou à un aucun degré comme une justification de pratique similaire de sa part pour autant qu'ils puissent affecter les droits l" des neutres. ® C'est ainsi que le gouvernement des Etats-Unis e interprète le texte de la note du secrétaire d'Etat de Sa Majesté pour les affaires étrangères accom-c pagnant la copie de l'Ordre en Concile qui fut remis l- a l'ambassadeur des Etats-Unis près le gouvernement ^ à Londres et transmis par lui à Washington. l.e gouvernement note avec gratitude « qu'une » grande latitude est accordée au tribunal des pri-p » ses quand il s'agit du trafic des neutres de ma-» nière qu'on puisse apprécier avec justice selon les ~ » circonstances, et que les mesures sont prises pour » '(iCiliter 1. -' revendications des personnes intéres-s. » sées dans les biens placés sous la garde du mar-» s hall du tribunal des prises, que l'Ordre en Concile s » a pour effet de conférer certains pouvoirs aux » fonctionnaires du gouvernement de Sa Majesté et » que le degré de sévérité avec lequel les mesures de > » blocus seront mises à exécution dépendra des or-s » dres administratifs émanant du gouvernement et » des décisions des autorités chargées spécialement » de statuer au sujet de chaque bateau et de cha-» que cargaison selon les conditions de chaque cas.» t Mon gouvernement note plus loin avec égale satisfaction la déclaration du gouvernement britannique que les instructions à donner par le gouvernement de Sa Majesté à la flotte, aux fonctionnaires de la douane et aux comités exécutifs compétents, lem imposeront le devoir d'agir avec la plus grande rapidité compatible avec l'objectif en vue et de montrer dans chaque cas toute la considération pour les neutres compatible avec cet objectif, lequel est, en résumé, d'établir un blocus pour empêcher les navires de transporter des marchandises destinées à l'Allemagne ou en provenant. Eu égard à ces assurances, données formellement à mon gouvernement, celui-ci attend avec confiance que les pouvoirs étendus donnés par l'Ordre en Con cile aux fonctionnaires de la Couronne soient restreints par des ordres émanant du gouvernement réglant l'exercice de leurs pouvoirs discrétionnaires de manière à modifier dans leur application prati que les prescriptions de l'Ordre en Concile qui, si elles étaient strictement appliquées, violeraient les droits des neutres et interrompraient le trafic légi time. Comptant sur l'exécution fidèle de ces assuran ces volontairement données par le gouvernement dt Sa Majesté, le gouvernement des Etats-Unis consi dère comme admis que l'approche de navires marchands américains de ports neutres situés sur ln longue ligne de côtes visées par l'Ordre en Con cile ne sera pas empêchée s'il est connu qu'ils ne transportent pas des marchandises de contrebande ou des marchandises à destination ou provenant de ports du territoire belligérant. Le gouvernement des Etats-Unis suppose avec 1; plus grande confiance que le gouvernement de Se Majesté adaptera ainsi la pratique aux règles con nues du droit international, parce qu'il est manifeste que le gouvernement anglais a adopté une méthode extraordinaire d'« arrêter des cargaisons à destina tion ou provenant du territoire ennemi », laquelle vu l'existence de conditions inaccoutumées dans k guerre maritime moderne, sera difficilement réduite aux limites qui ont été jusqu'ici fixées par le droi international. Quoique la zone d'opérations soit limi tée aux mers européennes, y compris la Méditer ranée, une si grande étendue