Informations belges

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s.n. 1918, 24 Septembre. Informations belges. Accès à 20 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/9w08w3cc9s/
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N° 821 24 Septembre 1918 INFORMATIONS BELGES Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publicatioa. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 29, rue Jacques-Loner, LE HAVRE (Seine-Inférieure) France. Le Gouvernement belge n'a pas reçu la note autrichienne. — D'après des renseignement recueillis à bonnu source, le Gouvernement belge n'a pas reçu jusqu'à présent la note autrichienne. L9 roi Albert reçoit l'Etoile serbe de Karageorge et la Reine la Croix de Miséricorde. — Son Excellence M. Yesnitch, ministre de Serbie, le général Yourischitch, aide de camp de Sa Majesté le Roi de Serbie, chancelier des Ordres royaux et le colonel Nico-laievitch, attaché militaire, ont été reçus par les Souverains belges. Le général Yourischitch a remis au Roi, de la part de S. A. R. le Prince Régent de Serbie, les insignes de l'Etoile de Karageorge avec glaives et la médaille d'or pour la bravoure, et à Sa Majesté la Reine la Croix de Miséricorde pour les éminents services. L'envoyé du Prince Régent a, en même temps,jnis à la disposition du commandant en chef de l'armée, un certain nombre de décorations serbes destinées à récompenser les officiers, sous-officiers et soldats qui se sont signalés par des actions d'éclat. Le Roi dos Belges a adressé au prince Régent le télégramme suivant tout à la lois pour remercier son Altesse Royale de son aimable attention et pour la féliciter des glorieux succès de l'armée serbe : « La Reine et moi avons été tfès sensibles au témoignage de sympathie que Votre Altesse Royale nous a donné en nous conférant et en nous faisant remettre parle général Yourischitch les insignes de l'étoile de Karageorge avec glaives, la médaille d'or pour la bravoure et la Croix de la Miséricorde pour les éminents services. L'armée belge appréciera vivement aussi les distinctions par lesquelles Votre Altesse Royale a voulu récompenser les officiers et les soldats qui se sont signalés par des actions d'éclat. J'exprime à Votre Altesse Royale mes plus vifs remerciements et je tiens à mon tour à la féliciter chaleureusement des glorieux succès remportés par l'héroïque armée serbe. » (signé) Alisert. (xx) — Les propositions de paix allemandes à la Belgique. — Interview de M. Cooreman. — Dans une interview qu'il a accordée à un journal parisien, M. Cooreman, président du Conseil des Ministres belges, faisant allusion aux tentatives de paix des Allemands vis-à-vis de la Belgique, a dit : < L'Allemagne croit sans doute le Gouvernement belge assez peu perspicace pour ne pas lire dans son jeu. « Ce qu'elle veut comme résultat immédiat, c'est de jeter le trouble dans l'esprit du peuple belge, en même temps que de se justifier aux yeux de son propre peuple de la continuation de la guerre. Qu'elle parvienne à duper son peuple, elle peut avoir quelque raison de l'espérer ; quant au peuple belge, placé entre la brutalité des faits et l'apparence cauteleuse des mots, il est trop réaliste pour s'y laisser prendre, trop patriote pour faillir, trop fier pour s'incliner. « Les Allemands auront beau lui dire une fois de plus que son Gouvernement se fait le vassal de la France et de l'Angleterre, il répondra que les Belges et leur Gouvernement ne sont les vassaux de personne et qu'ils entendent de toute la force de leur volonté que la Belgique reste puissante, indépendante, libre et souveraine, tout en demeurant parfaitement fidèle et irréprochablement loyale envers les nations amies qui luttent pour la même cause de justice et de civilisation. » (xx) — Les propositions de paix allemandes à la Belgique — Ce qu'en pensent les Flamands. — Le journal Belgische Standaard du 20 septembre •1918, commente notamment comme suit l'offre de paix faite par l'Allemagne à la Belgique : « Comme elles sont exprimées, ces propositions sont un peu ridicules. La première impression est que l'Allemagne ne veut aucunement reconnaître sa culpabilité. Elle abandonne la théorie du gage, mais avouer qu'elle commit une injustice, elle 110 le peut. Cependant, le comte von 1-Iertling, un philosophe catholique qui, jadis, écrivit qu'une injustice n'est jamais permise, doit bien se rappeler (lue, au commencement de la guerre, von Betlîmann Holhveg déclara, du haut delà tribune, que l'Allemagne avait agi injustement envers la Belgique, mais qu'elle réparerait. « Do ce point de vue, nous ne reculons pas de l'épaisseur d'un cheveu : avec l'aveu, l'indemnité et la restauration . « Et alors il est superflu de parler. Nous n'avons rien à voir ni avec les colonies allemandes, ni avec les traités allemands. Nous, Flamands, donnerons une solution complète à la question flamande, immédiatement après la guerre, sans intervention étrangère, d'où qu'elle vienne. « La proposition de paix allemande à la Belgique, pour autant que nous en sachions de source étrangère, est donc une bévue. Elle montre que l'Allemagne à la fois incline à la pénitence et, sous la pression et devant la tournure des événements, commence à craindre le

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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