« 8e Année h I4M Hercredl tt ML 191 BRUXEL 5 Centimes le numero EDITE PAR LE VELO-SPORT 3, rue du P appareils étaient 'rentrés à Anvers criblé de balles alors qu'us m'avaient pas quitté la zone de l'armée belge. Il ne sert à rien de tirer sur les aéroplanes qui volent assez haut. S tN ALSACE LE THÉÂTRE DES OPÉRATI LA GUEIBE AUSTRO-RUSSE La rivière Styr, sur les borde de laquelle les repoussa de la bamgadg óö JL&Hiioj?, s'fist r» Y La grande Dernières Nouvelles Mercredi, midi. LES ALLEMANDS RECULENT ^JTemT ^ retraited6SAU8maadsquiaétéannoncéhif* s'est encore Z^Zt L h a hrme Iaucuna<^ renseignement au Ministère. Les Allemandsparaissent se dérober. La grande bataille que certains annonçaient probablepour aujourd'hui devient donc plus imprécise.proDame LES DRAGONS FRANÇAIS A BRUXELLES Km^xZ^T1dedr ?90Df franÇaiSCantonneenMmomentau* avirons de Bruxelles, ou la population lui a fait un accueil enthousiaste REPONSE DU PRESIDENT DE LA CHAMBRE DES REPRESENTANTS A LA DOUMA *~ ™ ^mbred6SRePrésentantsd8Be'giq«e a été très touchée des enthousiastes féhcitations que, par votre aimable intermédiaire, lui a adressées la Douma de l Empire russe. à notre vaillante Elle est particulièrement sensible au juste hommage rendu *rmée et à son Auguste chef, notre Roi bien aimé. Nous vous remercions vivement et formoss avec vous, Monsieur le Président S'^ l T?™ ^ bViCt0ireCOUroniieIeseffortsdeceux««i luttent pourla defense du droit et de la justice.F Le Président de la Chambre des Représentants CCHOLLAERT. A LIEGE ^fÉ"maÎ0r ,anemandS' eStiDStalIéaUC0UventduSacré-Cœur, à Cointe. Lesdtaers craignant une agression, se sont retranchés avec des biles de chemin de ^^^s^^m^^^ une forte colonne de cavalerie pas doz. "rfüe Grétry, ils ont accumulé des sacs ue îàferèe-^^^^ et le_j2Qnfcjje. Long- SYMPATHIES BELGES EN ITALIE Des renseignements sûrs, parvenus de l'Italie, disent que dans plusieurs villes des manifestations enthousiastes en faveur de la Belgique et contre l'Autriche ont eu lieu. La Grande Brasserie de Koekelberg assumela subsisteinice des femmes et enfants de tousses employés et ouvriers •rappelés sous les drapeaux eu engagés pour la défense de la Bel£ique£. LE GÉNÉRAL JOFFRE ÉCRIT AU ROI U NOTE OFFICIELLE MARDI SOIR CONCERNANT LA SITUATION Le général commandant en chef des armées du nordest a adressé au Roi des Belges, commandant en chef, la lettre suivante : c Sire, » Je viens de recevoir la proclamation que vous avez adressée à l'armée belge le 7 août et qui contient le fraternel salut de Votre Majesté à l'armée française. » De cette pensée si flatteuse pour mes troupes, j'ai hâte de vous remercier en leur nom et au mien. » Appelés, par la plus odieuse agression, à combattre le même adversaire, vos admirables soLdats et ceux de la France se comporteront en toutes circonstances comme de véritables frères d'armes, confiants dans le triomphe de leur joiste cause, et ils marcheront ensemble à la victoire. » Plaise à Votre Majesté d'agréer l'expression de mon profond respect. » (Signé) JOFFRE. t La situation reste bonne pour notre armee cette tentative n'aura Çjxss pîus de succès que les précédentes.^ f Le ravitaDèement du pays est^ assuré. M. Wart de Vyvere, ministre, a assuré que le prix Lda pain allait baisser de 2 centinrues. 'Le Gouvernement a acheté beaucoup de «aine flottants dont le risque de guerre est Çâyé par hiù jLa Croix Rouge L'Uûioo des Bouchers et Charcutiers de Bru, xdles et Arrondissement, d'accord avec le Conseil coadministration de son frigonfère et fabrique de -glace a envoyé à M. le bourgmestre de Bruxelles, une somme de 1,000 francs pour les fiCCOŒJS les plus urgents. Cette môme institution offre a titre absolu,meot, gratuit, la glace nécessaire pour les beLoiüs de toutes les institutions de *a Crorx' Bouge établies dans ragglomération bruxelloise. S'adresser au siège de la société: 