de la haute mer es couverte et le cordon de navires est si éloigné eli territoire visé, que les vaisseaux neutres doiven nécessairement passer au travers de la flotte de blo eus pour atteindre des ports neutres importants qu< la Grande-Bretagne, comme belligérant, n'a pas L< droit légal de bloquer et que, pour cela, il est sup posé qu'elle n'a pas l'intention de déclarer connm bloqués. Les ports scandinaves et danois, par exemple, son ouverts au commerce américain. Ils sont égalemen libres, pour autant que cela concerne l'applicatior actuelle de l'Ordre en Concile, de faire du trafie avec des ports allemands de la Baltique, bien qu'rn des éléments essentiels du blocus soit que celui-c porte avec une égale sévérité' sur tous les neutres Mon gouvernement, en conséquence, en déduit qui les commandants des navires de guerre de Sa Ma jesté chargés de maintenir le blocus auront pou instructions d'éviter une application des mesure: proposées de telle manière que les restrictions appor tées au commerce neutre seraient plus lourdes qu< celles qui ont été considérées comme inévitable: quand les ports d'un belligérant sont bloqués pa; les vaisseaux de son ennemi. Les possibilités d'interruption sérieuse du coin merce américain suivant l'Ordre en Concile sont s nombreuses, les méthodes proposées sont inusitée et semblent de nature à constituer un si grand ob stade au commerce neutre, que le gouvernemen des Etats-Unis, si l'Ordre en Concile est strictemeii appliqué, appréhende de nombreuses intervention dans son commerce légitime, qui imposeront au gou vernèment de Sa Majesté de lourdes responsabilité pour des actes des autorités britanniques notoire; ment contraires aux droits des neutres sur la haut mer. Il est en conséquence à espérer (pie le gouvei nement de Sa Majesté, ayant considéré ces éventua lités, prendra les mesures nécessaires pour les évi ter et que, dans le cas où malheureusement elle.s s produiraient, il sera disposé à accorder une plein réparation pour tout acte qui, selon les règles di droit international, constitue une violation du droi 'des neutres. Ajnsi qu'il est constaté dans sa communicatioi du 22 octobre 1914 « mon gouvernement insiste pou » (pie les droits et les devoirs des Etats-Unis et leur » citoyens dans la présente guerre soient détermi » nés par les règles existantes du droit internationa » ei les traités des Etats-Unis indépendamment de » stipulations de la Déclaration de Londres, et moi » gouvernement se réserve le droit de formuler un » protestation ou une demande dans chaque cas 01 »> ces droits et devoirs ainsi déterminés sont violé » ou leur libre exercice entravé par les autorités di » gouvernement britannique ». Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Composition de conseils d'administration et collé ges des commissaires. — Bilans. — Société anonym •< Laboratoire de sérothérapie », à Anvers. Adminis trateurs : MM. Alphonse Lemmens, entrepreneur, : Bourg-Léopold ; Aloïs Van Zandyke, fabricant, ; Eecloo, et Lucien Collet, médecin vétérinaire, à An vers. Commissaire : Mr Jean Van der Heyden, sari profession, à Namur, nommé en remplacement d Mr Ernest Dubar, démissionnaire. Bilan de l'exei cice 1914. — Société anonyme « Caisse hypothécaire anvei soise », à Anvers. Administrateurs : MM. le comt Emile Le Grelle, banquier, à Anvers, président René de Browne, propriétaire, à Anvers, administra teur-délégué ; Louis Van de Put, rèceveur particu lier, et Louis Van den Bosch, agent de