L'opinion wallonne: journal belge, indépendant

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s.n. 1918, 11 April. L'opinion wallonne: journal belge, indépendant. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/3n20c4tt3p/
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I ~ ABONIN I J Dépari I j et Colonies Irai I Etranger Unioi H . . . H Adresser le n I uement en mai I leur sur Paris I VOpinion Wah ment part du 1* I, j —Toutedeman< I d'adresse doit éi I de 0 fr. 50 pour PUBL I aux bureaux I La publicité journal n'enta?. Wallonne. L'OPINION WALLONNE ITE journal. ÏÏn8&£ QUOT1 . de la Belgiqv — — "iIIÉBffinflli >IEN EGONOMIQUE-POLITIQUE-LITTÉR A nui RE 7/rn r\/-k ■ a AVRI N- 59 et 6-Directio:9, Rue PAR TéJéph. : Admin-is , M. J. HTIT.l Hourrah pour les Flamands! ) k C'est le cri que nous devons lancer pour répondre au t Hourrah pour les Wallons! } par lequel nos amis flamanrli! nnf ï i 1 ' î , ci ■ iLe plus grand argument d'es adver mouvement wallon vient de s'écrouler, grand argument et l'unique argument, saient volontiers à notre programme ci tion qui leur semblait définitive : « Vot ment divise les Flamands et les Walli patriotisme refuse de s'y associer ». Et nous avions beaucoup de peine à , — à rencontre de certains laits malheurt notre solidarité d'avec les Flamands i longtemps affirmée et que, chez nous, de l'association wallo-flamande sut écart décisions d'avant-guerre, ces lamenta fiits civils où devaient inévitablement a mauvaises querelles de langues et de r. En vérité, le mouvement wallon dej avait commis des fautes tactiques. J.'ai sio,n de le confesser déjà mais il convier venir pour expliquer que nous ne poui nous associer aux vœux de nos amis (CENSURE) a Les associations pour la vulgarisation c gue française qui menaient ainsi c pour le .bilinguisme obligatoire en Flani vaient d'ailleurs hautement contre les pr ate Flamands ou des Bruxellois qui inv le programme dit « frans quillon » poui rer à leur tour, par la force des lois, le 1 me en Wallonie. Les tendances wallonnes devaient fa provoquer cette réaction flamande. Ajout effets — parfois un peu vifs — de cette les manifestations trop souvent exagérées tionalisme flamingant dont les préteytioi moniques devinrent .à de certains moment portables — et avaient cependant l'oreille ministres apeurés — et vous verrez con s'est produit que les deux mouvements w flamand aient été dressés l'un contre l'autr dant que leurs programmes concordaien l'ensemble et que leurs aspirations s'emb dans le cadre d'une Belgique que tous de ba laient claire et pacifique. Avec la trè\e bienfaisante qu'elle appor • U01 qm n-li.es, élans nos raneuhes, dans no , • vèlléitês de -suprématies la grande Bataille ti&mi.Ufévi,veurop"écnn?s nous a conquis aux ' -■ -Tèffrxiw .nWth ttirr'i'nnr'p à la log.e[ua pc Depûisîfflguerre, WimjSi'XVmKflnr '--qi qua l'orientation du mouvement walloii n.t ! la première ,avec netteté, la doctrine natie de la Wallonnie — depuis la guerre destn l'Opinion Wallonne se vante d'avoir ame lecteurs à cette-grande réforme réparatrice politique wallonne qui provient du respei droits des peuples et qui consiste à laisseï peuples le choix de leurs destinées par «aires du rA lnlésrale de leurs aspirations natii 1 e dus comment la Wallonie, .réclamant 1' Ils onpo de culture n'adm •tte oliiec- P°Int 1ue la l'iandre — avec ses quati i-e mouve- ' , .habitants dont huit cent