Informations belges

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s.n. 1918, 23 Avril. Informations belges. Accès à 29 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/b853f4pz97/
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N° 672 bis 23 Avril 1918 INFORMATIONS BELGES (xx). — Une conférencière belge en Andalousie. — Sympathies espagnoles. — Le grand périodique espagnol La Union Mercantil, du 13 avril 1918, rend compte de la conférence donnée par Mlle Maria Biermé, le 9 avril 1918. dans la salle de la « Société des Sciences », à Malaga (Andalousie). « Le thème choisi par l'éloquente conférencière, dit le journal espagnol, était sympathique à l'extrême puisqu'il traitait de la famille royale belge, nous la présentant dans ses divers aspects : dans l'intimité, dans la vie officielle de la cour, dans ses relations, ses goûts, ses affections, son tempérament artistique et son plus pur sentiment qui est l'amour intense, aveugle, que le Roi et la Reine des Belges vouent à leur patrie. » • Une assistance nombreuse et distinguée écoutait la conférencière : MM. le général Berenguer, gouverneur militaire; l'archidiacre Eugenio Marquina ; Garcia Valdecasas, président du tribunal ; Gomez Kellido, magistrat ; le marquis de Guirior, président de la Chambre agricole ; le capitaine Ripoll Cas-tilio ; le commandant de l'état-rriajor Loaysa ; Miguel Valeriano ; Manuel Jimenez Lombardo, ingénieur des ponts et chaussées ; le capitaine d'artillerie Francisco Echecopar ; Gomez Cotta, ex-gouverneur civil ; Mme la comtesse de Fines ; les consuls de France, d'Angleterre, d'Italie et leur famille ; M. Marcel Grumiaux, consul de Belgique à Malaga, etc., etc. (xx). — A propos du Jubilé du philanthrope belge Ernest Solvay. — M. Ernest Solvay, le philanthrope belge, a refusé son consentement à l'organisation de manifestations préparées, pour le 16 avril 1918, par de nombreux organismes d'enseignement et d'entr'aide sociale, à l'occasion de son entrée dans sa quatre-vingtième année. Par contre, il offre un l'epas spécial — biscuit au lait de 50 grammes et tablette de chocolat de 25 grammes — aux élèves de l'Agglomération bruxelloise bénéficiant du repas scolaire, soit à titre payant, soit gratuitement, Une feuille teutonisée écrit, au sujet du procédé de soude à l'ammoniaque du jubilaire : « On a calculé qu'en raison de la consommation annuelle de la soucie dans le monde et de la diminution du prix pour le consommateur, l'économie et, partant, le surcroît du bien-être pour l'humanité se chiffre par plus de 300 millions par an. » (xx) — Mort d'une musicienne belge distinguée. — On signale la mort, à Bruxelles, de Mlle Elisa Hoeberechts, pianiste de la comtesse de Flandre. « C'était, — disent Les Nouvelles. — une pianiste remarquable, d'une extraordinaire pureté, d'une mémoi e prodigieuse et d'un style extrêmement sobre. Elle se manifestait, dans ses interprétations, d'une sincérité rare, rendant l'esprit et la pensée des autres sans jamais se soucier d'attirer le succès sur elle-même ». « (xx-) — Les Allemands veulent tenter le coup des « Soviets » en Belgique occupée. - Une des preuves les plus convaincantes de l'échec de la manœuvre de division allemande en Belgique occupée, c'est le fait que les envahisseurs, ayant ainsi vaine ment tiré la ficelle des questions de race, actionnent, à présent, celle des questions sociales. A Anvers, par exemple, ils ont chargé leurs propagandistes de créer un «Conseil flamand des ouvriers et soldats ». Programme: suppression du capitalisme, paix immédiate, création d'une république Le mouvement est appuyé par un organe hebdomadaire anversois, De Nieuwe Tijd, mais il va sans dire que la presse bruxelloise teutonisée ne demeure pas inactive. Le Bruxellois, notamment, dans son numéro du 13 et 14 avril 1918, y va de sa provocation directe : « Un jour viendra où le peuple belge, excédé, imitera le peuple russe, constituera lui même un nouveau gouvernement et traitera lui-même la paix avec les puissances centrales. » Bref, c'est le coup des « Soviets » qui se prépare, si fructueux... en Russie. (xx), — Vexations anti-françaises en Wallonie. — Comme le rouge le taureau, tout ce qui est français exaspère l'Allemand, non seulement en Flandre, mais aussi en Wallonie. Dans cette dernière, ils ne peuvent rien contre la langue ; ils s'y livrent, par contre, à des actes dans le genre de celui-ci : A Namur, ils ont contraint le docteur Baudhuin à faire disparaître de la porte extérieure de son cabinet de consultation de la rue Rogier, une plaque portant : «Diplômé de l'Ecole dentaire de Paris ». (xx). — L'Allemagne calomnie ses victimes.— La propagande anti-belge en Suisse. — Une opinion allemande sur la brochure teutonne : « La Flandre ma tyre ». — Du journal républicain allemand de Berne,Die Freie ZeUung(lO avril 1918), ce feuilleton bibliographique : « Il y a peu de temps, venait se déposer sur la table de travail des officiers helvétiques, une brochure intitulée : La Flandre martyre*. La brochure, imprimée en langue française, exportée d'Allemagne, via Zurich, afin d être répandue en Suisse, donne comme nom d'auteur le pseudonyme Claudius Severus « La Flandre martyre est un des plus violents et des plus injurieux pamphlet populaire que la vile guerre des lettres et des imprimés ait produit, en ces temps effroyables. La Flandre martyre est l'un des plus lamentables mensonges en volume de la propagande allemande. La Flandre martyre a pour but de faire pénétrer dans l'âme populaire belge, qui jusqu'ici opposa au vandalisme de ses tourm tuteurs une héroïque résistance, le coin de la haine de race. « Il n'existe au 'surplus », ainsi s'exprime Claudius Severus, « pas de nation belge. Il n'y a que des « Wallons et des Flamands. Vous, Flamands, vous « fûtes, cependant, l'enfant d'un autre lit, le bâtard, (*) La Flandre martyre éditée par André Dorf. André Dort', un Autrichien, bénéficia, durant de longues années, comme directeur d'un bureau de voyages,de l'hospitalité belge.Au début de la guerre, il se déclara Belge de cœur et gagna ainsi la conliance. Après que l'armée allemande eut envahi le malheureux pays, il lui offrit ses services. Gela suflit à caractériser la brochure elle-même et par elle, la propagande allemande.

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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