Notre Belgique

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s.n. 1918, 28 July. Notre Belgique. Seen on 19 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/3775t3gj3g/
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NOT RE BELGIQUE Di&u protège ta libre fhlgfqu* , y Hôsde éti? po VBeïgique brait mcrvètt ht Boa Roi, V tJ I S U i fe- Il pute amye m s'est fir d'esse Wallon I TU-MI fci»WV ■" T.'?*."ni'r'm'l'l .■'* l*T!ili"OTVIgg lf?IIMn"a' "1'w ^ r7ar-7MCë&g^»am^iTif»T«^iOTj^^ff.-iwr«tgara«rear^«afirwi»awg■<at^i«iAg»faa«KMaaaMc-aaai>?aa^ jT"'"---fvi-—^-n"-r-pagTO*wJiy»«'*:*naMM«Ba^aMMMBaaaBMMaMMMMa Tarif «tea £&ôuttem<âtsta ftiihtsii-e* ..... i !dt>i» i.sû ir. & SfiôSs 4 fr. Olvllsi (France) .... I KJai» l.eo If. a fèioitt S fr. ( trasiger) I SSolfc 5.SO fr, * SSeta S #«■. ^i(S«£tbn e! wdi^.îs»i!fcïs'i6îfe«j S3. RUE BIS COMMUEES, CALAIS Ahoîiaemtnts Militaire! : Par gamtlAï s « » • 0.48 tr. | ;wr 10 tkannimish Srsîs « .... . I.CO ff. • aailâ*tlfs CHOSES ET AUTRES Des distinctions bien méritées Nos lecteurs se souviennent peut-être que lors du torpillage de nos bureaux il y a quelques mois, nous fumes sauvés par un officier, M H. Beaton et deux sergents, M VI. G. Bunker et D. Walsh, de l'armée britannique. Ces braves qui ne connaissaient ni notre maison, ni notre cave, entendant dire autour d eux que nous ne serions délivrés que le lendemain à midi (il était 9 heures du soir) empruntèrent des pelles et des pioches au piquet du génie français qui veillait s jr les ruines, et s % frayèrent un chemin à travers les décombres. au risque de faire une chute dangereuse ou do recevoir des débris sur la tête. Au prix de longs et pénibles efforts, ils parvinrent à dégager l'entrée de notre abri, et, à la force des poignets nous hissèrent à 1 air libre et... à la vie recouvrée. Il était plus de minuit. Nos sauveteurs nous accueillirent avec des transports d'allégresse, et leur joie faisait plaisir à voir. Nous nous empressâmes d& signaler leur héroïsme aux autoiités compétentes, et le gouvernement, répondant è notre demande, a décerné au lieut. H. Beaton, la croix civique de 2e classe, aux sergents G. Bunkor et D. Walsh, la médaille civique de le classe, distinctions destinées à récompenser les actes éclatants de cou» rage, de dévouement et d'humanité. Nos plus cordiales félicitations aux nouveaux décorés. Les tribulations d'un journaliste « C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit » la nuit du 21 au 22 juillet. M'étant endormi, bercé par les hurlements du vent qui faisait danser aux nuages une gigue échevelée, je rêvais que «Nc tre Belgique», paraissant chaque jour sur 24 pages, «concurrençait » sérieusement les grands journaux de Nt w-Yoik, lorsque, soudain, par la fenêtre ouverte, m'arrlve un appel déchirant, un miaulement de chat qu'on écorche, une stridence qui pénétrant par l'oreille se répercute immédiatement sur le cœur et les entrailles : la sirène. Tandis qu'à la clarté de la lune et au son du canon je m habille en hâte, j'entends de i la rue la galopade panique des bourgeois, des femmes, des enfants, qui courent aux abris. A peine suis-ja à la cave où je me trouve avec une vingtaine de nos chers blessés, le fracas des bombes qui s'abattentsur des maisons retentit avec une effrayante netteté. Instinctivement, nous tous ramassons sur nous-mêmes pour offrir le moins de surface possible à la mort qui plane et nous jetons un regard de défiance angoissée à la voûte qui a la délicate mission de nous protéger Vers 1 h. 30, la berloque sonne. Oaf ! ! nous regagnons notre lit : hélas, nous y | sommes d'une minute que la sirène recommence. Nouvelle descente précipitée, suivie d'une pluie de torpilles dont les fxpiosions se succèdent à quelques secondes d'intervalle. Ce fanèbre sabbat ne finit qu'à 3 heures du matin. Les Gothas en 1 s'en retournant, laissaient derrière eux, i ' sous des caves et des demeures effondrées, une trentaine de cadavres, pour la plupart des femmes et des enfants. Malgré une nUit aussi mouvementée, ;nous nous rendîmes au journal le lendemain à 7 heures. Là un nouvel ennui nous ' attendait. Les infâmes boches ayant brisé les câbles électriques en plusieurs endroits, nous étions privés de force motrice, et | nous attendîmes toute la matinée le cou-' rant qui s'obstina à faire défaut jusqu'au bout. | Et c'est ainsi, ami lecteur, que le raid nocturne des Allemands sur Calais en la nuit du 21 au 22 juillet eut sa répercussion jusque dans ta tranchée et te priva le maidi 23 de ta lecture accoutumée. Tu auras pesté sans doute... contre nous peut-être. Crois-tu que de notre côté nous fûmes à la fête ? Trois heures d'alerte dans la cave, avec la perspective d'être, d'un instant à l'autre « ce quelque chose qui n'a plus de nom dans aucune langue » assurément cela manque de charme. Mais voir par-dessus le marché le journal en panne, et se dire que les jasses, le lendemain, n'auront pas «NotreBelgique», cela, vois-tu, ami lecteur, c'est le comble, et il hut pour le supporter une énergie que tu as peine à comprendre, peut-être, | et qui nous fait parfois cruellement défaut, ' LELOU Notations menues Le long de la route Scène épique. — Le raid des « p'titi cbatteurs ■ a parfaitement réussi. ($ua> ranie-quatre prisonniert dont t'oie offi eitrt, vingt-deux cadavres allemandi dans ïabri $t en la tranchée, le capitaini prussien abattu, quatre mitrailleuse) emportées en trophées, tel est le tableau Dix minutes, au moment où surgissai l'aube, ont suffi pour esta. Les nôtre* n'ont perdu qu'un homme, et pour secon der leur effort notre artillerie rageuse réglée comme une horloge, a fait mer veille. Les patrouilleurs sont rentrés et leur cantonnement, et brisés d'une saint fatigue physique, se sont tout habillé■ fêtés sur leur lit rudimentaire où préien tement ils reposent. Mais l'après-midi et venu et le brave et jeune lieutenant qu commande ces gars hardis doit fairt rompre leur sommeil pour les interroge et rédiger son rapport. L'administration vis-à-vis mime de Ihércitmî est exigsan te. L'tnquite rapide commence et s poursuit. Les frères soldats sans for fan terie et simplement déposent. Ctpendan Il en est un qui ne vient pas et que fore\ f«f d'aller qvé'ir; U cuistot, qui fut lu aussi de la belle aventure. Il n'a pas f air content d'être dérangé de ses coutumières occupations. Je Iexamine: petit, trapu, volontaire. « Et toi, qu'as-tu fait? s dit le bon chef. « Mais... répond l'autre — f'ai tait, lieutenant, ce que vous m'avez dit de faire n. « Oui, mais quoi f » — « Bon! je leur ai entré dans l'iard — c'est cru, mais ceci est vécu — « j'en ai eu six et cinq prisonniers. Voilà !! n * C est bien, tu peux partir» énonce l'officier, quand soudain, le rouge aux pommettes, l'oeil irrité, mon cuitinier s'écrie: « C'est trop fort ! Figurez-vous, Lieutenant, qu'il en est qui jusqu'à cet instant depuis la rentrée du raid ont « roupillé » et qui déjà m'attrapent : le jus ! Hé ! cuistot, les patates ! et figurez-vous, ils n'ont pas épluché ! » Admirables soldats, quels braves gens vous faites 1 F. P. t - 'j Mise au point ; i Deux objections ont été faites à mon article 1 ' du 10 c. sur le génie. Les voici : ' | 1. « Tout le moude sait que dans le socteur i'deM. les réseaux de* avancées furent cou-r CRUELLE DECEPTION Les radios et les journaux boches te battent e les flancs pour interpréter en un sens favora-I, ble la retraite des troupes du kronprins. x II s'agit de cacher la réalité au peuple et e de lui faire prendre des vessies pour des s lanternes. Les Allemands ont recours à cet _ effet aux bons offices de la presse germano phile des pays neutres qui, et pour cause, leur a voué depuis 191b une inaltérable fidé-c lité. Voici ce que l'a Aftonbladet » a trouvé •' de mieux pour consoler ses amis de Berlin : s « C'est une habitude peu sérieuse de calculer à la portée d'une bataille au nombre des pri-d sonniers capturés et à l'étendue du territoire a conquis. (C'est ce qui s'appelle le pavé de l'ours, lex radios de Nauen ayant accoutumé de reproduire chroniquement des évaluations de ce genre.) Ce qu'il faut voir avant tout,c'est f le fruit stratégique d'un mouvement. Et, à " ce point de vue, l'on peut dire que la préten !, due victoire de Foch n'est qu'une défaite / » S Ces bons neutres ! i- Prendre 25,000 hommes, plus de iOO canons, t forcer une armée d'OFFENSIVE a repasser Q la Marne, à se replier sur l'Aisnt, infliger au vaniteux Kronprinz impérial une défaite ' cuisante, délivrer des villages, des villes, ' gagner des kilomètres de terrain en profon-' deur, tout cela n'est rien pour les surstatèges de l'« Aftonbladet » qui verdissent de dépit à !> l'annonce de la victoire de l'Entente. Et c'esi !- ainsi qu'on écrit l histoire I S Pourtant, même l'épaisseur germanique m é se laisse prendre à d'aussi grossiers men-♦ songes. Il y a en Allemagne à la suite des nouvelles qui y sont parvenues (la vérité se fait jour à travers tout) un grand mécontentement. Le « Berliner Tageblatt » proteste contre les lettres qui lui sont adressées par des lecteurs, lettres qui s'attaquent à l'état-major et lui imputent la faute des récents échecs. Le colonel Otten Saken, critique militaire de la « Gazette du Rhin et de Westphalie » écrit : « Il faut bien constater que la retraite de nos troupes au nord de la Marne n'a pas été imposée par l'ennemi. Le n'est nullement pat-suite d'un insuccès, c'est simplement une opération secondaire qui a été arrêtée après avoir rempli son but. La situation dans son ensemble reste sans changement Nous n'avons pas bescln d être anxieux au sujet de la fin. Peut-être viendra-t-elle plus vite que nous ne le croyons actuellement, car le maréchal Hindenburg a plus d'une ficelle dans son sac. » Voilà, ou je me trompe fort, un article qui en dit long sur la mentalité des populations allemandes. Et si d'autre part nous constatons que les succès de l'Entente s'élargissent jour après jour, comme les dernières nouvelles nous l'apprennent encore, nous pouvons, sans le moindre bourrage de crâne, conclure que l'Allemagne commence à descendre la pente de la débâcle. il. Morande. ttrulta par les subsistants d'icf^Dterie, sous la direction de guidés du génie. » 2. < Si le ganie a construit, seul, la Limeuse bretelie, la nuit du 15 au 16 avril, que sommes-nous (les fantassins) allés faire à Ma... cette même nuit?