mil ns Notre Parlent le Irançais — jouisse des priviJ raux et matériels qu'elle ambitionne e îxDlitfuer . Uès •lors' ''entente, qui fortifie et qu ux — mi« le! ac,tlons Ci» pays libres, naît irrési: st rie nuis UI1i','e les Peuples flamand et wallon. [i> respect ai 'es W allons disent aux Flamands »r de nos 3 un PeuPle uble associé à la Wallon tes col , pe,uple 1 bre' Et vo«s êtes le sot joutir les r» vos actions' cle votl'e langue et de v. ices- "ous somnies aussi maîtres chez nous uis 1887 III ni l'occa- La Belgique gagnera en for-ce et en exi t el y re- ce régime nouveau. Les libertés épanouie ons plus — sur le sol flamand et sur le sol wallc ront notre puissance de créer et de pei des Wallons et- des FJamf une Belgique plus grande — nioraleinen tenellememt — que naguère. Et voilà n'eî ce que nous voulons ; une Belgique ou m e la l'an- rirons querelles de langue et de race et impagne serons, équitablement, les maîtres de nof Ire s'éle- jy ;tent'oi:3 ., . . Douaient ! sans cloute, notre désir le plus v ■ instau- v0"' nos frè»'e>s flamands cultiver avec frui iliniruis- ^ue franÇaise. Le français est racine dans ehtions profondes du peuple flamand, ins alement de ^ cu"-ul'e et de sa puissance d'expansi ons aux not,l'e P'^Pa-gande dans ce sens doit êtr< réaction e Ip et "e 'Pe,lt P°iat ^ traduire par elu na- fol^'|Ue s s <>PPOse l'esprit de la Constiti is héeé- J s insup- (CENSURE) de nos . ils se hâteront, d'ailleurs d'appi ment il 16 français qui leur ouvre les portes de la allon et et celles de lu Wallonie. Ils ut- s'isolen 3 cepen- Nous le souhaitons avec force. t dans y oîtaient NT ux sou- Notre politique est donc bien nette de Jîéjouissons-nous fie constater que les FI; en ont apprécié l'esprit libéral et qu'ils i rent avec joie. Hier, le journal quotidien Ons Vaderlc a dans produisait un article de 10. IV. dans leuu s sottes pelais l'attention des Flamands sur l'i. les Na- d'une commission officielle créée .uniq sames lluur l'étude de la question flamande. -litique. i uderland, Calais, 24-3-18. lievrai irec.sa, composée de Flamands ét de Wallons rialisie élargir son programme et se préoccuper ai: icti'i'ce, deux mouvements. J'ajoutais que je ne < né ses point qu'il fût possible de faire reconnaît: de la ciellement. par le gouvernement un orgj :t des semblable qui fût réellement indépenda a. ces na.rf.i pAniv.alic+rt i ciuciue namanao-wailoi réalisa- , ,i,es Flamands de Ons Vaderland son tnnnmie ml 6tf l6S plus Puissants puisqu p i» du front même> l'orientation c -ta t-elle ment flamand. Us ont répondu à mon a millions cette déclaration : a peine Nos compagnons de lutte wallons pei même 9 ^SUres, q"e les Flamands ne s'écartero assainit n JT! * La Commission, ou bier , P e Jouri ou blen elle concedera aux t ileroent vements, flamand et wallon, une repr, , v«„- appropriée, et dans son sein, dominante. < Vous Pour ce qui est de la mission qu'il fau ' ■•Un mis "j10"? P°uvons> nous servant des te . ain mes de I Opinion Wallonne l'exprimer • e ame. lution de la question belge' par le règle revendications compatibles de nos deux i ti-finntp"1 <ionlclu' ®n dégageant « l'impres îsi-on à "®ante " c'e la politique wallonne : « Comme Wallons et Flamands,mainten: exalte- apprennent à connaître et à estimer le ... i;u. mutuel, se rapprochent chaque jour dav; ls fera Cette entente fraternelle, victorieuse de et ma- 'entendus, aev.endra bie.:.ot la roche