Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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s.n. 1914, 15 Mai. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Accès à 28 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/833mw2992f/
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Vendredi 15 IV Franco en Belgique Un an : » » 6 mois » >3 mois : Franco en Hollande Un an ; > Union postale » On s'abonne au bureau duj et dans tous les bureaux de administration TÉLÉPHONE 567 JOURNAL DELIÉGE FEUILLE POLITIQUE, LITTERAIRE ET COMMERCIALE. - FONDEE EN 1764 Annonces. » 0 la ligne, i Réclames » A Faits divers. . . . » 1 Réparations judiciaires » 3 Informations financières » 3 Avis de sociétés 3 Émissions. Elections Législai Du 24 Mai 1914 ARRONDISSEMENT DE L1 LIBÉRAUX- U Votez pour le N° i *£jj CANDIDATS EFFECTI VAN HOtGAEHOEN-BSACONiEH. Paul { Industriel) ancien député, an- f cicn sénateur. NEUJEAN, Xavier Avocat, député, conseille»* com- 1 munal. JOUflNEZ, Alfred & Avocat, conseiller communal. J BÛULANGEK, Victor Cultivateur, bourgmestre, con- j seller provincial, ^eaufays. f CHAUft/lONT, Léor>o!d Avocat, conseiller communal, ? Herstal. [j DELAITE, iulion Industriel, conseiller communal é e' provincial. £ PONSON, Auguste Médecin, bourgmestre, Jupille. § - GJELEN, Gustave h Industriel, Seraing. ^ «JANSSEN, Albort Fabricant d'armes. P? HODEIGE, Victor Bourgmestre, E Grivegnée. $j ' 'm NO'.iirALISE, Jules Avocat, conseiller communal. g J BODY, Jaccjuos Ingénieur agricole, «f Hollogne-aux-Pierres. g| COLLlGNGN, Thôodule Avocat, CANDIDATS SUPPLEAI DREZE, Julien Avocat, conseiller provincial, Warsage. g DIGNEFFE, Emile Industriel, conseiller communal, || NEEF, Léonce* Avocat, conseiller communal, fy Tilff. B té BE ivjARCOTTY, Joseph Industriel, bourgmestre, Angleur. g MALLiEUX, Fernand Avocat. J£F«NISSEN, Emile Avocat. ÉTRANGER FltANCE Un sérum mis à l'index Paris, 14. — Le conseil syndical di solennel non gradé des hôpitaux \ie •formuler une protestation contre 1 jrurn antityphique des professeurs Cl messe et Vincent, qui, d'après eux. e •eu pour plusieurs infirmiers et infirn 'le la Seine des conséquences funeste: Le personnel a été vacciné par ord l'administration. Or, le syndicat de •que le sérum a provoqué la mort de ; Anna Lorenzi, de Beaujon, et ûhàti de Necker, et Que Mines Brunet, de boisière, et Babillot, de la Charité, or très malades. Cette dernière s'étant pée pondant la période d'incubation a dû l'amputer d'un bras. — Nous prendrait-on pour des cob s'écrient les infirmiers. Leur protestation a pour but de suspendre l'injection du sérum. Ils se déjà adressés au syndicat des ir.éd1 de la Seine, et ils espèrent que l'adn tration fera droit à leur demande. Incident de frontière Paris, 14. — Une dépêche de Nan'c; Vêtit Parisien annonçait ce matin que officiers allemands en tenue, sabre au avaient pénétré sur le territoire fran près do Mailly-Seille. Suivant une dépêche Havas les deu: ficiers, après s'être retirés en territoire nexé sont ensuite revenus sur leurs p. pour gagner le village de Secourt aur; a nouveau parcouVu deux kilomètres < ron en territoire français. Ces deux offi appartiendraient l'un au 98e régiment fanterie, l'autre au 12e régiment saxo; garnison à Metz. L'héroïsme d'une femme Paris, 14. — Cette nuit, vers 3 heure matin, M. Poulain, garde-sémaphore c compagnie du Nord, sur la ligne de 1" à Chantilly, a été blessé mortellement un coun de revolver tiré nar un inr r |9 La femme du gardien accourut ù pels. Elle dut à plusieurs reprise il V vi rompre les soins qu'elle lui donn faire son service et empêcher qu'ui trophe se produisit sur cette ligne quentée. A 3 1.2 heures, Mme Poulain p ter un express et son mari y fut LUti expira bientôt. Mme Poulain conti service et ce n'est qu'à 6 heures d qu'elle put être remplacée. L'auteur de l'attentat, qui s'est ei jVTjjw pas encore été retrouvé. ^ La faillite du Pulsocor Paris, 14. — Macau/ra, poursui que dix autres personnes, pour illégal de la médecine et cscroqu l'occasion de la vente d'un app£ massage vibratoire, a été condamne ans de prison et 3.000 francs d'an Neuf des autres inculpés, qui fu I collaborateurs de Macaura à Pari province, ont été condamnés à des variant de 2 mois à un an de prise 100 à 500 francs d'amende. Trois eux bénéficient du sursis. Un des ] est acquitté. -|-,q Des syndicats de médecins, qui s portés partie civile, obtiéruwïlt de y,.r- -n mages-intérêts variant d^ \ 000 à ' ...