Notre Belgique

774 0
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1918, 15 August. Notre Belgique. Seen on 29 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/057cr5nv2h/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

NOTRE BELGIQUE Ûkti pretêgg h libre Sêlgiigm El Ma Bel ! 0t)ÔT*Ol£N H Mùskiït éti? ÏÛziglqttt Itrali mervii» Et pvss qui îmye m sz&l fit d'àfa# WaJIâa I 9 Vfc«8 Bsiwy Tarif d«M Àfeôisneiii£iito «tiiUtttlr*» ..... 1 irtttï» «.H» tr. * ^su 4 ir, €Mvl!s 1 (Prsnca) I §8al« I 83 !p. i &ia:t 5 tr, l trader) S »pJ;< a .80 U. SÉCeit a fi». j MââSetiâK ** ftîiSîsSÉÏsSsfPSÏSSïtït 13, RUE OIS CÔMMfJKBB, ÇfLAIS - ** —1~— ■ - "*r X^t&sisksb^Ï 1 y.1 Ah<mu*ïa*tit* Miiitftir#» : f<i» 8«sw»li« J . . - . O 35 le. ; s>sr iO »k»ttR«mssh ï^pSa î . v v 1,00 t? »till«<sti?» __ — ■ - T. S. F. MILITAIRE Eutrée dan» le domaine des réalisations , pratiques une douzaine d'années avant la guerie, la télégraphie sans lîl a pris une extension si considérable que déjà elle remplace en partie la télégraphie ordinaire. Elle s'impose par des avantages indiscutables, tel celui de distiibucr la même «SépAche, eu môme temps, dan;, un rayon étendu. L'étincelle musicale portée par les ondes hertziennes apparaît au profane comme une force mystérieuse dont il ne peut se rendre compte que d'après ses applications. Parmi ses adaptations à la guerre, l'observation aérienne oc. upe le premier plan. L'aéroplane, porteur des yeux de 1 artillerie, tout en évo'uant avec rapidité, transmet ses indications aux batteries qu' il dessert. Ecouter la voix des « velivoles », surprendre les conversations des « parleurs » ennemis, renseigner l'arrière, tel est le rôle de ce service dont 1 importance est si Indiscutable % Pour le dressage des opérateurs il fallait une école. Tenant compte de 1 urgence, du provisoire et des difficultés écono miques, l'école réalisée par 1 armée belge est un modèle du genre. Sous les fils tendus de cette antenne qui peut à la fois recevoir et émettre les signes porteurs de pensée, le passant peut voir, par la porte ouverte, une cour en pente douce garnie de cailloux jaunes avec à droite et à gauche, légers, les bâtiments au ton gris-carton-picrre encadrés dans des châssis de bois vert. Aux angles pendent des seaux rouges. L'ensemble plait par son aspect non exempt de coquetterie ; après le corps de garde et les bureaux réduits aa minimum, s'ouvre l'atelier pour la construction det appareils, le laboratoire d'expériences, les hangars avec les cabines roulaatet pour le service de campagne, enfin le poste de réception, les classes et dépen-! dances : réfectoire-cantine, magasin, douches, cuisines et baraques dortoirs. Tout cela réalisé sans faux luxe, avec un minimum d'espace. L'école peut former à la fois 250 opérateurs, elle accueille les gens de métier, anciens télégraphistes égarés dans toute» les unités du front. Un cours d'électricité complète l'instruction du télégraphiste et l'on p ut dire que l'intensité de l'entraîne-, ment rend l'apprentissage très rude. I Parmi les lastri^cteurs,—modestes sous-officiers et caporaux — oa compte d'authentiques icgénieurs, sous la hau'e direction da Major-adjoint d Etat Major Wibier, fondateur da corps de T S. F., qui a i trouvé chez le Lleut. H ma-cait, du Génie, le collaborateur le plus intelligent et le plus actif. Les jeunes gens qui auront passé par 1 école de T. S. F. militaire posséderont un métier d'avenir pour l'après-guerre. L'accroissement du service naval fait que l'on vient d'adjoindre à l'école une section de marconistes de marine. A