in e pas, sur laquelle pourra se fonder une Belgic i igno- leure, plus belle et plus juste i nous Hourrah pour les Wallons ' estins. yj H résulte lumineusement de cette lect est.de 'es Mamands n'accepteront, désormais a lain- .concession du gouvernement qui ne soi s tra- "lent accordée au mouvement wallon arable le gouvernement, ainsi qu'il en est < Mais Havre, constitue une commission d'ét nd,'vi" ?nS k"1®"* et de race, les Flani; s lois paiticiperont a cette commission qu'à la ce on de « J voir, logiquement représentés les e-1 mouvement wallon. ' née6 e!f -tnnt'^iUvide V°Pini0n wallonne e dl,e wt1ir.!l ? .îévdence, une alliance eles rance favor-i.bW f ■ ama"des, dont les manife: pas. 1;l ca.l,3e '"e la Belgique tout gueur Pas a ^P^mer avec une s; VII CÔti' ot S°ni"e'iles 0"1)liées. maintenant, les ma ands et puériles querelles dans lesquelles non épuisions au détriment de notre pufsscwc, lectuelle et économique i ' Tf® l ,re-j'ap-tilitément Ons (CENSURÉ) JteU.y .. ^ '_2. f, 'des ot des Wall° 'yais avancés et lès ^ nd6 8t Ce so,lt les Fla" offi- démontré ,l0n$ lntransigo<ants qu sme TT Hourrah pour les Flamands ! LA SITUATIOIV CZERN1ÎU MENTI Que ces Boches et Austro-Boches sont stap Voilà des gens qui brament après la paix. Ils meurent par la rendre impossible en volai l'est, des provinces entières, en imposant Russie et à la Roumanie une tutelle qui ri définitivement l'équilibre des nations. Ils c nuent, par une offensive formidable qui les plus dangereux et plus haïssables que j<n Puis, après une semaine de tueries atroces, Czernin, la bonne à tout faire de l'impérial teuton, qui se met à jacasser et à se lame-, histoire de nous démoraliser, en rejetant su France la responsabilité des nouveaux comb Immonde pitrerie ! Vit-on jamais plus r gnante besogne ? Quoi ! les brigands de l'Eu sont chargés d'un butin arraché de toutes y avec la complicité du bolchevisme béat ; ils i sellent de sang belge, serbe, roumain el parce de grands veuples fiers s'efforcent de les me ils crient à l'assassin ! Guerre fantastique ! Elle a élevé le coui humain jusqu'à l'apothéose, mais aussi ell donné des tailles de géant aux vices de certai l'hypocrisie, le mensonge, la bassesse et l'idit Un Konstantin, un Lénine, un Trotsky, un C nin, sans compter le kronprinz, sont des figi énormes dans la qalerie où brillent, comme sa et martyrs, les soldats de la civilisation. Encore Czernin, qui a menti, n'est-il qu'un dividu... Mais que dire du bon peuple allema des Autrichiens teutons et des Hongrois, au i de qui se cuisine toute cette politique de sort mes et de brutalités ? Troupeau que l'on mèn l'abattoir sàns qu'il proteste ou bien race d'i minés qui. accepte parfaitement de servir l'idée plus tyrannique des siècles, et à qui les pires m songes et les plus sottes tactiques paraiss chefs-d'œuvre de diplomatie ? Le fait est là, qui domine cette guerre : grand peuple, instruit sinon intelligent, s'est joui de l'atroce massacre, il s'g est adonné a ivresse et, consciemment encore, il y pourvoit , sa chair et celle des autres. La décision de paix est entre les mains du peuple allemand. > kaiser sadique, ses généraux infatués ne sont définitive que les instruments de la volonté a mande et tout leur prestige s'écroulerait si soldats el les civils allemands voulaient rée ment et sincèrement la paix juste et sans ci trainte pour laquelle nos armées se sacrifie Mais le peuple