change, ; Anvers. Commissaires : MM. Léopold de Cock, ave cat, et Emmanuel Montens, propriétaire, à Anvers Bilan au 31 décembre 1914. Il résulte d'un acte sous seing privé en date di 18 mars 1915, que MM. Victor Cornil et Richard Cor 11 il, tous deux commerçants, à Broechem, ont forrri entre eux une société en nom collectif sous la firm « Gebroeders Cornil », avec siège à Broechem, ayan pour objet le commerce notamment en céréales, en grajs chimiques, farine de lin, etc. ; cette sociét est la continuation de la société de fait déjà exis tant entre les deux associés et aura une durée d' 30 ans, à partir du 18 mars 1915. Il résulte d'un acte sous seing privé en date di 2 avril 1915, que la société en 110111 collectif « Eu sèbe Fasano & C° », à Anvers, constituée le 12 juil let 1913 entre MM. Emile De Vreese et Eusèbe Fa sano, à Anvers, a été dissoute jiar jugement di tribunal de commerce d'Anvers, rendu le 25 mar 1915, et que Mtre A. Van der Cruyssen, avocat i Anvers, a été nommé liquidateur. li résulte d'un acte en date du 17 mars 1915, qui MM. César Goemaere et Axel Goemaere, agent maritimes, à Anvers, formant entre eux la sociéti « (i. De Keyser & C° », à Anvers, constituent pou leur mandataire Mr Auguste Anthonis, auquel il donnent pouvoir de gérer et administrer la diti société. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Elizabeth. — Malmô, 9 avril. — Le feu s'est déclar dans la cargaison du vapeur suédois Elizabeth, aJ tant de Burntisland à Stockholm. Le navire s'est rni à l'ancre près de Malmô. Guernsey. — Cherbourg, 10 avril. — Le vapeu Gi'krnsey a sombré hier près de Cap la Hague. John Hardie. — Falmouth, 10 avril. — Le stearne John Hardie a réparé provisoirement et est parti c jour pour Rotterdam. (Voir Lloyd Anversois du 1 courant.) Magdalena Blumenthal. — Kalmar, 12 avril. — L vapeur allem. Magdalena Blumenthal, chargé de 220 tonnes charbon et se rendant de Stettin à Oxelôsund s'est échoué près de Oland. Sa position est critique Le bateau de sauvetage est arrivé ce jour. Vedamore. — Wexford, 11 avril. — Le steame Vedamore, en route pour Liverpool, a-passé Tuska ce jour, à la traîne de deux remorqueurs. (Voi Lloyd Anversois du 29 mars). Wayfarer. — Londres, 12 avril. — Le vapeur pos tal angl. Wayfarer a. été torpillé près de Scilly. 1 est remorqué à Queenstown. Liverpool, 12 avril. — Le Wayfarer a été mis ai plein à Queenstown. Congo-belge Le chemin de fer de Kabalo à Albertville est ache vé. On peut désormais atteindre le lac Tanganyik en partant du fleuve Congo et de là se rendre pa chemin de fer de Kigoma à Dar-es-Salaani. Adjudication à Amsterdam Les travaux de la construction de deux ponts ; double voie dont un avec voie d'accès vers le cana E près Halfweg ont été adjugés à la firme Brand & Sohne, de Dortmund, pour la somme de fl. 50.000 Suède SERVICE RETABLI Stockholm, 9 avril. — L'administration des che mins de fer annonce que le service entre Trelleborg Sassnitz, qui avait été interrompu, est rétabli. Etats-Unis Washington, 8 avril. — Le gouvernement allemanc vient d'àdmettre sa responsabilité dans le cas di navire américain Frye, coulé par le Prinz Eitei Friedrich. Dans sa réponse à la note américaine, i demande toutefois que Ja question de l'indemnité soit tranchée par 1111 tribunal des prises, qui aun également à fixer le droit de propriété du bateai et de la cargaison. Formalité du dépôt. — La législation des Etats Unis, très méticuleuse en ce qui concerne lés détail: des formalités du dépôt, exige que la