Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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s.n. 1914, 29 Novembre. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Accès à 18 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/rv0cv4dc1c/
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manche 29 novembre 1914 19 centimes le numéro d8"® année —■ N° 511 JOURNAL DE GAND ABONNEMENTS : BELGIQUE : 16 (rases par an ; 7-50 francs pour six mois ; 4 francs pour trois mois Pour l'étranger, le port en sus 0sr*mmmm^mmm3œm^ttaessssasTssaeaBsss)eegasm RÉDACTION & ADMINISTRATION : S. RUE DE FLANDRE, 3, GAND j TÉLÉPHONE 866 ANNONCES > Voir le tarif au bas de la dernière page du Journal. LA GUERRE F ides à Qui de Droit Chauffoirs publics Plusieurs locaux où, en d'autres ;mps, les sans abri trouvaient à : e enauffer et à se reposer sont ctuellement fermés au public, ! iourne citer que les salles d'at- ; •nte des gares et l'emplacement e la correctionnelle réservé au iblic. : Le nombre des gens qui arpen- 1 nt nos rues, en quête d'une aide s uelconque, est aujourdhui décu- j lé et l'hiver précoce augmente ' ncore les souffrances de ces 1 lalhçureux. Le charbon est, peut-être, ' •op rare et trop cher pour qu'on uisse ouvrir plusieurs chauffoirs ; ublics qui n'auraient que cette 1 estination, mais nous deman-ons aux Autorités et même aux articuliers ou du moins à des Dciétés et institutions privées |i'examiner s'il ne serait pas possible d'admettre le public, â cer-MSines heures, dans des locaux ui doivent être chauffé tout de ême... peut-être quelques usi- ; is; peut-être certaines classes asses après les cours; peut-être ts cercles privés, patronages ou îtres lieux de réunion. Du pain pour aumOnes Les ménages seront bientôt itionnés en proportion des mem-es de chaque famille. Mais sur aoi va-t-on prélever la « tartine u pauvre »? Les occasions de faire l'aumône int actuellement bien nombreu-is, il est cruel de devoir refermer le porte, sans rien donner.... et, ut le monde ne peut ou ne veut is donner de l'argent, non sans ison. La tartine, secours immédiat, imône des maisons les plus imbles, va-t-elle devoir être ipprimée, ou les braves gens en Tont-ils réduits à se priver de ndispensable, ce qui les expo-:ra à devoir choisir entre le cœur : l'estomac? Si l'on créait des « bons » spé-aux, moyennant lesquels chaque énage pourrait se procurer un ipplément pour la charité? La Insommation générale ne s'en mverait pas augmentée de fa- 1 n gênante pour la masse de la ! Sjulation. Ces bons suppléments pourraient coûter un peu ' Wcher que les autres. On pour-jt aussi y recourir iorsqu'on au-it à nourrir des visiteurs, des «vives ne faisant pas « partie i ménage ». »ur les fournisseurs de ceux qui ont quitté Gand. Parmi les Gantois qui ont cru 'portun de quitter leur ville, il y : 'a pas mal, ait-on,qui ont oublié ' 'partant de payer leurs dettes 'ménage. rendant combien de temps ces tts capitaux, dont bien des urnisseurs ont besoin dans les ups actuels, resteront-ils indis-•nibles ? Est-ce que les comités qui dé- 1 ndent les intérêts de la petite Hirgeoisie ne prendraient pas utiative de mesures «générales» Dédiant à cet état de choses ; lr si chaque fournisseur doit agir 1 particulier il s'expose à des Jis et il risque de mécontenter :s clients qu'il tient sans doute conserver plus tard. Sans aller jusqu'à demander des jugements et à opérer des saisies, les fournisseurs ont un moyen de rendre les sommes qui leur sont dues productives d'intérêts. D'après la loi du lr mai 1913, es intérêts légaux sur les créances des fournisseurs courent à partir du troisième mois de la remise de la facture et cette remise seut être prouvée par divers Tioyens, tels que l'envoi