Informations belges

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s.n. 1917, 31 Janvrier. Informations belges. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/ff3kw58b1h/
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N" 233 31 Janvier 1917 InformationsBelges Observation. import sixxt e Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles d« presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, ea certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 52, rue de* Gobelins, H,K HWRE (Seiue-lnférieure) France. Erratum. — Dans les Informations belges du 30 Janvier 1917, première colonne, article deuxième, la protestation d'intellectuels dont le texte est publié émane d'intellectuels suédois et non danois comme il a été imprimé par erreur. Nouve les violences allemandes dans l'Affaire des Déportation!. — L'Affaire des déportations vient, en se développant, de se compliquer d'incidents assez graves. Dans la première quinzaine de janvier, les autorités allemandes ont enlevé nombre de jeunes gens dans la campine anversoise, notamment à Sandhoven, à Viersel, à Pulle, à Turnhout, à Kessel et dans nombre d'autres localités. Ces enlèvements se font toujours avec les mêmes procédés arbitraires. C'est ainsi qu'à Berlaer, sur 27 jeunes gens enlevés, le 8 janvier, 13 étaient des cultivateurs n'ayant jamais cessé de travailler, des sabotiers qui ne peuvent suffire à la besogne qu'ils ont à l'aire, des employés de chemins de fer touchant un traitement d'attente, etc. Plusieurs des déportés étaient même propriétaires. A Sandhoven, les trois quarts des déportés avaient de l'ouvrage régulièrement Et ainsi de suite. C'est au cours de ces recrutements que se sont produits les graves incidents auxquels il est fait allusion cidessus. Les hommes qui étaient arrivés sur la place publique, à la suite de convocation, en voyant avec quel arbitraire les Allemands procédaient, prirent la fuite en grand nombre. Les soldats qui les gardaient cavaliers et fantassins essayèrent de les retenir ; mais n'y réussirent pas. Les fuyards parvinrent à gagner les bois et les landes de bruyères désertes encore assez nombreuses dans cette partie du pays. Depuis lors, ils tiennent la campagne, se soutenant par des moyens de fortune sur lesquels on ne peut donner d'autres détails. Les Allemands organisèrent des battues, mais presque sans succès. Alors, irritées, les autorités allemandes prirent des mesures draconiennes. Le mercredi 10 janvier, vers 4 heures du matin, les Allemands ont fail irruption â Neylen et y firent prisonniers : le bourgmestre de la commune ; M. Engels, conducteur provincial de travaux et le brasseur de la localité, M. Camille Thauvoie, qui n'est pas même conseiller communal. Le bourgmestre, malgré son grand âge (plus de 70 ans), fut traîné à la prison de Malines. A Kessel, où 70 jeunes gens environ s'éta'ent dérobés à la convocation, les patrouilles allemandes n'ayant pu, malgré leurs battues, en reprendre que 3 ou 4, on arrêta le bourgmestre, vieillard de 69 ans, un conseiller communal nommé François Dillen, et un autre notable. Tous trois ont été appréhendés et conduits à Malines. A Berlaer furent arrêtés : Le notaire, M Lambrechts, l'instituteur en chef CasSiers et un échevin.- A Pulle, le, même jour qu'à Kessel, ou arrêta, vers 3 heur s du malin, tous les membres du conseil communal, sauf un seul qui était gravement malade. A Halle, petite commune tout à fait agricole, où il n'y avait pas un seul chômeur et où la section de chômage du Comité national ne fonctionne pas, les Allemands essayèrent d'enlever des hommes. 15 ouvriers a'enfuirent. Là-dessus, le 10 janvier, une patrouille fit enlever, en pleine nuit, le secrétaire com • munal et réclama de celui-ci la désignation des notables. Le secrétaire refusa et s'offrit lui-même. Le chef de la patrouille déclara que cela étant, il s'adresserait au brasseur, et il alla arrêter celui-ci. Puis, la patrouille se rendit au château et arrêta le châtelain, baron de Borrekens, bourgmestre de cette commune. A Heyst-op-den-Berg, commune importante et chef-lieu de canton, la même scène se répéta : là, ce furent le notaire et deux notables qui furent arrêtés. A Bouchout, furent arrêtés le bourgmestre, baron de Gruben ; M. Naets, frère du sénateur de ce nom, et d'autres notables. Tous ces otages ont été conduits à la prison de Malines, dans des conditions de transport inhumain, en pleine nuit. A Malines, les prisonniers durent rester la nuit entière, n'ayant qu'une chaise pour objet de repos. Il y avait parmi eux des vieillards de 70 ans. L'Administration communale de Malines, informée de ces traitements inhumains, y envoya alors des objets de couchage et une nourriture convenable. Les Allemands ont prétendu incarcérer les otages comme prisonniers, sous le prétexte qu'ils étaient de connivence avec les fuyards ; mais ils durent bien reconnaître qu'ils n'avaient aucune preuve à l'appui de cette accusation. Les Allemands avaient d'ailleurs arrêté des notables étrangers à l'administration communale ; mais alors, l'autorité allemande déclara qu'elle garderait tout ce monde comme otage, pour contraindre les fuyards à se constituer prisonniers. Cette mesure de rigueur, absolument illégale au regard du droit positif comme du droit des gens, n'a

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