demande soi signée par l'inventeur lui-même. Un agent de breve ayant reçu ordre "de déposer des brevets avant le guerre mais se trouvant, par suite des circonstance: politiques, dans l'impossibilité de faire régulière ment signer les pièces, les a signées comme manda taire de l'inventeur. Le commissaire des brevets, tout en faisant de réserves au sujet de leur validité, a accepté ces piè ces en émettant l'espoir qu'il ; sera possible d'aine 11er le Congrès à valider ies brevets qui auront éti ou seront délivrés dans ces conditions ». Le record du téléphone aux Etats-Unis Tous les records de communications téléphonique sont battus de loin par les Etat - Unis. New-York e S 111 Francisco sont depuis quelques jours reliés pa: le téléphone. O11 peut causer sur une distance d< .">.792 kilomètres, quelque ciiose comme de Londre: ;i Tomsk en Sibérie, il y a 39 ans que le téléphom fit son apparition dans une modeste chambre, ; Boston. Graham Bell y parla à son collaborateu Watson qui se trouvait dans une maison voisine Trente mètres de fil suffisaient à cette preinièr conversation téléphonique qui eut lieu en 1876. Un semaine après, Graham Bell pouvait déjà converse avec Watson de Boston à New-York... Lu ligne qu vient d'être achevée et qui va de New-York à San Francisco à travers tout le continent américain s'est développée méthodiquement.. Depuis 1893 01 téléphonait de New-York à Chicago sur 1.4/t0 kilc mètres. En 1911 la ligne atteignait Den ver au pie< des Montagnes Rocheuses, 3.379 kilomètres. Deu: ans après, Sait Lake City — 4.183 kilomètres d New-York — était relié à la capitale par le télé phone. Le plus grand obstacle à vaincre résidai élans la résistance qui sur une longeur si énorme d fil s'opposait au passage des faibles courants élec triques. Pour y obvier, 011 a installé trois «relais» d'un nouveau système, à Pittsburg, à Omaha et : Sait Lake City. Ces relais renforcent suffisammen le courant électrique. j Communications entre l'Amérique du Sud et l'Espagm Dans les cercles officiels sud-américains 011 étu 1 die l'institution d'une ligne ele navigation entre l'Es ~ pagne et les ports sud-américains. Ce projet serai appuyé par de gros financiers espagnols et sud américains. Une ligne maritime d'Espagne au çane " ele Panama serait à l'étude. La pêche des perles au Venezuela J La guerre n'a pas interrompu la pêche des perles t qui a été justement très fructueuse, paraît-il, cett année, notamment au Venezuela, 1 Voici à ce sujet d'intéressants détails : '' Sept cents voiliers jettent l'« arrastra », ou file 3 aux huîtres perlières, aux abords de l'île Margarite " et chacun ele ces voiliers rapporte la valeur de si | à dix sacs d'huîtres -par pêche. 3 A terre, on faii le tri par catégorie de perles : pei 1 les fines ou « de vista », qui sont rondes, blanches e sans défaut; « redondas », rondes aussi, mais plu petites; «Descartes», irrégulières, mais encore foi heiles ; « baroques », aux mille formes bizarres ; e 1 enfin «semences» ou « mostacilles. », toutes petite? Depuis cinq à six ans, le Venezuela a envoyé l'Europe près de cinq cents kilos de perles de ce cinej catégories. Paris, à lui seul, en a pris les que tre e inquièmes. Brésil Mines d'or. — M'- Francisco César, capitaliste d Bello Horizonte (Minas Geraes), a organisé un 1 compagnie pour l'exploitation ele mines d'or dan i ]■'. district de Onça, municipe de Pequy. La compf gnie? fonctionnera sous le nom de «The Onça Gol s Mining. Cy Ltd.» et sera dirigée par l'ingénieu > Gotho. Société métallurgique. — Une compagnie s'est, coi st il née à Rio de Ja neiro pour exploiter les minerai existant au Brésil sous la dénomination de- « Con panhia Nacional ele Mineraçâo » ; son capital in tial ::st. fixé à 2.000:000$000 et pourra être élevé 3.000:900^000. Son but est el'acheter et ele vendre de mines et des minerais au Brésil ; de donner de l'in pulsion à l'exploitation des mines et ele fonder de sociétés ou entreprises élans ce but, La durée ele 1 société sera de 50 ans. Les exportations belges de produits sidérurgique; - Voici quelques chiffres sur la comparaison ele 1 exportations de fers et aciers finis pendant les cin premiers mois de 1914 avec celles de la période coi respondante de 1913- Pour les poutrelles, le tonnage î qui était en 1912 de 36.561 tonnes, a passé en 1913 t 42.152 tonnes pour tomber à 20.595 tonnes en 191' Les rails, autre produit syndiqué, ont fait 73.151 toi i nés en 1912, 62.277 tonnes en 1913 et 56.120 tonnes e 1914. En revanche, les produits libres marquent un s avance notable. Les tôles ont passé de 79.100 tonne en 1912 et 74.944 tonnes en 1913 à 94.010 en 1914. Le , exportations de fils se sont élevées à 23.103 tonnes e 1914, alors qu'elles atteignaient 18.443 t. en 1913 e 23.315 t. en 1912. Les produits divers ont atteint 299.71 ton. à l'exportation, contre 257.425 t. en J913 et 244.43 l tonnes en 1912. Dans l'ensemble donc, réserve fait pour les produits syndiqués, l'amélioration est ser " sible, mais il convient de remarquer aussi que le prix des produits libres ont fortement baissé ; il sont notablement inférieurs à ceux de 1913. Peuplement du sol brésilien. — Dans le cours d ■ l'année 1913, il est entré au Brésil 192.683 immigrant ; soit une augmentation de 12.501 sur l'année 1912. 78.208 immigrants ont débarqué à Rio-de-Janeiro e ^ 110.976 à Santos. Ces immigrants se répartissent ainsi : Agriculteurs ou ouvriers agricoles . . . 142.54 Différentes professions 50.12 Au 31 décembre 1913, la population des colonie agricoles s'élevait à 75.520 personnes constituar 13.600 familles. A la même date de 1912, la populf tion de ces colonies n'était que de 51.642 personne constituant 12.522 familles. i Voici le nombre et la nationalité des immigrants qui sont entrés au Rrésil depuis Tannée 1820, jus-l qu'au 31 décembre 1913 : l Italiens 1.339.945 l Portugais 933.335 Espagnols 443.743 Allemands 122.661 Russes 100.085 Autrichiens 77.470 Turcs et Arabes 48.464 Français 26.966 Anglais 21.232 Japonnais 11.868 Suisses 10.456 Suédois 5.433 Belges 4.488 Divers 187.023 [ Total 3.333.169 ^t ?®nç>^®oql<3w^cch«co 5^ § Î3 E o CD CO r-H -4^ T~l ---^ 1—^ v) ^ ^ ffl S ° H o" o" N CO o H n" o" Vf" ri N 3 A = œ n H i- co i- -J m o i» » i i 5" "«Il ^o?cSr^c3(3if?a!ic^cScS~? L <u E -5 g" r- M O ffl 'O in H o - W 3 =• <>i ici t-h '■ c «£ TH v> -S 2 > — Ëë<= ©O-HOOrHOinO^rôlOCa (S CU cri-irii-li-tT-tr-li-H r-i "O o> °" ■O tt e — _ -j'r^mtfliociaioÇrQçoço ~ c 5 co cc a? « ci m 1- ç ci ç i- <0 « = w h ^ 1^ ^ œ CQ 1^ Q > w H ■tu 3 g o o O w in N ^ ri ai CO M T2 " °- r> l(j H N If) H ffi ® rH « Cû" £ CO Oï ri CO CD CQ 3 >, .ï Sa W E Q2 Or1r-<©©T-<r~T-l©'r1©Ol r- O ro SftSlSoiSSScnoiSS 5 X ° nr-trlrirlrlrinn-rlrlrl ~ 3 _ i |a I i SgggSSSSSïgS 3 •- £ •- in q n o 'O ^ vt c; a o N o «C S MlÔM^^CO^COrJcirirH S — o a. oi^wo?^«coco¥^-^i; a i. s o M^^os^iir^iSuîOtoco — !" (ouiiriinHinosNMrloi-- ra S co r- eo cd n ! ~~ <2 £ 1 tu -o <u O 5 rHr1r-(rinr-(T-(rinrinn j « S f E i £ .£•••£•£• « S 3 . a fi Sa? j '«r .