d'une ettre recommandée à la poste. La poste étant supprimée, il suffirait d'un règlement autorisant es fournisseurs à remettre les actures à l'administration communale, comme cela se fait pour es exploits d'huissier lorsque le destinataire est absent. Ces fac-:ures seraient transmises à ceux qu'elles concernent, au moment Je leur rentrée en ville, mais il sxisterait une preuve de la date à aquelle les intéressés ont fait les diligences voulues. J- A BRUXELLES Bruxelles, 26 novembre 1914. Le gouvernement militaire allemand îe manque pas une occasion d'engager les îelges qui se trouvent sous son autorité à reprendre au plus tôt le cours de leurs Dccupations et à recommencer les affaires. Cette thèse est aussi celle du plus important despetits journaux qui essayent de satisfaire, autant que le permet la censure, la soif de nouvelles de nos concitoyens et de prendre la place laissée vacante par la disparition de tous les anciens journaux bruxellois. Le journal en question est commandité par deux agents de change jui eurent jadis maille à partir avec la justice et il est rédigé par un journaliste le la presse française, il n'est donc pas îtonnant qu'il ait cette attitude. Mais ce n'est point celle que nous conseillent le gouvernement réfugié au Havre st les journalistes belges qui ont transporté à l'étranger la rédaction de leurs journaux. Ils nous prêchent une héroïque résistance passive. Cela leur est fort commode, à ceux qui se sont mis à l'abri et jouissent paisiblement des petits profits de l'enthousiasme pi'a provoqué chez nos alliés l'héroïsme les Belges qui se sont battus. Legouver-lement belge d'ailleurs ne va pas aussi j ^in puisque, s'il a défendu aux agents' les postes et du chemin de fer de conti-îuer leurs fonctions, il a autorisé, au iontraire, pour que nous n'ayons pas une idministration complètement allemande, es magistrats à rendre la jusice et les igents du département des finances à issurer la rentrée des impôts qui doivent l'ailleurs être affectées aux dépenses de .'administration. Mais pour en revenir à la reprise des iffaires, le voudrions-nous que nous ne le pourrions. Sans moyens de transports, sans com-nunications postales, sans télégraphe ni téléphone, comment pourrait-on se mettre m travail et conduire des transactions :ommerciales ? Ce ne sont pas les quelques tramways et ïhemins de fervicinaux qui voyagent dans a banlieue de Bruxelles qui peuvent nous ! aider, cela peut servir à faire des pro-nenades et des excursions — que le temps îe permet plus — à aller visiter les •uines d'Eppegem ; mais c'est tout le bout lu monde. * * * Les voyageurs ne sont plus admis dans es trains qui circulent sur la ligne de Lîége; il est encore une fois arrivé un iccident sur le plan incliué d'Ans, et l'on x réduit le trafic de ce côté au strict minimum, c'est-à-dira qu'il n'y a plus que es trains militaires qui circulent. Toute l'activité de notre réseau de che mins de fer se résume en ceci : il y a un train par jour — aller et retour — pour Mons, un pour Courtrai, un pourNamur; il y en a aussi un pour Lille avec retour le lendemain seulement. Les communications entre Anvers et Charleroi sont assurées par des trains qui vont retrouver à Louvain l'ancienne ligne duGrandCentral. Les voyages avec de pareils détours et même ceux qui vont par voie directe sont fort lents — on met d'après l'horaire 2 1/2 h. pour aller à Mons et 4 heutes pour aller à Namur; et ils sont de plus coûteux car, indépendamment de la taxe de 10 centimes par kilomètre, qu'on s'est ingénié à rendre aussi productive que possible en allongeant des parcours — c'est ainsi que le train pour Tournai et Lille part de Bruxelles-Nord et celui de Courtrai de la gare du Luxembourg — indépendamment