Informations belges

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s.n. 1918, 18 Mai. Informations belges. Accès à 19 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/x05x63c44t/
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N° 697 18 Mai 1918 Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, eu certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou ae leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc éeard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes A'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signr. Adresser les communications de service : 29, rue Jacques-Louer, 1-.K HAVRE (SeiDe-Inférlenre) France. A l'occasion des fêtes de la Pentecôte, les « Informations belges » ne paraîtront pas demain 19 mai 1918. Les Réfugiés belges au travail en France — 11 y avait, en France, en 1917, de 225 à 240,000 réfugiés belges de la guerre. D'après les enquêtes de l'Office national belge du Travail, les plus fortes colonies belges de réfugiés étaient dans les départements de : la Seine-Inférieure (26,000, non compris la population militaire belge ni les soldats ouvriers), la Seine \25.000 environ), Pis-de-Calais (12,403), Seine-et-Oise (10,513), Eure (7,634), Manche (5,011). La presque totalité des adultes parmi ces réfugiés sont au travail, soit industriel ou commercial, soit agricole. Sans l'industrie Dans les 41 départements visités en 1917 par l'Office national du Travail se trouvaient 22,028 ouvriers industriels répartis dans 1,600 établissements ou entreprises, les industries qui en comprenaient le plus sont l'industria des métaux (10,504), celle des transports (2,802), l'industrie textile (1,700), les mines et carrières (1,417), Parmi ces 22,028 personnes employées dans l'industrie, se trouvent 3.824 femmes (dont 1,519 employées dans la fabrication des obus et 516 employés intellectuels). La main-d'œuvre masculine (17,688 ouvriers) peut se répartir en 7,797 manœuvres et 9,891 manœuvres spécialisés ou ouvriers qualifiés (professionnels). Pour se faire une idée de la contribution apportée par la main-d'œuvre belge à l'effort de guerre et aux industries de la défense nationale ou d'utilité générale, il convient d'ajouter aux chiffres ci-rf'essus ceux de la main d'œuvre belge relevant du département de la guerre de Belgique (13,500 environ) et ceux des nombreux ouvriers de l'administration des chemins de fer belges ét des ateliers de réparation du matériel (1,680). Le total du personnel industriel belge dans les 41 départements visités, où la population belge comprenait en 1917 en tout 167,518 individus, s'élevait ainsi à 37,208. Le recensement industriel fait en Belgique en 1896 accusait une population totale de 6,693,548 habitants, la présence dans l'industrie de 1,102,244 personnes, soit environ 16.46 0/0 de la population du royaume. Si l'on établit le même pourcentage pour la population industrielle belges des 41 départements vi sités eu égard à l'ensemble des Belges y résidant, on obtient une proportion de 22.20 0/0. Ce coefficient déjà très élevé, démontre l'importance relative du concours apporté par la main-d'œuvre belge dans l'activité industrielle générale en France. Cette importance apparaît davantage encore quand on tient compte de ce que : 1° Un certain nombre des ouvriers belges a nécessairement échappé aux investigations des délégués de l'Office du Travail ; 2° Les réfugiés n'appartiennent que pour une faible portion aux régions industrielles de la Belgique, la plupart des évacuations provenant des régions agricoles ; 3° Les éléments jeunes se trouvaient au service armé ou y ont été appelés en 1917 ; 4° Le chiffre total de la population belge comprend un grand nombre d'enfants. Dans l'Agriculture La situation de la main-d'œuvre belge dans l'agriculture en France n'apparaît pas moins digne d'attention que la situation de la main d'œuvre belge dans l'industrie. Dans les 41 départements visités en 1917, les délégués de l'Office national bielge ont relevé un total de 13,666 Belges occupés dans l'agriculture, principalement dans les départements ci-après : Eure (1.000), Seine-et-Oise (1 400), Oise (1.350), Loiret (825), Seine-Inférieure (800), Orne (750). Dans ces chiffres, il n'est point tenu compte des enfants, Vu l'impossibilité de faire un recensement exact de la population agricole, on croit pouvoir affirmer que le nombre de Belges participant aux travaux de la culture n'est pas inférieur à 15,000 dont 2,500 à 3,000 femmes. On sait que la main-d'œuvre belge était déjà avant la guerre fort appréciée dans l'agriculture française pour les travaux saisonniers : chaque année environ 40,000 ouvriers originaires de la Flandre orientale et de la Flandre occidentale venaient travailler temporairement en France (binage des betteraves, buttagedes pommes de terre, moisson des blés,arrachage des betteraves). Divers Le travail à domicile, le commerce et divers emplois occupent aussi un nombre assez important de Belges ; mais on n'a pu, en ce domaine, procéder à un recensement ; on n'a pu recueillir quelques indications que pour le travail à domicile des femmes.

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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