1, ruede la Rosée. „ Recevez, Monsieur le Directeur, l'assurance ! de mes patriotiaues salutations. UN APPEL AUX MEDECINS Le conseil général d'administration des hospices et secours de la viLle de Bruxelles, nous fait parvenir le communéqué suivant : « Le Conseil général d'administration des Hospices et Secours de la ville, de Bruxelles fait un pressant appel aux anciens élèves^ en naédecdae et aux anciens médecins des hôpitaux et hospices qui seraient disposés à p^Çnàvo dAi eervioe dams les ambulances créées poor recevoir les victimes de la gnnerre. Les intéressés sont priés d'adresser leur de- nxandie à l'administration des hospices, 46, bcwÉwaxd du Jacdio Botanique. ', M 6eœa lait appel à leans services aw fur 1* à* Vfrifrb'rèenvint û& nau.veîleai am- Mercredi, 9 heures. i Ûh AUSTRO-SERBE. - L'offcn- ichienne a été repoussée au 1 la Serbie. — Les Monténô- ut pris le mont Taraboch. — bes s'avancent en Bosnie. -3RE AUSTRO-RUSSE. - Une ille autrichienne repoussee. Russes avancent par la vallée E SUR MER. — Un quatre- COMMENT NOUS SOIGNONS^^^ On ne reprochera pas »* ff*?^ ~poim saig'MT avec dévouement les soldats al Iemands qui sont blessés. pweurs Voici un trait entre mille. M de *»££ sénateur, **rapb« au m=ce M« tssszs r i^w*. s allemand a été capturé près de | ^«^T^c 'ta "<**«* d« *fâ?%.£ „j. erque. • - La flotte allemande , yavaitli^ »J»*3~« * rP™n?*eu - Une (lotie autrichienne pilante s'avance r.ers le canal Otiante. — Deux escadres japonaiont pris la mer. gravite de ^reJ^^pS lèsde nos ennemis J^MSSüK Bruxelles dès ^ leur état le permettra. LES FRANÇAIS A BRUXELLES Lebruit avait couru «'«£3££& nùi't sards français «an ent.e a^Bruxellcse^ et avart «'^/^J^t chevaux réquisi„aia„ a ^rne udc ré^t de cavalerie fra?-lionnes .pour un reg °«> ArHvéàminuiltj altTrna^ qui succombent faute de some. .Dos médecin,,.des infirmier s^nt^oyes Belgique ni lions flamands ni coqs s il n'y a plus qu'un drapeau, dont ige ' s'est avivé du sang versé par nos ;S qauttTrraS ga areduMidià2heures t ^e"prix, d'une haute valeur et assurent à nos alliés une remonte extraordinaire. ÔuelaiL cavaliers français, ne portant aucurie l?rn?sSit venus prendre l'air place Ja- ce train, a a plus surtout qu'une patrie! provinces étroitement unies, qui Liront victorieuses ou qui mourront ^ ^ ^ laplupart de. bot« rie! Que de choses peuvent tenir ce motlà! Un siècle, ou a peu pres , indépendante, n'avait pas sum en faire goûter la signification pro SUCC1 Les Allemands ont pris à Mumouse 2 canons français. Le 15e corps d'armée français ai été rejeté au delà de la forêt de Parroi. A Lunéville, les Allemands prirent un drapeau, deux batteries, quatre mitrailleuses et perdirent 700 morts parmi lesquels un général. A Schneùdemuîil on a trouvé cbüas une gare un aéroplane destiné à la Russie. DANS LA PRINCIPAUTE DE MONACO Le prince de Monaco a salué un régiment français traversant la principauté et a rappelé qu'en. 1870, il combattit pour la France. Il a ajouté que la guerre actuelle était la lutte de la civilisation, du .progrès contre la barbarJe. PLUSIEURS COMBATS HEUREUX Les actions de détail ont été très brillantes pour nos troupes, qni restent maîtresses de la Haute-Alsace. De nombreux mouvements de troupes vers Morhange. Dans la région de Blamont, une tentative a été faite sur Rogerwillers et Habïmvilis. Grâce à l'appui du canon de Manonvillers, cette tentative a complètement échoué. D'après les derniers renseignements relatifs à notre action contre les coLs de SaànteMarie-aux-Mines et du Bonhomme, que nous avons mention-née hier, ces deux affaires font le plus grand honneur à nos troupes. En toutes circonstances, l'infanterie française comme la. cavalerie et 'l'artillerie se sont montrées bien supérieures aux troupes adverser». Dans la région dé Spincourt, la cavalerie ennemie qui s'était présentée appuyée par de l'artillerie