^ tribunal a écarté le délit d'i illégal de la médecin^ pour ne rete towSI 1 escroquerie. fil allemaose Cbndamne Colnuu\ îi = Comme nous l'av( ïioocê» \'c. nient de la kigue ail, méSl tles armements, le famfcUSc général a comparu devant te tribunal des é Colmar. il était poursuivi i^àr ) SPOig nal le A'CW)elliste <VMMWJànaiiu ÉS offenses envers lç.rv'uple d'Alsace-gï5 ne en général ** M. Wetterlé, dépu j£j) deuxième Chambre, en particulier, ses contenues dans un article publ IfÊxpW lF Ber^n» dans lequel le i WzMÊ J'ni reProchait aux Alsaciens nié ,eur ""Sine souabft ^our Se jete tête de la FrMWfc L'auteur de l'ar voyait unp t'V'ouVe Je servilité, et il yx ph sait» ew OUtre, M. Wetterlé de làchet ^ T>" tirait pas les dernières MUen.ces du ses sympathies pour la. I' i'f Nouvelliste était p Helmer, avocat. i\ U\ ftViii a appel d mar. Me HélwWv" % etiibli que les o: vp&hsfyunt es. peuple alsacien étaient do la fable et que dès les tre tH quinzième siècles, l'Alsace était soi fliK-ncû de la civilisation française trouvait en conflit avec les SOU&befc " tre-Rhin. L'avocat a fait valoir énsui 1 ^\'ettorlé a.fîit d'ilîîfe ft\a'ni^ l'$ frandhc, tandis que *V«VfèftSeurs d onanisme ^e U. Kigùe des armemer ^« représentants du pan: pçjfpjsS Autriche, se cachent sous u n^Tit anonymat. L'avocat du général Keim s'est co fie répéter les affirmaticpns content»^ l'article- incriminé. sj® Le tribunal. a. <^lîYi\c que l'article injurieux <^i général pour la populati digèi^. d'Alsace et pour M. Wetterl 5V>ni.iellement et a condamné le g Keim» ainsi que nous l'annoncions ) Pllll 200 mark d'amende et aux |M ITALIE Noy^iles secousses en Sic Satané, 14. — Cette nuit et ce ma a ressenti à Milo, Lingua, Glosso, [■mo Venerino et Giarre, des secousses r^i de tremblement de terrp. tlonv. que unes fortes. Elle^ pVoduit un \ v nique pav-wi î'a population, mais RjjgdH n'ont <>'i.\hse aucun dommage. L'Etna continue à lancer de la fui des cendres. aTiriioUiÊ discours du trône Constantinople, 14. — La nouvelle ( ^^0 l)i'e se réunira demain. La cérémonie Sggaji des plus solennelles. Le sultan, er de.; princes de la famille impériale, vi la présider. Y assisteront, d'autre pai aif mbres du corps diplomatique en ; uniforme, les principaux diignitain 1 Empire, ainsi que les représentants presse locale et étrangère. Le discours du Trône, qui sera lu d( ivSaa m nrésence des sénateurs et député gnalera entre autres, le besoin de rc Niiïî dation du pays. Dans ce discours, 1< VCI'ain montre que les ennemis de 1 OB3 tlie (,nt su i'rofiter des troubles du exploiter h leur avantage une siti créée par un ministère peu averti d< mtmm térùts turcs, et recueillir, grâce à lei telliçrence et à leur persévérance, R beaux lauriers. Toutefois, il est néce de blâmer certaiJns dhefs militaire: n'ont pas compris les responsabilité leur incombaient. Il no faut pas oi d'autre part, que l'armée turque a eu cellents capitaines, comme le très re Mahmoud Chevket pacha. Celui-ci ; L per- un° i-esogne excellente, et bien qu' nt de succombé lui-même sous le fer d'un . 3 sé- •>i œuvre n'aura pas été vaine iante- Parlant ensuite de la question de: lirait !° sultan espère que l'on parviendr îières î°ur à trouver une solution favorable . protéger les intérêts essentiels du pa; re de L)'lnr" son di£cours, le sultan insist clare coro sur les Questions d'ordre éconoi dmes ct financior- 11 constate epie les raj ■lain (le ,a 'l ur<luie avec les grandes puiss Luri- ?ont ')ons> qu'ils s'améliorent de joi t été J0U1! e* <?ue ^es. relations avec les Etat cou- ^^u'Ques ont été reprises. Si le pays, " c!ut-jl, veut avoir la paix et la traj ' lite. qu'il augmente son armée et sa : 'Lves Du reste> en amendant la constitutio ' ' ' lois, les anciens traités, en équilibran foire» budget ,1a nation ne fera que se pré sont des J'0urs memeurs- s bulgarie Les responsabilités de la secc guerre balkanique Sofia, 14. — Une sensation profon <\ au été causée à Sofia dans les cercles e aeux m a tiques par la publication du texte cote, télégramme envoyé par le général S Çais> au premier ministre, quarante jours ( l'ouverture des hostilités dans la deu? c °*~ guerre des <B'alkaris. Le général s'e an- niait ainsi : l? I.1 semble certain que même si lient réussissons à conclure la paix avec la m vi- quie, nos alliés se refuseront à reconn :iers nos droits indiscutables dans la régio jn- la Macédoine qu'ils occupent en ce » en ment. Une guerre entre nos alliés et semble donc inévitable. La guerre s accueillie avec enthousiasme par notr niée, dont il serait impossible d'ap ? du le mécontentement si nous faisions e la concessions à la Serbie et à la Grèce nus » Uri autre point important pour 1 par nir de la Bulgarie est d'établir à qui ses ap- s ion s'offre pour nous de l'assure :s inter- Bulgarie par une guerre victorieusi [lit pour rope, dans deux ou trois ans, ne m ie catas- mettra pas d'attaquer la Serbie et lf très fré- Je considère donc que, tout eii sâ dant notre responsabilité aux ye fit arrê- puissances* noua devons provoqu liacé. 