Informations belges

521 0
close

Pourquoi voulez-vous rapporter cet article?

Remarques

Envoyer
s.n. 1917, 17 Août. Informations belges. Accès à 25 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/5x25b0294v/
Afficher le texte

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

INFORMATIONS BELGES Observation importante v—^ * W C» I/X'cru -J- ■ W- -M- %j CKi JLX */ Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première •de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 53, rue des Gobelins, M A. VUE (Seine-Inférieure) France. L'exploit d'un aviateur. — Il attaque seul un groupe de cinq albatros et les met en fuite. — Malgré les circonstances atmosphériques défavorables, le vent soufflant en rafales et les nuages obscurcissant le ciel à faible hauteur, les aviateurs belges n'ont pas cessé ces derniers jours de seconder énergiquement l'action de l'artillerie en réglant ses tirs de destruction contre les batteries ennemies. Voici, parmi tant d'autres, un exemple récent de leur audace intrépide et de leur magnifique mordant : C'était mardi dernier, 14 août, vers 10 h. 1/2 du matin, un avion belge de réglage, du type Sepwith, a pris son vol au-dessus des lignes allemandes. Il est piloté par le sous-officier Walter Mouton qui emporte à bord, comme observateur, le sous-lieutenant d'artillerie Depage, fils du célèbre chirurgien directeur de l'Hôpital de l'Océan, à la Panne. Les aviateurs ont mission d'opérer au-dessus de Eessen, à 3 k. 5 environ à l'Est de Dixmude. Les nuages noirs qui roulent dans un ciel d'orage à moins de 1,500 mètres de hauteur, obligent l'avion à se maintenir à 1,300 mètres d'altitude à peine. Un double danger le guette. Celui d'être atteint par les pièces anti-aéronefs dont les projectiles le suivent et l'encadrent sans répit ; celui de voir des avions ennemis surgir soudain des nuages et fondre sur lui. Mais, insouciants du péril, les aviateurs poursuivent leur mission, décrivant de larges cercles au-dessus des buts qu'ils doivent observer. Ils ne sont pas seuls, d'ailleurs. A 300 mètres d'eux, environ, un Nieuport de chasse vole au ras des nuages. C'est le lieutenant du génie, aviateur Hanciau qui le pilote, montant sa garde vigilante autour de l'avion de réglage. La protection qu'il lui assure est cependant précaire. Car il ne peut espérer aucune aide et l'ennemi, on le sait, ne s'aventure qu'en groupes importants. De l'ait, à 10 h. 45, le lieutenant Hanciau aperçoit soudain, à quelques centaines de mètres devant lui, une formation de cinq puissants avions de combat allemands, du type Albatros D, 3, surgir des nuages et manœuvrer pour abattre le Sepwith belge de réglage. A toute allure, le lieutenant Hanciau se dirige vers ses camarades, descend pour se placer à leur hauteur, et en passant prévient le lieutenant Depage, par une série rapide de 30 coups de mitrailleuses, du danger qu'il court. D'un coup d'aile, -ensuite, le Nieuport reprend de la hauteur et, avec une audace inouïe, pique droit vers le groupe d'Albatros. Fonçant au milieu de ses adversaires, il les attaque à la mitrailleuse, se précipite de l'un à l'autre, fait tant et si bien qu'au bout de quelques minutes, il a disloqué leur formation et que les cinq Albatros, prenant la fuite, ont disparu dans les nuages. Vainqueur, l'intrépide Hanciau retourne monter sa garde autour du Sepwith qui survole toujours Eessen et n'a pas cessé un moment de régler le tir des batteries belges. (xx). — Les calomnies de la presse allemande et germanisée contre le cardinal Mercier. — Une réplique péremptoire.— La presse teutonisée paraissant en Belgique occupée mène, depuis quelque temps, une campagne de calomnies contre le cardinal Mercier. Les bruits malveillants ont trouvé un écho sympathique dans les feuilles allemandes et le bureau de propagande de l'Empire les a répandus dans le monde. On aecuse le cardinal Mercier d'avoir refusé aux déportés flamands travaillant dans les«Komman-dos » en Allemagne, le secours de prêtres flamands, de sorte que ces travailleurs catholiques sont privés des conseils et des lumières de la religion. M. le chanoine Aug. Bruynseels. délégué de l'archevêque de Malines, répond publiquement en ces termes aux auteurs de cette calomnie: « Que faut-il croire de ces assertions ? Le cardinal Mercier a tenté tout ce qu'il est humainement possible de tenter pour être autorisé à envoyer des prêtres flamands à nos prisonniers en Allemagne. A plusieurs reprises, Son Eminence a adressé des requêtes au gouverneur général .à Bruxelles : refus des autorités allemandes ! Ensuite le cardinal a offert d'envoyer en Allemagne des prêtres flamands qui consentiraient à demeurer avec les prisonniers jusqu'à la fin de la guerre; plusieurs prêtres, parmi lesquels un de nos aumôniers militaires actuellement au service des internés en Hollande et qui pourrait témoigner de la vérité de ce que j'avance, se sont présentés à cet effet : nouveau refus des autorités allemandes I Ne voulant rien négliger pour venir en aide à nos malheureux compatriotes en Allemagne, le cardinal offre d'envoyer des prêtres de pays neutres et plusieurs religieux hollandais se déclaraient prêts à accepter ce ministère ; nouveau refus des autorités allemandes ! Enfin, à deux reprises, le Saint-Père a daigné intervenir à Berlin ; refus obstiné des mêmes autorités allemandes ! Et après tout eela on ose écrire que le cardinal n'a rien fait pour procurer aux prisonniers flamands des prêtres parlant leur langue nationale ! La calomnie 17 Août 1917 N° 427

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software.  

Il n'y a pas de texte OCR pour ce journal.
Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Ajouter à la collection

Emplacement

Sujets

Périodes