Informations belges

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s.n. 1918, 12 Août. Informations belges. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/7m03x86w6p/
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N° 779 12 Août 1918 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle ragulier des nouvelles da presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu etre contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes à.'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les comoauaications de service : 29, rue Jacques-Louer, I-.E HA.VR.E (Seine-Inférieure) France» Un officier américain cité à l'ordre du jour de l'armée et décoré de la t roix de guerre belge. — A été cité, le 7 août 1918. à l'ordre du jour de l'armée et décoré de la Croix de guerre belge : Peudleton Georges, sous-lieutenant d'infanterie de l'armée américaine : Officier doué des plus belles qualités militaires : bravoure, sang-froid, inteligence et énergie. A sollicité l'autorisation de s'adjoindre à une patrouille chargée d'exécuter un coup de main en avant d'une grand'garde. Fut blesssé dans un combat que livra la patrouille à un parti allemand. Le général Lyautey fait acc'amer la Belgique au Maroc. — La célébration de la fête nationale américaine (4 juillet) à Casablanca Maroc),' par les notabilités françaises et étrangères de la \ ille, sous la direction du résident général de France au Maroc, a été l'occasion pour le général Lyautey d'exprimer, en s'adressant à M. Moulin, consul de Belgique, sa vive sympathie pour la Belgique. Le général Lyautey fit remarquer que, après avoir parlé du dernier pays entré en lice, il s'imposait de rappeler au soin enir de tous celui qui, le premier, soutint le choc. Il insista sur le fait que la Belgique avait fait beaucoup plus que son devoir, que sou sens de l'honneur et de la justice l'avait jetée au devant des plus effroyables catastrophes, que ses souffrances ne pourraient jamais être réparées suffisamment et qu'un souvenir ému et reconnaissant s'attacherait éternellement à la noble et héroïque nation. Puis il évoqua la grande figure du roi Albert qu'il avait eu, dit-il, l'insigne honneur d'approcher, et dont l'attitude reste si simple qu'il semble être seul à ignorer que son nom est synonyme de gloire, de noblesse, d'honneur II termina en soulignant le caractère profond des liens qui unissent la France et la Belgique et que tant d'épreuves et d'héroïsme ont resserrés à jamais. De vibrants applaudissements accueillirent l'improvisation du général Lyautey, aussi élevée de forme que de fond. (xx) — Le 21 juillet en Belgique occupée. — Cette année, les Allemands ont pris des mesures plus rigoureuses encore que les années précédentes pour empêcher les habitants du territoire belge envahi de célébrer la Fête nationale, le 21 juillet : interdiction absolue au clergé, sous menace des peines les plus sévères, de célébrer les exercices du culte ; fermeture obligatoire des églises ; défense de former, dans les rues, des rassemblements de plus de cinq personnes, d'arborer publiquement rien qui rappelât les couleurs nationales belges, de circuler sur la voie publique pendant la soirée, etc., etc. En conséquence, il n'y eut pas de Te Deum, pas de drapeaux, pas d'insignes aux boutonnières ou aux corsages, mais les Belges occupés ont célébré tout de même l'anniversaire de leur indépendance en cessant tout travail — faisant de ce jour donc, un jour férié — et en se promenant vêtus de leurs habits les moins mauvais où s'épinglait une fleur naturelle... (Voir /. B 772.) Là résistance des Luxembourgeois du Grand-Duché. — Un voyageur, récemment arrivé d'Arlon (Luxembourg belge), rapporte que la résistance du peuple luxembourgeois du Grand-Duché continue à être aussi belle que celle des Belges de la province de Luxembourg. 11 paraît, dans la ville de Luxembourg, un petit journal écrit dans le fier patois du pays, et aussi courageux que la fameuse Libre Belgique-, if s'appelle D'Natio'n et mène campagne contre l'Allemagne et contre ceux qui voudraient ou laisseraient germaniser le pays. Dans son dernier numéro, on pouvait lire les phrases suivantes : « Betournons au Luxembourg de 1867, de 1830, de 1794 ! Ayons des idées qui nous élèvent ! Soyons des hommes comme Servais (le grand patriote qui, en 1870, tint tête à Bismark). Admirons la France souffrant son calvaire sanglant pour la liberté de l'Alsace-Lorraine ! Admirons cette malheureuse Belgique dont, en 1S39, nous avons été arrachés au mépris de tous les droits, cette Belgique ii laquelle encore aujourd'hui la moitié de la nation luxembourgeoise appartient avec fierté ! » (xx). — Autour de la théorie du « gage » belge. — Les contradictions de M. Hertling dénoncées par Théodor Wolff. — Dans un leader du Berliner Tageblatt, paru dans le n° du 29 juillet 1918, M. Théodor Wolff souligne, non sans malignité, la contradiction embarrassée des déclarations du chancelier, en ce qui regarde la Belgique : « Le comte Hertling », dit le publiciste allemand, « vient de faire, en trois tranches successives, des déclarations sur le « gage » belge, dans lesquelles chaque parti a trouvé de quoi satisfaire son programme. Ensuite, il est parti pour Bruxelles, où il a fait savoir au Conseil de Flandre, à en juger par un télégramme officieux. qu'il professe toujours, dans la question flamande,

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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