De klok uit België = La cloche de Belgique

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s.n. 1918, 17 Mars. De klok uit België = La cloche de Belgique. Accès à 23 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/gt5fb4xp2n/
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REDACTION ET ADMINISTRATION WILLEM ll-STRAAT 56 - TILBURG TÉLÉPH. 744 Paraissant chaque semaine Prix par numéro 5 cents ABONNEMENT g POUR LA HOLLANDE . FI. 1.00 par trimestre 3 POUR L'EXTERIEUR . . FI. 1.25 „ „ | La Vérité sur la Nonciature de Bruxelles. Nous n'offrirons point aux lecteurs uns Ion gue étude sur l'ancien nonce de» Bruxelles, son Excellence Monseigneur Tacci Porcelli, qui, durant son séjour dans la Belgique occupée, a b^Gaucoup travaillé, a beaucoup souffert, mais toujours dans le recueillement et le silence propres aux âmes détachées des biens de la terre et particulièrement de la popularité.Nous nous bornerons à glaner abondamment dans les précieuses notes d'un témoin,, les faits qui établiront la vérité. Puisse la vérité établie assurer! à un liommej de bien le respect et la reconnaissance de tous les Belges qui ne sont pas aveuglés par les préjugés ou le fanatisme. Par qui étions-nous protèges? Telle est la question que pose Madeleine Havard de la: Montagne dans son intéressant livre: „La vie agonisante des pays occupés" Elle répond: Nous l'étions dans la mesure du possible, par les légations neutres et spécialement par la Nonciature. La légation d'Espagr.e était chargée des Français: le roi d'Espagne* est, comme on le sait, d'une grande bonté pour la France. La légation des Etats-Unis s'occupait des Anglais. Toutes les légations rivalisaient de bonne volonté. Quant à la Nonciature, on y recoura:t siris distinction., de nationalité; le zèle y était inlassable, aucun appel n'était repoussé, qu'il s'agit d'injustices* à réparer, de grâces à obtenir, de protestations à faire, de passeports ^ demander, c'était toujours là que l'on aboutissait et le Nonce comme l'auditeur se conteraient avec le même dévouement 84 tous les opprimés pour les plus petites choses comme pour les plus importantes. Et, puisque j'aborde celte quest'on, j'ai à coeur de détruire la stupide légende de la „geraanophiIie" de l'ancien Nonce. Comment chose si absurde a-l-el!e pu prendre corps? Les Belges un moment dupés voient claiir aujourd'hui surtout que l'expérience a montré la perfidie et l'hypocrisie allemandes insinuant, glissant parmi la foule soit des nouvelles, soit des opinions destinées à troubler ou à décourager sans que l'on sut leur origine; mais là, il y avait pins encore, et, commie je }e démontrerai plus loin, cette légende du Nonce allemand venue des envahi-hisseurs eux-mêmes n'était qu'une partie., du plan par lequel l'Allemagne tendait à nous isoler du Vatican. Ils firent adroitement circuler le bruit que Mionseigneur Tacci pactisait avec eux. La rumeur se propagea, et, pour excuser ceux qui l'adoptèrent si légèrement, je ferai observer que cela se passait au' début de l'occupation, les esprits bouleversés par tous .tes maux qui venaient de fondre sur la Belgique étaient naturellement enclins à la méfiante et flairaient volontiers la trahison. Quand la Belgique fut envahie, le Nonce, avec une délicatesse que n'eurent pas les autres ambassadeurs, suivit le malheureux roi Albert de capitale en capitale, et se fixa auprès de lui au Havre. Puis envisageant la détresse des Belges livrés sans défense à l'oppression et sachant- quels services précieux il pourrait leur rendre, comprenant par ailleurs que sa place comme représentant du Bape et ministre de Dieu était auprès de ces pauvres populations dont l'abandon moral était aussi navrant que la misère matérielle, le Nonce, avec l'approbation du roi, revint à Bruxelles. Au lieu de lui eu savoir gré, les esprits surexcités par les habiles insinuations de l'ennemi lui firent grief de ce retour. On était affolé et aveuglé à ce poiint qu'on ne se rendait môme plus compte, que, personnellement, le Nonce aurait été beaucoup plus à l'aise et tranquille hors du pays occupé; on ne s'apercevait même pas qu'on lui reprochai!