bord des navires leur fonctions sont multiples : ils correspondent continusment avec les autres bâteaux et avec les postes terrestres, ils peuvent établir leur situation en tous temps et transmettre des constatations atmosphériques ; quant aux passagers ils se livrent à leur correspondance privée et lisent tous les matins les nouvelles du monde entier dans le journal imprimé à bord. N'est ce pas merveilleux ? Il y a plus étonnant encore. Ainsi les ondes traversent certains corps, à courte distance on peut communiquer avec un sous-marin immergé. Ne cherche-t-on pas à influen* cer la direction des torpilles par cette même « télémécanique » qui permettia à 1 horloger municipal de régler la pendule du bourgeois en lui donnant 1 heure à distance, sans qu'aucune main n'intervienne.Quelle dut-être l'émotion de l'homme qui reçut, en plein Congo, la première dépêche lancée de Bruxelles par le poste de M. Goldsehmidt! En attendant la vulgarisation de la téléphonie sans fii, déjà la T. S. F. est passée dans le domaine privé, s'il est vrai que le Parisien peuf, avec uu dispositif assez simple, écouter ce qui se dit à la tour Eiffel. Celui qui vient de voir dans leur œuvre tranquille les ouvriers de cette force inconnue, soldats le casque aux oreilles se liviant à leur besogne silencieuse, celui qui regarde les métaux transmetteurs et les boites réceptrices de la pensée humaine, le philosophe doué d'émerveillement s'en va rêveur : 11 ne croyait pas le monde si avancé. Arme intellectuelle qui a pour base une science dont les progrès font honneur à l'humanité, l'école de T. S. F. belge a rendu et rend chaque jour d'inappréciables services. Pierre POIRIER. Le jeu au front i Nout revenons à la charge. Communt-cations orale* «t écritet nout prient d'in-iltter pour qu» (autorité apprécie la gravité du mal qui te commit, gravité qui va chaque jour croissant, et pour qu' elle prenne les maure* énergiques qui seules sont à mêmi de l'enrayer. On nous écrit : « Je vois avec un vit plaisir dans votre article d* ce jour que vous réclamez «on» ire les jeux de hasard et principalement contre ce fameux « Ancrt-Soleil ». » C'est scandaleux comme il y en a. Récemment, je vis, à un carrefour trois groupes qui se faisaient bèUment explot' ter par det chevaliers de la roulette. Il est inutile d'augmenter solde et indemnité si d'autre part on laisse les soldats *j,pO' sis aux tricheries de quelques aventuriers, * Notre correspondant va un peu fort-Certes, il est profondément regrettable de voir des hommes abuser des allocations qui leur sont faites pour se livrer au jeu. Malt, n'est-il pas vrai, un tel abus ne jutt.filtrait pas U retrait d'une mtsur»j parfaitement légitirn: »t qui mst un peu [ de douceur dans l'âpreté de la vie du | front. | Toutefois, des mesures s'imposent, ur' gentes e: décisives. Il s'agit de protéger nos soldats et contre les entrains me fils de leur faiblesse, et contre les pièges d'indi-\ vidus sans foi ni lot qui chsrchent à | gagner ds l'argent par tous les moyens. Lundi passé, à La Panne, j'ai eu foc-cation de m'sntretenir avec un aumônier qui a fait écho aux plaintes de notre collaborateur F. P. et aux nôtres. Il n'y a pat que les jeux de hasard proprement dits qui drainent l'argent det hommes et vident leurs poches. Le jeu de quilles, lui aussi, prête, s'il n'est surveillé de prè', à d'oditusss spéculations. L'en• jeu d'un seul coup de boulet, m'atsura-U on, monte parfois jusque 50 francs. Ce sont là, il faut le reconnaître, des pratiques exorbitantes, et qui entraînent d« funestes conséquences Le