/ «Wl 11 ■I..r«rn» J|»I< 1 lu te i (xs) LA. TRESSE AMERIOAD® ET LE DIStf&RB I® vm VrBffKT^ACTT^r.a hes~ T^rrunw DE LA BELGIQUE est LA COïïOT'IÛîT 10 LA PAIX.*- Ïa corraspon-dant du Time a (27 Juin 18) à New York signale a son Jeusml, que la presse «immente avec mépris le reiHis de von KWJalmânn de prondre un cm-» gagomenî oonoernant la Belgique. Le fon.» de New York, dit? "La question des.Colonies et de l'avenir du oommeroe allemand peut-être tranahée à la ooriférenoe de la Paixc La restauration de la Belgique est la oondition de la jpaix^lr%ngageœant pzo proMrx»l'^llleiaagne. serçi u»> ©ngf&gement- qui la liera et non un autre ohiffon de papier". Le ffew York Times, de son côté, assure; i "L'Allemagne aura à libérer la Belgique; elle aura à tenir ses nains è, l'é®apt de la Belgique* DeB Ordres qu'elle respectera et auxquels elle obé:frra lui imposeront de se bien conduire envers le peuple belge qu'elle a ai lâchement maltraite," (XX) LA £ENESE LE LA OâMMGNE DE QALÛMtTIES ALLEMAND AU SUJET DU CONGO BELGES- AU cours d'une conférence faite à la Chanibre de oommorce do Londres, le 26 juin 1918.. sur la ''pénétration paoifique" allemande dans lo Centre africain, Mr «Williams, qui a passé 37 ans dans l'Afrique Centrale, a évoqué la genèse de la campagne de calomnies menée jar l'Aile» magne dans le dessein de s'approprier la©denie belge,après qu'il ' îjat obtenu certains droits du gouvemeneurs portugais (novembre 1902): "A peine avais-je annoncé au monde nos grandes découvertes de cuivre et acquis la concession du chemin de fer du Benguella qUhane vic-letrrte agitation contre l'administration belge au Congo était machinée à Berlinv Vous savez tous que des .accusations de mutiler les indigènes et toutos sortes de oalomnies furent dirigées «ontre le roi Leo-pold et le "régime du CongO", Maintenant., nous reconnaissons en cela une méthode caractéristique de la façon d'agir des Allemands .Pour excuser l'invas&on de la Belgique, ila abusèrent les Français de l'avoir déjà envahie, pour excuser leurs atrooités en Belgique,ils accusèrent les femmes belges d'avoir arraché les yeux à des soldats allemands, et ainsi ad infini tuai, Pour saisir 1e Congo, ils'accusèrent donc la Belgique inhumanité„ ~ ,lEn vérité, les Allemands espéraient^ par cette t-aotique,soulever l'opinion publique anglaise contre la Belgiquede façon à foraer un autre congrès de Berlin à se réunir et à obtenir, aitosi, mandat des puissances d'entrer au Congo et do faire bénéficier ®ette région d'un gouvernement humain .allemand, Les doux hommes les plus actifs à dénoncer ^administration belge au Congo? c'est intéressant de 1^ noter, étaient Roger Casement et E^DJiHorel (xx) MORT DU LITTERATEUR AUGUSTE HE2TDRIKXr~ Le journal "La Patrie Belge1'' (30 juin 18) consacre, au littérateur flamand Auguste Hendrikx, l'information nécrologique oi-après % "Il débuta dans la oarrière aïMs-tique comme sculpteur; puis, il é» orivit des ôhansons,des nouvelles ot, vers 1880, publia ses prômiors vaudevilles, dont 1e succès fut retentissant en pays flamand et ôn Hollande. Quelques-uns ont été traduits et joués en français,en anglai» . et en wsullon» primadonna et pierro1>rioo.-, entre autres, firent les beaux soirs du Théâtre WalLcri de Liège, "Auguste Hendrlkx laisse une oeuvre-^oonai^iaaraible : vaudevilles, comédies, dramas; tout' d'une sinpliolté et d'un naturel exquUuErului, disparaît le plus renommé des vaudevillistes flamands"»

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