Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle

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s.n. 1914, 22 Août. Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/nz80k27j15/
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I Samedi 22 août 1914 No 195 Vingt-sixième année ABONNEMENTS: un an un semc. un trime. francs francs francs ANVERS . . 15.00 8.00 4.50 -INTÉRIEUR . 18.00 9.50 5.25 EXTÉRIEUR . 30.00 15.50 8.00 On «'abonne à Anvers au bureau du journal, et dans tous les bureaux de poste île Belgique et de l'étranger. — Les abonnements partent le 1er de chaque mois et ne peuvent dépasser le 31 décembre. BUREAUX: Marché-aux-Œufs, 9' - ANVERS Téléphone : 2388 ANVERS-BOURSE Finances, industrie, commerce, économie politique, variétés JOURNAL QUOTIDIEN DU SOIR Toute communication relative à l'administration ou à la rédaction doit être adressée à M. I BAGOT, directeur-rédacteur en chef du journal INSERTIONS: La grande ligne: Annonces ordinaires ... 60 cmes Demandes et offres d'emplois . 40 „ Convocations d'assemblées : une insertion . . la ligne 75 „ deuxième insertion M 26 „ Annonces financières . „ 1 franc Pour une série d'annonces et pour les annonces d'émission, on traite à forfait. o*r- Les annonces sont mesurées au lignomètre. — Les titres se payent d'après l'espace qu'ils occupent. L'administration et la rédaction déclinent toute responsabilité quant à leur teneur. ,1 Le numéro : 5 centimes LA GUERRE Le mouvement de retraite de l'armée belge continue sans incident Dans îa Haute-Alsace, les forces allemandes sont rejetées au delà du Rhin Double succès russe ■un ai uni iijiitii i 11 La Hoilande renouvelle ses assurances de neutralité L'attitude prochaine de l'Italie Victoire monténégrine Un communiqué du ministère de la guerre Les gouvernements des armées alliées n'ont pas jugé autrement que le nôtre le irouvement cle retraite exécuté par nos troupes. Ils ont été les premiers à dire qu'après avoir couvert, avec la vaillance que l'on sait, les premières opérations de leurs armées les Belges ne pouvaient snieux faire que de donner un peu de repos à leurs soldats, pour reprendre ensuite une offensive énergique qui nous mènera tous à la victoire. L'entente ertre les cabinets et entre les états-majors est complète, le plan d'opération en Eelgique est établi, et quoiqu'il en coûte de savoir l'ennemi répandu sur une parlie aussi considérable de notre territoire, nous devons avoir confiance, et dans I; courage de notre héroïque armée et dans la loyauté des alliés, qui ne nous ont pas ménagé, aux heures ies plus critiques, les marques de leur reconnaissance it les témoignages significatifs de leurs énergiques résolutions. La guerre, léSas, est une opération redoutable dans laquelle les considérations sentimentaes les plus légitimes doivent être subordonnées au but final à atteindre. Nous devons en ce moment prendre patience et rester pleins de confiance. L'armée qui est sous Anvers a fait son revoir, plus que son devoir. Les plus hautes autorités françaises, notamment, se sont fait une obligation de le déclarer hautement. Iles troupes n'attendent que le moment prescrit pour reprendre la campagne et htter avec les alliés pour le triomphe du droit et de la justice. COMMUNIQUES DU MINISTÈRE DE LA GJERRE FRANÇAIS PREMÎER COMMUNIQUE Lies Français en reraite en Lorraine. — Bruxelles frappé cJ'une contribution de guerre cle deux ttnts millions. — Na-mur partiellemen: investi. Le mouvement des Allemands vers l'ouest belge continue. Paris, 21 août, vingttrois heures : Les troupes française, après avoir reconquis les frontières de la Lorraine, s'étaient avancées sur tout le font du Donon jusque Château-Salins, refoulart les troupes allemandes dans la vallée de a Seille et la région des Etangs, où l'avant<arde française avait ^tteint Delme, Dieuze etMorhange. Hier, plu sieurs corps d'armée alemands contre-atta-quèrent vigoureuse-ment ur tout le front. Les ^vant-gardes françaises s'étant repliées sur le gros des troupes, le ccnbat a continué extrêmement vif. A raison le la supériorité numérique de l'ennemi, les troupes françaises, qui se battaient depuis sx jours sans interruption, furent ramenées m arrière. La gau çhe française couvre ies oivrages avancés de Nancy. La droite est solidenent installée dans le massif de Donon. L'imprtance des forces ennemies engagées n'eût pas permis aux Français de maintenir la .orraine ians imprudence inutile. Le mouvement de retraite de l'armie belge continue sans incident. La c;valerie alemande a traversé Bruxelles allant vsrs l'cuest suivie par un corps d'armée. La ville a