Informations belges

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s.n. 1918, 16 Mars. Informations belges. Accès à 19 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/0g3gx47z2q/
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N° 635 16 Mars 1918 INFORMATIONS BELGES Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de serrioe : 29, rue Jacques-Louer, LE HAVRE (Seinc-Inférleurc) Eranca (xx). — Le Roi de Roumanie décore les souverains belges. — S. M. le Roi Ferdinand de Roumanie a conféré l'ordre militaire de Miehel-le-Brave à S. M. le Roi des Belges, ainsi que la Vertu militaire et la Croix de la Reine Marie à S. M. la Reine des Belges. S. E. M. Djuvara, ministre de Roumanie en Belgique, accompagné du général Rudeano et du lieutenant-colonel Jonesco-Munte, attaché militaire, a porté les insignes de ces ordres roumains, ainsi que . des lettres autographes de Ses Souverains, au Grand Quartier général de llarmée belge, où tous trois ont été retenus à déjeuner par le roi Albert et par la reine Elisabeth. (xx) — Le Roi des Belges interviewé par un collaborateur du « Petit Journal ».— Le quotidien français le Petit Journal (15 mars 1918), publie un très intéressant article de son envoyé spécial qui vient d'être reçu par le roi Albert au quartier général belge. L'auteur termine sa correspondance par le saisissant raccourci ci-après : « Son armée est maintenant sa patrie. De l'autre côté, il a son trône, ici, son épée. Là-bas, les criminels massacrent, pillent, incendient. On a fait flamber ses halles, ses antiques collèges, ses bibliothèques. On a torturé ses sujets à Aerschot, à Anden-ne; à Dinant, à Tamines, à Louvain. On a exilé ses fiers bourgmestres, emprisonné son cardinal d'ivoire, rançonné ses fortunes. On a pris ses ruines, on les a exploitées pour l'accabler sous plus d'obus. « On a cherché parmi son peuple quelques hommes à vendre, on lui a fait dire qu'ils allaient former un gouvernement, que le sien ne comptait plus. On a envoyé des émissaires ses alliés pour tâcher de ternir sa gloire sous des vapeurs allemandes. Derrière sa rivière, on lui hache tous ses arbres, on lui descend toutes ses villes, on lui dépeuple sa dernière terre. On le jette dans une ferme, Lui, Lui dans la quatrième année de tout cela, Lui fait des appels aux armes, commande des uniformes, élargit son front, relève les Alliés, harcèle l'Allemand. A sa voix, les Wallons et les Flamands que le naufrage rejeta en Angleterre, en France, en Italie, viennent coiffer le casque à tête de lion. Voilà comment la force abat le Roi des Belges. » (xx). — Les Allemands veulent ruiner l'industrie belge. — Enlèvement des archives de Cockerill, y compris les secrets de fabrication. — Les déprédations allemandes en Belgique ont un double but : fournir du matériel à l'armée du Kaiser et ruiner l'industrie belge. Pour réaliser cette seconde fin, les envahisseurs n'ont pas reculé devant le vol de secrets de fabrication. On se souvient, encore, de la surprise du secret de fabrication de la soie artificielle, à l'usine d'Obourg, par un concurrent allemand d'accord avec les autorités supérieures de Berlin. Voici qu'il est signalé que les Allemands ont enlevé, aux vastes usines Cockerill, de Seraing, non seulement la totalité du matériel jusqu'à ne laisser que les murs de l'établissement, mais aussi les plans, dessins, archives et secrets de fabrication ! (xx). — La destruction de Roulers. — Extrait d'une information venue de Roulers (Flandre Occidentale) : De lourds camions automobiles circulent, par ordre des Allemands, à travers les rues de Roulers. De chaque côté de ces véhicules se trouve fixé un cable terminé par un solide crochet que l'on attache au toit des maisons atteintes par le bombardement. C'est de cette manière que l'on achève la destruction de ces immeubles ; des monceaux de ruines, les civils sont obligés d'extraire les poutres, le métal et tout ce qui peut servir à l'armée allemande. Quelques groupes d'hommes et de jeunes gens sont encore retenus dans la ville et forcés de travailler pour les Allemands. (xx). — Les adversaires du pseudo « Conseil de Flandre » se multiplient — et les Allemands prennent des mesures. — Les Allemands qui avaient déjà défendu aux Conseils Communaux de discuter la question de l'autonomie de la Flandre viennent, d'après le Nieuwe Rotterdamsche Courant, tant se développe le mouvement de protestation contre le pseudo « Conseil de Flandre », d'étendre l'interdiction à toutes les Chambres de Commerce. (xx). — La manoeuvre séparatiste en Flandre. — Les mensonges « aktlvistes » . — La réprobation grandit.— Le grand quotidien hollandais De Nieuwe Rotterdamsche Courant (9 mars 1918. — Edition du soir) insère un article d'informations dont voici des extraits essentiels : « On sait que tous les citoyens belges âgés de 1? à 41 ans sont tenus'de se présenter, à des jours déterminés, à des endroits désignés. Or, ces jours derniers, dans les campagnes flamandes, sous l'œil des postes allemands, furent distribuées, aux hommes qui se rendaient au contrôle, des circulaires sur lesquelles, entre autres choses, on lisait : « La Polo-« gne, la Finlande, l'Ukraine (sic), délivrées du « joug tsariste, du knout russe, sont libres et indé-

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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