/ ce qu'on ne pensait pas à reprocher à ses colU'g-es, car d'autres ministres plénipotentiaires continuaient d'habiter Bruxelles. On accepta ce ragot sans l'ombre d'une réflexion. Ayamt à traiter une affaire avec la Nonciature, des officiers allemands s'y présentèrent dans les premiers jours de 1915, et y rencontrèrent certains membres de la noblesse belge. Ceux-ci se virent blessés dans leurs sentiments patriotiques et ne se demandèrent pas une minute si la véritable victime de cet incident n'était pas le Nonce lui-même, que les Allemands s'enrageaient à compromettra Toujours est-il que cette visite fut exploitée. La nouvelle se répandit comme une traînée de jpoudre, et chacun de représenter le Nonce comme vendu aux Allemands. De cette aventure ainsi déformée est née probablement l'histoire insensée du dîner que Monseigneur Tacci aurait offert! à von Bissing: rien d'autre n'aurait pu faire naître pareille invention, car jamais le prélat, très réservé vis-à vis de^ Allemands!, ne leur a même tendu un verre de bière ou une cigarette. Bien mieux, ii ne les admettait pas à la Nonciature; c'est lui qui se présentait ou envoyait son auditeur à leurs bureaux pour traiter les affaires. On devine si après leur démarche incongrue, il les pria de ne plus récidiver 1 Mais la calomnie avait gagné Le Hâvre et la France, et l'on sait quels injustes articles furent rédigés contre Monseigneur Tacci, à la grande joie des Allemands, une joie dont j'ai été moi-même témoin. Tout en ne cessant pas de recourir aux bons offices de la Nonciature, le3 Belges accumulèrent les griefs contre le Nonce; on le blâmait de ses rapports avec les Allemands, sans se dire qu'il était bien forcé d'en avoir et pour régler les questions diplomatiques et pour solliciter précisément toutes les faveurs que les Belges lui demandaient. La calomnie était acharnée, tout était bon à l'alimenter. On s'indignait de voir l'automobile dd Nonce à la porte de la Kommandantur et l'on négligeait "de remarquer celles des autres ambas-sadeurs-. On 11'avait même pas le bon sens de penser que le représentant du Pape devait au souverain pouvoir qu'il personnifiait de ne se présenter dans ses démarches officielles qu'avec le décorum qu'elles exigent; c'eût été manquer du tact le plus élémentaire et entraîner le refus des faveurs qu'on réclamait par son entremise, que de s'en aller, à pied comme un curé de campagne présenter ses rçguêtes, surtout chez les Allemands, si féru» de ce qui brille. Mais on était beaucoup trop échauffé pour y réfléchir. De tout cela je parle an connaissance de cause: les oeuvres dont je m'occupais me mettaient en relations constantes aussi bien avec les chefs allemands qu'avec les légations et la Nonciature. Monseigneur Tacci était infiniment bon et miséricordieux et d'une grande délicatesse, par conséquent incapable d'une compromission quelconque ou d'un, procédé équivoque. Il joignait la douceur à une volonté inflexible, et toutes les tentatives allemandes vinrent se briser contre ce ci. "ctère très droit et très fier qui ne céda jamais sur un seul point. Non seulement il ne laissait passer aucuin crime sans protester hautement, sans essayer de sauver les victimes, d'empêcher le mal de s'étendre, mais il s'élevait contre chaque iniquité, il prenait la défense du droit et de la vérité dans les plus petits détails, reprochant aux ennemis jusqu'à l'emploi iur-juste de certains termes sur leurs affiches. Les accusations indignes ne ralentirent jamais son zèle; mais il dut les ressentir douloureusement, car elles atteignaient à travers lui le Saint-Siège dont il était le délégué. Pourquoi, dira-t-on, le Nonce ne donna-t-il "pa^ dans la presse des démentis qui eussent arrêté les calomnies dès leur éclosion? D'abord, il est extrêmement difficile de protester contre des" rumeurs qui circulent sour le manteau, contre des insinuations qui demeurent à l'état de commérages; il semble que ce serait se diminue^ que d'en faire cas, et de paraître s'en émouvoir Et puis, les journaar* uelgea de Bruxelles étaient sous la dépendance de la censure, sévère de l'envahisseur qui eût empêché d'insérer ces démentis. En ce qui concerne le dîner offert à von Bissing, la calomnie) étant flagrante et apportant un fait précis, le Nonce prot<w \ et ce ne fut qu'après qu'il l'eut exigé àv«o force die l'autorité allemande que celle-ci fut contrainte de laisser les journaux publier ses dénégations. Mais