De Belgische metaalbewerker

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s.n. 1916, 01 Mai. De Belgische metaalbewerker. Accès à 18 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/j38kd1rb1k/
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Le .Secrétaire partage l'avis que nos membres ont besoin de plus de lectures ; toutefois plusieurs difficultés, pécuniaires et autyes, empêchent la publication d'un journal hebdomadaire. ïï pense que pour commencer, nous devons agrandir notre journal, mais pour cela nous devons aussi pouvoir compter sur la collaboration desjs estions.. Un Délégué d'Edmonton est d'avis que nous devrions publier plus d'articles socialistes. De Badrihaye (Richmond) : Nous devons nous abstenir de publier de tels articles qui sont plus destinés à des journaux politiques qu'au nôtre, qui doit uniquement s'occuper de questions syndicales. Rossius (Richmond) : Nous devons tâcher que chaque membre reçoive régulièrement son " Métallurgiste " et les comités des sections doivent collaborer au journal. Après une courte discussion à ce sujet, le congrès décide dans ce sens, et les sections sont priées de prendre des mesures pour que tous les membres reçoivent le journal. LA MILITARISATION. Rossius (Richmond) : Je veux attirer l'attention du congrès sur la manœuvre scandaleuse de la militarisation. On tâche d'impressioner nos membres dans les usines et on ose même venir les prendre de leur lit. C'est contre ces agissements que nous devons protester énergiquement. Un Délégué de Letchworth informe que les Belges qui, au risque de la vie, ont quitté le pays et sont instigués maintenant en Hollande pour se laisser militariser. On les y embauche pour venir travailler dans une usine de munitions en Angleterre et dès leur arrivée à Londres on les fait signer une feuille de militarisation. Latour (Letchworth) : N'y aurait-il pas moyen d'annuler la signature des membres qui sont militarisés sous pression patronale ou militaire ? Ces ouvriers n'ont nullement pris connaissance des lois militaires auxquelles ils se sont soumis. Tordeur (Crayford) : Par le fait que ces camarades n'ont pas pu agir en pleine liberté, mais ont été menacés par les patrons et l'autorité militaire et puisque le ministre de la guerre même a reconnu qu'aucune pression ne pouvait être exercée dans ce but, il doit y avoir possibilité de faire annuler ces engagements. Van den Hoeck (Richmond) : Je pense que cela doit en finir de nous traiter d'une telle façon. Nous avons protesté maintes fois. Nous avons communiqué nos désirs à plusieures personnes influentes. Malgré nos protestations on veut malgré tout nous priver de nos droits civils. Je voudrais que le congrès prenne des mesures pour répondre par des actes en cas où cette manœuvre continue. Qu'on nous laisse tranquille à l'usine et que les officiers se rendent plutôt à leur poste, au champ de bataille, où leur présence nous semble plus nécessaire (approbation du congrès). De Baecke (Letchworth) propose l'ordre du jour suivant : " Le Congrès des Métallurgistes Belges réuni à Londres le 23 et 24 Avril, 1916, proteste énergiquement contre la pression exercée par les patrons et l'autorité militaire pour la militarisation des ouvriers Belges en Angleterre et demande l'annulation des signatures qui ont été extorquées d'une telle façon." Adopté à l'unanimité. Après ce vote, la séance du matin est levée. A 3J h. le Président réouvre le congrès et donne lecture d'une lettre de la section d'Alexandria qui regrette, vu sa grande distance de Londres, ne pas pouvoir envoyer de délégués et présente ses meilleurs souhaits au congrès. Longville et Pollet, secrétaires permanents de la Centrale en Belgique, émettent également le vœu, dans une lettre, d'une bonne délibération en faveur des métallurgistes Belges. Le Président demande ensuite le vote sur le rapport du secrétaire. Il est adopté à l'unanimité. QUAND FINIT NOTRE TACHE EN ANGLETERRE ? Le Secrétaire : Il est bien entendu que notre section a seulement lieu d'exister en Angleterre pour la durée de la guerre. Il me semble peu probable que tous nos membres retourneront en même temps en Belgique. Pour cela il est nécessaire que le congrès décide combien de temps encore nous continuons notre mouvement ici. Les membres qui s'établiront ici après la guerre, resteront affiliés à la Workers' Union qui leur accordera tous les avantages et défendra leurs droits. Van Leeuw (Coventry) : Notre section propose que jusqu'au moment du retour au pays, un comité soit nommé, représentant chaque province Belge pour clôturer les comptes avec la Workers' Union et pour mettre nos membres en règle avec leur syndicat respectif en