11 guerre avec nos alliés, et, par une nua son décisive, les placer une fois pour il matin dans l'impossibilité de mettre entrai tre programme national, Le nioiii îfui, n'a jamais été si favorable qu'à préseï Cette dépêche était signée par le et datée d'Andrinople, 6 mai 1913. . . Ajoutons que le Sobranié discute ,i ainsi plusieurs jours une proposition ton exercice nommer une commission parlem eries, a chargée de faille une enquête sur l •reil (le nements des deux anntjos dê gu à trois d'établir les responsabilités de la et tende. phe nationale. rent les La tendance évid.oii'te de tous les s et en y compris ieS socialistes, est de m peines le pr^tigo du roi Ferdinand, parc n et ue coliune l'a dit Tiluirê jpur M: AÎaiii d eixtré chef du Mrii ^éftidiîi'àll^ué, îa natic nculjpes u exprimer son ressentime ... . P.ne révolution, se rendant compte étaient tinct qu'une révolution ne lui de>i s dom- aucune satisfaction positive, mai*? .000 fr. probablement dey Sliiiës désastreuse: :xercice la Bvij^AVîS, air quo .Cependant, M. Kostourkoff, dépu dical démocrate, a dirigé au Sohran véhemente attaque eontl^ 16 sOUS^è! Il fit d'abord renlaitjuè.r que le nomwaiU le rôï Ferdinand aii comr Jfienl suprême de i'armé^e iî'a pïiô 'ér m afl- tresigné par Xé pHésm'éBt tlli eô'nseil «nanae m s. op. Ait !'è câs quand le feu prii Keim;, B'àtlenliôrg fut mis à la tête de l'arme TtçVîtté gare dans la guerre contre les Ser 5 jour- 1885. , pour — Pour moi, continua l'orateur, Lorrai- évident que l'ordre fatal, du 29 juin é à la d'ouvrir les hostilités îtjs.&Pi: offen- les Grecs o été dofth^ fià? le roi Perd ié par ! r^népii ,> Ce fait doit être établi avant to :ir re- tre par la commission d'enquête. Il « r à la sentiel gue la nation voie clair dans ticle y question, afin qu'elle- puisse prendr accu- moment qu'elle jugera opportun, le» s, par- tions qui lui sembleront. con^« .f°m SUEDE Ltr Mè „ e Col- °n ne cro't pas igines à la mort de Nordens! lu do- Stockholm, 14. — On peut ?ons izième comme inexacts les bruits de l'assa* is l'in- de l'explorateur NordeUsHjold, qVii sOii et. se bablement la côrtëêquenèe Hu^mHnrb^ tfm- de ses ié k'us-ùfflûiôr si Vj'up BOrr;. tue et Les parents de Nordenskjold n'ajc u ger- aucune foi à ces bruits, d'autant que ts, de plorateur lui-même, dans ses lettres, ferma- seille de se méfier des bruits qui cire n pru- e" Bolivie concernant l'anéantissent l'expédition» , ntent^ . Sfîfôii lès dernières nouvelles reçu i^vtVè baron et la baronne Nordenskjold si nent dans la petite ville do Trinida' était Bolivie1. on in- u é per- E»néral „ tï*v M •• lién, Not"Sr3U908 soumissions dans la région de 1 Oran, 14. — On mande d'Oudjda q calme règne toujours autour de Taza De nombreuses tribus continuent ne présenter au. générai :in on obtenir l'amer, ^ii èilê notamment SaiTU les Meknassa et les Beni-Oui t^-éws ' dont la soumission a été acceptée aus lques- car ces Marocains n'ont pas pris pari e na- combats du 10 mai. , . elles De leur côté, 1$» ir.Beni-Re^-(? u :lloi les Ahl-p>ii "ù'ivôye un délégué, i née et i comme l'autorité militaire est certaine 'Oès tribus ont été parmi nos enneni: général Baumgarten leur a demandé amende de guerre. Grâce à la télégraphe sans fil. le lonn-ïs du Marcc oriont-n-t et dl'j Mai'o Iharn- cidental sont en liaison permanente. : sera tefois le général Baumgarten attend à toUr6 cdJnie ■••<■.{ '\ \ehu dans l,â région d^ \ îndrà. Amlîî> pour i'aiiv u ses tn t, le* 1^ m<*ïÉv'e»YVkn'i hn avant annoncé hiei rrand convoi de dix-huit cents chameaux es * de rivé à Taza. Le fi aviateurs assassinés •main De Rabat> — L'enauête délicate, ; e «si suivie par les officiers du sen-ie^ d'ê'^ nWT seignements sur l'as«?»^mât du fcàpi , d!" Hervé ot cftnoral Uoclaftd; Vient ; sou" bou.tir. 1 P?" Ayant atterri non îoiri ^ Stimî coururent énouVittifês eioi'inôl1 l'âiarnu £ S! Sroup^ rn dissidents chargea aussitû ir in^ aviateurs qui se couchèrent derrière u de si r et cueillirent les cavaliers â c ('e revolver, soutenant un sièige hére • ant jusquVi la nuit. s oui Prêtant de l'obscurité &è\vk iniïi; blu^r surprirent les aviat.pu^ nâr elerrière e d'ex- tuèrent à bo'Ot povtant. Des émissaire: ?retté foi,rh'1 19. liste des assassins. l fait Un colonel blessé il ait Paris, 14. — Nous croyons savoir issas- ians un combat récent autour de Taz colonel Giroelon, commandant l'aile ïi îles, de la colonne Gourant!-, a tiVé 1)1(jssô gi a un ment. Le colonel Girodon e^st le cc et à germain de M. Messimy, ancien mil fs. do Ja guerre. e en- nique Relâchement espagnol attac jxirts Madrid, 14. — Officiel. — On mand ajices T? n (llie ^es indigènes ont atta.qvn ir en détachement à Alcazaba et ol\t lâ'ncé 5 bal- bombes a main sur Jes Soldats dont l con- blessés. îquil- L'ennemi a attaqué des campements lotte, ta.lés aux portes de Tetuan, mais il ( n, les bientôt refoulé. t'son 0n uiande de Melilla que les troupe parer d*genes or;l occupé sans incident plus! Positions situées dans la région de ETATS-UNIS nde "-cîs viséor. allemandes sur Kî i ^shrngton, 14. — Le gouvernemei de a u ashington est inquiété par la nou liplo- que l All.eirngTi^ déploie une grande el un 'Vite n. Haïti. ave>ff Le.; finances haïtiennes sont daiifi Lvant état plus mauvais que d'habitude et o; lème que 1 Allemagne', par ses représentants xpn- :••!;: c insenti un emprunt, obtenant ci tour le contrôle de certaines recettes c nous ni'è.res et aussi, d'après une autre ver Tur- s'a surant le droit d'établir une statio aître t'.vi.