pourquoi les journaux de l'autre côté du front qui avaient propagé, de bonne foi, je le veux bien, la caloihnie, no reproduisirent-ils pas le riposte? Cependant, les bienfaits du Nonce, sa rectitude, sa droiture, le courage avec lequel il s'élevait sa.ns répit contre les exactions allemandes finirent par triompher de l'imposture; au bout d# qaa. jues mois les têtes se calmèrent. et les coeurs se laissèrent toucher, on sut gcê à Monseigneur Tacci'du- précieux concours qu'il prêtait au cardinal Mercier, et de la sympathie qu'il témoignait ouvertement à toutes les victimes du joug barbare. Lorsque Sa Sainteté Benoît XV rappela Monseigneur Tacci pour lui confier l'une des plus hautes charges de la cour romains, les re grets furent unanimes en Belgique. Quelle ne fut pas la stupeur de savoir que les- journaux de l'autre côté du front reprenaient à cette occasion la campagne d'autrefois! Je l'appris moi-même par un officier allemand qui? se moquait en ma présence d'un article où le „Temps" développait la thèse du Nonce ,,germanophile".Ah, les envahisseurs ne s'y trompaient pas. Ayant trouvé le Nonce inébranlable leurs' procédés obséquieuxi à son endroit s'étaient transformés depuis longtemps en une attitude hostile qui ajoutait de nouvelles et incessantes amertumes à la chargo déjà si pesante que remplissait Monseigneur Tacci. La nomination du nouvel évêque de Tournai, Monseigneur Croy, aimi intime du cardinal Mertfier, nomination à laquelle Monseigneur Tacci n'était pas étranger, avait achevé d'exaspérer les Allemands. Le départ du Nonce le» enchantait. Sur ces entrefaites, en juillet 1916, je m'entretins avec Son Eminence le cardinal Mercier, je lui parlai de cet article du „Temps"; il m'exprima son indignation, car Monseigneur Tacci, me dit-il, avait fait pou/ lui et pour la Belgique tout ce qu'il était possible de faire, et même beaucoup plus que n'exigeaient ses fonctions. Il ajouta qu'on ne pourrait apprécier qu'après la guerre l'éte|ndue de son dévouemejnt et m'invita, puisque je regagnais Paris, à dire de sa part à Son Eminence le Cardinal Amette combien il souhaitait que l'ojn connut la vérité sur ce point. Il me pria même de la faire rétablir dans la presse. Comme je lui disais :„Emijnence, je le ferai, mais comptez sur ma discrétion, je ne vous nommerai pas", il s'écria vivement: „Mais si, nômmez-moi, et dites bien tout ce que la Belgique et moi nous devons à Monseigneur Tacci". Je me permis de demander à l'archevêque de Malines pourquoi il n'avait pas protesté lors de la première campagne de presse au cours de l'hiver 1915. Son Eminence me répondit qu'à cette époque il avait été séparé du Hâvre pendant trois mois sans correspondance possible. La .calomnie lui avait paru si stupide qu'il la croyait morte et avait jugé ' l'util 3 d'y revenir quand les moyen? do communication se présentèrent. J'ajoute que le roi Albert a donné à Monseigneur Tacci une preuve éclatante de sa gratitude et de celle de son peuple en le décorant de sa propre main de l'Ordre do Léo-pold, la distinction la .plus importante du royaume et que l'on accorde rarement: le chevaleresque souverain l'eût-il attribuée à un ennemi de l'Allemagne? Enfin, m'a-t-on dit en France, puisque Monseigneur Tacci était attaqué, pourquoi l'a-t-on fait partir de Belgique? Un chef ne cède pas à la calomnie quand son subordonné est innocent. La réponse est si simple qu'il semblerait superflu die la donner. Si le Saint-Père avait cédé, il eut rappelé le Nonce au début de 1915. Or, il ne l'a fait qu'en juin 1916, lorsque non seulement cette campagne était enrayée en Belgique, mais y était presque oubliée.Monseigneur Tacci qui était depuis six ans et demi Nonce à Bruxelles allait partir, car son séjour avait déjà dépassé celui de ses prédécesseurs, quand soudain la guerre éclata. Son départ en fut retardé, et je penche à croire que sans les calomnies il eut quitté la capitale belge beaucoup glus tôt, car. les hostilités n'ont point suspendu les mouvements du corps diplomatique attaché au Vatican. Vienne a déjà eu deux Nonces et deux auditeurs, Munich deux Nonces etc. Comme aucune Nonciature de première classe n'était vacante, le Saint-Pèro appela Monseigneur Tacci au posts le plus élevé, celui de Majordome qui conduit à la pourpre en peu