été rappée d'une contribution de guerre ce deux ceits millions de francs. Namur est jartiellemtit investi. Le feu de l'artillerie lourde a été ciyert vers midi. Le mouvement vers l'oues des colonnes allemandes continu? sur les leux rives de la Meuse, hors du rayon d'actio de Namur. Les troupes françaises ont cbtenu un rés succès dans l'occupation de Mulhouse, bf-fensive, d'abord sur le front de Thann-Danc-marie, ensuite sur Mulhouse, fut menée ave une extrême vigueur. Par un mouvement a-dacieux le général Pau, maitre de Than, Dann&marie, porta ses troupes à l'ouest cl Mulhouse, laissant à l'ennemi la liberté di s'engager entre les lignes françaises et la rontière suisse. Puis, par un deuxième effort, es Allemands furent rejetés sur Mulhouse. En même temps que la droite française se portait sur Altkirch, la gauche s'avançait dans la di-'ection de Colmar-Neufbrisach, menaçant la ligne de retraite de l'ennemi. Les Allemands furent alors contraints d'accepter le combat, qui fut des plus chauds. Dans le faubourg de Mulhouse, Dornach, l'infanterie française enleva à la baïonnette vingt-quatre canons, fit plusieurs milliers de prisonniers et poursuivit le combat dans la rue, de maison en maison. Les pertes allemandes sont énormes. DEUXIEME COMMUNIQUE Paris, 22 août, minuit vingt-cinq : Continuant so.i succès, une partie de l'armée française occupa Mulhouse, tandis que le reste se rabattait sur Altkirch forçant les Allemands à se replier sur le Rhin, qu'ils passèrent en désordre. Le but initialement fixé des troupes françaises de la Haute-Alsace, le rejet des forces allemandes sur la rive droite du Rhin, est ainsi atteint. Les renseignements les plus récents sur la mobilisation autrichienne montrent que la question des nationalités joua un rôle important. Une division tyrolienne, d'abord transportée au nord du lac de Constance, fut ensuite ramenée en Tyrol ; puis ies chasseurs tyroliens furent envoyés contre la Russie, et remplacés par le treizième corps, composé de Slaves. D'autre part, l'Autriche a envoyé contre la France des formations d'artillerie lourde de siège et des automobiles. On signale également à Strasbourg sept mille Autrichiens. Les opérations dans la région de Mulhouse Paris, 21 août : Les premiers rapports reçus permettent aujourd'hui d'exposer les phases des opérations en deux actes qui eurent lieu dans la région de Mulhouse. Nous savions, par une reconnaissance aérienne, que ies Allemands avaient laissé entre la frontière française et Mulhouse des foi-ces relativement peu importantes le gros des troupe! allemandes s'étant repliées sur la rive droite du Rhin. Notre objec tif était d'attaquer ces forces, et de les rejeter e!i arrière, afin de prendre les ponts du Rhin et de pouvoir y repousser la contre-attaque ennemie. Les troupes de Belfort se mirent en marche, le 7 août, par la trouée de Belfort et- la vallée de la Thur. Les troupes allemandes étaient à Thann et Altkirch. Sur deux positions, ies Allemands avaient installé de l'artillerie derrière les ouvrages de campagne. L'attaque fut tout à fait brillante et vigoureuse. Les effectifs engagés étant sensiblement égaux et les Allemands étant fortifiés, le succès des Français n'en a que plus de valeur. L'ennemi a subi des pertes très importantes. Mais la nuit étant venue, de la cavalerie arriva ; mal-— gré une active poursuite, nous dûmes la laisser se replier sans pouvoir lui couper ia retraite, l'anéantir eu ce qui était notre objectif. Le lendemain, 8 août, dès l'aube, la progression des Français continua, mais elle rencontra une résistance très sérieuse. Les. troupes allemandes débouchèrent de ia vaste forêt de Hard, qui a trente kilomètres de long. Les Français eurent néanmoins le dessus et, à la nuit tombante, ils rentrèrent à Mulhouse aux acclamations des Alsaciens. 11 y eut des heures d'allégresse, au cours desquelles ou oublia un peu trop qu'on était en pays ennemi. Si les Alsaciens fêtaient les soldats français, les immigrés s'employaient à fournir aux troupes allemandes des renseignements précis sur la situation et sur ies effectifs français : une brigade environ. Mulhouse est difficile à défendre contre des troupes provenant de l'est-nord, mais était relativement facile à reconquérir en y mettant le prix. C'est ce que firent ies Allemands par une attaque de nuit. Ils s'avancèrent sur ia ville par Venta, la forêt du Hard et Neufbrisach et Colmar, marchant dans ia direction de Cernay pour nous couper la retraite. En restant à Mulhouse avec des forces insuffisantes, nous risquions de perdre notre ligne de retour sur Belfort. Ordre fut donc donné de