Informations belges

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s.n. 1917, 23 Juin. Informations belges. Accès à 24 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/736m03zm6r/
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N° 374 23 Juin 1917 Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvellesde presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible encertains cas, de s assurer de 1 exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source Dremièrede publication.y On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source, (xx.) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 53, rue des Gobelins, LE HA.VR.E (Seine-Inférieure) France Le rapatriement des déportés belges et la mauvaise foi allemande. — L'autorité allemande continue de violer de la façon la plus impudente ses promesses solennelles de rapatrier les déportés belges. Le nombre des rapatriés est insignifiant : ce sont presque tous des malades ou des invalides. Les autres ne sont autorisés à quitter l'Allemagne que pour une quinzaine de jours et après avoir été pressés de signer un engagement de travail de 4 ou 5 mois. La grande majorité s'y refuse. Les rares déportés admis à rentrer chez eux sont avisés, lors du visa des passeports à la « Kommandantur », dès leur arrivée en Belgique, de ce qu'ils ne peuvent y séjourner que deux à trois semaines, sous sanction d'être châtiés et enlevés de force en cas de résistance. Une vingtaine de rapatriés furent ainsi arrêtés soit chez eux, soit où ils travaillaient, et emmenés sans même avoir eu le temps d'emporter le strict nécessaire. (xx) — Récit d'un évadé des territoires envahis, — L'occupant remplace ses soldats par des civils payés en bons des villes du pays occupé — Terrible sort des déportés. — Une église sert aux cultes catholique, protestant et de salle de cinéma. — Les habitants s'entr'aident. — Les lignes suivantes sont extraites du compte rendu d'une interview accordée par un évadé des territoires envahis du Nord de la France à un collaborateur du Courrier de la Meuse (n° du ôjuin 1917) : « Surtout, l'occupant cherchait à remplacer ses soldats le plus possible par des civils des territoires occupés. Il eut recours, dans ce but, à tous les moyens, lorsqu'un octobre 1916, il décréta que tout le monde, hommes et femmes, riches et pauvres, à l'exception des mères de famille ayant un ménage de cinq personnes, était sousmis au travail. Encore, les mères de famille durent effectuer certains travaux de couture et de lessive à domicile. « Notre interlocuteur fut d'abord employé à l'abatage des arbres dans la forêt de Saint-Gobain. Il y avait là, mêlés, des civils français, des déportés belges, des prisonniers russes et des... civils allemands. » « En novembre, tout le monde fut employé à la construction et à l'entretien du chemin de fer Barisis- SaintGobain. Il y avait là 54,000 hommes : Roubaisiens, Lillois, Belges, Russes et civils allemands. Les Français et les Belges étaient payés en bons des villes (Réd. du C. d. 1. M. : Nous en avons eu sous les yeux) dont les Allemands s'étaient fait délivrer ou avaient pris le sceau. « La misère de tout ce monde au travail était effroyable. Notre interlocuteur a vu des centaines de Belges, la plupart de la région de Gourtrai, n'ayant plus de chaussettes, allant, le sabot attaché au pied nu avec du fil de fer ; puis, le sabot usé, l,e talon reposait sur le sol. La nourriture était infecte. Aussi, les civils allemands se révoltèrent maintes fois. Un jour, à Barisis, ils assaillirent les maisons des ingénieurs. Trois mille prisonniers russes qui prirent part à cette révolte avec les Allemands furent arrêtés, emmenés. .. Quelques jours plus tard, on apprit qu'un grand nombre avaient été passés par les armes. « La faim, les mauvais traitements, les souffrances de toute nature poussaient ces masses d'hommes à tout oser pour soulager leurs douleurs. En

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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