Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes

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s.n. 1918, 03 Fevrier. Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes. Accès à 19 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/n00zp3wm2f/
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Nosse Gazette veut l'djoû totes les samainnes j COMITÉ DE RÉDACTION: î j G. FONTAINE. — E. LAMBRECHT. — L. MARTIN. — J. WILMART. \ ♦ M»» « • • • î Les manuscrits engagent la responsabilité de leubsau- S Adresser la Correspondance concernant: * I j L^DMIMSTïSÎTltW^OoDE^i&îBiiwÉo^'sL8 | j respondance doit nous parvenir le mercredi au plus tard. j les abonnements commencent le 1" dimanche de chaque mois, 5 • • • Unité de direction. „Le Wallon a des impulsions, des émotions. Il est latin par sa jovialité, latin aussi „par sa versatilité. C'est le point faible du „wallon: il est mobile et mouvant." Henri Charriant. Il est vrai, profondément vrai, que le wallon est versatile ; son amour du changement et le peu de stabilité de ses préférences sont le contrepoids de ses dons d'initiative et d'intelligence. Peuple industrieux, habile et travailleur, à quelle situation priviligiée de richesse et de grandeur ne serions nous pas parvenus sans l'instabilité de nos fondations, résultant de la mobilité de notre caractère! Ne suffit-il pas que l'un d'entre nous se distingue par son talent, son intelligence, pour qu'immédiatement se crée autour de lui une ambiance critique qui souvent le décourage avant que d'avoir accompli sa tâche. Nous sommes fiers de notre Wallonie et nous en sommes les premiers détracteurs. Inconséquence naturelle de notre caractère racique; nous portons aux nues notre industrie, notre commerce, nos villes wallonnes où „tout est mieux que partout ailleurs" et nous sommes les premiers à exercer notre esprit caustique sur l'organisation qui fait l'objet de notre admiration. L'émulation jalouse, source de progrès d'ailleurs, que nous voyons régner entre nos sociétés wallonnes du camp, est une des marques caractéristiques de notre esprit wallon. Notre but était de réunir par des organismes de plaisir et de charité, nos camarades de Liège, de Namur, du pays de Charleroi et de Tournai; de créer, plutôt de développer l'esprit de solidarité, si faible chez nous, en groupant les habitants d'une même région et leur procurant une occasion de réunion et de rencontre. Voici les groupements formes. Et dans chacun, l'indépendance la plus complète est réalisée. Une rivalité de bon aloi règne entre ces sociétés. C'est à qui réussira le.mieux ses fêtes, à qui possédera le plus grand nombre de membres, à qui fera le plus pour ses membres malades. Ceci est magnifique comme résultat! Mais nous constatons dans ces centres wallons cette mobilité de caractère que Charriant nous a dénoncé. Chaque agglomération marche d'elle-même vers la réalisation la plus complète possible de son idéal et ces trois mille Wallons, fidèles représentants de leur race, émus d'abord par l'idée de reconstitution d'un coin en petit de la patrie belge, s'écartent lentement de la conception première d'union complète, pour former des sections nettement séparées sans point de contact commun. Il ne le faut pas. Wallons, perdus en Hollande, pourquoi ne vous groupez-vous pas, formant des sections, échangeant vos idées et vous fortifiant par un contact nécessaire. Riches, vous aiderez les plus pauvres; pauvres, vous apporterez votre dévouement au service de communauté.Camarades des camps, unissez-vous au lieu de vous séparer, cherchez des points de rencontre et de rapprochement. Voyez si la possibilité n'existe pas, tout en gardant votre indépendance d'action, de marcher vers un même but ; d'avoir tous des voies convergentes vers un même idéal unique: la force par l'union et la solidarité. Organisez-vous; que les unités éparses se rassemblent, pour de toutes leurs faiblesses réunies faire un faisceau fort et résistant! Que les groupements se resserrent, adoptant une direction commune et que notre effort d'union passant les frontières de Hollande s'en aille par delà les mers réveiller la somnolence des nôtres. Etant tous solidaires nous seront, forts. NUMERO 31 PRIX: 2 CENSES ET D'MEIE 3 D'FÈVRIR 1918

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Cet article est une édition du titre Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Amersfoort du 1917 au 1919.

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