-ibon au môle S -n-Michaolas. n de Les efforts de l'Allemagne en vue d' mo- nir un point d'appui dans la mer de: nous raïbes, et particulièrement'à Haïti, son erait p::is longtemps un des cauchemars de ' i ar- liington. a-iser Les Etats-Unis ont déii'à le contrôle des dr.:n.no3-de Saint-Domingue, en garant l'intérêt d'un prêt important, et la 'ave- ncctivo de voir l'Allema.:rne agir de n ap- à Haïti n'est pas agréable aux parti ï v&ï Le Conflit Mexico-Âia( >us per- . Grèce. 8 ' UV6gftr_ La prise de Tampico ux des Washington, 14, — Le rapport e er une amiral Mayo, sur Id prise de victoire relate que les rebelles furent ot toutes continuer la lutte jusqu'au cœur d ei J1?* et qu'hier, dans l'après-midi, jusT ;ni il ft mént t»ù on recevait la nouvelle de A 'i Tampico, une fusillade violente général suivait sur la Plazza, tandis que ses pièces de siège continuaient de depuis entendre. ciant a j e rapport du contre-amiral ? entai.^e mentionne ni les pertes en homme & Af doiflhlsj.^f1» matériels. D'après îrre et ageiifs des rebûiitir-, les fédéraux b: .tastro- re<ir;1ite le lonar ele la voie terrée, atteindre t^'u'la et regagner en; uff/Vrti directement la ^apitaje. Les rebe «nager inalires do La voie ferrée de la L * >■' fiépârteillôHt d'Mâi n entam n §esv dtntsment des négociaiîfww ijfin ■ lt„.par des rebelles qu'ils permetteni au gers de retourner-dans !.. région e 'Sî dtfpitl'oio. , r l-e DéipàrteWènl élit éga.iéèilel.lt q ' ^ nér-al Garcia Pena à reiitpiaéé ie \î n o c fi mriiû nnrinii n iSrl i> i! i fiii "m Ia léSfêt —~.K « •• flm La Folitiqiie Inkriiaîîô au Heielisîag >es en " ^ ? Berlin, li. — Au cours de la di; nmf) 021 fôH&Htae lectUl'ê élu budget . }■-.{ re* ''•t,,rtn"»''t\^'-M ;<7'm r^r ? n j le Chancelier de i!iiîilpir«, prêhu mand roie. « Depuis le dernier discours du ît au- jjer j,cjj jt-il, la détente générale ist es- rope- a fait des progrès. Nous e cette que ja liquidation do la situatio; e» par la çri-se 4m '-alkanA &st dé: j^oaie- i»ar i'alvc;)t'aî«>;n les If'i des. décisions de Londres et de Bu comme Jb-asj de la paix. Il faut ment souhaiter iqju'aucune des par mettra obstacle à l'exécution de c îjold tés ei que le;-; difficultés inévitable dérer in! S1 boulevorsernsnt s'arra: ^inat à l'an\iabip.- . 4 t ¥• W* ëspt'ie que J.a. re H'iVn ti-u: ile l'L'mp'.i , ri if if; i'o léclois ^tre que favorisée et (lue le régime paix, parmi les divers éléments d •utent ritoires •no..\cllefaienî partagés, arri l'ex- s'établir pratiquement, con- 'von Jagow loue l'attitude sage, ulent r^e médiatrice de la Roumhnie ; u on <3 q"'fl pBi'cuvt:rel<i Uaifij pv»iK.,c:u« ;s, le d'accord ajve-1. ses anciens alliés, il c sjôur- rera au maintien, de la ".aix étab] 1, les décisions de Bucharest et de L< (Mi(s. ^npl^u.eM'ssQmentjS),• j r; i hy i) jjî 1-i W i p R » ' qj H 'OhtlM Fh\<- Êliiet' 'Là-présent resteront aussi tes nôtre l'avenir. Sans méconnaître les droits intérêts de., autres puissances et av "aza pleine sympatihie pour le dévetop] ue le des Etats balkaniques, nous seron jours prêts à détendre énergiqueme •à po propre^ întérêts^et r;&a^de nos^allié jollis Ou Gî. 'iiiaiiel il y aura ïiiOtil , les faire. (Vifs applaudissements.) iane, M. von Jagow continue : Nos rs sitôt, avec la Kussie ont, ces temps de aux beaucoup préoccupé Voppiori jjiib.liél Cbiinri'liér réfercSfe loui pâniciiiièi n et de ne pouvoir vous dire lui-même nais, suit : Une condamnation contre les ; que nautc-o allemands a, ces temps de s> je produit une vive sensation. Nous avoi une le gouvernement russe de nous con quer les dispositifs du jugement. Jus ; co* -ié. ue pute «l'étendre davantage sui [j i)Ci affaire; Incontestablement le mou^ l'où- germanophdbe déjà ancien d'une pa ue lç ,a presse russe; s'est; ces temps dé bueu accentué tdtjjour^ davantage (vif i Uj)C^ meiit. d'attcniioil) êt a p.v&%fruê uni Un pagne pres(iue systématique sous les t ar. les plus diverses. Ceux qui entreti cette: campagne ne peuvent s'étonne finalement, l'écho leur répond ce qu a crié. (Vifs applaudissements.) M lour- gouvflcn'çmerit impérial iib pôut pa reii- rendu responsable de certaines mar tainè tions individuelles dans la presse al. d'à- de. La réaction en Allemagne a stfitfc de i'aetioii qui avait commence qui une partie dé ni pressé ftlEMi un M. von Jagow croit voir la cause t les état de choses dans l'hostilité de la a ro- étrangère, qui est toujours prête à \ oups pour ses fins telle ou telle manife lïquè d'officier dé réserve trop zélé ou dation, d'un fjatrifdismw -Un. peu >Gnês dant. Je ne puis que rappeler Cê :t les Chancelier a dit ici il y a un an > ont ne connaissons aucune opposition < qui pourrait empêcher l'existence pa l'un à côté de l'autre, des deux E allemand et russe. De même les dif; ', comnverciailes fqui pourraient piVic ràîtô mo,nt s2 rCglëront âvéô du ( o iève- lo" (les deux côtés. Il parait d'autai •usiiï car;d"mnaDle de provoquer un antag istre artificiel et d'exciter les