Informations belges

565 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1917, 10 Novembre. Informations belges. Accès à 19 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/ws8hd7pt38/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

N° 512 10 Novembre 1917 \ Informations Belges Observation importante Les diflicultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de servioe : 29, rue Jacques-Louer, t,E H/VVttE (Seine-Inférieure) France . (xx). — Générosité japonaise.— 1 million en secours immédiat à la Belgique. — M. Abapci, le nouveau ministre du Japon, qui remettra ses lettres de créance au Roi Albert le il novembre 1917, a élé reçu par le baron de Broqueville, ministre belge des Affaires étrangères et chef du Cabinet. Le ministre du Japon a l'ait un grand éloge de la Belgique à laquelle, a-t il dit, après la guerre, son pays prêtera toute son aide économique, et, en témoignage de sympathie, a promis au chef du Cabinet belge de lui faire parvenir un chèque de 1 million de francs, en secours immédiat à la Belgique. Le baron de broqueville a remercié chaleureusement. (xx) — Le sort de la population à Bruges.— Un avocat patriote condamné.— Echec de la propagande antianglaise.— Réquisition de domaines et de maisons. — Le Telegraaf, d'Amsterdam (numéro du 3 novembre 1917), reçoit, entre autres détails sur la vie à Bruges, les suivants : « La populatiou civile est entièrement livrée au bon plaisir des Allemands. Travailler est la grande loi inéluctable ! L'avocat Schramme, un habitant bien connu de la ville, a été condamné à six mois de prison parce qu'il incitait ses concitoyens à refuser tout travail mililaire. Cela se passait dans un local. Deux hommes inconnus entrèrent. On fit silence. L'avocaj. sortit peu après. Les nouveaux venus demandèrent de quoi il avait parlé. Le matin suivant, des gendarmes allemands arrêtaient Schramme chez lui. « La population civile en voit de grises, Mais que l'on ne croie pas que les sentiments soient changés, que l'attitude à l'égard des Allemands se fasse plus amicale ! On se détourne afin de ne pas devoir passer, à midi, sur la grand'place, où, près de la statue de Breydel et de Coninck, la musique de l'état-major de la marine donne concert. On ne regarde pas les Allemands ; on ne leur parle pas. La propagande anti-anglaise n'a aucun succès. « Les habitants de beaucoup de châteaux et de grandes maisons doivent abandonner leur domaine aux envahisseurs. Parfois, ils reçoivent un préavis de vingtquatre heures. C'est la brutale application du « ôte-toi de là que je m'y mette ? » Des hospices et des couvents deviennent aussi des casernes et des lazarets. Plus fort encore :à la façade des plus petites maisons se trouve une notice portant le nombre des hommes qui y peuvent être mis en quartiers, notice blanche pour les soldats, rouge pour les officiers. .. « Les chambres doivent être disponibles sur le champ. » (xx) ■ — La soldatesque allemande en Belgique occupée. — Une nuit d'effroi à La Clinge. — Des renseignements relatifs à la vie civile à La Clinge (pays de Waes) sont parvenus en Belgique libre, par une lettre flamande qui a franchi clandestinement la frontière. L'extrait suivant de cette missive jette un jour pea favorable sur la conduite des troupes allemandes cantonnées dans ce village. « Il y a quelques jours », est-il dit dans la lettre, « les Allemands ont fait la fête, ici, à leur façon, en compagnie de femmes de mauvaise vie.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Sujets

Périodes