joueur décavé veut de l'argent, à tout prix, afin ds tenter à nouveau la chance. Pour t'en procurer, il recourt à mille subterfuges, plut ou moins honorables, qu'il vaut mieux laisser dant l'ombre par respect pour l'immense majorité de nos soldait. Comment rmédiir au mal ? Heures graves pour l'Allemagne La résistance des troupes allemandes s'accentue, nous communiquent les agences. Ce n'est pas pour nous étonner. Nous savons que dans la lutte actuellement engagée sur le front Ouest, l'Allemagne joue son va-tout. Si la série continue pour elle, elle est perdue, non seulement militairement, mais aussi poli-i tiquernenl. C est pourquoi nous ne devons pas être • surpris de la voir n'accrocher désespérément ^ à ses positions et s'efforcer par tous les moyens de contrecarrer nos progrès : ce qui d'ailleurs, les communiqués officiels sont là pour le prouver, ne nous empêche pas de poursuivre jour après jour nos succès. Interrogeons la presse d'Outre Rhin à l'effet d'apprécier la portée des batailles du front d'occident : Le « Vorivaerts » déclare que la situation militaire va obliger le gouvernement impérial à choisir nettement entre la politique impérialiste et le loyalisme des masses ouvrières. » Le gouvernement allemand a le devoir de révéler au peuple toute l'étendue des dangers qui le menacent et de proclamer que son seul but de guerre est de conjurer tous ces périls. » La méthode actuelle qui consiste à dire à la fois blanc et noir conduit l'Allemagne à l'abîme. * Nous avons besoin de chefs politiques qui nous montrent le but et le chemin et qui sachent inspirer confiance Où sont-ils ? » En d'autres termes, l'organe socialiste qui\ jadis soutint fermement l'impérialisme boche j se rend compte du danger que court l'Allemagne.Le militarisme boche l'a embarquée dans une aventure qui menace de tourner fort mal. De là, les objurgations, hélas trop tardives, de la presse de Scheidemann, qui supplie le gouvernenif'it de renoncer à s a politique de domination mondiale pour se borner à la guerre défensive. Elle marque l'écart qui toujours sépara de la réalité belliqueuse les déclarations modérées et pacifiques des Hert-ling Kuehlmann et consorts, et elle proclame qu'il est temps de faire cesser cette dangereuse équivoque. D'ailleurs, le fétichisme des chefs militaires s'obscurcit beaucoup aussi chez nos ennemis. Tandis que chez nous, le culte des Foch, des Pétain, des Haig, des Mangin gagne aam cesse en ferveur, les Allemands perdent de leur confiance en leur invincible état ma jor. I,e « Vorivaerts » continue en disant que les délibérations du grand quartier générai seront probablement suivies de décisions qui engageront l'avenir même de l'Allemagne. Si les chefs militaires ont commis une erreur en concentrant toutes leurs forces à l'ouest le peuple allemand en rejettera sur eux toute la responsabilité. Il pleut sur le temple consacré à Hinden burg et à Ludendorff, aux divinités du ger-- rnanique Walhalla, il pleut sur le temple... J. fâorande < > 1 t. C'trti bien à l officier, r.ous dit un correspondant, qu'il faut demander de tévir. Les gendarmes tont trop peu nombreux pour que leur chat»« soit fructueuse ; d'ailleurs on les voit venir. L% tenue kaki te p>ês» mieux at/j: iiirprites ». Que faut-il, en tomme, pour enraysr cet abus ? tout simplement ceci : que les officiers connains/tt leurs hommes, se mêlent à leur vte, Isur adressent volontiers la parole, gagnent leur confiance. S'lit font ainsi, il est impossible que le jeu s'introduise dans une compagnie ou un peloton sans qu'ils en soient averti*. Une