passions natii (Approbation). A notre époque ext veuse, avec l'imfluence de la presse |ué mentalité des peuples; c'est jouer r e de feu. (Nouvelle approbation), Une te I un ritation mutuelle n'est pas propre des voriser une liquidation avantageuse ! ont faires courantes, mais j'espère que forts des deux gouvernements réussi ins- endiguer ces courants dangereux. l été nion que les intérêts des deux pays sauvegardés de la meilleure façon p 5 in- rapports de bon voisinage est juste eurs approuvée par l'Histoire. J'ai des i Sidi- de supposer que le gouvernement ru également disposé, malgré les mené j'r-.i signalées, à tenir à ces rapports voisinage. lïtî Le secrétaire d'Etat dit ne pouvo ut de communiquer au sujet des négociati velle co. : m Orient. Jtp n'ai rien de ni acti- à ajouter à cc que j'ai dit lors de niiêrc lecture du budget sur les n un ti'Mis avec l'Angleterre. i dit Elle.: se poursuivent des deux côté , au-' JV.rprit amical qiui règne d'ailleurs, i re- !: . ; cela, dans nos relations a oua- .pays. Nous avons eu aussi des n sion, tions a.'dc la France. Bien qu'elles n de en première ligne d'ordre financier i nique, je crois cependant, au point obte- i.o:.itii'p:P, pouvoir me féliciter de Ca- nous :. mmes arrivés avec notre yoi t de- -ident.';!. à une entente oui fait disp i\'as- l,v. motifs de friction. Tr.ud'.vani le (Mexique, M. von Jag des .jrette* les dommages subis par les i ie ele alle mands. Les démarches prélim ters. s'.-.nt 'ailes, dit-il, pour présenter de: lème mations dès que l'ordre sera rétab sans M. von Jâgovv termine en disai ifïPSlîlî travaillons de toutes nos forces ai '1 lvCîill grandes tâches qui nems incombent rer la sécurité de l'Allemagne, qui ve dans une situation géograpliic n'est pas précisément heureuse, e lu contre lopper nos forces économiques et < Fainpico, trices. Nous n'avons aucune raison digés de priser le succès. (Vifs applaudissem e la viile Le député socialiste M. Wendel, j au mo- c^le aux déclarations de M. von la chute ne rien apprendre qui ne soit dé se pour- nu de tout le monde. Ce ne sont les gjros- soldats et les cuirassés qui rendr ; se faire prestige de l'Allemagne ce que l'aff. Saverne lui a ôté. layo ne L'orateur critique la création art s ni les l'Albanie et l'envoi de la missi certains man.yon Sanders à Constantinople ittent en lemagne est atteinte en ce moment espérant sorte de phobie de la légion, dit l'o suite in. On a cependant constaté of.ficiellemei 'les sont n'y a Pas ^e racolage français ei mnico à magne. L'orateur déclare qiue les socialiste é imimé- ^ent la Paix avec ^a France. Le peupl l'obtenir Ça-S nc vcut P^s davantage la guer c étran- 'Pei,t dire qu'il n'y a pas de Vosges: « nuits seulement des poteaux-frontières eni deux peuples, et si de l'autre côté de ges on crie Vive l'Allemagne, moi j 10 le go- la France. (Appl. sur les ban .général r Rires ironiques sur les érdUx ^ Êgraîw • . bancs;.- . f:entre, pre Le d'Htulé SpâîiJî, du. » :,itairi — pfirole. Il défend iêi? iiîOSUrfi? nu»». ses par l'Allemagne. L1Aliètti>tf.WQ n*. hèlô f-end pas à l'hégémonie mais elle Vêii liwiÇ à l-t &§ lai civilisation.- Son arm^ une garantie (le pilil ttâ Trip.lice e: dispensable et spécialement l'UiMnce trc-allçmande est une nécessité vital# l'Allemagne. icussion L'orateur recommande un accord s affui- l'Anglnt^n p qui, en particulier, pov plKfeant SftïQ!' tJAÎJcinagnè. -t combattre les ni li i'a- de r.if•"'.?!( ^criirf 1,'intégrité (errite do la Ch'ne. La Triplé •-ntènti^ rr.'fl'rr Chance- pas selon lui, â faire disparaît^ -en Eu- sitions inconciliables qu'elle contient opérons son sein, mais, malgré cela, la Triple i créée tente enserre maintenant l'Allemagne somiftw «eulcmpnt â l'est et à l'ouest, mais . '.*r>.. fc. H charest La prince Sclionàicîf-^^tath/ ,nai ardem- libéral, regrette que les déclarations d tics ne Sasonoff sur la politique étrangère r :s irai- nc soient pas encore parues. Il estime s d'ans l'Allemagne ne devrait pas, par son al igeront ces, s'ôter toute liberté d'action et qi , . pu. AutHehe on envisage des relations ^né.r.h- çfiles àv,èc d';l.iitré^ Ëtats, on peut fai p^u'rvrt m^ieich'ûSé,çn jjlernaqhe. Poftf la .p : dé la qiid jni, nïîeux est rfjâiri es - ter- autant que possible uê Doïihè'Û iiïè vera à ave l'Angleterre et îa Russie. Le prince Schonaich ajoute : En mesur cas, il n'y a pas en France un grand ] la sa- qui veut l'entente avec l'Allemagne, il'on tic M. Gothein. radical, dit : La majc ::i ?'u ' vKTf, > f o en faveur de bo ollaix)- relations âvëé LAIiètffêgiW/ ie par ; — >ndres; j - ^ p . a i,l,è" ' I ■■Jrfé/Î, %?aieS , ec une i >ement > s tou- Nice, 14. — Le président de la Rép at nos qUe et \]mo poincaré ont quitté 1È2 S'dl°lë ^ ,1f ^rî' var t,ain spécial, pour Paris • Nancy, U: — Ce iiiatin, la digue PP.01;^ canal a Crevé à F) 11 vignv. Le bief a ' rniersi jomètres: L'eau; sur cette étendue, ue- vidée dans id ïWsèV*: ement ^ Toul, le service des pontà ei_ôli ce qui sées a pris des mesures sérieuses pou . ro" moment du passage des eaux; rniers, 1 0 ^ ^P^6 Londres, 14. — A la séance d'auj mo là d'h.ui de la Chambre des communes f gouvernement a manqué de peu d'être . j ' en fnlfcorité il la suite d'un scrutin rfr v' mandé li J'jinprovistc nour la fimtioi l'ordre du jour, il ii'à (obtenu que 255 S contre 2J1 Rp'rtiij; U: — Lé gouvernement alleiï mnZnt fait prcceac'r à une enquête au suje r nma l'incursion que des Officiers allemands A-n ini rait faite !