allemand ne veut pas. Nulle pi on n'a vu tant de complicité nationale appuyer même exciter la folie orgueilleuse des elle L'avenir sera sévère au citoyen alle7iiand. Borguères • nos listes de wallons L'Opinion 'vallonné commencera prochain ment la publication d'une série de listes de W ions établis en France et à l'étranger. Ces lis seront dressées par rubriques professionnelles permettront des échanges et des relations ti importantes au point de vue économique. No prions nos lecteurs de vouloir bien nous aider confectionner ces li9tes en nous adressant par tour des nomenclatures de Wallons avec lesqui ils ont établi un contact en exil. Les Wallons ■ front sont instamment priés de participer à répertoire de l'activité wallonne en nous envoya leur nom et leur spécialité professionnelle tope liberté ! jarts Dessin de Léo Leche val lie rais- ~ . qae Portez-vous Vinsigne « Au Coq hardy » ? Il coi ater, 0 fr. 50 franco. Aux bureaux du Journal ou ch Joussel, 80, rue Bonaparte, Paris. raç\e le a * ins ; ' echos lires ints , in_ L'ENGAGE LOUIS PIERAR ind, Louis Piérard est venu de La Haye à Par nom parmi les Wallons \his- Depuis son arrivée, 'des articles ont pai ie à dans des revues et des journaux colportant d illu. histoire à doraiir debout destinées à diviser 1 e la Belges de Paris et, principalement, les Wallon ten- îNous n hésitons pas, même « en ce moment c sent aucune question n'existe que de combat » à s gnaler Louis Piérard, ancien militant walloi un comme une trouble-fète assez louche, comme ui ré- sorte d'agent de désorganisation à la solde d'u mec Parti. Piérard a voulu nuire à l'O. W. et au moi par vement wallon. C'est un fait. Mais pourquoi i ta Nous détestons cle consacrer notre précieux pi Son Pfe'Vl. faire (Jcs Personnalités ; cependant, dar rn 1 intérêt même de notre cause,nous devons montre iHe- a nos lecteurs les adversaires que nous avoir les Que fait ici Louis Piérard ? L'année dei ,Ue. nieile les journaux français annonçaient fcom on- peusemenl que, malgré sa nombreuse familli mt. 1 lérard s était engagé dans notre armée. Or c'e; art en civil qu il lait ici sa petite besogne. Alors qu . et signii.e ce communiqué à la presse ? Piérard et ef*- £™!'?d" m0UVfimeht wallon, est-il militaire o ï. *** UN NOUVEAU CLAVIER POUR LE PIANO , Un ingénieur wallon, M. Pierre Hans rénétit^n h 1 rl!û!VGrS i .Ué£e vieilt d'inventer ûn nouvea ne- il ïl pour le piano. Ce clavier simplifie beauc-ou le jeu de ce merveilleux instrument il est actupllf :?1" ™ent. Joué en Ilollanr'e dans tous les concerts ^'o ^anise 1 Association des Concenls de Charité na .et T ikfrûa^ ♦ Smulders, professeur au Conservatoire d rès f*V* ' f ^ obtient un très grand succès Dons un )us letlre de félicitation que le' professeur SmnlrW-à f///^ e | «MTIVIUND COLLEE BAÛIMUE ïu TIMES îliSfâffiSàâ (CENSURE) i^&JStSSÏ.VSS (CENSURE) = -SanfLZî °ieSt,de la " diplomatie ». ùte dire, lur°tout In :pif§f§3 R D ris tru (CENSURE) les les ns. s ,4 «r^sjaws,f-#» un un mouvement activiste en Belgique ' 111- <1 eisonne en Belgique ne parte de ce mêler, ? mouvement, car il n'eriiie n . Preteji >a- quelques misérables payés !