Belgique. Le congrès décide, après avoir entendu encore quelques délégués, qu'aussitôt que la majorité de nos membres aura quitté l'Angleterre, notre organisation cesse ici pour continuer le mouvement en Belgique. r r COMITÉ EXECUTIF. De Baecke (Letchworth) : A la suite de la demande des amis de Coventry j'ai mission de ma section, de proposer la nomination d'un C.E. qui dirigera les opérations de notre organisation. Le Secrétaire : La nomination d'un C.E. facilitera beaucoup ma tâche et par ce fait la responsabilité sera partagée. Je suis donc parfaitement d'accord avec les camarades de Letchworth et propose que ce comité soit composé de 7 membres, dont 2 de Richmond, 1 de Letchworth, 1 d'Erith ou Crayford, 1 de Coventry ou Birmingham, 1 des sections de Londres et le Secrétaire. Van Leeuw (Coventry) pense que Birmingham et Coventry pourraient séparément envoyer un délégué. Le Secrétaire : Il n'est pas nécessaire que chaque section soit représentée vu qu'il s'agit ici d'un comité dirigeant notre Centrale. Si toutefois une question importante, émanant d'une section, figureraite à l'ordre du jour, la section en question serait cette fois invitée d'y envoyer un délégué. MOTION D'ORDRE DE RICHMOND. Rossius (Richmond) : Au nom de la délégation de Richmond, je demande que le congrès revienne sur sa décision de ce matin se rapportant à la permission à tous les assistants de prendre part aux délibérations. Nous devons donner l'occasion à tous de dire leur opinion. Le secrétaire nous a du reste déclaré à Richmond que tous les membres seraient tolérés au congrès. Le Secrétaire : Mais je n'ai pas dit qu'ils pourraient prendre part aux discussions. Tordeur (Crayford) : Le secrétaire n'est pas maître du congrès. Rossius (Richmond) insiste pour que tous les membres présents puissent parler. Van Leeuw (Coventry) : La section de Richmond est représentée par 8 délégués. Comme elle est dans les environs de Londres, elle pouvait en envoyer davantage, mais il est inadmissible que chaque membre puisse parler au congrès sans y avoir mandat. Je pense donc que seuls les mandatés puissent discuter. Van den Hoeck (Richmond) : On a du reste déjà violé le vote ce matin dans la question de la militarisation en permettant à tous de voter. Nous avons par conséquent aussi le droit de demander le droit de parole pour tous les membres présents. Nous avons tenu 2 assemblées générales pour discuter l'ordre du jour du congrès, d'autres sections n'ont même pas tenu de séance. Bologne (Edmonton) : Je conseillerais aux délégués de permettre à tous les membres de Richmond présents de parler. Je ne le demande pas parce que cette section y a droit, mais pourque demain elle ne puisse pas nous reprocher que nous voulions étouffer leur argumentation et que pour cela nous les avons interdit de parler. Tordeur (Crayford) retire sa proposition et demande à son tour que tous les assistants puissent discuter. Potier (Richmond) : Chacun de nous a déjà assisté à des congrès en Belgique. Avons-nous jamais protesté contre Anseele, Bertrand et d'autres qui prenaient part aux délibérations ? Laissons luire la pleine lumière dans nos discussions. Van der Heyden (Westminster) : Nous voulons en effet la pleine lumière et c'est surtout pour cela que nous devons cesser cette discussion inutile. Le congrès a pris une décision et celle-ci doit être respectée. Je propose donc de continuer l'ordre du jour. De Baecke (Letchworth) : Je ne comprends pas les camarades de Richmond. Un congrès est cependant une réunion uniquement composée de délégués et non une assemblée générale. Si nous devions entrer dans les vues de Richmond nous devrions cesser toute discussion et convoquer une assemblée générale pour tous les membres. De Badrihaye (Richmond) : Soyons larges, camarades, et permettons aux amis de Richmond de parler. Nous aurions pu nommer plus de délégués vu la force de notre section. Le Secrétaire : Je croyais que Richmond avait nommé les meilleurs éléments comme délégués, il me semble maintenant que cela n'est pas. Pour éviter tout malentendu et pour montrer que le congrès ne recule devant aucune argumentation, je demande la libre parole pour tous les assistants. Le Président met cette proposition aux voix. Elle est rejetée par 16 voix contre 14. Van den Hoeck (Richmond) : déclare que dans de telles conditions les délégués de Richmond se retirent du congrès. 2 DE BELGISCHE METAALBEWERKER. LE METALLURGISTE BELGE.

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Cet article est une édition du titre De Belgische metaalbewerker appartenant à la catégorie Vakbondspers, parue à Londen du 1915 au 1918.

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