de temps. C'est bien la jus',e récompense de son héroïque dévouement à la Belgique. Que conclure de to^t ceci? La conclusion s'impoe : se défier à l'avenir des exagi-irés, des intempérants qui, à propos de tout et à propos de rien, semblent prendre à coeur de surexciter l'hostilité des ennemis de l'église et la défiance des catholiques par des imputations sans preuve lancées à travers le monde sous la forme favorite: ON nous écrit que; ON dit que. Compromettre la religion: si tel n'est pas le but qu'ils poursuivent souvent, tel est au moins le résultat qu'ils atteignent toujours. Si vous no voulez point collaborer à cette oeuvre néfaste, mettez-vous en garde contre lgs premières impressions; gardez-voua de formuler un jugement à la légère, sans connaître les éléments de la cause et n'oubliez jamais que l'union sacrée est un puissant élément do force pour la défense de la religion comme pour celle de la Patrie. GASTON de îa ROCH& „ | Four nos Internés. * L'augmentation de la solde! C'est la grande nouvelle de la semaine. Nouscommuniquonsci-dessousl'échel-le d'après laquelle l'augmentation est appliquée : „Dans les ordres du jour qui sont publiés, une communication du ministre de la guerre dit que le Gouvernement belge a décidé de payer l'indemnité suivante aux militaires internés : soldats, caporaux et brigadiers, qui recevaient jusqu'à présent, 10 cents de solde une augmentation de 5 et de 7'/2 cents, pour autant qu'ils ne touchent pas un salaire minimum de 2.50 florins par semaine ; pour les sous-officiers qui recevaient jusqu'à présent une solde de 25 cents par jour, l'échelle suivante est- adoptée pour autant qu'ils ne touchent pas un salaire de 3.50 fl. par semaine : sergent et sergent fourrier : 10 c. d'augmentation ; 1er sergent 12'./a cts d'augmentation; sergent-major : 15 cents d'augmentation ; 1er sergent-major : 20 cents d'augmentation ; adjudants : 25 cts d'augmentation. L'augmentation prend cours à partir du 8 Mars. Augmentation de solde ! Nous l'appelons ainsi bien que ce n'est pas la bonne désignation. En effet, jusqu'à présent tous les militaires recevaient une solde, et la nouvelle mesure exclut tous ceux qui reçoivent un certain minimum de salaire. Supplément pour la cherté de la vie? Non plus, car pour tous la vie est devenue plus chère. Alors quoi ? Appelons-le un calmant. Cette augmentation est la bienvenue, parce qu'elle était nécessaire et urgente, surtout depuis la diminution de la ration de pain. Nous ne sommes donc pas de ceux-là qui disent qu'on aurait mieux fait de ne rien donner, parce que les simples soldats s'attendaient au moins au „dubbeltje" par jour. Nous disons „Merci ! mais voyez un peu dans votre porte-monnaie, s'il n'y a plus rien afin de faire mieux encore." En ce sens notre organisation continuera son action. Nous sommes d'avis que pour nos internés on ne doit pas seulement faire tout ce que la justice exige, mais tout ce que la justice permet. Nous craignons cependant que le terme «salaire" dans l'ordre du jour pourrait être mal interprêté par ceux qui seront chargés d'appliquer l'augmentation.C'est pourquoi nous nous permettons, dans l'intérêt de nos camarades qui vivent hors des camps, de faire valoir quelques considérations ; Nous espérons qu'on ne confondra pas ..salaire" avec ..revenu". Nous y comptons fermement que la rémunération de milice et le „hors ménage" ne seront pas considérés comme salaire.11 est également clair que le salaire que peut gagner la femme, ne peut pas être porté en compte pour atteindre le minimum de salaire de fl. 2.50' pour les soldats et de fl. 3.50 pour les sous-officiers. Nous osons croire que dans les groupes on payera l'augmentation à ceux de nos internés qui seront momentanément sans travail, et ont obtenu l'autorisation de rester dans leur famille.Pouvons-nous encore poser deux questions ? 1. Les internés qui habitent avec leurs familles dans les villages reçoivent .généralement un soutien des -comité» DIMANCHE 17 MARS 1918. * _ v Irê ANNEE - Na5T>

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Cet article est une édition du titre De klok uit België = La cloche de Belgique appartenant à la catégorie Katholieke pers, parue à Maastricht du 1917 au 1918.

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