fois au courant de ce qui te pratique, ils n'auront pas grand'peine à s'y opposer. Ce faisant, ils rendront à leur to'-dats un service tnsign», et ils pourront en leur âme et cou science se f-ilicii&r de l'action lis/:faisants qu'ils exercent autour d eux. LEi.OU NH'tflftiftiiW1»1 Conte d'Assomption i ...Vers la Belgique libre l «Va Jouar, Jean-Pian e, sur la Grand': Pizce. Mais pas eux solduts, car les bechas • ne comprenant rien à ce jeu. Depuis le • temps qu'elle dure, telle occupation, ils au-| raient pu s'y habituer I Faut croire que c'est ; pas civilisbbla ce» gens là I » Et Mme Blauchin con'iauait à discourir, tout en faisant le'ménage de son humble Intérieur.Par la porte entr'ouverte. ou voyait dispa raître Jean-Pierre Les msins dans les poches, il marchait, le petit bonhomme de 10 ans, il| mari hait lentement. | Allait-il enfiler la Grand'rue qui menait à! ia Grand'Pxace, rejoiadre ses camarades pour] jouer aux billes et s'amuser ? Non, Jean Pierre prenait à gauche, puis à, droite, longeant une haie, ia haie d'un verger j de pommiers superbes et allait s'asseoir au bord d'un fossé. Une immense pairie vert« ..tlllutee de pissenlits s'étendait devant lai, .. Depuis iongtf'inps Jeaû Pierre ne jouait plus. Les yeux perdus au loin, il refaisait pour lui seul, sa lugubre histoire. 11 y avait quatre ans, le tambour s'était fait entendre à X... Son papa avait revêtu un uniforme et, comme d'autres, il était parti. 11 envoyait des nouvelles dans des enveloppes blanches ou jaunes. Hélas 1.il en vint une, ^ul fit pleurer beaucoup sa msman, son grand j hère et lui aussi, qu-nd il apprit qu j jamais • plus it ne reverri.it son pspa. i Puis, on entendit le «non, Los rameurs d6 lia bstaltle parvinrent à son village. Et un sjour sur la grand'routo ensoleillée on vit j s'avancer les noirs uliUns, suivis de près par i beaucoup de ca«qao« à pointe. \ Alors, Pdul, «oa grand-frère, se cacha,puis, * à l'aube, 11 s'enfuit. Pourquoi '( , Le petit bonhomme l'apprit te lendemain ; ' car les Allemands vinrent arrêter sa Maman, pour avoir, disaient lis, facilité le départ di> fils aîné. | Jean-Pierre crov<dt encore l'entendre dlri j d'une voix triste mai1» ferme. — « O il, moi fila est parti pour venger son père et sorvl sa Patiie ». Et les boches impitoyables l'avaient eni . mi'née pour ia fusiller. Jean Pierre revoyai la scêiie horrible qui l'avt.it laisté seul... toc seul... et horriblement triste. Il y avait Paul 1 Où fe batt^it-il; ce granc f.ôre '( Une voisine avait rffiimé qu'il étai dans l'aviation. Jean Pierre s'é'ait tait txrdi qaer la chose et maintenant il savait que soi fière volait très hsiut, au-dessus des villes des bols, des plaines... bien près du ciol bleu Pourquoi ne venait il pas ch-roher sol' cadet ? Partir, oui, partir loin, fuir le.-boches hideux, ne plus jamais s'entendie lo terpeller par eux, courir librement les bois, et jouer à la guerre, même pour de b n ave< des fusils, de vrai», qui tueraient des boches, beaucoup, beaucoup, jusqu'à ce qu'il n'en ^ restât plus un seul et qu'on redevint libre! j Le petit garçon levait ses yeux purs vers | le firmament, ai beau, si lumineux, qu'on 1 l'aurait cru lenda d une draperie do fête, i Et, en effet, u'é'alt un jour d'allégresse et |de joie... c'était l'Assomption. Mais depuis la guerroies cloches diepirues ne chantaient plus leurs « Aileluias ». Cependant dans cet azur lmuiei.se la Vierge portée par des Anges blancs était montée.u'i jour. Da son nouveau royaume n'i nverrait elle rien, un rien oublié, peut être, dans les plis de sa robe bleue ? Au fond de sou petit cœur J.'