Informations belges

501 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1918, 08 Janvrier. Informations belges. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/2j6833nn2g/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

IQtft N» 568 8 Janvier 1918 InformationsBelges Observation ino.T>ox"t£*:ia.te> Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après :• (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belçe. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 39, rue Jacques-Louer, LE M &VRG (Selne-Iuférteure) France. (xx) — La réparation des maux soufferts par la Belgique doit être complète. — La déclaration du chef du cabinet anglais. — Voici, d'après une traduction complète du discours prononcé, le 5 janvier 1917, par M. Lloyd George, chef du cabinet, devant les délégués des trade-unions, le passage relatif aux revendications de la Grande-Bretagne et de ses alliés en ce qui concerne la Belgique : « La première revendication faite par le gouvernement britannique et ses alliés a toujours été la restauration politique, territoriale et économique complète de l'indépendance de la Belgique et toutes les réparations possibles pour les dévastations de ses cités et de ses provinces. « Ce n'est pas là une demande d'indemnité telle que celles que l'Allemagne imposa à la France en 1871. Ce n est pas un effort pour faire défrayer les dépenses de guerre d'un belligérant par un autre, que cet effort soit défendable ou non. Ce n'est rien de moins qu'une demande visant à faire répudier, avant tout espoir de paix, cette violation flagrante du droit public européen et à la faire réparer dans la mesure du possible. La réparation équivaut à la reconnaissance d'un droit. Si le droit international n'est pas reconnu par l'existence d'une indemnité pour les maux infligés au mépris de ce droit, il ne saurait jamais être réalisé. » (xx).— La manœuvre séparatiste allemande en Belgique occupée. — Plus de subventions aux écoles dans lesquelles on parle français. — Le "Bulletinofficiel des Lois et Arrêtés " (n° 426, 16décembre 1917), pour la partie flamande du territoire occupé, publieun arrêté ayant traital'usage de la langue véhiculaire néerlandaise dans les écoles techniques subsidiées de la Flandre. En vertu de cette ordonnance aà partir du lerjanvjerl918,il ne pourra être alloué de subsides émanant de l'Etat, de la province, de la commune ou de tout autre administration publique, soit en argent, soit sous toute autre forme, qu'aux écoles (industrielles,techniques,ménagères agricoles, professionnelles, commerciales) qui se serviront uniquement du néerlandais comme langue véhiculaire enseignante. » Il résulte de cela, de l'aveu d'une note officieuse publiée par la presse teutonisée de Bruxelles, que la mesure dont il s'agit frappe les écoles industrielles de Gand. de Louvain et de Tirlemout, l'Institut commercial d'Anvers et trente écoles professionnelles de filles. (xx) — Un hommag» danois à l'actian du citoyen belge Fr. Schack de Brockdorff, consul général du Danemark à Anvers. — On lit dans le journal danois Berlingske Tidende, de Copenhague (23 novembre 1917), à propos du 70eanniversaire du consul général du Danemark, M. Frederick Schack de Brockdorff, de résidence à Anvers, « ville éprouvée par la guerre et occupée par l'ennemi », dit le quotidien Scandinave, les lignes suivantes : « On lui apportera en pensées tous les remerciements que les Danois lui doivent pour son hospitalité et sa bienfaisance et que notre pays lui doit pour ses services fidèles et signalés. Les pensées des Danois entourero il M. Schack de Brockdorff, avec son excellente épouse, d'autant plus d'affectueuse sympathie qu'ils espèrent que ce sera pour lui une petite éelaircie dans les temps sombres que traversent sa patrie belge, sa ville natale et sa maison. « Dès que la guerre éclata, le consul général dé Brockdorff transforma en hôpital la maison pour marins qu'il avait fondée, de concert avec son épouse, et il y soigna beaucoup de blessés belges. Il s'occupa, en même temps, avec un soin extrême, des Danois et de leurs intérêts dans la ville assiégée. Il lut constamment en danger comme les autres habitants d'Anvers et sa maison fut endommagée par le premier raid de zeppelins. Actuellement, l« danger le menace de nouveautandis que les privations, la contrainte et les restrictions apportées à la liberté, sous la dure main de l'ennemi, transforment les joies en une suiteininterrompue de douleurs. Mai» la perta la plus lourde que de Brockdorff ait subie, est celle de son unique enfant, son fils Georges, qui au commencement de la guerre se rendit à l'armée, participa à la défense de sa ville n-Uale et suivit l'armée sur l'Yser où il trouva la mort, il y a quelque temps, laissant unejeune veuve. « C'est donc dans les temps les plus sombres que le consul général de Brockdorff atteint sa 70e année. Aussi les Danois redoubleront-ils leurs sympathies pour lui avec leurs remerciements et leurs souhaits de paix et de consolation. » (xx) — La crise de la traction à Bruxelles . — Serviced» voirie...—Les ALomands ne cessant pas de réquisitionner chevaux, mulets, etc., il sévit en Belgique occupée, un crise aiguë de la traction. Une feuille bruxelloise stipendiée — qui se garde bien d'en désigner les auteurs — s'en plaint comme suit : « La traetion animale faisant défaut à la ville de

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Sujets

Périodes