à la frontière française, prè m m Nomeny- # ifesta^ Bndapê§t^, U: — Le comte Tisza, p eman- clent cîu consG^» provoqué en duel, &té ia suite d'un vif échange (ie mots à la " Hirio mission de la Délégation hongroise, le pu té Etienne Rakoivsky. nrA^o Cohst'lflflndplé,. 14. — Cet après-mie itiliser 3 heures, a eu liêii i'outerture solen: 'tntirvn du Parlement ottoman, en présence rl'^sso Sultan, du prince héritier, des princes dé1» vr~ périaux, du grand-vizir, des ministres ,.;V jô n.rps .diplomatique, etc. Les sénateui ' d6p(i{fis,- réunis dans la salle, ont é( le fnit debout ia lêCi'ùi'ë faite par Fuad Pa cifraue prcmier secrétaire du pal.ais, du dise oinires du trAne- SiltS Après les prières d'usage, la session hninn lementaire a été déclarée ouverte. v n v ^ heures, le Sultan, suivi des pr: ? impériaux, a réégné sa voiture au> lt PiUS ,1,, /.on, frî-Xîf I;n fo,,ie Uiasiée sur le parcours a a îa-ner- mé chaleureusement le Sultan. ^ sur la rit La " Gazette de Liège,, et les c dl'at eaux voulant diminuer le 1 ™.teà libéral assurent le gain d'un s se? socialiste. ar des m m m et est ■aisons La campagne de dénigrement et d'ej sse est tion démagogique que la Gazette de , es que vient d'inaugurer contre les candidats de bon liste libérale, a fortement surpris et pressionné la partie honnête de la. ] ir rien lation. ons en Non seulement la Gazette de Liêac niveau montrée enchantée (les actes de ma la pi*e- gré des perturbateurs socialistes dan âgocia- meetings libéraux ; mais elle a ch< à les exciter davantage contre le pri s dans candidat, M. Van Iloegaerden. en de- À quel but peut bien o>béir l'organi vôc ce cléricaux liégeois? Quand on examii âgocia- situation des trois partis en présene 'lissent Liège, on acquiert immédiatement la >t tech- t'itude que ce n'est pas l'intérêt pol' de vue qui inspire cette odieuse campagne. ?e que " Voici quelques chiffres que nos 1(* sin oc- sont instamment priés de méditer < araitre propager le plus possible : En 1912, les résultats des élections ovv re- la Chambre dans l'arrondissement de ntérêts ge ont donné les chiffres électoraux in aires vante : ; récla- Cléricaux, 56.48Î li. Socialistes: 91.791 it : Je Libéraux 39.-J8I ix deux ^ste Par le diviseur de répartition : assu- rum> 13.328, on obtient 1e nombre se trou- Pius 1111 reste de voix 11011 utilisées, ue qui Ces calculs donnent les résulta t déve- vante : nvilisa- Cléricaux : 56.489:13.328 = 4. iRest< de mé- Socialistes : 91.796:13.328 = 6. Rest snts). Libéraux : 39.986: 13.328 = 3. tResh repro- C^u'en résulte-t-il ? Jagow, kes cléricaux avaient en 1912 un jà con- de 3.177 voix. pas les Les socialistes, un déchet de 11.8: mt au Les libéraux, dont le dernier quotii lire de niait le quorum, n'avaient que 2 \ déchet. ificielle Ulle constatation saute à tous les on Li- te s°nt les socialistes qui ont le p L'AI- chance de gagner un siège, non au d'une nient des cléricaux qui ont un i,roj •ateur. (ie 3.177 voix, mais au détriment de it qu'il raux ^ °nt juste leur compte. Aile- C.cst l'évidence même I Une autre constatation se dégage s veu- niême des chiffres ainsi confrontés : 3 fran. ^ ^ ^ue si les cléricaux n'ont a •e On chancei conqiuàrir le 'si'ège coi ruais P;u" contre, il est impossible de leur re les ' v.er. ^eur si^ge ; une perte de voi: s Vos- sidérable aurait tout au plus pour e crie ^eur «attribuer le treizième siège a es so- d'J do unième. xutres Reste une troisième constatatio: nous paraît la plus importante et s nd la ,quelle nous attirons l'attention de :spri- Iecteurs : nré- .C'est que si on fait perdre des voi: I libéraux, même au profit des cléri i n aboutit à élire le 7e candidat soci; e J)Ie Lambrichts. it i ri- Vtfid aÙoriS s€rait la situation en posant une perte .(Ie ^ voix. ivraie P° profit des cléricaux, V01X socia li'atigmentant ni ne diminuait •' . av®^ Le quorum sera le 7e quotient "du cl 1Ta.lt électoral de la liste socialiste, soit 1; '°Je s La situation se présentera dès lors me suit : jCléricaux nêiWH 650= 57139:13113=. dafi« i&idUslet En- W79e f iâiis=-- lussi Lihirau:e lussi 36986-650 = 39336:13113 = , i II y a sans -doute raugnîéWtatàofi S m. corps électoral, qui apporte 7.872 vo'M velle?:. depuis 1912. mi Mais u îïM tenir compte qu'en îiîn Ies libéraux ont pé-fd^ 4e- yoix tandis a ,es socialistes ont augrilénf*' Mtfrs effe m dans des proportions énormes, f j Ce saut colossal ne peut se renom rSitU cette ann^e ies socialistes eux-mé ïfS n'oseraient l'escompter. te* bases de notre comparaison re; T-'lV itifnïi*- , . Nous drfif^iS donc à cette conclusi >arti Voter poU^ iôs cJOrtcaux, c'est assurer reiéctiôh' d'w nouveau socialiste* nnes Cette perspective ne manquera pas sourire aux électeurs modérés. jhs* Us savent qu'en suivant les conseil: !