ÎESSS- Dccc2o~tD"~'—— D'après ce tableau on peut se rendre compte que j l'Uruguay, la Bolivie, le Brésil et les Etats-Unis sont les pays qui offrent le plus fort pourcentage annuel t~ d'accroissement, de la population et que c'est la a France et ensuite l'Italie, la Suède et le Portugal ' . qui ont le pourcentage annuel le moins élevé. Un bateau pour le contrôle des stations de télé-[ graphie sans fil. — Le département de la marine l des Etats-Unis vient de faire équiper un bateau avec des appareils permettant de mesurer rapidement les longueurs d'ondes. Ce bateau croisera dans l'océan Atlantique et vérifiera si les stations de télégraphie sans fil se conforment bien aux prescriptions rela- > tives aux longueurs d'ondes qu'elles doivent envoyer ; 011 a en effet constaté, depuis une année, que des dérangements étaient dus à l'inobservation des -- règlements. Le bateau veillera également à ce qu'il t ne soit pas envoyé de signaux d'alarme de secours dans des cas non urgents, comme cela s'est produit 1 à diverses reprises. Appel de secours par télégraphie sans fil. — On a installé dans le port de New-York des postes avertisseurs d'incendie, utilisant les ondes hertziennes ; ;t jusqu'ici il arrivait parfois epie le bateau extincteur e d'incendie arrivait seulement quand le feu avait pris une grande importance et d'autres fois quand l'équipage du navire avait pu se rendre maître du t feu. Dans ces derniers cas le navire de secours devait quand même perdre du temps. Avec l'emploi de -c la télégraphie sans fil, on espère que ces inconvénients seront évités ; le navire extincteur pourra arriver plus vite et, clans le cas où sa .présence sera t devenue inutile, il pourrait en être prévenu à tout s instant. t ________________ t Soc. An. Anversoise de Navigation SOCIETE ANONYME A ANVERS Nous avons l'honneur de porter à la connaissance de Messieurs les actionnaires que, par suite des circonstances actuelles, l'ASSEMBLEE GENERALE e qui devait avoir lieu le 4 mai 1915, est remise à une e date qui sera fixée ultérieurement par le Conseil s d'administration. l- Le Conseil d'administration. i — ROTTERDAMSCHE LLOYD Prochains départs de ROTTERDAM vers J; les ports habituels des s INDES NÉERLANDAISES s S.S. "X. le 14 Avril (s.i.) S.S. " X. le 28 Avril (s.i.) •• (en droiture) s Pour frets et tous autres renseignements, tels que eux con-cernant I'EXPÉDITION D'ANVERS, s'adresser aux Agents i RUYS & Co,, 9, Quai Van Dyck, Anvers. 1 TURNHOUT î BREE, MAASTRICHT, LIEGE 2 et localités de la vallée de la Meuse e s" jusqu'à Namur s r Le bateau-moteur " FRANÇOIS „ partant samedi e 17 courant, (sauf imprévus) j Pour frets et renseignements s'adresser à CHARLES OPDEBEECK, - Expéditeur, Entrepreneur de camionnage. 6 36, Grande Montagne aux Corneilles, s. ANVERS, t j GRANDES ARRIVAGES DE SEL DE CUISINE KARL SCHROERS ; VOSS & LANGEN ; (ARMEMENTS RHENANS) F orfaits pour toutes quantités et toutes destinations. En charge : " VOSS & LANGEN 5 " & " KARL SCHROERS 62 " ; DUISBURG - RUHRORT - DUESSELDORF-NEUSS-UERDINGEN-CREFELDDéparts : Tous les 5 à 6 jours, sauf imprévus. I Po.ir frets s'adresser; 35, Quai Van Dyck, (Entrée Rue Sanders, 2). iLgagaiii'iiWffagBiaaEMaeaMMMWMa———

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This item is a publication of the title Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires belonging to the category Financieel-economische pers, published in Anvers from 1858 to 1979.

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