de cette taxe qui vous permet de voyager en 3° classe, il est prudent de se munir à chaque voyage d'un passe-port qui coûte 10 francs. fT T\ A AMERS La Presse Les petits journaux bruxellois, qui ont fait leur entrée dans la viile en même temps que les troupes allemandes, ont. vécu ce que vivent les roses... d'arrière-saison.Peu de temps après le bombardement, trois journalistes, de couleurs politiques différentes, mais animés de sentiments ultra-flamingants, ont fait éolore une feuille du matin, De Antwerpsche Tijdtn-gen, qui dans son second numéro alta-j quait vivement les journalistes hollandais, les accusant de ne pas connaître suffisamment le flamand et de ne pas être assez puristes. « Non hic oral locus ! ». Heureusement quelques littérateurs fla-; mands ont quelque peu racheté la mauvaise impression première en publiant des articles d'un grand souffle patriotique et d'une réelle envolée poétique; Ce journal, lors de leurs anniversaires respectifs, a, du Roi et de la Reine des ïielges, publié des portraits fort ressemblants, dédiant à nos souverains des « premier-Anvers •• exprimant l'admiration de tout un peuple pour ceux qui ont su remplir leur devoir pendant ces périodes tourmentées. Ces articles ont été. fort remarqués. Le Handelsblad a fait sa réapparition presqu'en même temps que La Presse. Le llandelsblad, grand journal meetin-guiste, a fait diverses professions de foi très libérales. Sa rédaction, qui pendant ; tout le temps de la guerre, s'est montrée très réservée, se trouve fort à l'aise aujourd'hui et on sent dans ses éditoriaux bien plus de franchise que dans ceux do la Presse qui, en août, et eu septembre derniers, a voulu essayer d'emboîter le pas à sa consœur la Métropole, qui a mené une campagne de presse violente, presque haîneuse, contre tout ce qu'elle croyait être allemand. Le hasard a voulu que des bombes allemandes vinssent visiter la rue des Peignes et détruisissent oom-plélement, « par le feu et par le fer les ateliers et les bureaux de ce dernier journal De tout ceci il ne reste plus rien aujourd'hui. Les mauvaises langues voient en ceci « le doigt de Dieu », je n'en crois rien, car je ne puis reconnaitie aux pointeurs allemands le talent de viser à quinze kilomètres de distance, avec une telle précision, qu'ils puissent atteindre un immeuble déterminé, encastré dans des bâtisses diverses et entouré de monuments et de hautes constructions. C'est du hasard pur ! La Métropole aujourd'hui a fixé ses pénates à Londres. Un journal anglais lui réserve une de ses pages, où avec son entête habituel, inséré au milieu du texte anglais de ces autres pages de ce journal, La Métropole continue à publier en français des articles sur la guerre à l'adresse des nombreux réfugiés belges et français habitant l'Angleterre, De Nieuwe Qazet et De Gazet van Antwerpen, deux journaux populaires anversois, l'un libérai, l'autre catholique, ont également revu le jour, mais sous un un format diminué. Le premier qui, au cours de la première partie de la guerre, était irès bien renseigné et avait recueilli beaucoup de lecteurs nouveaux, se trouve naturellement réduit à se contenter des bribes de renseignements que la censure laisse pénétrer jusqu'ici. Le Nouveau Précurseur et Le Matin ne paraissent temporairement plus, et je me demande s'ils ont tout à fait tort, dans les circonstances spéciales où l'on se trouve ici, oû s'agite la fameuse question des réfugiés et des non réfugiés, dont je vous ai déjà entretenus. Je crois, en effet, qu'il est dangereux, pour le moment, au point de vue de l'union des Anversois, de trop discuter cette irritante question, et pourtant, comme journaliste, il n'est pas possible de publier un journal à Anvers, sans