De Belgische metaalbewerker

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s.n. 1918, 01 Juin. De Belgische metaalbewerker. Accès à 19 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/fq9q23rq3q/
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June, 1918. Prijs—prix, HALF-PENNY. POUR NOTRE CAUSE. Il restera toujours à l'honneur de nos membres que jamais, pendant leur séjour en Angleterre, on n'a vainement fait appel à leur concours pour soutenir des œuvres de solidarité. Ils ont régulièrement versé leur obole pour les soldats au front, pour les malheureux du pays occupé, pour les enfants malades, pour le congé de nos soldats et pour des dizaines d'autres organismes recommandables. Cette fois, nous faisons appel à leur solidarité et cela au nom de notre Comité Exécutif, à l'effet de constituer un fonds pour mener la propagande en faveur d'une Paix rapide, juste et durable. Nous voulons ici, aussi brièvement que possible, montrer la nécessité de la formation de ce fonds. Les gouvernements sont dans tous les pays ou tout au moins dans la grande majorité, entre les mains des ennemis de la classe ouvrière. La presse, sauf quelques exceptions, appartient aux capitalistes, et elle les sert docilement. Journellement encore, on crie sur tous les toits " Jusqu'au bout ! Jusqu'au dernier homme ! Jusqu'au dernier penny ! " C'est principalement contre ce jusqu'auboutisme que se dresse le mémorandum de la Conférence Interalliée de Londres, qui a établi un programme de paix auquel tout démocrate, tout travailleur peut souscrire. Une bonne propagande est menée dans les pays alliés pour répandre ce mémorandum. Les travailleurs français l'ont distribué à des milliers d'exemplaires. Le même effort a été effectué par nos camarades anglais. Il est de notre devoir également, comme ourviers belges, de collaborer à cette propagande. Et comment le pouvons-nous ? En versant régulièrement notre obole à ce fonds. Cela ne suffit pas toutefois. Nous devons faire plus. Régulièrement est attaqueé Notre Internationale par une bande d'individus dont le rôle est de saper nos institutions. Ces messieurs cherchent à semer la discorde dans la classe ouvrière, parce qu'ils savent fort bien qu'une fois cette classe divisée, elle sera encore plus facilement exploitée et opprimée. Cette campagne a duré trop longtemps. Il FAUT QUE CELA CESSE ! Il faut que l'on puisse y répondre. Il faut que l'on y répondre. Les ouvriers doivent connaître la vérité. Le programme de paix des travailleurs doit être répandu dans le monde entier, et doit être lu par tous les prolétaires, hommes et femmes, qui sont les plus grandes victimes de cette guerre. S'il est nécessaire de commencer immédiatement cette propagande, il est nécessaire d'être préparés lorsque les discussions de la paix seront entammés. La conférence interalliée a demandé que de tous pays, un délégué des syndicats et du parti socialiste soit admis à la Conférence de la Paix. Il faudra naturellement que les ouvriers puissent l'EXIGER, faute de quoi la décision prise à Londres n'aura pas d'effet. TOUS les travailleurs de TOUS les pays devront l'exiger. LES OUVRIERS BELGES EGALEMENT. Notre Centrale est la plus forte organisation des réfugiés. Nous occupons donc un poste prépondérant et nous devrons veiller à ce que le prolétariat belge soit représenté. Nous aurons une Conférence Internationale Ouvrière peut-être avant, mais certainement pendant le Congrès de la Paix. Il faut que nous y soyons également représentés. La voix de la classe ouvrière belge devra être entendue. D'accord avec les camarades restés en pays occupé, et avec tous ceux qui l'ont quitté, nous devrons veiller à ce que notre prolétariat soit représenté à ces conférences. Inutile d'ajouter qu'une telle représentation entraine des frais. Formons donc un fonds ! Nous demandons à nos membres de faire un sacrifice, et cette fois, pour notre propre cause. Nous sommes convaincus qu'ils n'hésiteront pas un instant. Il faudra en effet qu'au moment opportun, une action ferme soit menée pour empêcher que l'on nous impose une paix réactionnaire, que l'on traite de nouveau les travailleurs comme des hommes de moindre valeur, que l'on fasse une paix qui contiendrait en elle les germes de nouvelles guerres. Tout le sang versé, tous les sacrifices en vies humaines et richesses que les travailleurs ont faits avec courage, auront été en vain, si nous laissons de nouveau les capitalistes de tous les pays agir en maîtres absolus à la Conférence de la Paix. Non, n'est-ce pas ? Cette fois, pas de duperie ! Sachez donc, camarades, que les soldats au front ne peuvent rien ou prou pour ce mouvement, que nos frères affamés restés au pays sont épuisés, et, au point de vue pécunier, ils sont impuissants. A nous donc de montrer que nous voulons faire le sacrifice nécessaire en leur lieu et place. Nous n'avons pas le droit de compter sur nos adversaires. Les gouvernements ne s'intéressent pas à ces revendications de la classe ouvrière. NOUS DEVONS LE FAIRE

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Cet article est une édition du titre De Belgische metaalbewerker appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Londen du 1915 au 1918.

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