/'» (iazeth de Liéoe, aveuglée par sa —•« né du libéralisme, ils assurent la vici ——• du parti de la guerre des classes et du fleQtivisme. Les cléiicaux ne devraient pas ra jçiits iroupes au cri de « A bas le tel ! » bien à celui de « Vive I iôli- îriohts ! Vive U socialisme ! » e à „ ^ ■ ^1 d,; Escamotage jésuitiq»< u._ La Gazette de Liège revient sur 1' , * demi Van Hoegaerden du meeting de r le raing' i « A cette question le Journal de 1 our- répondit dans son numéro du 7 mai qu >, le Van Hoegaerden « était bel et bien dai mis salle mêlé à la foule des auditeurs >1 de- lendemain M. Van Hoegaerden nous ii 1 de niait par exploit d'huissier qu'il avait é voix té et applaudi la conférence ele son Hymans mais qu'il avait « préféré atte au dehors la fin de la séance » — queî iand de tempérament ». t 3e Résumons : Nous avons constaté la au- sence de M. Van Hoegaerden au débu i de meeting et son absence au cours de h conde partie. Le Journal de Liège no répondu, sans faire aucune distinc rési- qu'il était dans la salle et M. Van Hoeç à la den, lui-même, nous a dit qu'à la fin ( ;om- séance il était dehors.» , dé- Or, voici exactement c.1 que le Jou de Liège a dit dans son numéro du 7 r '*> à (( g} ja commère avait eu le courag lelle montrer le bout de son nez a cette ,du nion, elle aurait pu se rendre compte "J1" elle-même que M. Van Hoegaerden > "lî bel et bien dans la salle, mêlé à la : s cp des auditeurs. » outé ena, Nous ajoutions cette phrase que la ours zette de Liège omet de citer : nar_ « Si, après le beau discours de M. " mans, il a brûlé la politesse au contr ne00 teur socialiste, c'était apparemment „r_ ne pas être tenté de lui répliquer, en a )n " géant inutilement la séance, contre le ccia- "" comilé' " Naturellement, la Gazette de Liège US, mote cette phrase qui démontre sa , r , vaise foi. Iprj- Elle cherche à sauver la face gui, en , currence ,est celle d'un jésuite. jarti l!p Le Doigt dans l'( ;cita- Après avoir voulu, d'après les inepte rJège terprétations de la Gazette de Liège, le la mettre en contradiction avec M. Van im- gaerden sur la relation des faits de >opu- raing, le Bien Public nous prend de veau à partie au sujet des élections s'est çaises. ivais Ce qui gêne surtout notre confrère, s les la liste des tripotages cléricaux-socia nfhé que nous avons signalés. >mier « Nous ne nous attardons pas, écri' discuter des cas particuliers et des p ; des que le Journal de Liège nous expose ie la plume suspecte, et qui n'affaiblissent e à lemerit la signification du. scrutin d rer- manche. tique » Il ne nous plaît pas de prendre le ge. teurs » D'une façon générale, nous affir ?t de que les radicaux-socialistes, alliés au cialistes, n'ont pas plus ele droit qv pour socialistes eux-mêmes aux suffrages di Lié- tholiques. » sui- C'est certes le droit du Bien Public e gliger ces faits. Ce n'est pas l'avis di 1 voix Siècle, dont nous avons donné hier l'a î » ciation sévère : i » (( S'il y a cent socialistes au Palais ou quo- nacée de mort, c'est la faute, (hélas ! à b ; d élus nombre de catholiques. » Que le Bien Public s'entende avec le X ts sui- Siècle sur la portée des élections fra çaises. > 3.177 Le Bien Public, après avoir mangé e ? 11.828 cartel, a le mot de la fin, pour ceux do ) 2 le parti s'abandonne « à la discrétion rév lutionnaire » : déchet Permis au Journal de Liège, qui f cartelliste en 1912, d'adopter une pareil 8 voix, attitude. » ;nt for- Voilà le Journal de Liège en passe de d ni Y dft venir 11 n nrrronA r-nrtollicto /it lr> cin.nAt A. révolutionnaires ! yeux : Notre pauvre confrère gantois nous e lus de apprend de belles. détri- plein sl,bé" Les Fnniih él»!fl«rah d'elle- DHMV FR * I\TCÎE3 ucune m m m ivoité, enle- LE MIRACLE DE LILLE " effet ^ous Jisons dans VEtoile Belge ; li lieu Ce n'est pas sans une patriotique émo tion que nous avons connu les miracles di 1 qui Lille. jr la- Nos voisins de France nous ont trop sou nos vent reproché de le's imiter pour que non: 11e manifestions pas notre ioie en appre î aux nant que' nos petits-frères "révèlent à le eaux, France les mystères du suffrage plural, iliste, « Ah ! ont ils dit aux Français, nous allons vous montrer comment on vote et sup- comment nous nous multiplions électorals au lement ! » Et les Français ont été édifiés listes sur notre ingéniostié, qui est admirable. Ces petits-frères à répétition ne manque-îiffre ront pas de devenir célèbres et méritent i,î-3. d'entrer à la fois dans l'histoire et dans com-» Ja légende. Ces religieux car tés 'aisaient d'excellente besogne, sang bruit, sans os-élus tentation, sans vanité. Ils apparaissaient 4 silencieux,' votaient au nom d'un électeur qui ne' se doutait pas de l'honneur qu'on. 7 lui faisait, et disparaissaient plus silencieusement encore. Ils remplaçaient les ab-2 sents et les morts, et se révélaient ouvriers thi incomparables dans l'art de fabriquer une i¥ou> majorité. tfos feuilles cléricales semblent un peu' 1912. g$rrêés par cet éclat. Sans briller par une que modestie excessive, elles sont parfois mo-ctifs destes. Cette fois, elles le sont de la manière la plus intense, et il n'y a point de 'ël€f danger qu'eues tombent dan» le péché de mes va ïi 1 M.