rencontrer celle-ci. De Nieuwe Rotterdamsche Courant trouve à Anvers, grâce à ses deux éditions, beaucoup de lecteurs. L'on a souvent et longtemps jeté la pierre à. ce journal, à raison de ses tendances germanophiles. Je lis régulièrement la Courant et je dois avouer que celle-ci en publiant des extraits des divers journaux aux tendances les plus opposées et en reproduisant intégralement les communiqués officiels des deux grands états majors permet fort bien au public intelligent de tirer des renseignements y donnés telle déduction que de droit. J'irai même plus loin, les éditoriaux sur la guerre réduisent, avec imparlialitë, à leur juste valeur tant les bulletins de victoire des Allemands que les nouvelles de gros succès des alliés. Nous avons malheureusement tous le défaut d'être impatients et no pouvoir attendre la suite du développement des événements. Nos imaginations surexcitées forgent involontairement, d'une façon réflexe, des nouvelles que nous déduisons de renseignements souvent eux-mêmes incomplets ou inexacts, et déçus de ne pas voir confirmer ces bulletins de victoires imaginaires, nous nous en prenons trop souvent et trop facilement à ceux qui, plus sages et plus pondérés que nous, ne peuvent et 110 .veulent pas uniquement prendre ne s désirs pour de» réalités. P. V. I ,, La Guerre Sur le front occidental Bulletin allemand affiché à Gand. 26 nov , 6.30 heures. — Les attaques françaises près de St-Hi-laire-Soudin ont échoué avec grosses pertes pour l'ennemi. Près d'Apremont, les troupes allemandes font des progrès. Autrement la situation reste inchangée-Communiqué anglais du bureau officiel de Presse. Londres, 25 nov. (Reuter). — La situation sur le front est inchangée.I Nouvel engin de guerre La « Nieuwe Rotterdamsche Courant » nous apprend, d'après un témoin occulaire,qu'un nouvel engin de guerre allemand est arrivé sur le champ de bataille. Il s'agit d'un canon silencieux, qui travaille soit mécaniquement, soit pneumatiquement. On n'en tend pas de bruit quand le projectile quitte la bouene. Le premier effet qu'on en aperçoit est l'explosion.Communiqué officiel français. Paris, 25 nov-, 3 h. de l'après-midi (Reuter). — A partir de la côte, jusque Ypres, les Allemands n'ont fait aucune attaque. Nous avons gagné du terrain entre Langemarck et Zonnebeke. Dans les environs de La Bassée, les troupes indiennes ont repris les tranchées qu'elles avaient dû abandonner la veille au soir. A Berry au Bac et en Argonne nous avons avancé légèrement. A Béthincourt, au N.-O. de Verdun, une attaque allemande a été repoussée. \ Notre artillerie a bombardé Ar-noville, dans le voisinage dePont-à-Mousson.Communiqué officiel français. Paris, 25 nov., 11 h. du soir (Reuter,). — Pas de changement dans la situation. Les faux bruits en France Paris, 26 nov. (Wolff). — Une note officieuse explique que ces derniers jours de faux bruits s'étaient répandus à Paris au sujet de l'évacuation de plusieurs villes au nord de la France. Le public n'a heureusement attaché aucune foi à ces bruits. Le gouverneur militaire de Paris est du reste décidé à poursuivre sévèrement ceux qui répandraient de ces bruits tendancieux. Sur le front oriental Bulletin allemand affiché à Gand. I Nov. 26, 6,30 heures. — Les! troupes du général Mackensen ont jj occasionné au premier, au [second £ et à une partie du cinquième corps jj d'armée russes près de Lodz et de -Lowicz de graves pertes, leur ont pris 40,000 prisonniers, 70canons, 160 wagons de munitions, 156 mi-mitrailleuses et ont mis 30 canons hors d'usage. Nos jeunes troupes se sont bien comportées. Lerésul-tatdécisif n'est pas encore obtenu. Communiqué officiel allemand Berlin, 25 nov. (Wolfï). — En Prusse orientale nos troupes ont repoussé