>ar les■ M? î"1' ns intriguent qui comptaient et le seu résZtat \ •er tenu a été de provoquer le dégoût de touU la ls. t/on. < e serait faire insulte aux Relues nue ■r- prendre ces agitateurs „u sérieux et aue dl l, n- loir voir mie agitation dans ce qui n'est aue Vn le, vre de quelques traUres à la solZVe VeZemi t lie n-311ur CENSURE iu ip le->r-arie le a et ne jou'ura pius que le clavier Hans . ' ~ ; CarlO. Goebel. gularités du serviceaposta|a d^'leur abonnement" "I!,able.7 de nous signaler les irré- "Ur 10 Gentimes pendant les Hostilités I «er Les activi LA MENAC UN DEPUTE ANTI-ACTIVISTE CON I M. île Meester, secrétaire de l'Associ I ®ervatrice d'Anvers et membre de la Ch „ _ I Représentants, est incarcéré à la prison ® I . pour avoir participé aux man I tinti-activistes à Anvers. . . I On lui demande dix mille francs de ca les plus sa mise en liberté ls déter- I mouve- I LA PROPAGANDE DANS LES CA ticle par DE PRISONNIERS BELGES ent être iImpM ^°^ÙeS™a"0ts les ioul'naux — « Das rie i? a 0 " V'aamsche Nieuws <, On ie verra tnn ^ntwefP^,he Courant », la fielleus. uy mm, k r Brussel » de René de Clercq, etc — ux mou- I tidiennement envoyés par les soins et an-entation l'administration bociie à Munster, a Got lui ",S '?s autrescamps de prisonniers bel n"s m"-' sion.S S°nt diSt,'ibués g>'atuite.nent et La so- I ,e,nLdes LES ACTIVISTES DE GOTTINGE "Pies ». t VOTENT UNE ADRESSE on for- AU CONSEIL DES FLANDRES if niiiii. ! militants de l'Aktivifane poussent e d a 'r°ir d6S "is de victolTe P^ce^^ls on, itage - SnSKn,lUne adreSSe de Jéli"fallons qu, lus mâ ®xïï , de guerre belges, réunis en a terable j l ' envoyée au conseil des Flan e meil- | LA GUERRE AU FRANÇAIS EN FLA Les aktilvùstes font une guerre sans me I langue française. Pour eux, l'ennemi ce de BoesS3ue°tCheS Wen 'a laI1«"e dè M Lucune I nS'eSL^rnsi quer'e ministre des science é^ale- I o - Pro^esseui' De Decker, vient de si°n I ^uP, eur du Petit Séminaire de Saint Tr< estion I en S®6!!611' *}'y était pas désor™ai le des I S1 '?s professeurs continu ids ne raft fB«ni lnM;Çaise, l'établissem dition I ferme et jes élevés licenciés, et cela « t fs dtî avec les autorités allemandes donc I LES ACTIVISTES NOMMERAIENT LE K forces I GRAND-DUC DES FLANDRES ! lt*°n,s I -L'Echo Belge apprend qu'une députati "tiere Conseil des Flandres doit, se rendre r ie vi- nement au quartier généra] impérial ail Flandres ^ ^ Ka'Sel' tKre de (ll'an<i-B aines I Décidément les activistes flamingants a nous j ,s.f.nf,'e moindre discernement et si leur cai Intel- I 2g"1 J,u sympathie de pareilles maladress I 1 il aient pour la rendre odieuse. LA FLANDRE MARTYRE I II paraît qu'une brochure intitulée la F I martyre et signée Caudius Severus, circi I ce moment en Belgique, chez nos ennemis e I les pays neutres, ramassant les écrits vn • W I,'.,s .,u. publie, ^ 5 est I wallons avant la guerre, elle cherche à s; ands I ^eigiqTJe tout entière et elle tire de ses ( rorit f.'wffif® f?^l-i!'e UI}, argument internationa I lustifiei un futur démembrement. « c'est u mfi tër~re ?é.[°ya,e■ écrit la Tribune de C E 11111 lelate ee fait, mais enfin c'est une arm PROTESTATIONS CONTRE L'ACTIVISI LES EMPLOYES DES FINANCES DEMISSIONNENT I On annonce que les fonctionnaires et emn I du ministère des finances à Bruxelles, qui é I 1C1 restés en fonctions ont tous démiss paratïstûs°lU' ',rotester conlle Ies manœuvr « LE LLOYD ANVERSOIS » SUSPENDl 1 rie „ S® j°,"na! qu,' Paraissait à Anvers en fra I .i leçu 1 ordre de paraître en flamand ou b' suspendre sa publication. Le Lloyd a préfé I point continuer à paraître. LE CONSEIL COMMUNAL DE LOUVAIN SE tait I l'ans sa dernière séance, le conseil comn lier I ae Louvam a