- Nous, a if contraire, qui n'avons pas les itent mêmes scrupu/fë, wous croyons devoir faire le plus de publicité possible à ces hero? on : obscurs qui ont porté au loin le nom âft notre pays. Ce qui s'est passé à Lille — r» et ailleurs — est un miracle clérical. Les petits-frères, qu'on ne . connaissait pas (ïw encore sous cet aspect, se révèlent comme des thaumaturges puissants : ils ressuseî-. fjA teiiî tas morts et les f ont voter. Leur nu>-nière de démontrer l'immortalité de l'âme 0;r " par le vote iVosthume est une trouvaille '1 merveilleuse ; et le premier miracle, la résurrection .des morts, en entraîne un sellier coud : la conversion posthume des mé-car_ créants, qui votaient mal pendant leur ivie, nm- et qui votent bien après leur mort. Les miracles électoraux de cette espèce sont-ils exclusivement réservés "pour l'ex-—• portation »? Nous nous permettons d'en douter. Il est infiniment probable que les PÇ-k tit^frères font en Belgique les mêmes mi-J racles qu'en France. Chez nous, la. carte d'électeur est remplacée par le bulletin de convocation. Chez inci- nous aussi les absents et les morts peu-Se- vent trouver, à leur insu, des remplaçants de bonne volonté. C'est pourquoi nous conseillons à nos amis d'ouvrir les veux, et les oreilles, s M. Nous avions déiià les élus suppléants ; lsTla les cléricaux ont inventé les électeurs sup-•, ,J° pléants; îfor- cou- Us étaient soixante ami C'est au chiffre incroyable d'une soixan* ndre Laine, dit VEtoile Belge, que les ouvriers ition (tous typographes aux pieux établissements dont je vous parlais hier), se sont rendus pré- à Lille le premier dimanche du scrutin, lo t du 26 avril. Le dimanche du ballottage, ils 1, se- sont allés voter au nombre de quarante en-is a viron, la. moitié le matin, par le train do tion, 6 h. 28, l'autre moitié par celui de 10 heures ;aer- ct demie, ces derniers ayant à leur tête lo le la chantre d'église Victor Kain, — qui avait chanté la grand'messe de 9 heures avant son départ. mal leur retour, certains d'entre eux se *ai : faisaient gloire de leur exploit. Chose cu-p j. rieuse, presque tous ces fraudeurs électo-réu- raux habitent le quartier Saint-Piat. n ~ 11 nous revient que le parquet de Lille, (Stnit Par commission rogatoire, va ouvrir une 0'V. enquête à Tournai à l'effet de connaître les noms des co-fraudeurs. r Les commentaires ba~ de la presse cléricale La presse cléricale, qui aiviait gardé de Hy- Conrard le silence prudent au sujet des adic- fraudes cléricales de Lille, est bien forcée pour de les narrer et de les commenter à sa lion- façon. ! gré Le Courrier de VEscaut écrit : (( Mme la ministresse Caillaux, en tuant esca- M. Calmette, avait proclamé qu'il n'y avait mau- plus de justice en France. On l'a bien vu depuis qu'elle tient salon en sa prison do-l'oc- rée, tandis que son mari se faisait réélire député. Il paraît qu'on a retrouvé fort à propos la dite justice française pour frap-per des foudres les plus rigoureuses de la loi, les catholiques coupables d'avoir vote g! pour les religieux chassés de France à cau-11 se du bien qu'ils faisaient à leur patrie... Nous n'approuvons pas le fait de l'illégalité commise à Lille. s in- Nous estimons que ce n'est pas par des nous illégalités qu'il faut essayer au dernier mo-Hoe- nient d'obtenir un résultat électoral favo-. se- rable. nou- Notre organisation électorale comme ans-fran- si nos mœurs politiques ne permettent d'ailleurs pas de faire chez nous ce qui a eu c'est lieu à Lille. » listes Voilà les petits belges rassurés. La Croi.r du Nord, reproduite par Le ril, à Bappel, fait ces remarques que notre contins, frère qualifie d'excellentes : ^ un.e « Le « crime •» abominable qui effarou-nxJÎ" che la pudibonderie des socialistes est donc e dl" (Vavoir voté par procuration comme font journellement les députés. chîin- „ )'on ne s'explique pas, après cela, la grande émotion des citoyens Delory- et irions Ghcsquière, qui poussent des hauts cris x ?°" pour des faits qu'ils ont commis eux-mêmes e des centaines de fois ou qju'on a commis îs ca" pour eu-xi » Le Courrier de Bruxelles reproduit Tout yy simplement la Croix du Nord, disant qu'il a s'agirait de quatre domestiques ou em-ppre- pioyés de congrégation. Bour- Quant au XXc Siècle, il déclare :

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Cet article est une édition du titre Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire appartenant à la catégorie Liberale pers, parue à Anvers du 1832 au 1940.

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