toutes lesattaques russes. Une contre-offensive des troupes russes de la région de Varsovie n'a pas abouti dans le pays de Lowicz-Strykow-Breziny. Egalement dans la région à l'est de Czenstochowa, toutes les attaques des Russes contre notre front ont été repoussées. Communiqué officiel autrichien. Vienne, 25 nov. (Wolff). — La lutte continue violente dans la Pologne russe. Jusqu'ici nos troupes ont fait dans cette bataille 29,000 prisonniers et ont pris 49 mitrailleuses et beaucoup de matériel de guerre. Buda-Pcsth, 25 nov. (Wolff). — Il est confirmé que les troupes russes qui s'étaient avancées dans le comitat Ung ont dû se retirer, de même que dans le cornitat de Zemplin. Communiqué officiel russe. De l'autre côté des cols des Carpathes nos troupes entourent des forces considérables dans la région de la station Mezô-Laborcz (au S. S. O. de Sanok, dans le comitat Zemplin). — Ici nous avons fait prisonnier un général, 40 officiers et plus de 3500 soldats, nous avons capturé trois trains et plusieurs mitrailleuses. A l'entrée de la plaine de Hongrie nous avons occupé la ville de Homonna;au S. de Mezô-Laborcz, sur le Laborcz). Dans les Carpathes. Berlin, 25 nov. (Cor. Norden). — D'après un avis de Buda-Pest les troupes austro-hongroises ont pris l'offensive dans les Carpathes et ont serré de près une aile de l'armée russe, en lui infligeant une défaite sensible. Notre artillerie, mise en position sur les montagnes, bombardait les troupes russes des deux côtés, ce qui fut suivi par une charge à la baïonnette. L'ennemi laissa beaucoup de morts et de blessés sur le terrain. Communiqué officiel russe Petrograde, 25 nov. (Pet. Tel. Ag.). — La bataille près de Lodz continue toujours. De nombreuses forces allemandes, qui, le 20 de ce mois, avaient pénétré dans la région Shykow-Brzeziny-Koluski-Rzgow-Turzijn(c.-à-d. au N.-E, ii. et S. de Lodz) et qui ont été pressées par nos troupes font maintenant des efforts surhumains pour se frayerun chemin vers le nord. Dans la contrée au sud de la station de Koluszki (à l'E. de Lodz, sur la ligne de chemin de fer Var-sovie-Petrokow-Vienne), des divisions ennemies éparses circulent. Nous avons fait des prisonniers et capturé de l'artillerie lourde et de 1 artillerie de campagne. La batailledeLowicz(c.-à-d.au N. de la région susdite, sur laBzu-ra, au N. O. de Lodz) inclinait hier en notre faveur. Dans la bataillesurla ligne Czen-tochowa-Cracovie nos troupes obtiennent un avantage marquant. L'Artillerie japonaise Suivant un avis de Pétersbourg au « Correre délia Sera », l'artillerie lourde japonaise coopère au bombardement de Przemisl. ^ L Etat-majorrusse a abandonné l'idée d'un nouvel assaut, qui coûterait trop de sacrifices. 11 donne la préférence au bombardement. En Serbie Communiqué officiel autrichien. Vienne, 26 nov. (Wolff). — On communique du sud du théâtre de la guerre : En livrant de violents combats nos troupes ont passé les parties marécageuses du bas Kolubara et ont gagné partout du terrain dans les hauteurs est. Plusieurs attaques des troupes de réserve ennemies, ont été repoussées avec fortes pertes pour l'adversaire. Nous avons fait beaucoup de prisonniers. Au sud-est de Valjevo nos troupes ont franchi les cîmes neigeuses de Meljen et Suvotor. Elles ont fait à nouveau dix officiers et plus de trois cents soldats prisonniers et pris trois mitrail- leusseus. ♦ Sur le front russo-turc Communiqué officiel turc. 1 Constantinople, 25 nov. (Wolff). Le mauvais temps continuel entrave pour le moment nos mou-

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Cet article est une édition du titre Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Gand du 1856 au 1923.

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