revenir en arrière. Une autre hypothèse aurait pu être réalisée. Les troupes que nous avions à Altkirch n'avaient pas été attaquées. Il eût été possible de contre-attaquer l'ennemi marchant sur Gernay en utilisant les réserves. A±ais pour des causes mal connues, l'autre conception prévalut. La gauche étant attaquée vers Cernay par des forces nettement supérieures, le centre attaqué par Mulhouse et la droite restant inactive, la bataille était mal engagée et ia retraite était la plus sage solution. Nous avions désormais la certitude que les. Allemands n'entendaient pas abandonner sans combat la haute Alsace, où ils disposaient de forces importantes. L'opération fut reprise sur de nouvelles bases et sous la direction du général Pau. L'ennemi avait beaucoup souffert du feu de l'artillerie française. Les Français avaient été gênés par les obusiers allemands se défilant dans les ravins, difficiles à repérer et dont l'efficacité était plus morale que matérielle, Le général Pau reçut des renforts importants pour l'effort décisif, non plus de reconnaissance. Les Français partant de Belfort se portèrent sur Thann-Da.nne-marie, menaçant la ligne de retraite allemande. L'action sur Dannemarie-Thann, bien préparée, bien conduite, fut rapide . et décisive. Les Allemands brûlèrent la plus grande partie de Dannemarie avant d'abandonner la ville. Le général Pau donna alors ordre d'attaquer dans la direction de Mulhouse. Le combat s'engagea avec une grande vigueur devant Mulhouse. Dans le faubourg- Dornach, les chevaux ries batteries allemandes furent tués à la baïonnette. Vingt-quatréxanons ont été pris. La lutte, a continué dans la ville que l'ennemi, découragé, abandonna. Le gros des Français se rabattit alors sur Altkirch. Les Allemands risquant d'être coupés des ponts du Rhin se retirèrent en grand désordre, vivement poursuivis par les Français qui restent maîtres des débouchés des ponts et tiennent la partie supérieure de la haute Alsace. Les troupes tenant les crêtes principales des vallées des Vosges sont dans une bonne position pour poursuivre leur suc-(• ès dans la direction de Colmar. Les envois postaux aux prisonniers de guerre en Allemagne Berne, 21 août : L'exécution de la convention postale universelle se chargé gratuitement du service des envois postaux aux prisonniers de guerre en Allemagne et en France, mais non des envois contre remboursement.Hostilité des Bavarois contre ies Anglais Zurich, 21 août : Des voyageurs arrivant de Munich rapportent que l'entrée en ligne des Anglais a causé dans la capitale bavaroise uu sentiment de profonde déception parmi ia population, qui se livre maintenant à des manifestations hostiles plus vives contre les Anglais. Un article de M. Hanoteaux M. Hanoteaux, dans le Figaro, dit que d'après les dernières nouvelles, l'empereur Guillaume aurait fait des efforts personnels pour modifier l'état d'esprit qui s'est manifesté antiallemand aux États-Unis. Il aurait protesté contre la campagne de calomnies qui aurait selon lui causé tout le mal. Au sujet du Japon, M. Hanoteaux fait remarquer avec quelle sagesse et quelle prudence la diplomatie anglaise limita son action : toutes les garanties sont données aux Etats-Unis. M. Hanoteaux ajoute : « Autre chose nous préoccupe dans les circonstances angoissantes où nous sommes, c'est la situation de la vaillante Belgique neutre qui supporta presque seule jusqu'ici le poids de 'la guerre ; ses populations surprises en pleine joie de vivre se sont réveillées sous l'accablement de tous les maux ; le cœur en crève de douleur. La Belgique a un autre réconfort : c'est d'avoir acquis une gloire immortelle en sauvant la civilisation et le droit. » Le tsar à Tsarskoé-Sélo Moscou, 21 août : La famille impériale est parti pour Tsarskoé-Sélo. Victoire serbe Niscn, 21 août : Le quartier-général annonce la victoire complète serbe dans la bataille qui dure depuis quatre jours près de Lonitza. Cent cinquante mille Autrichiens et autant de Serbes y participèrent. L'armée autrichienne, qui avait passé la Drina", fut culbutée par les Serbes. Les pertes des deux côtés sont énormes. Les vain queurs firent un butin important et plusieurs milliers de prisonniers. Les engagements volontaires en France Paris, 21 août : Les bureaux de recrutement pour les engagements des volontaires fonctionnèrent sans interruption toute la journée, examinant un très grand nombre d'hommes. Parmi ceux qui se présèntèivnt, on remarqua un important groupe précédé d'une vaste pancarte tricolore portant : « Les. juifs français, au nombre Je cinq mille cinq cents, demandent à contracter un