* Tout d abord, je ferai remarquer que ces subsistants, menaient absolument la mô.na vie que les soldats du génie, cantonnant avec eux, travaillant avec eux, et comme eux, tantôt en 2", tantôt en 3e ligne. On pouvait donc, à bon droit, les considérer comme Incorporés au bataiHoa du génie, et ne faisant qu'un avec lui. Quant aux réseaux d's petits postes, tout l« monde sait que ces mêmes subsistants y travaillaient dans une proportion variant de cinquante à zéro pour cent. En ce qui concerne la ligne construite pendant la nuit du 15 au 16 avril l'infanterie y a coopéré par le transport de matériaux, le remplissage de sacs, et peut être aussi i t-elle travaillé aux deux ouvrages que devai réunir la nouvelle tranchée, mais celle-ci fu achovée entièrement par le génie, et les ré seaux de fils de fer qui devaient le protéger furent également construits par le génie aeul. Tout ceci, sans préjudice au méilte de ' l'infanterie, qui, sans aucun doute, a ment une vie tré? pénible dans ce secteur ingrat Sommes nous d'accord, mon capitaine? X. I Les Sports au Front BOXE ET LUTTE | La réunion de l'I. W. B. C. Salle cbmble, dont nombre d'officiers, à le ' belle téance de boxe et de lutte organisée pai t l'« Iser Wrestliag «nd Boxlng Ctub » sou! les règlements de la F. B B. L. A., à l'occ: t sion de la Fête Nationale, à l'Hôtel de le Poste, à La Panne, pour une ceavre de bien faisane*. Cette jolie réunion des carabiniers serval de Critérium pour la ...e D. A. Voici les résultats de ces rencontres : Boxe Anglaise Combats de 6 rounds de 2', gants de l onces : Saeyers vainqueur de Dojardfn, qui abar donne au 3s round. î Claessens, vainqueur de Féron, qui aban donne au 5a round. r Féron, irès en progrès et plus scientifique^ - domiae nettement, mais son courageux ad versaiie mioux en soufflu, l'obligea à aban-' doaner aa 5a round. > Féron ne tardera pas à s'imposer, car il , boxe bien. IFranckx vainqueur de Sohoups, qui abandonne »u 3a round, ayant le pouce foulé. Schoups domino au 1er round, puis Franck* | qui a l'avantage du poids fait jeu égal au 2j ; > au 3 -i round, Schoups qui manque d'entraî-| nement et a le pouce foulé, abandonne ; les ; deux boxeurs firent un beau combat j M isson, vainqueur de De Ron, l'arbitre arrêtant le combat au 1er round. ! De Ron, très scientifique, place quelques jolis gauches, puis il se fait ariêtor durement p;r Maison qui, bien en forme, l'envoie au plai oher par un crochet du gauche, puis pa> ■ un j^b du droit. L'arbitre ariête alors la Î! rencontre et déclare à juste titre Masson vainqueur. Holms (anglais) fait une très belle exh'bi-t jtion de 3 rounds pendant laquelle il domine t neitemont MolJans (anglais,/ Pardaens fait une jolie exhibition de 3 , rounds où il domine nettement Henry, i L'ancien champion amateur poids légers, L. Goovaerts, fit une splendide leçon-démon-i stratiou avec Lévêqua. Ces deux amateurs de i vai»ur furent très applandis. Lutte Gréco-Romaine Garray tomba Vai Aoker en 2' 5" par un bras roulé suivi d'écrasement de pont. Gai1; sy, très scientifique, fut nettement supérieur. Savonet (3e du chumpionnat amateur de Belgique poids légers) tomba Sangeleer en 1' 30" par une ceinture à rebours debout. Cette rapide victoire fut très applaudie. Van der Cruys tombe Claes en 2' 10'' par une dosb'e pri'e de tête. Donnay (champion du ...e lanciers, poids mcysns) tembe Van Droogenbroeck en 9' 40" par une ceinture avant, après une lutte dure et scientifique. Van Droogenbrceck très en f jrme se défendit magnifiquement et ne tardera pas à s'imposer comme un lutteur de valeur, digne des meilleurs. Constant van Aotwerpen (champion de Belgique amateur poids légers) et Savonet font une splendide exhibition eu 2 reprises de cinq minutes. Ces deux lutteurs ilégeou t'-ès connus nous ' firent assister à une démonstration très scientifique des coups de la Gréco-Romaine; ils furent foiiemânt applaudis. Le Jury compose ele MM. P. Makar, arbitre, A. Makar, L. Guovaerts, H. Pauiissen et Ch. I Dupret, juges