Informations belges

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s.n. 1918, 12 Avril. Informations belges. Accès à 25 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/db7vm4655k/
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N° 661 12 Avril 1918 Informations Belges Observation importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelle» de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source premièr» de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belçe. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe Adresser les communication* de oerrioe : 29, rue Jacques-Loner, LE HA.VBB (Seloe-lnférleare) franc* Fraternité d'armes franco-belge. — Le Roi vient de nommer chevalier de l'Ordre de la Couronne avec attribution de la Croix de guerre : Raymond-L. Lévy, lieutenaut d'artillerie lourde de l'armée française. Officier très brave, d'un moral très élevé. A été amputé de la jambe gauche et du bras droit à la suite de blessure par des éclats d'obus, reçues le 18 mars 1918, à la position de sa batterie violemment bombardée. (xx). — Les mineurs belges font grève pour obtenir du pain. — L'autorité occupante les affame. — D'après une information parvenue en Hollande et venant du territoire occupé de la Belgique, à la suite de la réduction de la ration de pain, huit à dix mille ouvriers du couchant de Mons (Bo-rinage) ont cessé le travail. Les charbonnages, travaillant, en très grand nombre, pour les Allemands qui saisissent leur production, cette grève nuit aux intérêts de l'ennemi ; c'est pourquoi l'intervention de l'envahisseur s'est manifestée aussitôt. Dans toutes les communes la circulation est interdite à partir de trois heures de l'après-midi. Les cartes d'alimentation sont retirées aux grévistes, et, en outre, 150 otages seront envoyés au front dans le cas où le travail ne serait pas repris. (xx) — Des tribunaux allemands remplacent les tribunaux belges en Belgique occupée. — Avis de von Falkenhausen. — lia été signalé récemment que les Allemands en Belgique occupée, avaient l'intention d'établir des tribunaux allemands pour remplacer certains des tribunaux belges qui, on le sait, ne siègent plus, en protestation contre l'arbitraire des envahisseurs. La nouvelle est confirmée par l'avis ci-après du gouverneur général von Falkenhausen. « Depuis trois ans et demi, sous ma protection et celle de leurs prédécesseurs, les tribunaux belges ont pu rendre la justice avec une entière indépendance dans tout le pays. 11 était réservé à la Cour d'appel de Brussel (?), en abusant de son autorité et en se laissant entraîner à une manifestation politique, de me contraindre à interdire à ses membres l'exercice de leurs fonctions judiciaires. Ces faits ont déterminé d'autres tribunaux belges, ayant à leur tête la Cour de cassation, à suspendre leur activité. Cette manière d'agir, compromettant le bien public, c'est la population qui en supportera les conséquences. « Conformément à l'article 43 de la convention de La Haye, concernant les lois et usages de la guerre sur terre, j'ai ordonné d'organiser des tribunaux allemands qui auront pour mission de maintenir l'ordre et la sûreté publics. Jusqu'à l'entrée en activité de ces tribunaux, les commandants militaires seront chargés de réprimer les crimes et délits en vertu du § 18, -3e alinéa, de la « Kaiserliche Verord-nung » du 28 décembre 1899. « Brussel (?), le 26 mars 1918. » (xx) — Les problèmes belges. — Que trouveront les Belges quand ils rentreront?... — L'intervention de l'Angleterre. — On trouvera ci-après la traduction de quelques extraits du second article consacré par le correspondant parisien du Times (9 avril 1918) aux « Problèmes belges ». (Voir I. S., 658). Dans ce deuxième article, l'auteur, notamment, rappelle le fructueux effort militaire et colonial des Belges depuis le commencement de la guerre et s'occupe de la collaboration économique qui existera après la guerre entre la Belgique et l'Angleterre. « Lorsque le moment arrivera, pour les Belges, de rentrer chez eux, de recommencer la vie de leur pays, que retrouveront-ils dans ce dernier et avec quoi reconstruiront-ils tout ce qui a été détruit et pillé, rétabliront-ils rapidement la production de leurs fermes, de leurs usines et de leurs mines ? A moins que nous ne trouvions le moyen de donner à la Belgique sa part de matières premières, de matériel roulant, de machines, d'instruments agricoles, de bétail, de semences dont nous pourrons disposer à la fin de la guerre, nous échouerons dans notre lutte pour restaurer la Belgique ; nous aurons une Belgique faible, exposée à la pression économique de l'Allemagne et ouverte à ses intrigues politiques. « Le gouvernement belge se préoccupe d'abord des problèmes de guerre, mais ceux de paix s'imposent de plus en plus à son attention. Il est impossible de se tenir à la hauteur de l'incessante destruction de matériel industriel et agricole perpétué par l'ennemi ou de se faire une juste idée de ce dont aura besoin la Belgique à ce point de vue. Cependant, d'une façon générale, ce n'est pas aller trop loin de dire que le pays a été vidé de tout ce qui, à sa place, ne sert pas à l'envahisseur et rien ne reste hormis la carcasse de la Belgique. Les fabriques ont été dégarnies de leurs machines ; les fermes, de leurs troupeaux ; les vicinaux ont été arrachés. Les

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Cet article est une édition du titre Informations belges appartenant à la catégorie Oorlogspers, parue à Le Havre du 1916 au 1919.

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