a dû recuir r. Quelques débarquements allemands par chemin de fer conrtimuent à avoir lieu dans la région de Gérolsteini, mais les principaux débarquements actuels se font plutôt en arrière de Metz et de ThionviTJe. ' T; s travaux de fortification sont signalés comme ayant été exécutés autour de Luxembourg, au sud de Metz, vers Luppy et à la côte de Delime. Nos avions survolent constamment les zones de débarquement ennemies, salués au passage par la fusillade et par de nombreux coups de canon, nos aviateurs volent courageusement sans se préoccuper du sifflement des projectiles ni du bruit des obus qui éclatent à côté d?eux. LES UHLANS INCENDIAIRES Dès le début des hostilités, les Allemands se.mib'knt prrndTe à tâche de se rendre odieux à nos populations des campagnes. Samedi matin 8 août, à la poiinte du jour, deux uhlans en reconnaissance le kxng die la LES RUSSES AVANCENT Comme nous l'avons dit hier, les troupes russes ont pénétré, par la vaillée de la rivière Styr, sur le territoire autrichien, chassant devant elles les avant-gardes ennemies. La ville d'Andréjer, ainsi que la douane de Radziwilow, ont été occupées par les Autrichiens. Dans les selles des officiers allemands tués, et qui appartenaient au 2e régiment des dragons, on a découvert des cartes des fortifications de Kowno. -1 ttûEÇftes. Xl£ft£ ml &à iëPX jN9f»te> j$st **• Un détachement du landsturm autrichien, repoussé de la bourgade de Lezniow, s'est retiré en toute hâte. . frontière française, pénètrent dato fapetó iruÏÏe^m^ï c- sont <*™^^"ài L'un: des uhlans est bles5é7a2§SnsT-i^►i«jfi_^ une peloton fort de trente-deux boantmes d u même régiment vient tirer yengtamoQ die i?ù*t ident de la veille. Ils mettent le feu à une ferme et criblent id< balles le fermier, qui essaie d'arrêter Pince a d£e. Courageusement le gamde champêtre Jbôj ar> vient pour expliquer que le petit combat du « samedi a été lâvné exclusivement par des miSa aires. Les Allemands soutiennent contre î'éucfeaïce que des civils y ont pris part. Dans Faptrès-madi ils reviennentf eacoaer,ce tte fois, crest un escadlron de uhftaais au comipi jet. Cest Fheure des vêpres. Tous ies habitat ota d'Affleville sont réunis en prières dams l'égü se. Les uhlans se répandieint dseng le vïöago, <â ?ni toutes les -maisons inomdJéea de pétrole ffcmifr,33* un quart dPneure après. La population, terrifiée, s-*en€mt de to*ate? parts sans avoir le temps d^earpoxter ni aaq&Dt m vêtements. On, est sans nouMeöes du cuaé. Les malheureux habitants dfAlftlevHZe, ^ïeil tards, femmes, enfants, ont été recueillis à Etain. Après les avoir secourus et róaonf-osrtés ils ont été dirigés sur .Verdun. LES TROUPES D'AFRIQUE SONT ARRIVEES Les troupes d'Afrique, composées en- Ettajeure partie de tirailleurs indigènes, ont ooniplètement terminé leur décisif est imminent de la part des A3flemJandö qoxrör* le Nord! de la France. ENGAGEMENTS DE CAVALERIE PRES DE MONTMEDI On signale en France des engagements de cavalerie sur le front Long^fcryLonguyon-Mar-ville-Virton. Des patrouilles de carvaierie allemande ont été rencontrées dans le Nord ~3ç l'arrondissement français de Moutmédy. A DUSSELDORF Les Allemands renforcent la défense de 2a ville. Un terrassier, sujet belge, qui a: pu s'échapper, a confirmé qu'il avait été forcé pen. dant plusieurs jours à travailler aux travaux; d< terrassement. tuée en Gaîicie (Pologne autrichienne). Cette vallée se dirige vers Lembcrg, capitale de la province. DES CENTAINES D'OFFICIERS BULGARES SOUS LES DRAPEAUX RUSSES L't Excelsior » apprend de Nisch que le mi. nistre d'Autriche, à Sofia, cherche à entrainei la Bulgarie. Par contre, des centaines d'offï ciers bulgares ont contracté des engagement en Russie pour combattre l'Autriche. UN PETIT SUCCES RUSSE (Hé fiB $QH£ Hj£» Un détachement du landsturm antrichiei

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