Informations belges

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s.n. 1918, 11 Novembre. Informations belges. Accès à 28 mars 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/br8mc8vr42/
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N° 867 11 Novembre 1918 INFORMATION BELGES Observation important Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur texte de presse ou sur document. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe Adresser les communications de servioe : 29, rue Jacqaes-Louer, LE HAVRE (Seine-lpférieure) France. Une exposition de beaux-arts belges au Japon. — Pour la première fois, une exposition de tableaux belges s'est tenue au Japon. Cette manifestation artistique et en même temps de sympathie envers la Belgique, a eu lieu dans les locaux Mitsukoshi, à Tokio, au cours de l'été 1918. Il s'est agi, il est vrai, d'une entreprise de très petite envergure, comme il sied d'ailleurs à toute œuvre débutante Elle a pu se réaliser grâce à l'initiative d'un artiste belge M. Edouard Claes, réfugié à Londres, et de deux de ses amis japonais résidant aussi dans la capitale anglaise, MM. Kazunori Ishibashi, artiste comme M. Claes. et Kaneo Manjo, négociant. Tandis que M. Claes s'occupait de réunir quelques toiles dues à dos peintres belges, M. Ishibashi, que des affaires privées avaient rappelé au Japon, se consacrait à y organiser l'exposition projetée. Celle-ci a présenté au public nippon, en même temps que des œuvres d'artistes anglais, une vingtaine de tableaux signés De Bruyker, Jef-freys, Michaud, Montigny, Wae^emans, George Cl^ifêen et Ed. Claes Le nombre considérable de visiteurs que cette exposition a attirés, ainsi que la facilité avec laquelle toutes les œuvres des artistes belges y ont trouvé des acquéreurs, ont montré combien les Japonais s'intéressent à notre art et l'apprécient. Il semble d'après cette première expérience que des manifestations de ce genre pourraient être utilement répétées, après le rétablissement de la paix, lorsqu'il y aura moyen de leur donner une importance plus en rapport avec le développement artistique de la Belgique. (xx) — Sans la Belgique la guerre était perdue pour l'Entente. — Le lieutenant-colonel français Fabry, écrit dans le quotidien parisien Oui, le 9 novembre 1918 : Les hommes n'auraient pu être recrutés et formés, le matériel n'aurait pu être imaginé et fabriqué, les avions n'auraient pas grandi et les tanks ne seraient pas nés si un front inviolable n'avait pas été bâti de Nieuport à Belfort. Et ce front lui-même n'aurait pu être bâti sans la victoire de la Marne. La Marne, elle-même, aurait-elle eu lieu sans Liège et sans Namur ? Nous avons vaincu parce que la Belgique a préféré se battre à un contre cent que se déshonorer. (xx) — Les Alliés doivent amener la restauration de la Balgique au delà de ce que nous pouvons arracher à ses conquérants sans vergogne, — dit Lord riobart Gecii. — Au cours d'une réunion tenue par l'Anglo-Belgian Union, le 6 novembre 1918, à Londres, en l'honneur de Lord Robert Cecil. celui-ci, après avoir assuré que le gouvernement britannique éprouvait beaucoup de sympathie envers la Belgique et portait à celle-ci un profond intérêt, a dit, notamment, d'après le Times du 7 novembre 1918 : « Nous devons une profonde gratitude à la Belgique pour le courage dont elle a fait montre en prenant parti pour la justice et en appelant à son aide tout ce qu'il valait la peine d'avoir dans l'opinion du monde. Nous devons prendre garde de reconnaître l'obligation à la gratitude qu'entraîne ce grand sacrifice. Les Alliés doivent assurer la reconstruction et la restauration de la Belgique au delà de ce que nous pouvons arracher à ses conquérants sans vergogne.» « Le gouvernement britannique s'est soucié de ses obligations à ce point de vue. 11 (Lord Robert Cecil) ne visait pas seulement la «^Commission for the Relief of Bel-gium » aux travaux de laquelle, avec les Alliés, il avait participé d'une façon importante. Outre celle-ci, un Comité officiel, le « Comité de Commerce anglo-belge », s'était réuni dans ce pays, dont le but était d'assurer que la Belgique, à tout le moins, ne tombât pas sous la domination allemande. « Les temps ont changé — conclut Lord Robert Cecil. — La Belgique entre en convalescence Lorsqu'elle sera guérie, elle se retrouvera plus forte, admirée par l'univers et, en ce qui concerne l'Angleterre, unie a ce pays par des liens d'amitié plus étroits qu'auparavant. » (Applaudissements.) (xx) — Les procédés des chefs allemands n'ont pas changé.—Les procédés des chefs responsables de l'armée allemande n'ont pas changé. A preuve l'ordre de la première division de réserve bavaroise, en date du 5 octobre 1918, signalé il y a quelques jours (/. B., 864) et qui est bien caractéristique à cet égard. Il portait, notamment : « Il est donc strictement interdit de porter la moindre aide à la population civile (belge). Seuls les intérêts militaires doivent entrer en ligne de compte. Les produits du pays doivent être utilisés uniquement dans notre intérêt et non dans celui de la population ». Ce passage est à rapprocher d'une phrase écrite par le général von der Boeck, dans le Tag, du 29 octobre 1918 : « C'est notre intérêt qui seul doit nous guider ». (xx). — La Bavière aurait confisqué douze wagons d'objets volé^ en oeigique par les Allemands. — D'après les Diisseldorfer Sachrichten, douze "wagons, plein d'ameublements complets, y compris des pianos, des glaces, des ustensiles de cuisine et

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