engagement volontaire.» Les Allemands deviendraient pessimistes Le New-York Herald dit que des informations parvenues aux Etats-Unis sur la situation de l'Allemagne disent : « Le pessimisme envahit le pays, une seule victoire prompte et décivise de l'armée allemande peut calmer la terreur d'un échec de l'armée. » L'action russe en Allemagne et en Autriche Double succès russe Sans la Prusse orientale a eu lieu un combat près de Bikiervelde. Les Russes ont fait beauceup de prisonniers et ont pris une batterie. En Galicie, les Autrichiens ont essayé d'attaquer. Dans un combat sous Kras-aik, iis ont subi des pertes très sérieuses, Six officiers et douze cent cinquante soldats ont été faits prisonniers. One vieille canonnière anglaise capture deux gros bâtiments allemands .Le Gaiu.ojs apprend de Venise qu'une vieille canonnière anglaise a capturé deux gros bâtiments allemands à l'entrée de la mer Rouge et les conduisit à Aden. Des descendants de Garibaldi offrent leurs services à la France Le Petit Parisien annonce que trois petit-fils de Garibaldi, dont le général Joseph Garibaldi, partis du Mexique, sont arrivés à Paris hier. Ils ont offert leurs services à la France et annoncent qu'ils ont l'intention de former une légion de volontaires. Ils déclarent pouvoir lever une armée de 50,000 hommes, possédant des automobiles, motocyclettes et même des aéroplanes. L'attitude de la Hollande Paris, 22 août : M. Gervais, sénateur, parlant dans le Matin de la situation diplomatique de la triple entente, dit qu'aujourd'hui l'opinion universelle est ou avouée ou tacite avec la triple entente contre la caste féodale militaire germanique. Concernant les puissances secondaires, un travail actif se fait en notre faveur. Nous devons donc être indulgents pour certaines manifestations de neutralité incertaine. Nous souhaitons cependant que la Hollande confirme de façon pratique les déclarations solennelles qu'elle a déjà faites non seulement au sujet de la neutralité territoriale, mais aussi au sujet, de sa neutralité politique et économique. Victoire monténégrine Cettigne, 2t août : Les Monténégrins ont remporté avant-hier une victoire dans la région de Gra-hova.La Hollande confirme ses intentions de neutralité Le Petit Parisien dit que le gouvernement des Pays-Bas, en présence de l'apparition des Allemands à la frontière des Pays-Bas au sud-ouest d'Anvers, a renouvelé à Paris et à Londres la déclaration qu'il défendra vigoureusement sa neutralité.Le bombardement de Pont-à-Mousson Paris, 21 août : Le gouvernement français a adressé aux puissances signataires de la convention de La Haye un mémorandum protestant contre le bombardement de Pont-à-Mousson, ville ouverte indéfendue, effectué sans avis préalable, et ayant spécialement porté sur l'hôpital et un monument historique. Les obus tuèrent sept personnes et en blessèrent huit, toutes des femmes ou enfants. Le bombardement n'a suivi aucune occupation et constitue un acte inutile de cruauté. L'attitude de l'Italie Excelsior apprend d'un ami arrivant de Rome que l'opinion italienne est unanime à proclamer l'intervention offensive contre l'Autriche. Il est probable que l'Italie prendra prochainement une attitude conforme aux volontés du peuple italien. L'Eclair apprend que la mobilisation générale est décidée en Italie. La nouvelle serait officielle dans trois ou quatre jours. Le prochain conclave Rome, 22 août. — La Tribuna dit que le conclave n'aura pas parti allemand ni parti français, mais seulement une direction religieuse. Il y aura une droite conservatrice avec comme candidat le cardinal De Lai et une gauche favorable au courant moderne avec comme candidats les cardinaux Gaspari, Maffi et Ferrari, et un centre avec tendance modératrice dont les candidats seraient Ferrata, Pompili, Scapini et Goffi. La Tribuna conclut que de grandes probabilités sont pour l'élection de Ferrata. Communiqués officiels LA VENTS DE L'ALCOOL INTERDITE Ville d'Anvers Le bourgmestre, Vu l'état de siège ; Sur l'ordre de l'autorité militaire supérieure,Arrête : Art. 1. — A partir d'aujourd'hui le débit d'alcool sous toutes ses formes est interdit dans tous les lieux accessibles au public, les pharmacies exceptées. Art. 2. — Les contrevenants au présent arrêté seront punis d'un emprisonnement de huit jours à trois ~ mois et d'une

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Cet article est une édition du titre Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle appartenant à la catégorie Financieel-economische pers, parue à Anvers du 1889 au 1919.

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