décidé — à l'unanimité - de mettre île leurs fonctions les instituteurs I I \ ogelaers, Maurice Denon et Joseph Mathiei premier a accepté, du Conseil des Flandre; | mandat de conseiller nrnvinpia'i r»nm. i , 5mes exx Belgiqu E LA RIFOSTI ïamne l'activisme wallon tion con- U y a un activisme wallon r'oot inhre des presse a qualifié le mouvement nnl h \ cellulaire l°ns ont cru devoir répondre en TtehS Gestations et à l'extérieur du ya^ àuZanaîTl flamingantisme panqermanUte ?,9 t,on pour ^J^saires, unitaristes et bilinguish 'ps un journal wallon a lieg uLe r làTépar0anUon.nti"f,amirigtoteS et ('ui ^ Ss „ Sfï».îwa"!iœ!. u païaît qu uii membre de la Chamhr 1 arrondissement de Charleroi aurait' mi* ^ titude nettement favorable à l'activisme w mais on manque absolument de précisiom ce xmo- r„ , , " LE peuple wallon » reçu de d'u journal wallon qui p. senibl'ée ^ fi pub! W. - penW S: t "programin e ' ' t ie sont yal'onne. Il y aurait donc, en Belgique lière et Journaux activistes wallons. "e'^e, et des n LA LIGUE wallonne de braban fier au ,irl"ril rÉce'lt article nous avons parlé i id que, SK°(lI séparatiste voté par celte Li donné Zn nul nm^SI,"-J10^ V™noncer sur Vin ient à mlnJh-l hXL a ■ <ou™e Var le Bureau nt se- Tel^Z Aujourd'hui, nous avons r accord de ne Voint pMifr. """" la Censure nm I viser CENSURE ri du ocliai- mand £e v ic des ment, wallon a d'autres raisons, raisons nett, adverses d'ailleurs. Il paraît bien que l'agi, issent dcs Wallons en Belgique n'a eu d'autres fin ie mé- '}e sauvegarder les intérêts wallons contre le s suf- 'tances liégemonieuses d'un flaming antisme germaniste. Seul, parait-il, un journal heba daire: l Avenir wallon qui se publie à 400.000 < plâtres inspire quelques inquiétudes aux Wo mdre ™*ilta"ts<car on ignore d'où proviennent les ; e en fhïnn?,) permis a rAvenir wallon de par, danl Quantta nou*> nous ™ connaissons même vc is ou Urii^e CCt or(Jane et n°us voulons gi •p i0s .tî" J^lïllccltwn la réserve la plus forn il h ■ Miteri-ueron*. e^ndanmer 4outcU<m scus- ^nn10,}1 e.'"os miUtants avec Vennemi. Ici \ pour att,lude est invariable. p e ar- la ligue wallonne du brabant •nève et l'union wallonne de france . Dfins l'ordre du jour qu'elle a lancé en B E Rrnhnnï^01* d affiches' la Lme wallonn, Brabant demande pourquoi le gouvernement 1 n a pas répondu à l'Union wallonne de Fr lorsque cette association a réclamé une décl S l\on officielle sauvegardant les intérêts wal w Iîloment. m,!me où nos ministres affirma inné que les aspirations flamandes seraient latiifi 3 sé- (rapport au Roi, i avril 1917). ' la ligue wallonne du brabant et « l'opinion wallonne » içais La Ligue wallonne du Brabant proteste és t, de ment contre le fait que le général de Ceunb i ne ministre de la guerre, a intordit la vente de l'i mon Wallonne au front par les vendeurs n ta ires. 't ! signataires de l'ordre du jou inal de la ligue wallonne du braban1 n'ile L'01'dre.du jour de la Ligue wallonne du 1 l e bant est signé comme suit : un Le secrétaire général te présiden v. . llPSirp rla Pudaï t • oi0anisee par les ajktivi'stes au « Louvain-P à ce» pour réclamer l'autonomie de la Flandre. ii, — Foyer de (( L'Opinion Wallonne 's- d. nos reunions rs En raison des événements actuels, le préfet ie police ayant interdit les matinées au jour où canon allemand. bombarderait Paris avant 1' verture des réunions notre séance wallonne c voquée pour dimanche