-au-Plerre cachait un espoir. Il lui semblait que ses d^ux Mamans lui réservaient une surprise. | Anxieux, il iuterrogealt les nues sereines quand, tout à coup, ua microscopique point noir attira son attention. Sou coejr se mit à battre très vi e et tiès fort. Sa tachd graedis-: sait. Jean-Pierre commençait à distinguer les ! ailes a'ua oiseau, son vol cadencé et pla-' nant. | Piu - l'oiseau accentuait sa forme, plus le 'petit bonhomme était déçu. Il ne voulait plus regarder l'objet qui lui avait procuré cette émotion, cette faussa joie. Et, ie cœur gonflé, 11 s'apprêtait à reprendre le chemin-du retour. La Visrgî ne donnerait ri n I I! nvalt été sot ' de croire que cette fête serait différente des autres... Les cieux ne s'ouvriraient pas. Un bourdonnement, pijs fort que celui de milliers d'essaims d'abeilles, fit tourner la tête du garçonnet. Et Jean-Pierre vit, sur ia pelouse verte, un immense oiseau aux ailes d or. Ii brillait ai fort, gous la soleil d'août, que l'aufant se sen tit attiré vers lu!. Il courut pour sa réfugiisr sous son ombre ; une joia immense l'envahissait Il n'en pouvait douter... Le ciel avait écouté son ardente prière. Le messager que la Vierge lui envoyai! portait, sous ses ailes déployées les couleurs de chez lui : rouge, jaune et noir. Soudain, ses yeux remplis de larmes quo la joie faisait verser, rencontrèrent les yeux d'an j-;une homme qui, du fout ds sa nacelle 1e regardait en souriant. Dmx bras vigoureux l'enlevèrent d8 teire et sur ses Joues humides, pour la premièra , fqis depuis près d-3 4 an», Jean-Pierre reçut le baiser d'un des siens. A'ors, à côté da sou . Paul, sur les ailes du grand oiseau doré, U ' partit vers le ciel bleu, au dessus des villes, ! des boi3, des plaines, pour fêter l'Assomption dans la pays du ses lèves dans la Belgique î libre, MaSma —— ■ ■ — •— CONCOURS LITTÉRAIRE des «Auteurs du Front» ACCESSITS : Catégorie A : POESIES Pour mon Brabant 0 Charles Conrardy Gloire à tes Cheveux gris John Pipegale Poèmes et Ballade Jules Fenny, Adjudant Poèmes « Sous le Casque et le Masque » Commt. Frômlère Poèmes Joseph de Ramalx Dans la Nuit Anonyme A Ma Flandre Adrien Dlricks, sergent Le Chêne. — Sur les Prédestinés Roger Van Roye Totentanz M. De?u6ll*. Poèmes Gustave Bertrand Ballades Devise : Calamo et ense Tristesse d'Exil Léon De Vrlendt Toussaint Jean Hubeau N. B. — Les pièces suivantes ont été retenues au titre « Insertions ». Elles présentent des qualités diverses, mais pas suffisantes pour être classées parmi les accessits ; nous ne publierons les noms d'auteurs que sur leur demande. Rêverie Crépusculaire — L'infernale Relt• ve — Liège — Pax Doloris — N'a-t-on pat oublié ? — Poèmes (devise : For God, King and Country — Ode à la Belgique — Visite à Notre Dame de Paris — Via Dolorosa Epitaphe — Sonnet (No 305) — Demain de ma Flandre — Merckem — Tombé au champ d'Honneur — Auprès des flots — Poèmes (devise : Beati qui lugent, 298) — Poèmes (No 36) Catégorie B et C : CONTES EN PROSE ET EN VERS. Croquis James Thlrlard. La Morgue Armand Eggermont Dans la campagne romaine Arsène Serell Restauration Michel Laforgue Méditations sur une Jeune Fille Devise : Memorla Duicîs — 103.72 Sans nom d'auteur Quand une Vierge meurl Carlo Demez La Grande Désillusion Arthur Qérard 3" Annie — M. 53î Le Numéro 5 ctm" Jtudi jj ao0,

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title Notre Belgique belonging to the category Oorlogspers, published in Calais from 1916 to 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Subjects

Periods