et chronométreurs, donna sa-i ' tlsfaction à tous. * Le colonel Doutrepont, aide-de-camp du • Roi, ne pouvant assister à la fâte, offrit un joli cadeau aux participants. ■ \ Féibitonsle grand club amatour et les | organisateurs, MM. Da Ron, Garray, Goo , jvaerts, Levêqua, etc , pour cette belle fête 7! qui fut réussie en tous points, Jeu de balle Voici les résultats d»s éliminatoires qui ont eu lieu au 1er Régiment de pour la désignation de l'équipe représentative chargée de défendre nos couleurs au tournoi da s D. A. et de l'Armée. e La première lutte mettait aux prises l'équipe - régimentaire Denis et la 12a M. Celle ci suc-a combe par 8 jeux k 10. r L'équipe régimentaire opposée aux équipes . das 1er et 2e Bon., les bat respectivement s par 10 jaux à 1 et 10 jeux à 5. La 12e M est à nouveau battue par la partie Baudoux. Celle-ci est vaiucue par, la partie E Denis par 10 jeux à 1. * L'équipe régimentaire Denis représentera donc le 1er .. . aux prochains tournois. e é ——— Mgn — L'obole d'une poignée de Jasses C'est sous ce titre qu'un brave garçon du peloton patrouilleur du Z ... nous transmet une généreuse obole pour les petits Wallons exilés. Il nous dit : < quand en mars dernier, « N. B » a fait un appel en faveur de ces chers enfants, nous avions projeté, quelques Liégeois et moia d'organiser un assaut da boxe, iutte, etc. à leur profit. Les circonstances spéciales nous empêchèrent de réaliser notre désir. Mdis je n'ai pas oublié nos petits Wallons et j'ai commencé une liste de souscription. La voici : Capitaine A. Bourtambour Fr. 20.— S)Lieut. R. Djwerdt 5.— Docteur L. Ncël Bury 5.— Adjudant Bouftiiux 2.— Adjudant H. Dalbeck 1.— Aijudant Ed. Dekrowa 1.— Sergt-Major Boccard 3.— Sergt-Fourrier Vanders»raet 1.— Sergt M*gis 2.— Sergt G. Grisay 1.— Sergt Wauteiet 1.— Sergt Dewez 1.— Caporal H. Leroy 2.— Caporal A. Baert 0,50 L«s camarade Terfva 5.— J. B. Vancampenhout 1.— Oj. Coliignon 1.— Dowancka 2.— Marien Louis 0.50 Esprit Louis 0 50 Dalhayo 1.— L. Brlon 0 50 G. de Reycke 1.— Gemmen 0.50 Slootmakera J. #50 Blondel M. 1.— R. Scanier 1.— Ed. Laplume 0.50 J. B. Carpentier 0 5q René Robert 0.50 J. Urbain t.— Ar. Ernotte 1.— Anonyme 1.— Ogiers 0.50 ! Vanklemput 0.50 Minet 1.— Comblez J. B. 9.50 Prosper 0.50 El. Rabiot 0.25 JeanNefîe 0.25 G fcDefossez * 0 50 J. Manteleers 1.— Vanderiinden 0 60 Germain Da Vos 0.50 M. Cappens 0.50 Herneau 0.25 J. Forge #.50 G. Hardy 0.50 F. Franck 1.— G. Urbain 1.— M. Pauly 2.— En tout donc, fr. 77.25 Vos « Jasses * de la 3a du Z 164. (s.) M. PAULY. P. S. — A notre prochain assaut de boxe, nous n'oublierons pas NOTRE journal, car il faut qu'il vive l — —- ■ Merci, mon Général! i Nous lisons aujourd'hui dans un A. R. s du 19 Juillet 1918 les lignes suivantes : > Le taux de 1 indemnité de marche de la première catégorie pour les lieutenants et ' sous-lieutenants est porté à 10 francs. Le taux de l iedemnité de la deuxième catégorie pour les lieutenants et les sous* a lieutenants est porté à 8 francs. n «Notre Belgique» qui a estimé de son devoir g de plaider auprès de l'autorité la cause de j nos vaillants lieutenants et sous-lieute-;e nants présente à M. le Ministre de la Guerre ses romercîments respectueux, 3* Annie - No 518 Le Numéro 5 CtmM Dimanche iS Juillet >9lï 1 t.*" 'f msmsmmmmmm i wii— ■■■—mmmimjniiinii.nw«g3gwgttKreiiiiii ■ i —

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This item is a publication of the title Notre Belgique belonging to the category Oorlogspers, published in Calais from 1916 to 1918.

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