dernier 6 avril n'a pas lieu et son ordre du jour est reporté à une d ultérieure. La réunion que nous avions proie pour le samedi-13 avril en l'honneur de la j nesse littéraire française est également postpo; Seuls notre banquet du 21 avril et notre réun: ordinaire du 28 avril sont maintenus malgré 1( les événements. a 7' dejeuner franco-wallon n Dimanche 21 avril 1918 à midi 1/2 très pré< it a 10. W., 9, rue de Valois, Paris, tous i amis sont invités à ce déjeuner et sont cordia u ment, priés de s'inscrire immédiatement en ne '. envoyant le montant de leur cotisation. Prix a couvert, huit francs, vin, café, service compris Dimanche 28 avril à 4 heures précises A I '- W., 9, rue de Valois e * * * ^ 6° matinee wallonne Gwiférenice par M. Sylvain Bonmariaqe hoi ditions SU' ,)iracin6s d transplantés. A 'Entrée libre. (1™ partie ■ Conférence ; 2» partie : Audit i artistique ; 3" partie : réunion intime.) L'Entente Franco-Belge et les Viticulteurs Le congrès des Amitiés Françaises de Mons ( rappèler^6 J a ém'S Ce vœu (,u'U convient , La section économique émet le vœu de voir s'£ limier entre les gouvernements belge et franca mie entente de plus en plus étroite et de développ l'P„ .P°sf.ibIe 'ef échanges commerciaux ent les deux nations. Elle soumet notamment à l'atte tn°HiereiS aut0"tés compétentes l'opportunité d' sihiB ri- c!uestlon de savoir s'il ne serait pas po r^fitidar"vf,r'moyennant des compensations ?o £ • , '^nusston en Belgicpie, en franchi: a" Sen'i ^ ê?a,??art' P' Brison, H. 'Halleux; A Ha vard, E. Hellm, J. Hénault, E. Houba, A. Masson » Notre prochain numéro En raison de la crise du papier ce numéro rem le placera les numéros réguliers des 11 et 18 avril le av^e prochain numéro paraîtra donc le jeudi 21 î MrtiiÊHliiHir 11 h" Criî'ai?t ,de ^ le gouvernement belge re-s mit a 1 étude 1 amélioration de la Sambre canalisée située sur son territoire, en même temps qu il provoquait un examen parallèle par le gouvernement français se rapportant à la rivière sur > rent U1'S 6" FranCe' Ensuite. ^s études fu-s V1f, en com'nun, une amélioration deux pays eVnaicausfqUement °Pél'er aU des s Au moment où l'épouvantable tempête fut dé 11 ?',îa7é? Par l'Allemagne, les travaux sur la Sam-bre belge suivaient leur cours. Ue 1 autre côté de nos frontières la Sambre sée en loTi^f"'' de 5Vdlp?lètres 253' el est divi-0 m 92 1 m S î.1Utes d'eau variant de in màtl,; w ' son chenal a une largeur de ' mètres à 9 m » T i ,Son mouillage va de 2 île rpfps l r ; 'es écluses ont les dimensions et 38mS M dSg^™^'68' à SaV°h' 5 20 1 -nomn1?"6"1®' de la voie s'éleva, en 1912 à à 664 204°tnnS ; " attei^nit- en distance entière, n a 1 de 1 ' art ère Prouve le caractère international ue t artèie et la nature en grande nnrtie ti-ansuan-e du trafic. C'est la raisin qui P£oÙs pot te a nous occuper des mesures prises nar l'art du&deUrilli36 P°^rtle pèrfecloCem^t persuadés gique06 aUra dheureus«s répercussions en Bel- La Sambre canalisée française dessert une v&. gion industrielle d'une valeur considérable en-r' ® enf'°he 'es grandes usines des parages de ' » Hautmont et de Mauheuge ; inallieu ?en ' S°" .usaSe est contrarié par la médiocrité des conditions de sa navigabilité Confiée autrefois a l'exploitation d'une Soc été dont t privilège cessa un peu avant la guerre ' cette H r'e:%e! r.!Stée ce qu'elle était ilgy a Plus de ^

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