Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes

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s.n. 1917, 11 Août. Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/ww76t0hr49/
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r/»(^ jjot/cXoHS /f- | Nosse Gazette veut l'dioû totes les samainnes i comité de rédaction: WILMaRT, J., rédacteur en chef. —E. LAMBRECHT, MARIOTTE. fondateur: E. LAMBRECHT. secrétaire de rédaction: BERNARD MAURICE, Soesterweg, 163. les manuscrits engagent la responsabilité de leurs auteurs et ne sont pas rendus. adresser la correspondance au bureau de rédaction: elisabethdorp 62, amersfoort. les abonnements commencent le l^r dimanche de chaque mois. — la correspondance doit nous parvenir le mardi au plus tard. Abonnements. Le prix des abonnements est fixé comme suit: 10 cents par mois pour les internés dans les camps; 15 „ „ „ „ „ au travail; 25 „ „ „ „ » autres personnes. Nous prions nos abonnés de nous envoyer le montant de leur abonnement en mandat ou timbres-poste. A Harderwijk, s'adresser à Monsieur Julien Mille, sous off. 9e de ligne. Bureau de ravitaillement. Les Bourgmestre et échevins d'Amersfoort font connaître que durant la Semaine du 13 au 19 Août 1917, inclus, il pourra être obtenu au moyen du bon no. 29: Orge perlée. — Graisse à frire. — Savon. — Viande de porc non salée. Pour les bougies voir journal no. 3. Amersfoort, le 9 août 1917. Le Sécrétaire, Le Bourgmestre, A. B. Veenstra. v. Bandwijck. Paiement de la Rémunération à Amersfoort. Le paiement de la rémunération aura lieu, comme suit, pour la semaine du 13 au 18 août Lundi 13 août, les cartes nos 1426 à 1650. Mardi 14 „ „ 1651 à 1750. Jeudi 16 „ „ 1751 à 1850. Vendredi 17 „ „ 1851 à 1950. Samedi 18 „ 1950 et au-delà. Contes d'exil. L'habitation des vieux. Elle existait depuis cinq cents ans, cette vieille habitation, aux murs très gros, pleins de petites fenêtres ovales, qui ne laissaient passer qu'une lumière pâle et vague. Casée dans une ruelle drôlement penchée, entourée d'autres maisonnettes rustiques que dépassait à peine sa cheminée blanche sur laquelle était écrit en grandes lettres : „maison des vieux", elle offrait une vue riante mais simple. C'était tout ce qui restait de l'antique village, que le siècle présent avait complètement modernisé, car la civilisation passe partout et tout se transforme sous son haleine nouvelle. Le primitif petit hôpital n'avait pas encore été détruit; les habitants le conservaient précieusement comme une relique, et le vieux bâtiment, qui pliait à peine sous le joug du toit de chêne n'avait plus qu'un seul destin à attendre, celui de s'écrouler sous le poids pesant des années. Quand on y entrait, une drôle de sensation vous parcourait le corps, et semblait vous transporter subitement à une époque arriérée et inconnue. Elle était composée de différentes salles, i'une aussi vieille que l'autre, où on ne voyait rien de moderne, rien de nouveau. Tout y était vieux et usé, même les vieux, qui n'abandonaient par leurs coutumes primitives, et dont les derniers jours passaient lentement et régulièrement, comme tout passe ici-bas. Tous ceux qui visitèrent ces couloirs sombres et solitaires sentant la vieillesse et la décrépitude, tous ceux qui s'avanturaient dans les grandes salles aux plafonds soutenus par de formidables poutres vermoulues, ressentaient une peur vague et triste. Les pierres de la cour étaient rongées par le temps, l'entrée basse et obscure, les habitants vieux et courbés. Le long des murs terriblement épais un vieux lierre grimpait avec peine, couvrant les petites fenêtres de ses bras tortueux. Le patron et la patronne — deux petits vieux, plus vieux que les autres, si cela était encore possible — dirigeaient la communauté : Le matin, quand le soleil doré, lançait ses premiers rayons entre les petits rideaux biancs des chambres â PRIX: 2 CENSES ET D'MEIE 11 D'AOUSSE 1917 NUMERO 6

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Cet article est une édition du titre Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Amersfoort du 1917 au 1919.

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